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j'aime faire exploser les queues avec mes fesses... et vous
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Kirah, dans Vos Expériences
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Par Weby
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Par Weby
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Par la brune
En arrivant ici j'ai fait un blog et puis j'y ai posté de tout de rien, un peu de vous, un peu d'eux et aussi beaucoup de moi.
Et puis au fil du temps je me rends compte que c'est un peu comme dans mon cerveau ou les piles sur mon bureau.
Il n'y a que moi qui m'y retrouve. Du coup, je vais poster reprendre ici uniquement les liens vers mes récits.
Des racontottes érotiques au coin du feu
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Par Palmyre
Je m’appelle Philippe, j’ai 25 ans et je souhaite vous narrer mon aventure avec ma voisine de chambre. Je vis actuellement en foyer de jeunes travailleurs, je suis à la recherche d’un emploi à l’issue de mes études de commerce international. 1,85m de corpulence moyenne, châtain avec un petit collier de barbe, je pense plaire aux femmes mais ma timidité maladive me joue de sales tours. J’ai du mal à aborder les femmes, je n’ose pas engager la discussion même quand elles viennent me parler et je reste trop sur la défensive. Je sais que ça me joue des tours, que je passe à côté de certaines aventures, mais c’est plus fort que moi, je perds mes moyens dès qu’il s’agit des femmes.
J’ai eu l’occasion d’en parler avec une amie sur le net, qui m’a mis un gros coup de pied au cul virtuel en m’incitant à surmonter ma timidité, non pas pour oser aborder une femme qui me plaisait, mais tout au moins pour répondre positivement aux sollicitations dont je pouvais faire l’objet. Pour l’instant, il faut avouer que ses encouragements n’ont pas vraiment portés leurs fruits, je reste paralysé à l’idée de concrétiser une rencontre.
N’allez pas croire que je sois un puceau vivant dans un monde fantasmagorique. Bien sûr que j’ai des fantasmes, comme tout le monde ! J’ai déjà eu des relations sexuelles aussi, pas nombreuses mais satisfaisantes. Mais là, ça fait trop longtemps que je suis seul et la masturbation ne suffit plus à soulager mes pulsions. D’autant plus que depuis 2 semaines, j’ai une nouvelle voisine de chambre. Elle est belle, bandante, avec son mètre 70, ses longs cheveux noirs et son cul de déesse moulé dans un slim qui met en valeur ses formes parfaites. Quand je l’entends monter les escaliers, je trouve toujours un prétexte pour sortir de ma chambre et lui dire bonjour, j’en profite pour la mater et je suis persuadé qu’elle en est consciente. En même temps, je me persuade qu’elle s’en fiche, elle est trop parfaite pour ne pas savoir qu’elle attire tous les regards. C’est clair que je n’oserai jamais l’aborder.
J’en parle avec mon amie du net, qui une fois de plus m’incite à tenter ma chance. J’ai beau lui réaffirmer que je suis un grand timide, elle n’en a que faire, elle me pousse dans mes retranchements pour que j’aborde ma voisine dont j’ignore jusqu’au prénom. Je suis bloqué, je ne sais comment faire, c’est horrible. Je suis tiraillé entre l’envie d’aborder ma voisine et une peur panique de me prendre un râteau. On en discute longuement, elle me dit que je n’ai rien à perdre et me suggère plusieurs stratégies pour aborder mon canon de voisine. Rien à faire, je ne suis pas convaincu. Jusqu’au moment où elle me lâche « et si tu la jouais style Tsonga, le coup du kinder bueno ? »
N’ayant pas la télé, j’ai pas mal zappé les pubs récentes et je ne comprends pas de quoi me parle mon amie. Elle prend le temps de m’expliquer la pub, avec Joe –Wilfried Tsonga qui emballe une fille grâce à une friandise. Je doute, c’est un peu gros quand même ! Mais petit à petit, l’idée fait son chemin dans mon esprit. Je me dis qu’une fille comme ma voisine ne doit pas manquer de sollicitations, mais qu’il y a de fortes chances pour qu’on ne l’ait jamais abordée de cette façon. L’originalité peut payer… Maintenant, la question est de savoir si je vais oser me lancer.
