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Guest Sexapile33

Chute de roller (histoire très longue !!!)

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Guest Sexapile33

CHUTE DE ROLLER

La journée est chaude avec un soleil magnifique. Seul après une semaine de boulot, je vais bien. Je me sens libre. Mon objectif est clair. Mon esprit est occupé à ce que je fais.

Je lance mon pied à droite en appuyant sur le talon et j’entend le bruit des roulettes qui accrochent le bitume pour me propulser. Le pied gauche en l’air et je sens presque l’accélération produite par la poussée. Un basculement du poids du corps de l’autre côté pour équilibrer ma position et ne pas finir en vrac… voilà qui est fait. Ensuite, un changement de quart et le début de ce que je crois avoir compris de la double poussée. Le pied gauche se pose et la poussée reprend de l’autre côté. A chaque geste, mon esprit tourne à plein régime pour tenter de comprendre comment faire tout ça en étant à l’aise. Je sens bien que le geste est malhabile, que la position est de guingois et que je suis toujours à la limite de me vautrer. Je cherche mes repères afin que je puisse faire du roller sans avoir l’air d’un pauvre bougre gesticulant dans tous les sens pour éviter la chute.

Moi, c’est Pascal. Un mec des plus ordinaires avec une vie rangée dans les habitudes qui permettent à chacun de se sentir protégé. J’ai 41 ans et je vis seul dans une nouvelle région, loin de ma famille et de mes problèmes. Après un divorce qui m’a séparé de mes deux enfants, j’ai quitté mon boulot et ma région montagneuse pour refaire ma vie loin de tout ce qui me rattachait à une période que j’avais idéalisée.

Depuis 2 ans dans cette nouvelle région, je me suis adapté doucement en changeant aussi le sport principal me permettant de me sortir de mes soucis. Vu le plat pays où j’habite maintenant, il était difficile de continuer l’escalade ! Une promenade en ville m’a permis de découvrir le roller en regardant des gens de tous âges se promener autour de moi. J’avais pris ma décision et je m’étais mis à ce sport. Après des débuts chaotiques et douloureux, j’arrivais maintenant à me débrouiller.

Pour finir ma description, je fais 1m78 pour 72kg et… allez… on va dire que je suis un beau mec ! Sans rire, je ne suis pas le genre de type qui fait se retourner les femmes mais je ne les fais pas fuir non plus. En règle générale, j’adore les femmes mais elles m’impressionnent et j’ai du mal à les regarder dans les yeux de peur qu’elles découvrent que le fond de mon être, vers les hanches si vous voyez de où je parle, n’a qu’une envie… Bref, je suis timide ! Je déconne souvent pour cacher cette timidité et cela fait de moi le rigolo de service avec les blagues à deux balles et les gaffes dont je suis un fervent serviteur. Quand je me vois agir avec les femmes, je me demande comment j’ai pu en trouver pour faire l’amour, me marier et faire des enfants. Soit j’ai une bonne étoile qui met sur ma route des femmes sur mesure pour moi, soit un contrat est passé avec elles, dans mon dos, pour que j’ai moi aussi le plaisir de vivre la passion. Allez savoir ce que qui se joue dans l’univers !

Me voici donc, sur la piste cyclable, en plein recherche de vitesse, de stabilité et d’équilibre. Au loin, un tournant à gauche assez raide se profil. Aucun problème pour moi car je maîtrise bien le croisé des rollers dans ce sens. Le soleil chauffe sur cette ligne droite légèrement en pente. La vitesse est bonne et le revêtement me permet d’être confiant sans craindre les gravillons. La largeur de la piste me permet de grands gestes pour prendre la vitesse à mon maximum. Le bord de la piste est une suite d’herbes avec quelques ronces. Rien de bien méchant et en cas de besoin, je peux rouler dans l’herbe pour échapper à une perte d’équilibre. J’évite de penser à la chute sinon, autant s’arrêter et rentrer à pied.

Jusqu’à présent, j’ai croisé une dizaine de personnes et à chaque fois, c’est avec le sourire qu’un petit « Bonjour » est échangé. J’espère que les gens pensent de moi « Regarde comme il est fort avec ses rollers ! » mais j’ai aussi l’impression qu’ils s’arrêtent pour me regarder m’éloigner en se disant « Il ne va pas tarder à tomber ! » tellement j’ai du mal à trouver les gestes fluides.

