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AsMoth

Ma Première Expérience à trois

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J’avais redoublé ma terminale et je sortais avec une jolie blondinette répondant au doux nom d’Aurélie qui était en première à l’époque.

Bien qu’elle était plus jeune que moi, j’avais toujours été surpris par son appétit sexuel que je trouvais en avance par rapport aux autres filles de son âge. En clair, elle n’était pas vraiment « prude » : elle ne rougissait pas de gêne ou de honte à montrer du désir pour moi ; encore moi à plonger sa main dans mon boxer pour y saisir ma belle queue et me masturber en lisant sur mon visage tout le plaisir que ses douces caresses me procuraient. Elle y prenait même un malicieux plaisir !

Ce fameux mercredi après-midi, Aurélie nous avait invité sa copine Emilie et moi à passer l’après-midi chez elle. Curieuse Emilie ! En effet, à plusieurs reprises, Aurélie m’avait posé des questions sur ce qui excite les mecs chez les filles, notamment sur leur pudeur. Elle m’avait aussi parlé de Emilie, une jolie petite brune, qui à l’inverse de ma petite amie, était très vite mal à l’aise à parler de sexe. Aurélie m’avait dit que son amie avait déjà fait l’amour. Difficile à dire si elle avait beaucoup aimé ni combien de fois elle l’avait fait. Mais un sourire coquin laissait présager une sacrée coquine sous cette carapace de sainte nitouche, comme aimait le dire ma chérie.

Ainsi, en cette fin de printemps, la chaleur naissante commençait à sérieusement dénuder les corps et exciter les hormones.

- Ben mets-toi à l’aise mon loup ! En plus, ça évitera de te tâcher ! me lança Aurélie alors qu’elle nous avait sorti des gaufres et de la crème chantilly. En clair : mets-toi en boxer.

- Ça ne te dérange pas Emilie ? C’est vrai qu’il fait chaud… J’ai pour habitude de me mettre en boxer…

- Non non… me dit Emilie, quelque peu le trouble dans ses yeux, qu’elle plongea immédiatement ensuite dans son assiette.

Les deux coquines riaient bon train de mille et un sujets. Elles riaient tout le temps et se connaissaient depuis presque toujours, leurs parents respectifs étant presque voisins. Elles étaient pour ainsi dire comme des sœurs. Une entente parfaite, malgré le contraste quasi opposé de tempérament.

Aurélie me demandant de me déshabiller de la sorte, je devinai à moitié où elle voulait en venir : elle voulait confronter sa meilleure amie à la présence d’un mec presque nu. Le fait que je sois plus âgé qu’elles ne faisait que renfoncer cette gêne. Je me retrouvai ainsi en boxer en nylon noir devant ces deux poupées. Comme par instinct de sexe, mes yeux se mirent à dévorer Emilie : elle portait un top rose clair moulant sa petite paire de seins et un minishort en jean. J’imaginais déjà ses mains frêles entourer mon sexe et caresser mes boules rasées et déjà bien chargées. Aurélie, jetant un œil en coin, ne tarda pas à remarquer que mon sexe commençait à gonfler dans mon boxer. Elle fit comme si de rien n’était.

Je me décalai pour me mettre en face d’Emilie. Je vis ses yeux se poser un instant sur la bosse naissante que dessinait mon sexe de plus en plus en érection. Soudain, cette chipie d’Emilie mit sans faire exprès un coup de coude à la main d’Aurélie alors que celle-ci était justement en train de manger sa gaufre à la chantilly. Oups ! Plein sur le nez ! On se mit tous à rire bon train de la petite gaffe faite par notre douce invitée, mais qui traduisait peut être déjà d’un certain état de tension. Connaissant Aurélie, peut être s’imaginait-elle déjà prise dans un torride traquenard.

Aurélie se tourna alors vers moi. elle essuya son nez du revers de la main et toute langue dehors, elle se la lécha. La vue de sa jolie langue rose et de son piercing me figea. Je le fus plus encore lorsqu’elle se mit à sucer son index entre ses lèvres roses et tendres, simulant presque une chaude fellation. Son regard insistant et déterminé en disait long sur ces petits gestes qui n’avaient rien d’anodins. Derrière elle, la prude Emilie souriait, ne voyant pas ce qui se tramait…

- Hummm ! J’aime trop la chantilly ! Mets-m’en sur la langue Emi !