En fait, l’occasion s’est présentée dès le lendemain, je ne sais pas où j’ai trouvé la force de l’aborder, mais j’ai osé le faire. Elle rentrait dans sa chambre au moment où je sortais de la mienne. Effet du hasard ? Je ne crois pas, je guettais ses pas dans l’escalier et j’ai eu le courage de me lancer quand je l’ai entendue rentrer chez elle. Elle me jette un regard rapide, me salue par politesse et ouvre la porte de sa chambre. Je sens que je rougis, je mate ses seins que je devine fermes et haut perchés, son petit cul moulé dans son éternel slim, elle me fait bander. Je ne sais pas où j’ai trouvé le courage de l’aborder, mais j’ai repensé à mon amie du net qui m’a conseillé de foncer et je me lance. « Mademoiselle, accepteriez vous de partager un kinder bueno avec moi ? »
Punaise, je n’ai rien d’un Tsonga au niveau physique, mais j’ai osé ! Elle se retourne, me sourit, elle me fait fondre comme une friandise chocolatée au soleil. J’ai les jambes en chamallow, le cœur comme un fondant au chocolat. Je n’ose y croire, elle me manifeste de l’intérêt… Faut pas que je tombe amoureux maintenant, ce ne sont que les préliminaires à un plan cul ! Putain qu’elle est bandante, comment enchaîner ?
Je lui rends son sourire, sans rien dire, la balle est dans son camp. Sa réponse ne se fait pas attendre « j’adore les kinder bueno, si tu en as chez toi, je ne vais pas pouvoir résister » Je fais quoi maintenant ? Je l’invite à venir chez moi sachant que ce n’était que du bluff et que je n’en ai pas dans ma chambre? Je choisis l’honnêteté, je préfère lui dire que je n’en ai pas mais que je peux aller en acheter si elle en a vraiment envie. Elle éclate de rire et me demande si j’ai autre chose à partager avec elle chez moi. Oh oui, j’ai plein d’autres choses à partager avec elle, mais comment lui dire ? C’est mal engagé…
Elle sent ma gêne « en fait, tu n’as pas de kinder bueno ! » Je confirme, la tête basse. Je sens que c’est mort, une fois de plus. Elle rigole de plus belle, je me sens ridicule. Pfff, j’aurais mieux fait de rester cloitré chez moi. Je l’imagine déjà entrant chez elle sur un dernier sourire moqueur, pour bien me faire comprendre que je ne l’intéresse pas. Au lieu de ça, elle s’approche de moi et me demande si je n’ai pas autre chose à lui proposer. Euh, j’ai bien une bouteille de vin blanc au frigo, mais rien d’autre… Ca semble lui convenir, elle s’invite carrément chez moi. On s’installe, je nous sers un coup à boire et on trinque à l’amitié. Je suis mal à l’aise, je ne sais comment engager la conversation. Heureusement qu’elle est moins timide que moi. Elle m’apprend très vite qu’elle se prénomme Jessica et qu’elle a 22 ans. Elle est étudiante en biochimie et occupe un emploi à mi-temps dans une boutique de vêtements pour payer ses études. Je suis totalement sous le charme. Non seulement elle est belle, mais en plus elle est intelligente et douée pour les études !
Je la détaille de la tête aux pieds, elle porte un top rouge qui met en valeur son décolleté généreux, un slim qui moule son petit cul, son maquillage discret ne fait que renforcer son charme naturel. Bordel, j’ai une furieuse envie de lui faire l’amour, mais comment lui faire comprendre ?
Un verre, deux verres, les langues se délient. L’alcool aide à surmonter certains blocages, elle me parle de sa vie, je lui raconte la mienne. Petit à petit, je me rapproche d’elle, ma cuisse touche la sienne. Ma main s’aventure sur sa poitrine, elle me laisse faire. Je sens son téton durcir sous l’effet de ma caresse et son souffle se modifier. J’approche mon visage du sien, j’attends que ce soit elle qui pose ses lèvres sur les miennes . Ca y est, elle m’embrasse, timidement d’abord, puis avec plus de fougue. Nos langues s’entremêlent, mes caresses se font plus insistantes et je l’entends gémir doucement. Ma main descend, tente de se glisser dans son jean, elle défait la ceinture puis le bouton. Jessica se laisse faire et je me sens pousser des ailes ! Je l’allonge sur le canapé, je la déshabille petit à petit. Je découvre sous son jean un string en dentelle rouge qui me rend dingue, c’est fou ce que cette fille est sexy jusque dans les moindres détails !