Le tournant arrive. Je regarde derrière moi et il n’y a personne. Je vais pouvoir prendre mes aises pour tourner sans risque de gêner quelqu’un ou d’être gêné. L’approche du tournant se précise et toujours personne en vue devant. En me dirigeant vers la droite de la piste cyclable, je tente d’appréhender correctement le tournant. Je ne vois rien de ce qu’il y aura en face après le tournant car les arbres me cachent la vue. Quoi qu’il en soit, il n’y a pas de problème et j’aurai tout le loisir pour éviter les personnes qui arriveront. Je me penche en avant pour avoir la position que j’estime être la bonne pour la vitesse. Le pied droit sur le bord de la piste et une poussée forte et courte. Le pied gauche porte la force et je me penche dans le tournant. L’accélération commence à se sentir et trois croisés sont nécessaire pour compléter le tournant. La vitesse est superbe et je n’ai eu aucun problème pour le croisé. J’ai vraiment l’impression d’être dans la peau d’un coureur en pleine possession de ses capacités de sportif.

Le passage de la pleine lumière à la pénombre douce du sous-bois me perturbe un peu mais ce n’est rien avec ce que j’aperçois juste en relevant ma tête pour continuer ma course.

La piste cyclable est bloquée ! barrée ! encombrée ! En une fraction de seconde, mon esprit analyse et trouve la solution… Il n’y en a pas !

Le plaisir d’avoir pris de la vitesse durant le tournant s’évanoui. La joie d’être seul sur cette piste change en désarroi et en peur. D’une façon radical, j’étais confronté à une situation que j’avais tenté de nombreuse fois à éviter de penser.

Mon regard prend une photo de la situation avec le ruban d’asphalte continu qui part au loin. Sur les côtés, la forêt a pris possession de l’herbe pour n’être que ronce et arbustes en vrac.

L’échappatoire que j’avais possible avant le tournant n’est que souvenir. L’herbe est rare et l’espace entre la piste et les obstacles est bien trop court pour me permettre une échappatoire.

Ma vitesse ne me permet pas de m’arrêter rapidement dans le peu de distance qui me reste avant l’impact. J’ai à peine 10 mètres avant de rencontrer ce qui vient à ma rencontre.

Une rencontre de rêve dans d’autres circonstances. Trois vélos roulant de front prenaient toute la largeur de la piste. Sur les vélos, trois beautés, avec elles aussi, la terreur de la rencontre assurée entre tous les protagonistes de cette situation. Bien que mon regard et mon esprit étaient occupés à chercher une solution, j’avais repéré les filles qui chevauchaient les vélos. Toutes les trois étaient penchées sur les guidons et offraient des décolletés magnifiques. Les cheveux au vent, les robes voletantes comme des auréoles de couleurs autour d’elles, elles étaient superbes. Aucune n’eut la présence d’esprit de freiner et de me laisser une place pour passer. Etait-ce possible ?

Voyant l’accident imminent, l’une des filles cria et ce cri me sorti de ma torpeur.

A gauche de la piste cyclable, un fossé avec quelques troncs en vrac et les ronces pour l’habillage. Une chute dans cet environnement aurait des conséquences fâcheuses avec la certitude de me manger un tronc et de me casser quelque chose. A droite, des ronces et des ronces et des ronces… Peut-être un truc piquant dans tout ça mais pas d’obstacle dur visible dans tout ça ! Une seule solution à ma porté.

La distance devenant vraiment critique, l’action prit la place à la réflexion. Je plis les genoux et met tout mon poids sur les quarts pour casser mon élan et foncer à droite. Juste avant de quitter la piste, je me retourne et commence à me faire griffer sur le bras. Le reste fut estompé par l’adrénaline qui me permis de supporter les griffures à répétition. La souplesse des ronces et des quelques arbustes me freina sans peine. Ma vitesse de pénétration dans ce fatras épineux causa un joli trou me permettant de m’écraser lourdement dedans.

Sur le coup, quand enfin la chute fut terminée, je restais immobile pour attendre que tout soit terminé. Evidemment, tout était déjà terminé au sens brute de la chute en elle même mais j’avais besoin d’un certain temps pour que mon corps reprennent ses repères, pour que mon esprit reprenne contact avec la situation présente.

Les bruits alentours n’existaient plus et tout mon corps étaient en analyse pour, en partie revoir la situation et critiquer le choix fait, et pour faire le tour des organes et tenter de déceler les cassures éventuelles. Combien de temps dans cet état ? Je n’en sais rien mais, petit à petit, le son revint comme dans un rêve, puis la douleur commença à se faire sentir. Dans une chute où la peur est présente, il y a ce côté grisant de l’adrénaline qui fait oublier les risques et la douleur pendant l’action. Et puis, il y a aussi l’après… quand l’adrénaline n’a plus d’effet et qu’il ne reste que les plaies et la peur rétroactive… Et bien j’attaquais la deuxième phase…

J’étais incrusté dans les ronces ! Chaque tentative de mouvement était stoppée par les crochets qui me retenaient à la verdure. J’entendais des voix qui m’appelaient. Je peux le dire maintenant mais, sur le moment, j’étais un peu occupé par la douleur qui arrivait de toutes les zones de mon corps, il y avait une certaine inquiétude dans les voix. J’entendais des piétinements autour de moi et de temps en temps, une ronce se tendait et en profitait pour enfoncer un peu plus ses épines dans ma peau. J’ouvrais les yeux doucement et je vis le soleil en pleine face. Je clignais des yeux et faisais aussitôt l’analyse de ma situation. J’étais sur le dos, empalé, accroché, écartelé sur une multitude d’épines de ronce. Rien en face de moi, pas une seule branche. Je pouvais donc, en toute relativité, me redresser et me sortir de cette situation… épineuse.