On y était : connaissant Aurélie, le petit jeu commençait. Emilie se mit à secouer la bombe. Aurélie ouvrit la bouche en grand et me regarda furtivement avant de sortir sa langue, attendant qu’Emilie la lui recouvre. Je vis la chantilly s’écouler lentement sur sa langue. Aurélie ferma ensuite sa bouche et en reçu sur les lèvres. Elle me regarda alors et rouvrit la bouche en faisant tournoyer sa langue à l’intérieur. Mon imagination fit le reste : ma belle grosse queue ayant déversé un puissant flot de sperme en elle ; sa langue tournoyant autour de mon gland en fusion suite à un orgasme à la fois puissant et langoureux… Je m’approchai d’Aurélie et mon sexe vint taper contre son genou. Elle sentit à quel point elle m’excitait. Alors que les attentions étaient rivées sur sa bouche pleine de chantilly, je sentis les doigts d’Aurélie passer sur ma queue et la caresser doucement. Je n’en pouvais plus. Il fallait qu’elle me sorte de cette prison qu’était mon boxer. Emilie quant à elle restait concentrée sur son petit jeu de nourriture… enfin, pas pour longtemps.

- Emi… tu t’es déjà mis de la chantilly sur les seins ?

- Hein quoi ? Euh… non !

- C’est trop frais ! ça te fait darder comme jamais ! Mets-moi s’en !

Sur ce, Aurélie releva son top et présenta ses petits seins à Emilie, qui, arborant un sourire plus excité ou amusé que gêné, se chargea de mettre de la chantilly sur les tétons de son amie.

- Léche !

Ce fut le seul mot d’Aurélie qui poussa la timide Emilie à s’exécuter. Chose qu’elle fit aussitôt, avec cette fois-ci une sorte de panique ou d’abandon dans les yeux. Cette petite garce se mit à lécher les tétons rose clair d’Aurélie très doucement. Soudain, elle tourna la tête vers moi et le fit en sortant sa langue, lapant de fait l’excroissance qui durcissait elle aussi à vue d’œil.

- Hummm… c’est bien ma belle ! Continue ! Ta langue et si douce !

Aurélie quant à elle ne cachait plus rien de son état d’excitation. Elle avait les joues qui rougissaient… ce qui fut confirmé au moment où elle se saisit de ses seins pour les caresser. Des plus surpris des trois, ce devait être moi. Emilie léchait les tétons d’Aurélie à merveille, ne se privant pas de remettre de la chantilly et de faire gémir son amie de plaisir par la même occasion. Aurélie retproussa alors le top d’Emilie et dénuda ainsi ses seins dont les pointes dardaient plus encore que les siennes.

Et là, tout bacula.

Alors que je pensais être le complice de la matrone Aurélie, le doute s’effaça définitivement lorsque je vis la main d’Emilie plonger dans le jean de ma petite amie pour visiblement lui caresser la minette. Je restai quoi devant elles, sans bouger, ne sachant plus quoi faire ni où me mettre. Les caresses câlines d’Emilie firent gémir ma chérie qui posa alors les yeux sur moi et sur la bosse prête à exploser dessinée par mon sexe en feu.

- Sors ta grosse queue mon loup ! m’ordonna Aurélie. Un ordre synonyme de libération.

Je vis alors Emilie poser les yeux sur mes mains qui agrippèrent mon boxer et qui le firent glisser le long de mes cuisses, libérant mon sexe dur et gonflé qui jaillit hors de sa prison déjà dur comme du bois. Je me mis à me masturber en regardant ces deux coquines, qui se mirent à rougir en regardant ma main exciter mon sexe et décalotter celui-ci pour présenter un beau gland rose et tendre déjà luisant de mouille épaisse, me faisant gémir à mon tour aussitôt.

- J’ai envie de baiser ! annonça à brut pour point Aurélie à Emilie qui comprit le message.

Emilie déboutonna alors le jean de son amie. Galérant pour le lui enlever au niveau des pieds, cela détendit l’atmosphère de rires.