J’ai envie de la bouffer, je m’agenouille et ma bouche s’approche de son sexe, je ne prends même pas le temps de finit l’effeuillage, j’écarte la ficelle et ma langue s’empare de son clito. Il est déjà tout dur, tout gonflé, je le sens pointer et mes lèvres l’entourent voluptueusement. Je le suce, l’aspire, j’entends Jessica gémir de plaisir. Ma langue vient le titiller et elle se tortille de plaisir. Oh mon dieu que c’est bon de faire jouir une femme ! Sauf que je ne suis pas sûr du plaisir que j’ai pu lui donner, alors j’insiste, ma langue se fait plus insistante et j’ose introduire un doigt puis deux dans son intimité. Je cherche la petite zone qui la fera grimper au 7ème ciel. C’est mouillé, c’est odorant et son odeur me rend dingue. Je tâtonne, j’expérimente et je finis par trouver cette petite zone hypersensible qui fait perdre pied à une femme. Jessica se cambre, elle crie sa jouissance puis s’abandonne totalement.
Je ne m’attendais pas à ça, je suis bluffé d’avoir réussi à donner autant de plaisir à une femme. Elle m’attire sur elle, me serre dans ses bras. Je suis bien… Je bande comme un fou mais je peux attendre encore un peu. Je la contemple, elle est belle dans l’abandon de l’amour et j’ai envie de lui en donner encore plus. J’ai mal à force de bander, j’ai envie de la prendre sauvagement ! Je ne veux pas lui faire mal, mais j’ai trop envie d’elle. Je n’ose pas aller plus loin, mais je veux me vider en elle.
Enfin elle semble reprendre ses esprits, elle me sourit et tend la main vers le paquet de clopes. Elle en allume une et me la tend. Putain, elle va me faire débander cette conne ! Je prends la clope et tire dessus, elle s’en allume une aussi. Finalement, ça ne fait pas de mal, je bande encore mais ça devient supportable. Je découvre que pour les femmes aussi, il faut un temps de récupération après un orgasme. Je crois que j’ai encore pas mal de choses à apprendre.
Elle finit de se déshabiller, elle est trop belle à poil, avec ses seins haut perchés, son ventre plat et son cul à damner un saint ! Elle écrase sa clope dans le cendrier et approche sa bouche de ma queue. Ses lèvres se posent sur mon gland, le gobent petit à petit. Je sens sa langue qui vient titiller mon méat, puis qui s’enroule autour de ma hampe. Elle l’engloutit progressivement, de plus en plus loin, de plus en plus profondément. J’hallucine ! Jusqu’où va t’elle aller ? Je tremble, je lutte pour ne pas jouir. Ses mouvements de va et vient son redoutables, je sens que je butte au fond de sa gorge à chaque fois et je lutte pour ne pas venir tout de suite. Et merde !!!! Elle a eu raison de moi, dans une dernière aspiration, elle a réussi à tout me faire lâcher, j’ai éjaculé au fond de sa gorge et elle a tout avalé d’un trait !
En plus, elle semble satisfaite du résultat ! Mais moi j’ai envie de lui faire l’amour ! Pourvu que j’arrive à rebander après, sinon je suis mal !
Elle se comporte comme une chatte en chaleur, elle se frotte contre moi, elle ronronne, je la sens surexcitée, pourvu que j’assure….
Heureusement, ma tigresse semble comprendre que j’ai besoin de souffler un peu. On prend le temps de reboire un verre et de récupérer. Elle est belle toute nue, abandonnée à la situation. Je la prends dans mes bras, je l’embrasse, je sens le désir d’elle qui remonte. Je l’allonge sur le canapé avec une envie folle de la pénétrer. Assure Philippe, c’est une parfaite inconnue avec qui tu vas faire l’amour… Dans un sursaut de lucidité, je prends le temps d’aller chercher un préservatif dans ma chambre, je l’enfile rapidement sur ma queue érigée et je m’enfonce au plus profond de mon amante qui ne tarde pas à crier son plaisir de me sentir en elle. C’est bon, c’est fort, je tente de garder le contrôle pour faire durer le plaisir, d’autant plus qu’une autre envie me traverse l’esprit… Je n’ose pas l’exprimer, je me traite mentalement de gros pervers.