Soudain, une ronce fut tirée d’un coup et me lacéra le bras. Sans me contrôler, un « Merde ! » sorti de ma bouche pour bien faire comprendre que celui qui avait fait ce genre de connerie m’avait fait mal. En réponse, une ombre se pencha sur moi en me disant avec une voix super douce :

- « Excusez-moi…ça va ? »

Trouvant la question complètement idiote vue ma position, emmêlé dans les ronces avec sûrement les fringues déchirés et des blessures partout, ma réponse fut immédiate mais assez détachée :

- « Ben.. ça pique un peu ! »

Ma rétine s’habitua à la luminosité et l’ombre prit forme doucement. Je devais avoir reçu un drôle de coup car j’avais devant moi un visage féminin magnifique.

Une chevelure brune encadrait un visage souriant. L’ensemble du visage était fin, allant du nez, de la bouche, des pommettes et des yeux plissés d’inquiétude comportant aussi une extrême douceur. Elle me parla encore :

- « Je crois que j’ai ajouté une blessure à celles existantes ! ».

- « Je crois aussi ! »

- « Vous pouvez bouger ? »

- « Attendez un peu… »

J’avais la quasi certitude de n’avoir rien de cassé mais je commençais à être inquiet sur mon état. Je voulais sortir de cette … merde et pouvoir faire un bilan exact. Pour passer par dessus la douleur, il était impératif de prendre la situation avec humour sinon j’allais devenir une teigne et maudire, insulter et libérer toute la colère de me retrouver comme ça. En décidant de sortir de mon piège, je répondis :

- « Je crois que ça va aller mais ça va encore piquer un peu avant que je retrouve la piste ! »

- « On est désolées ! »

En riant, je répondis :

- « C’était un plaisir ! »

Elle resta un instant stupéfaite et sans lui laisser le temps de répondre, je lui demandais :

- « Sans m’arracher trop de peau, vous pouvez me dégager le bras s’il vous plait ».

- « Oui, bien sûr »

Immédiatement, avec brusquerie, elle tira sur une tige qui me bloquait et les épines s’enfoncèrent de suite dans ma peau. Pour qu’elle évite de me faire mal, je lui demandais encore :

- « S’il vous plait, arrêter de m’arracher la peau et faite doucement… Quand je dis que ça pique, c’est pas uniquement pour faire rire ! »

- « Oh, je suis désolée ! »

Gentille fille mais un peu gauche ! Intérieurement, je me moquais d’elle en espérant qu’elle ne soit pas infirmière ou docteur sinon, la mortalité chez les malades allaient grimper en flèche !

Après quelques douleurs, mon bras fut libéré et je pus doucement libéré mon autre bras. Impressionnant comment j’étais enchevêtré dans cette nature hostile.

La jeune fille parla avec les autres, qui devaient être au bord de la piste, pour leur indiquer que j’allais bien. Personnellement, c’est pas vraiment comme ça que je concevais le terme « aller bien ! ».

Pour me redresser, la seule solution fut de tirer sur les ronces. Aie !

Je pus regarder l’étendu des dégâts. J’avais parcouru bien 5 mètres depuis le bord de la piste et j’avais fait un trou en emportant toutes les tiges de ronces sur une grande largeur. En voyant ça, je ne pouvais qu’être impressionné :

- « Vache ! quand je débroussaille, c’est pas pour rire ! »

- « Vous le prenez assez bien ? »

Que dire à cette question ? J’étais en vrac et je ne pouvais pas revenir en arrière. La seule solution pour moi de me sortir de cette situation était de voir les choses avec un regard positif et humoristique. Ca ne retirait rien de la douleur qui s’éveillait partout sur ma peau mais ça m’aidait à accepter la situation. En regardant mes jambes en sang, je vis que la jeune fille avait aussi ses jambes griffées avec quelques perles de sang.

- « Vous vous êtes blessée aussi. Vous devriez retourner sur la piste et vous occuper de vous. »

- « C’est vous en premier et il n’y a pas à discuter ! »

Ouah ! Elle avait du caractère cette nana !

Avec pas mal d’effort et de patience, nous avons réussi à sortir de ce fatras de végétation en nous aidant mutuellement. Nous nous tenions par la main pour nous assister à tour de rôle. Avez-vous essayé de marcher dans des ronces avec des rollers ? Et bien… n’essayez pas… ce n’est pas pratique du tout !