Aurélie était maintenant en string rose, assise sur le tabouret de la cuisine, les cuisses amplement écartées. Emilie vint jouer avec la minette de sa copine en tirant sur le string de façon à la lui exciter, avant d’y plonger les doigts à nouveau pour lui caresser le clitoris. Aurélie semblait très excitée : entre Emilie qui lui caressait la chatte et moi qui me paluchait à pleine main devant elles, elle ne pouvait qu’être satisfaite… ou presque, car Emilie se pencha et lui apporta deux ou trois léchouilles à sa minette bien rasée… avant de poursuivre en la lui caressant des doigts. Je vis Aurélie fondre de plaisir au long d’un profond gémissement, sentant ainsi ses chairs doucement parcourues. Le silence de la cuisine était rompu des cliquetis de langue humide sur la belle chatte rose de ma chérie, si doucement léchouillée.

Elle était maintenant prête.

Aurélie se leva et s’appuyant sur le plan de travail, présenta son joli petit cul ferme et lisse à Emilie et moi-même. Mon heure arrivait. Je me paluchais à pleine main, sentant mon sexe gonfler et durcir de plus en plus, le gland très humide et sensible. Aurélie me regarda. Sans un mot, je compris qu’elle m’invitait à venir en elle, à lui remplir la fente et à la prendre en levrette tel que je l’adorais tant. Emilie s’accroupit pour lui caresser les fesses et lui caresser la chatte une dernière fois, avant que j’avance vers ma chérie, ma belle queue dressée en avant.

Là, Emilie, pudeur aux oubliettes, se saisit de mon sexe gros et dur et de mit à me le masturber très délicatement, recueillant au passage ma mouille épaisse qu’elle appliqua aussitôt à sa bouche en gémissant. Aurélie écarta un peu plus les cuisses en posant son pied droit sur le repose pied d’un tabouret et se pencha bien en avant en écartant les fesses le plus possible pour que je puisse m’introduire en elle. Emilie se ressaisit de mon sexe, désirant mener les opérations. La sensation de ses doigts d’ado sur ma belle queue m’excita plus que tout. Le plaisir fut plus intense encore lorsque je sentis celle-ci faire glisser mon gland tendre et sensible sur la vulve ouverte de ma chérie. Je sentis alors toute la moiteur de celle-ci. D’un coup de rein, je m’introduis en elle, écartant et remplissant ses chairs jusqu’à la moitié de mon sexe et nous faisant gémir au passage. Mon chibre semblait démesurément gros face au petit cul de cette petite pétasse de lycée. La main de son amie qu’en cachait pas la moitié, sans parvenir à en faire le tour. Je rentrai alors plus profondément en elle, saisissant ma chérie par ses jolies fesses que j’écartai le plus possible. Avoir la rondelle ainsi offerte l’excitait plus que tout, je le savais. Je ne tardai pas à lui remplir la chatte de tout mon sexe, pour sentir enfin ses fesses de rêve s’écraser et claquer contre mon bas ventre. Les premiers temps crispée, Aurélie se laissa ensuite s’empaler sans résistance, généreusement sur mon gros pieux. Ses jolis seins durs tanguaient au rythme de mes pénétrations qui lui remplissaient la chatte et faisait fondre mon gland dans la chaleur humide et serrée de son corps. Emilie regardait mon chibre entrer dans la chatte de son amie tout en me caressant les boules qu’elle sentait bien pleines. Le cul de ma chérie me rendait dingue. Lisse et ferme… et cette bonne minette serrée qui faisait fondre ma belle queue sur place.

Emilie retira une bite luisante de mouille de la chatte de son amie, qui ainsi bien ouverte, lui permis de la goûter à pleine langue et exciter son clito du bout des doigts. Je regardais la langue coquine d’Emilie dessiner des vagues pour exciter la minette de ma chérie. Un spectacle ultra excitant tant le plaisir dégagé par ces coups de langue précis était important. Emilie était silencieuse, ne disait rien, mais était drôlement efficace. Je n’avais plus qu’une seule envie : bénéficier moi aussi de cette langue experte et me faire enfourner le gland baveux dans sa bouche. Mais il devait y avoir une sorte de non-dit. Emilie n’en fit rien, attachée simplement au plaisir de sa meilleure amie. Je me masturbais donc en regardant Emilie lécher généreusement la chatte humide et bien ouverte d’Aurélie, avant que je ne me représente pour l’empaler à nouveau. Cette fois-ci, Emilie se mit à me lécher les boules. Quel pied ! Ainsi excité, je remplissais la chatte de ma belle chérie plus que jamais, mon gros gland percutant le fond de sa chatte à chaque pénétration. De son côté, je ne l’avais jamais vue mouiller de la sorte. Deux personnes pour les soins de sa petite chatte semblait être un excellent compromis !