Et là, alors que je ne m’y attends pas, Jessica me repousse et se retourne. Elle est maintenant à plat ventre, les fesses offertes. Qu’est ce que ça veut dire ? Qu’elle veut une levrette ou autre chose ? Dans le doute, je me place derrière elle et reviens la pénétrer dans cette position. Je l’agrippe par les hanches et m’enfonce en elle avec énergie, elle crie de plaisir mais moi j’ai les yeux rivés sur sa rondelle attirante. J’ose y aventurer un doigt, tout en douceur. Elle se laisse faire, j’accentue mes caresses et un deuxième doigt vient rejoindre le premier. Tandis que ma queue comble son antre trempé, mes doigts ouvrent la voie vers d’autres plaisirs.
« Oui chéri ! Encule moi ! » Je crois rêver… Pas la peine de me le dire deux fois, je me retire vite fait de l’endroit douillet où je m’aventurais, je prépare le terrain avec un peu de salive et je m’enfonce avec délectation dans le cul de ma voisine. C’est serré, c’est chaud et c’est trop bon. Je reste un moment sans bouger, je ne veux pas lui faire mal. Quand je sens qu’elle est réceptive, je commence de doux mouvements de va et vient. Elle gémit, de plaisir, alors j’augmente l’amplitude, j’accélère, je ressors pour mieux la pénétrer en suivant. A chaque coup de rein que je donne, je l’entends prendre son pied un peu plus fort.
Je veux la faire jouir comme personne avant, toujours enfoncé en elle, je la bascule sur le coté et ma main vient pénétrer son intimité. Prise des deux côtés à la fois, Jessica s’abandonne totalement à la jouissance, je sens que tous ses muscles se contractent en spasmes incontrôlables, déclenchant mon orgasme le plus puissant que je n’ai jamais ressenti.
La prochaine fois, je m’assurerai d’avoir un kinder bueno à la maison pour être certain qu’elle acceptera de venir chez moi.
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Par joliette
-Sois ma soumise ce soir, qu'il m'a demandé.
Moi je veux bien, même si dans l'esprit, je suis plutôt dominante. Je plie à contrecoeur, même cette obligation de plier est infiniment excitante en soi. Ce soir je serai donc son jouet, sa chose, sa geisha... Je serai ce qu'il veut...Envie de lui faire plaisir.
Bref, rendez vous pour 7hr. A l'heure dite, je suis une soumise modèle, lingerie des grands soirs, à genoux sur le lit, les mains sur la tete, cul tourné vers la porte. Sans culotte, tout de même, puisqu'on m'a ordonné d'en porter une. Comment glaner une fessée sans en avoir l'air...
La porte s'ouvre, un courant d'air frais balaie mon corps, me fait frissonner. Puis ses lèvres sur ma peau, ses paumes douces et tièdes qui prennent possession de mon corps, m'attisent, me troublent, sont partout... Contact surprement de ses vétements au contact de ma peau, de sa cuisse contre la mienne, de ses doigts qui joue avec un téton, viennent prendre la température de mon antre, taquiner mon oeillet, claquer mes fesses... Je soupire, je me tords, je gémis, sous le désir qui monte graduellement.
D'une bourrade de gros chien, me voilà renversée sur le dos. Un clic: poignet droit menotté à un barreau du lit! Un autre clic et c'est le tour du poignet gauche. Je suis à lui.... Toute à lui, sans défense... Je ne pourrais même pas ruer sous son corps qui me chevauche et bloque mes cuisses. Une bosse énorme qui déforme le jean, le zip qui frotte sur mon clito, et moi qui ondule, me fait du bien dessus, pour occulter un peu la pression de ses doigts qui jouent à étirer mes mamelons, si sensibles!
Enfoiré! Mais qu'est ce que c'est bon, ce qu'il me fait! Je miaule dés qu'il gobe le téton, le fait durcir sous sa langue, ronronne quand il mord mon cou. Demain j'aurai des marques de mon salopard de vampire d'amour que je serai heureuse de porter.
J'ai envie de m'abandonner, et tout à la fois de résister. D'etre son jouet, et de retourner les choses. Une chance pour lui que je sois liée, sinon j'aurais lancé une offensive!
Sa bouche descend sur moi, sa langue dessine de savantes circonvolutions, vient taquiner le nombril, descend sur le pubis, puis sur le coquillage humide, en l'effleurant simplement, alors que je voudrais etre dévorée, bouffée, godée de sa langue, cannibalisée. Mon ventre se tend vers lui, cherchant à accentuer le contact.