Arrivé sur le bord de la piste, j’étais l’attention de toutes les nanas et pendant un moment, chacune me tournait autour pour retirer les épines encore en place. L’une d’elle pleurait en disant des « Mon dieu ! Mon dieu ! » et, de temps en temps, elle me retirait une épine. Pour vous donner une idée de ma pensée du moment, c’était un peu comme si les gens de votre entourage vous tournaient autour et vous faisaient péter les boutons noirs qu’ils avaient le bonheur de trouver ! Pas cool comme image mais c’était comme ça que je voyais la chose.

Perso, mon bilan était beaucoup plus simple : J’étais en sang !

Les trois nanas qui me tournaient autour ne me procurait aucun plaisir particulier. C’est un peu faux car quand j’avais une des filles qui se penchait pour s’occuper de moi, j’avais du mal à ne pas loucher sur le décolleté. Deux belles courbes retenues pas un soutien gorge en genre de tulle. La bordure en dentelle remontant sur les bretelles laissait deviner un vêtement de belle qualité. Magnifique vision mais les épines avaient un peu retiré l’énergie de mon esprit voyeur et stoppé toute idée liée au sexe. La douleur s’estompait doucement pour devenir une chaleur accompagnatrice et une brûlure continue.

La brune qui était venue à ma recherche me demanda si je pouvais les accompagner chez elle. Elle était infirmière et pourrait me donner les premiers soins. Ok ! donc, celle qui avait fini de ma lacérer était infirmière et voulait sûrement me finir à la hache chez elle !

Je commençais à vouloir plutôt me retirer chez moi et prendre une douche (qui allait faire mal !).

Je n’eus pas beaucoup de choix car elles étaient trois à se sentir coupable de ma chute et j’étais obligé de les suivre. Je devais rester sous surveillance suite à la chute et tout un lot d’excuses plus ou moins valables arrivèrent pour étayer leur idée. Je devais bouger doucement. Je devais être soigné. Bref, je n’avais pas le choix de les suivre.

Les filles reprirent les vélos et elles m’encadrèrent pendant que j’avançais avec difficulté. J’avais perdu de mon assurance et chaque mouvement réveillait les douleurs des griffures. La jeune fille qui m’avait aidé à me sortir des ronces s’appelait Louise. Elle était infirmière à son compte et tenait absolument à me soigner. Une autre jeune fille, châtain avec une robe volante au vent, s’appelait Elise et était étudiante en droit. La dernière, celle qui avait pleuré pendant qu’elles me retiraient les épines, s’appelait Marielle et était ingénieur chimiste. Elles s’étaient présentées à moi sans que je ne demande quoi que ce soit. Louise habitait dans une résidence et mon arrivé ne fut pas très discrète avec mes habits en sang et avec mes rollers.

En bas des escaliers de la résidence, je retirais mes rollers sous la surveillance de Louise qui m’aida. Elise et Marielle étaient parties ranger les vélos dans le local prévu. Louise s’accroupi en face de moi et s’occupa de mes fermetures en retirant encore quelques souvenirs de ma chute. Sa position en face de moi me donnait une vue vraiment plongeante sur sa poitrine et, n’étant pas le moment pour moi de penser au sexe, je le lui dis :

- « Excusez-moi mais je préfère me débrouiller seul. Votre position devant moi me fait perdre la tête ! »

- « Quoi ? » dit-elle en me regardant dans les yeux sans se rendre compte du sens de ma question.

- « Ben… » en lui montrant d’un mouvement de la tête son décolleté.

Elle se pencha pour regarder elle même puis me regarda encore dans les yeux en me répondant :

- « Prenez ça comme un réconfortant et profitez de la vue ! » et elle continua à défaire les fixations de mon roller.

Au lieu de la mater et profiter de la situation, je préférais la laisser faire et regarder ailleurs. Il n’était pas question de profiter d’une personne qui avait tout l’air de vouloir m’aider sans rien demander. Louise s’occupa de mes rollers et, en faisant gaffe de ne pas la regarder, je finissais par retirer mes pieds, seuls éléments de mon corps intacts.

Les filles nous rejoignirent dans les escaliers pendant que nous atteignions l’étage de Louise. Louise me fit entrer dans le logement et m’indiqua la salle de bain pour que je me lave. La salle de bain était toute petite avec une cabine de douche, un lavabo. Un étendage restait en place au haut d’un placard avec quelques dessous féminins à sécher. Il n’y avait pas que ça, mais ce sont les vêtements qui attirèrent mon regard. Louise s’affairait pour me sortir une serviette et un gant. Elle me montra le savon a utiliser et me fit mille conseils pour faire ma toilette. Elle me proposa de m’aider en cas de besoin. Je me mis à rire et lui dis simplement qu’il était peut-être préférable d’en rester au décolleté. Avec le plus grand sérieux, elle me dit que c’était moi qui voyait mais que je ne devais pas hésiter. Sans me laisser le loisir de répondre, elle me demanda de l’appeler quand j’aurais fini. Elle ferma la porte et me laissa seul dans la pièce.