Emilie finit par sortir ma grosse queue luisante de mouille de son gré. La prenant sans sa petite main et me la caressant lentement, elle me regarda. Elle se remit aussitôt à lécher et caresser la chatte d’Aurélie, toujours avec cette même douceur adolescente, et, faisant gémir celle-ci de plus en fort plus fort, Emilie finit par la conduire à l’orgasme. Les gémissements de ma chérie qui avait ainsi le cul et la minette offerts à son amie me rendaient dingue. Je bandais comme un âne… Moi aussi je voulais ma part !

Aussitôt son orgasme achevé et dégusté, Emilie se releva. Les deux chéries se firent face et se caressèrent les seins.

Aurélie dézippa le short en jean d’Emilie, qui, ne pouvant visiblement plus résister, plongea elle-même sa main dans sa petite culotte pour enfin contenter sa minette. Toutes deux me regardèrent… Aurélie prit la parole :

- Alors ma belle… Tu te sens prête à accueillir la queue de mon homme en toi ?

- Ouiii !

- Elle ne sera pas trop grosse ?

- Noon !

Aurélie plongea sa main dans la culotte de son amie pour vérifier. Elle lui ôta alors son short en s’accroupissant et faisant asseoir celle-ci sur une chaise. Un pied par terre, l’autre sur le tabouret, Emilie se retrouva à écarter les cuisses devant nous, avec ma belle Aurélie accroupie entre celles-ci. Elle mit le string d’Emilie sur le côté de sa chatte et se mit à la lui caresser en dessinant des cercles dessus. Emilie arborait un pubis simplement orné d’un « i » de petits poils raz, et bien sûr comme toutes ces ados qui aiment être comme les grandes : une chatte parfaitement lisse et dépourvue de poils. Aurélie se mit à caresser la chatte de son amie en me regardant, léchant ses babines pour m’exciter plus encore, avant d’enfourner deux doigts, les charger de salive et exciter la vulve de son amie. Les petites lèvres de celle-ci se mirent à gonfler d’excitation en un instant. J’en restai impressionné ! On était passé d’un petite chatte d’ado à celle d’une femme en chaleur en l’espace de quelques secondes. Aurélie se mit à lui lécher et aspirer avec sa bouche. Les cliquetis humides témoignaient du plaisir extrême que prenait la fausse prude Emilie. Le piercing à la langue d’Aurélie fit un sacré travail : Emilie gémissait et était maintenant rouge comme une pivoine à sentir ce morceau de métal poli cliqueter sur son fragile clito.

Je me masturbais à pleine main en les regardant. Avoir une fille lui léchant la chatte comme jamais et son homme paluchant son dard tendu et épais devant elle excitait Emilie incroyablement. Un mélange d’excitation, de honte et de pudeur volant en éclats. Pour moi, c’était le sommet de l’excitation : deux jeunes filles pour moi, offertes comme jamais et la minette en feu. Et pour ça, Aurélie savait y faire auprès de son ami…

Si bien qu’Aurélie se saisit de mon sexe qu’elle se mit à caresser, tirant fort sur le manche pour bien me durcir et tournant la tête vers son amie en chaleur totale, lui indiqua :

- Vas-y Emi ! Suce mon mec !

Je m’approchai d’elle. Aurélie me tenait les boules. Emi pencha sa tête et m’enfourna le gland d’une seule traite. Je sentis une vague de chaud m’envahir, et surtout mon gland en fusion fondre littéralement sur place. Emise mit à me sucer le bout du sexe en me regardant et en gémissant. Je vis mon glmand tendre sa joue de m’intérieur, sa langue glisser et exciter mon frein ; et enfin, Emi faire tournoyer sa langue autour de mon bonbon d’amour. Je bandais plus fort que jamais. Mon sexe était dur et épais. Aurélie, se saisissant de nouveau de ma barre et chair dure, se mit à caresser les tétons tous durs de son amie avec mon gland ainsi luisant de salive et de mouille. Puis, lentement, elle m’invita à descendre, faisant glisser mon sexe le long du ventre d’Emi.