Peine perdue, il se retire!
Grrrr! Mais je veux sa bouche moi!
Ah non, chic, ça veut dire qu'on va baiser!
Il retire ses vêtements, avec une lenteur exaspérante, me frôle des tissus. Rugueux du jean satiné de la chemise amidonnée, extrême douceur du caleçon, encore tièdes de son chaleur.
Sa queue jaillit: dressée, majestueuse, appétissante, glorieuse. J'en ai faim!
Il se penche sur moi, ce pourrait etre un 69 s'il se rapprochait et me laissait gober son épée. Mais il reste loin exprès, il joue... Sadique, sale bête!
Je retrouve la douceur de sa bouche sur mon ventre, mais je voudrais aussi ma friandise, cette belle fraise pulpeuse qu'on me refuse. En place on m'offre deux boules lisses, que je lape avidement, que je mordille, que je machouille, la rosette passe à ma portée et je monte à l'assaut, lèche tout ce qui passe à ma portée, les gouttes de liqueurs qui choient sur mon visage, je suis rendue folle par cette langue qui de son côté taquine toujours mon antre, fais rouler mon bonbon, ces doigts qui m'investissent. 2, puis 3, puis 4, la main qui force le passage... C'est bon et ca fait mal, c'est merveilleux et ca m'effraie. Je veux sa main en moi, je le veux tout entier en moi.
Enfin, sa queue cherche ma bouche, s'enfonce dans ma gorge. J'aime ca mais je flippe de m'étouffer, mais il se contrôle parfaitement et je me détend, cherchant à accueuillir du mieux que je peux ce gourdin, léchant docilement gland et boules quand il se retire, ouvrant une bouche d'oisillon pour recevoir ma pitance, salivant sur la tige, encore et encore...
Ma machoire écartelée souffre. Il s'en rend compte et se retire. Je perd aussi les doigts en moi, ce doux calinage du clito.
Je suis retournée sans façon sur le ventre, les bras tendus par les menottes. Une fessée pour me faire mettre replier les cuisses, bien écartées, mieux me cambrer. Poulette prête à embrocher!
Je devine qu'il se branle. Peut etre qu'il réfléchit? Ca ne me va pas, j'ondule de la croupe luxurieuse, tentatrice
... Je le veux en moi, au plus profond, subir sa loi!
Le gland, enfin, qui se présente ! Nos fluides qui se mèlent. Mon antre est un brasier qui le réclame, l'appelle de toutes ses phéromones. Au lieu de ca, il résiste, le bougre d'envahisseur, il me fait languir, me torture, me chatouille de son gland à l'entrée, se frotte sur ma raie. Je m'énerve, je le veux, qu il ressorte par ma gorge, qu'il me fasse ameuter le quartier de mes cris, qu'il me défonce, me ramone, vienne exploser mon cul, mais qu'il entre!
En plus il me nargue!
-Tu veux quoi?
-A ton avis?
Il se branle, paisible, l'oeil rieur. Je le foudroie d'un oeil noir mais ce n'est sans doute pas la bonne tactique pour le faire céder.
-Demande moi, fait-il doucement
Je reste perplexe. Demander quoi? L'heure, la météo, les résultats des élections? Ah oui, soudain, le sens de sa question m'apparait clairement, mais froisse ma fierté. Nan, je ne céderai pas, je n'obtempérerai pas. Sournoisement, je frotte mon clito sur le couvre lit, ronronne d'aise, les yeux fermés.
Son doigt vient effleurer ma bouche. Docile, les yeux fermés, je suce, tête, je goute à ma liqueur intime, à la sienne, aussi.
Le doigt se retire, vient titiller ma rosette qui s'ouvre sous la visite. Un doigt, deux doigts... Puis le gland qui se pose à l'entrée, force le passage, la tige qui m'envahit d'un coup à la hussarde. Et soudain, les petits coussins humides et moelleux des bourses sous mes fesses. Empalée jusqu'à la garde!
Il reste immobile, me laissant m'habituer à son intrusion, en ces lieux sombres, étroits et chauds comme l'enfer. Puis débute son va-et-vient, lentement, puis plus vite, plus loin, toujours plus fort. Je balbutie des mots sans suite, gémissante, secouée, balottée. Sa main sur mon coquillage, ses doigts sur mon bouton magique et je m'envole, tandis qu dans un grand râle je le sens se répandre en moi.
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