Seul dans la salle de bain d’une inconnue. Coincé entre la curiosité, les fantasmes et le but de ma présence ici, je commençais par me demander si je devais fermer la porte à clef. La réponse fut toute trouvée car la serrure de la salle de bain ne comportait pas de clef, donc, porte ouverte ! Ensuite, la curiosité sur les sous-vêtement de Louise. J’attrapais une bretelle de soutif et décortiquait l’étiquette. 90B en taille européenne. Ouah ! j’adore et la vue que j’en ai eu pour le moment me donnait une petite érection sympathique. Quelle nana ! Je me déshabillais doucement en prenant conscience de mes blessures. Tous mes fringues étaient rouges de sang et déchirés. Même mon slip avaient subi !

Nu, je rentrais dans la douche quand la voix de Louise me fit sursauter :

- « Ca va ? »

- « Oui, je constate les dégâts ! »

- « Si vous voulez un coup de main, n’hésitez pas ! »

- « … » non, je préférais me taire.

Comment vous décrire la subtilité des ressentis de l’eau sur les blessures ? Comment vous décrire la chaleur se transformer en brûlures sur chaque piqûre et chaque griffure. Un délice pour ceux qui adorent le sado-maso mais pas pour moi. En bref, j’en ai chier grave dans cette cabine de douche. Le savon, contrairement à ce que je m’attendais ne me piqua pas autant que ce que j’aurais cru. De temps en temps, je sentais encore une épine sur la peau et je travaillais pour les retirer.

En sortant de la cabine de douche, je me sentais vraiment à plat. J’avais un gros coup de pompe et n’aspirais qu’à me poser et me reposer. Si j’avais été chez moi, je me serais couché directement pour me remettre de mes émotions.

Pour le moment, je devais faire encore bonne figure.

Séché, je pris mon slip mais, en le regardant, déchiré et ensanglanté, j’avais un doute sur son utilité. Après un moment, je pris la décision de demander à Louise si elle avait, par hasard, des fringues à me prêter. J’appelais Louise à travers la porte de la salle de bain. N’ayant aucune réponse, j’ouvrais doucement la porte et j’appelais Louise. Elle arriva avec, sur ses traces, Elise et Marielle. Nu comme un ver, je ne montrais que ma tête pour poser ma question qui déclencha quelques rires nerveux. Louise fit taire les bonnes copines et me demanda si elle pouvait entrer.

Je mis la serviette autour de la taille et elle entra en refermant la porte. Aussitôt qu’elle porta le regard sur moi, elle s’exclama :

- « Et bien, il y a pas mal de boulot pour réparer tout ça ! »

Elle ouvrit une porte de placard et sortit quelques produits. Je la laissais faire, un peu bête avec ma serviette autour de la taille dans ce petit réduit. Je voyais bien qu’elle était embêtée et elle finit par dire :

- « Je veux vous mettre une crème pour que les griffures se cicatrisent plus vite mais il n’y a pas de place ici. Attendez, je reviens »

Elle sortit de la salle de bain.

En dehors, j’entendis Louise mettre à la porte ses copines. Aussitôt que son appartement fut libre, elle ouvrit en grand la porte de la salle de bain et me dit que nous étions seuls. Elle m’invita à venir m’allonger sur le canapé pour qu’elle me mette de la pommade partout. Voyant sûrement ma gêne, elle me dit :

- « Ne vous inquiétez pas ! Avec mon métier, j’en vois de toutes les couleurs chaque jour et vous n’avez pas à être gêné. »

- « Ok mais je n’ai pas l’habitude ! »

- « Arrêtez un peu votre cirque et venez vous allonger »

- « Je n’ai pas pour habitude de me mettre à poil devant une inconnue ! »

- « Ca ne vous a pas gêné de mater mes seins tout à l’heure… Ok ! alors maintenant, hop ! à poil, sur le ventre… »

- « Evidemment, si vous le prenez ainsi… »

Louise avait fait un clin d’œil en disant sa petite remarque. Elle était vraiment espiègle dans sa manière d’être.

Je m’allongeais sur son canapé, sur le ventre, avec toujours la serviette autour de la taille, Louise commença à traficoter dans ses produits. Elle s’attaqua à mes jambes en me demandant pourquoi je m’étais jeté dans les ronces. A sa question, je me demandais si elle me prenais pour un con ou quoi ?