Aurélie, tenant mon manche, se mit alors à exciter la minette de son amie en faisant plisser ses chiars humides en y faisant glisser mon gland. Le pied pour nous deux. Aurélie nous fit gémir tous les deux comme des malheureux. Les petites lèvres chaudes et charnues d’Emi étaient le pied total pour mon frein. Il fallut peu de temps pour que le clito d’Emi gonfle à exploser. Puis Aurélie descendit mon sexe, le mettant à la perpendiculaire de la minette d’Emi. Aurélie leva les yeux vers moi. C’était le signal. D’un premier coup de rein, je sentis mon gland écarter les lèvres de la minette d’Emi. Je me sentis glisser en elle, lentement. Une chatte très serrée. Sentant le premier tiers de mon sexe glisser en elle et écarteler sa minette, Emi passa de petits gémissements à un profond râle de plaisir. Enfin prise. Je me mis à bouger en elle, toujours avec ce premier tiers et mon gland gonflé d’excitation comme jamais qui faisait tant gémir Emi de plaisir. Aurélie, accroupie, lui caressait le clitoris. Elle me demanda alors de m’enfoncer plus profondément en Emi. Appuyant plus fortement mon coup de rein, je vis entrer mon chibre plus loin dans cette chatte serrée et humide. Lentement, doucement. Emi grimaça un instant avant de fondre à la sensation de sa minette si généreusement et doucement occupée. C’était la première fois pour elle qu’un homme s’introduisait aussi loin en elle. Emi regardait ma queue glisser et entrer en elle. Aurélie de même. Nos sexes étaient l’objet de toutes les attentions. Je me sentais divinement serré dans cette chatte. La pointe des seins d’Emi se mit soudain à darder. Elle me regarda avec une sorte de panique dans les yeux, ses traits se crispant d’un plaisir intense. Aurélie concentrait ses caresses sur son clitoris, qui gonflait à vue d’œil. Aurélie me demanda de me retirer un peu, de façon à ne garder que mon gland en Emi. Les caresses divines d’Aurélie alliées à mon sexe allant et venant en Emi finirent à par la faire jouir. Celle-ci se cambra et je sentis son vagin se contracter, pris de spasmes.

Une fois son orgasme terminé, Aurélie fit lever Emi de sa chaise. Elles s’emballèrent à langues déployées devant moi, comme pour se remercier. Aurélie me masturbait tout en même temps. J’avais la bite en feu ! Un vrai brasier. Aurélie s’en doutait à sentir dans sa main à quel point je mouillais.

C’est à cet instant que je remarquai qu’Emi avait encore son string… Aurélie, baissant les yeux sur ma queue bien raide, dit alors à Emi :

- Maintenant que tu as joui, c’est au tour de mon homme ! On fait comme on a dit ?

- Oui.

Un petit oui de la part d’Emi. Non un oui de refus, mais un oui marquant à quel point elle planait dans les cimes du plaisir. Et là, j’hallucinai. Alors qu’Aurélie tendait le string d’Emi sur le côté de sa fesse droite, Emi se mit en position, agenouillée sur la chaise, genoux serrés l’un contre l’autre et surtout son cul de rêve généreusement offert en arrière.

- Elle ne s’est jamais faite prendre en levrette… dit Aurélie à voix haute, poursuivant :

- Il faut bien qu’elle sache ce que c’est ! Surtout que c’est ton truc chéri !

Oui. J’hallucinais ! C’était au-delà du cadeau ce qui se passait là devant mes yeux ! En plus, c’est à cet instant que je découvris pour la première fois le cul d’Emi et à quel point il était beau et excitant ! Bordel de merde ! Quel pied !