- « Je ne crois pas que j’avais beaucoup de choix ! »

- « Vous auriez pu nous foncer dedans »

- « C’est mon côté ‘prince servant’ qui m’a poussé à me sacrifier »

- « Et bien, vous avez réussi à vous mettre dans un drôle d’état, mon ami ! »

- « Ce n’était pas le but de ma journée ! »

- « C’était pour vous rendre intéressant ou vous vouliez vivre une aventure ? »

- « Trois jolies filles en face de moi sur un chemin désert… ça vaut le début d’un bon bouquin Arlequin… »

- « ou un autre style de bouquin ! Vous êtes marié ? »

- « Dans une autre vie, je l’ai été. Maintenant, c’est plutôt calme comme vie, sauf quand je rencontre Louise et ses copines »

Elle rigola tout en me passant avec une extrême douceur la pommade sur mes jambes.

Le frottement de ses mains sur mes jambes endolories me donnait beaucoup de plaisir et j’avais du mal à contenir une érection. De plus, avec la conversation assez brute et directe de Louise, j’avais l’impression qu’elle m’allumait assez fortement. Mon esprit fourmillait d’images et de fantasmes mais je me refusais à les laisser prendre possession de la situation. Quand Louise allait terminer le travail sur les jambes, elle passerait sur le dos et ensuite… je devrais me retourner. Avec la trique que je commençais à avoir, ça allait devenir un peu encombrant et difficile à cacher.

Louise continua à se présenter et me raconta sa vie. Elle m’étonnait. Elle n’eut pas l’air de me cacher grand chose. A vrai dire, il n’y avait pas non plus grand chose à cacher ! Elle vivait seule et avait des copines… point ! Avec moi qui avait un travail et des copains… point ! on se ressemblait pas mal.

Je lui demandais comment une si jolie jeune femme pouvait être encore seule. Sa réponse fut plutôt flou et je sentais bien qu’il y avait un sujet à ne pas approfondir. Elle me redemanda mon prénom et me demanda si on pouvait se tutoyer. Pour rire, je lui disais que maintenant que j’étais presque nu sur son canapé, ça ne me semblait pas impossible. Elle rigola aussi de bon cœur. La discussion continua bercée par les massages de Louise. Après m’avoir soigné les griffures du cou, elle me demanda de me retourner.

Mince !

Mon sexe était toujours un peu congestionné et elle allait voir mon érection. Je préférais lui dire :

- « Euh… on peu attendre un peu parce que le massage me fait un peu d’effet non contrôlable. »

- « C’est pas grave, j’en vois d’autre… et puis, on se tutoie maintenant, ça donne des libertés ! »

- « Mouais ».

Je me retournais en gardant la serviette sur mes hanches et en faisant le maximum pour cacher la grosseur de mon sexe. La situation très embarrassante donnait à mon sexe encore plus de pouvoir pour devenir raide. Je m’excusais auprès de Louise qui fit mine de ne rien voir.

- « Allez, c’est presque fini » me dit-elle.

Elle recommença à me badigeonner de crème.

Petit à petit, mon sexe se dégonfla et Louise pu finir ses soins. En la voyant faire, je la regardais et je la trouvais vraiment très belle. Ma position ne me permettait pas de voir ses seins mais j’admirais son visage et je tentais de deviner ses courbes. Pas trop quand même sinon mon sexe allait encore donner des signes d’échauffement !

Quand elle termina par la griffure que j’avais au visage, elle me dit que c’était terminé. Au moment ou je m’asseyais, elle me demanda si j’avais aussi des plaies sur les fesses ou ailleurs. En riant, je lui dis que je pouvais me débrouiller tout seul pour ce côté là. Elle me fit de gros yeux et me demanda de lui montrer mes fesses. Avec le plus de sérieux, elle me dit :

- « Allez, si ça s’infecte, c’est la station debout pendant un bon moment »

- « Ok, mais je tiens à dire que ça me gène »

- « C’est même pas vrai ! Ca te plait mais tu ne veux pas l’avouer ! »

De nouveau allongé sur le ventre, Louise retira la serviette et me découvrit les fesses.

- « Ah quand même, c’est vachement atteint. Bouge pas, hein ! »

- « Non maîtresse ! »

Louise rigola et posa avec douceur sa pommade sur les différents endroits abîmés, donc, presque partout !