Aurélie baissa le string d’Emi jusqu’à la pliure de ses genoux, renforçant le côté : prise au piège, prise de force, le cul bien offert et écarté. Curieusement, je pouvais lire une certaine excitation de la part d’Emi à être prise de la sorte. Son fantasme caché ? SI chaude, qu’elle ne tarda pas à porter ses doigts à sa belle chatte pour en sentir toute la moiteur. Aurélie me demanda d’approcher.

- Cale ta queue entre ses fesses.

A la sensation de mes vingt centimètres de chair dure calés entre ses fesses rondes et lisses, l’excitation d’EMi monta d’un cran. Elle monta plus encore lorsque Aurélie se saisit de ma queue d’une main et écarta la fesse droite d’Emi de l’autre, mettant à jour sa jolie chatte et sa petite rondelle. Aurélie me dit alors :

- Vas-y, entre en elle.

En calant cette fois-ci mon gland entre les lèvres de sa chatte, qui finirent par céder au poids de mon corps et du long coup de rein qui suivit. Il fit littéralement exploser Emi au travers d’un long gémissement de plaisir, presque une délivrance. Elle sentit toute ma queue entrer en elle. Je sentis ses fesses rondes s’écraser contre mon bas ventre. Mon dieu quel cul ! Plus rondelet que celui d’Aurélie. Cette dernière ré-écarta les fesses de sa coquine d’ami pour regarder ma grosse bite s’enfoncer en elle et tirer sur les chairs de la fente lorsque mon gros chibre en ressortait. Emilie, appuyée contre le bar, avait les genoux serrées l’un contre l’autre la contraignant à garder les cuisses serrées, et avait enfin les pieds montés vers le ciel. Elle était vraiment offerte comme une petite pucelle prenant sa première levrette. Curieusement, le fait d’être prise ainsi semblait l’exciter deux ou trois fois plus qu’être prise en missionnaire. Il faut dire qu’elle devait mieux me sentir en elle et la remplir, prise de la sorte. Je saisissais ses fesses de rêve tout en la pilonnant langoureusement de mon calibre. Aurélie, la tête dans le cul de son amie, suivait les opérations de près. Elle n’hésitait pas à retirer mon sexe puissant de la chatte d’Emi pour la lui caresser avec mon gland, avant de la réintroduire en elle. Ces petites pauses avaient pour effet de faire gémir Emi chaque fois plus fort lorsqu’elle me sentait de nouveau entrer en elle et l’occuper totalement, écartelant sa jolie petite chatte d’amour.

Sa chatte serrée et ses fesses de rêve s’écrasant contre moi me rendait fou, plus dur et plus gros que jamais. Aurélie en était toute excitée d’assister à un tel spectacle. Je me mis à accélérer le rythme, car je sentais que j’allais bientôt éjaculer. Je n’en pouvais plus de cette chatte et de ce cul de rêve. Emi, offerte comme une pucelle, en prenait plein la chatte. Elle dû me sentir durcir plus encore ou gonfler car elle se retourna tout en se caressant les seins pour me regarder et lire sur mon visage mes traits marquant une éjaculation toute proche. Je me mis dès lors à aller et venir en elle en restant profondément en elle. Emi sentit ma queue grossir, grossir et grossir encore, jusqu’à l’explosion finale, accompagnée de mes râles de jouissance. Sentant soudain ce sperme brûlant gicler et inonder ses entrailles, Emi s’effondra, les muscles de son corps se relâchant et par la même occasion me faisant m’empaler au plus profond d’elle. Ainsi calé, je me mis à me vider comme jamais. Un torrent de sperme.

Une fois l’éjaculation terminée, je restai un moment en elle, en profitant pour caresser ses seins durcis de plaisir. Aurélie prit ensuite le contrôle des opérations et retira mon sexe encore dur et gonflé avec précaution. Un flot de sperme coula de la chatte d’Emi. Aurélie caressa sa vulve avec mon gland, étalant mon sperme sur celle-ci.

Ce fut là l’un des plus grands plaisirs rencontrés… la douce rencontre de la candeur et des joies intenses du sexe.

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Merci Asmoth!

encore un texte bien sympa!

J'ai pensé à toi l'autre jour, c'était ta fête!

Bonne journée!

Serpentine :police:

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Guest sylphide

Tres tres bon texte, un reel plaisir à imaginer :wink: :police:

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