- « Tu es bel homme. Tu es sûr de vivre seul ? »

- « Et oui, depuis deux ans maintenant. »

Je soupirais parce que ça me portait un peu sur le moral et avoir, depuis tout ce temps les mains de Louise sur moi me montrait à quel point le contact d’une femme pouvait me manquer. Un petit changement s’était opéré dans les soins de Louise. J’avais l’impression qu’elle me pelotait les fesses avec de grandes caresses qui m’enveloppaient en partant des hanches. Pas désagréable mais en règle générale, c’est moi qui avait l’habitude de caresser le corps des femmes. Pour savoir ce qu’il se passait, sans pour autant vouloir l’arrêter, je demandais à Louise :

- « Et toi, ta solitude n’est pas trop dure ? »

- « …Je ne suis pas seule. J’ai mes copines, Elise et Marielle. »

- « Oui mais tu n’as pas de mec ? »

- « …Non, j’en ai pas besoin. »

A sentir comment elle me caressait, je me demandais si elle n’avais pas de réel besoin. De plus, ça me faisait un effet plutôt efficace. Mon sexe était raide comme la justice et j’avais envie qu’elle aille plus loin dans ses caresses. A moins que ce soit à moi de bouger mais si je bougeais, j’allais peut-être rompre le charme. Bienvenu dans ce monde de compromis où on a l’impression que chaque action peut faire capoter le chemin imaginaire qu’on se trace pour atteindre un but. Dans la situation où j’étais et pour profiter peut-être d’un avantage au vu des conversations engagées, je lui demandais :

- « Tu es très belle Louise. Je pense que les prétendants doivent se pendre à ta porte. »

- « Rien d’intéressant »

Doucement, je me mis sur le côté pour la regarder de face. Elle laissa une main sur ma hanche. Mon sexe était visible pour elle, dans toute sa grosseur et sa raideur. Elle garda son regard dans le miens, puis elle baissa ses yeux vers mon sexe pour aussitôt me regarder dans les yeux. Ses joues devinrent écarlates et elle dit, enfin, bafouilla plutôt :

- « Je… je… jamais avec … Argh ! merde !… je suis vierge ! »

Sans la quitter des yeux, je lui souris en lui répondant :

- « Il n’y a pas de honte… Tout le monde passe par là avant la première fois ! »

- « …Non…C’est pas cool… »

- « T’es une marante toi… Tu refuses une évidence ! Un jour, belle comme tu es, tu trouveras un mec pour te faire découvrir tous les plaisirs… tous les plaisirs à découvrir ! »

- « Bof, il n’y a pas un mec pouvant être à la hauteur ! »

- « Là…t’es dure ! »

- « Pourquoi ? Toi, par exemple, tu te crois capable de donner ce qu’une femme attend ? »

- « Oui et sans aucun problème ! J’ai eu trois femmes dans ma vie et j’ai pris le temps de les comprendre pour leurs apporter tous les plaisirs possibles. L’amour est un échange et si tu apprends à écouter l’autre, le sexe peut être la plus belle aventure qu’il soit. »

- « Pffft ! »

- « Tu es belle et jeune ! Tu trouveras un mec un jour et vous apprendrez à vous connaître et à vous aimer. »

- « Pourquoi t’as quitter tes femmes si tu leur donnais autant de plaisir ? »

- « Ah…ah…ah… Le sexe ne fait pas tout ! La première m’a permis de découvrir le plaisir, ou plutôt les plaisirs, puis j’ai du faire un choix pour une autre femme… c’est compliqué !

- « Mouais… »

- « La seconde était une vraie salope et elle n’a eu de cesse de m’emmerder que quand je me suis retrouvé ruiné. La troisième, c’est la fatigue de la vie de couple et deux familles pas toujours très drôles et toujours trop présentes. »

- « … »

- « Aucune ne m’a critiquer sur mes performances sexuelles. Pas sur mes prouesses masculines comme un sportif mais sur les plaisirs échangés. Je retrouverai une femme avec qui je pourrai de nouveau échanger tous les plaisirs possibles… Et toi aussi ! »

- « Peut-être… »

Toujours aussi écarlate, elle me fixait droit dans les yeux. J’avais l’impression qu’elle me sondait pour savoir ce qu’elle devait choisir, ce qu’elle devait faire. Sa main choisi pour elle à ma plus grande surprise.

Elle posa ses doigts fins sur mon sexe et les laissa courir sur la longueur jusqu’à mon gland. Le contact chaud de ses doigts me fit contracter encore plus le sexe. Louise posa ses yeux sur mon sexe avec moins de honte ou moins de peur. Sa respiration semblait courte et saccadée. Je me mis en position assise en face de Louise. Elle était assise sur les genoux à terre sur le côté du canapé. Mon sexe était droit dressé vers le plafond. Je me penchais vers Louise et lui posa les mains sur les épaules.

- « Je te remercie pour les soins. Si tu veux autre chose, je serais vraiment ravi et honoré de te le donner, mais ça se prépare et je préfère, même si j’en ai super envie, qu’on se connaisse un peu plus. »

- « Oui » dit-elle dans un souffle comme un le dernier soupir avant le trépas.

Louise s’approcha de quelques millimètres sans vraiment s’en apercevoir. Sa bouche s’entrouvrit et je m’approchais pour l’embrasser. Louise ouvrit sa bouche au moment où la mienne pris contact. Elle poussa un gémissement au moment où nos lèvres se touchèrent. Sans attendre le moindre signal, nos langues se trouvèrent et jouèrent ensemble. Louise s’approcha de moi entre mes jambes et vint se coller à moi. Ses bras m’enlacèrent et notre baiser fut magnifique.

Deux ans pour moi et une bonne vingtaine d’années pour elle et voilà le résultat. Un baiser effréné avec tout le désir sexuel qui déborde de tout le corps. Dans un élan de lucidité, j’avais préféré indiquer que le mieux serait d’attendre, bla, bla, bla mais maintenant, j’en avais rien à foutre et mon esprit du bas avait pris possession de ma vie. La seule envie que j’avais était simple, faire l’amour à Louise.

Tout en l’embrassant, mes mains cherchaient frénétiquement la fermeture de sa robe. Rien !

Pas une fermeture éclair, pas un bouton, le mystère total. Le stress commençait à monter et je me demandais si on avait construit la robe directement sur Louise pour qu’il n’y ait aucun système de fermeture. J’avais envie de lui arracher la robe tellement elle m’excitait. Louise dû sentir mon incapacité à comprendre les vêtements féminin car elle s’écarta et fit glisser la fermeture éclair de sa robe… ah ! il y en avait une mais sur le côté !

Louise se mit debout et retira sa robe pour se montrer en sous-vêtement. Elle était purement superbe. Elle vint vers moi et nous sommes tombés sur le canapé enlacés en reprenant notre baiser. Le ventre de Louise se frottait contre le mien et mon sexe. Avec beaucoup plus d’aisance que pour la robe, je retirais l’agrafe du soutif et caressais le dos de Louise en descendant jusqu’à ses fesses. Je sentais Louise se crisper et se cambrer au gré de mes caresses. Mon désir était énorme mais le sien devait le surpasser car elle était déchaînée. Elle retira le soutif qu’elle envoya à l’autre bout de la pièce.

D’un coup, j’aperçu sa belle poitrine toute blanche. Elle avait du aller sur la plage car je voyait clairement la trace du soutien gorge qui dessinait à partir de son coup un léger trait clair qui s’étalait sur les seins pour protéger ses tétons. De jolis tétons, crispés et sombres sur la peau blanche de ses belles loches. Ses seins dansaient de manière très érotiques et je ne pouvais pas les lui attraper pour les lécher. La rondeur de sa poitrine me donnait des sueurs de désir et rien que de les regarder, j’avais un mal fou à contrôler mon excitation. Louise se frotta sur mon sexe et, d’un coup, elle se contorsionna pour retirer sa culotte qui prit la même direction que le soutif.

Dans un soupir plein d’impatience, elle me dit :

- « Ne me fait pas mal »

Elle me prit le sexe à pleine main pour le diriger entre ses lèvres trempées. Sa mise en garde ne me servit à rien car c’est elle qui me fit glisser en elle. Elle était tellement humide que mon sexe entra sans aucune contrainte. A chaque pénétration, mon sexe se glissait dans ce fourreau bouillant en faisant crier doucement Louise. Rapidement, elle se redressa et géra elle même mes visites. Elle était sur moi et redressée sur les bras. Une dizaine ou une vingtaine de coups au maximum avant que mon sperme s’éparpille en elle. Pratiquement dans le même instant, elle eut un orgasme qui fit monter d’une octave les cris qu’elle poussait. Ses seins pendaient devant moi en se balançant généreusement. En me redressant, j’arrivais à en attraper un pour sucer et lécher le téton contracté. L’orgasme passé, Louise s’écroula presque sur moi et nous sommes resté enlacés tous les deux, les sexes joints et le souffle court.

Après un moment de repos bien mérité, je demandais à Louise si elle allait bien. Elle m’embrassa sur la joue et me répondit qu’elle était heureuse. Elle se blotti contre moi et quand je lui demandais si elle avait froid, elle me dit qu’on serait mieux dans le lit.

- « Oui, pourquoi pas mais je suis bien en toi ! »

- « Oh oui, et tu as intérêt d’y rester » dit-elle en rigolant

- « Il ne nous reste plus qu’à y aller comme ça ! »

- « T’es fou ! Tu n’es pas assez blessé comme ça ! »

- « Blessé avec toi dans les bras, c’est pas une blessure…allez, on tente… »

Louise, tout en plaquant son sexe contre le mien, se redressa . Elle levait ses jambes en montrant sans aucune retenu sa toison. En me redressant, je regardais mon sexe disparaître dans le sien et je trouvais cela très beau. Après quelques efforts et acrobaties, je me retrouvais assis sur le bord du canapé avec Louise assise sur moi, les jambes m’enlaçant. Je ne débandais pas tellement Louise m’excitait et cela me permettait de rester en elle sans problème. Louise m’embrassa et me dit qu’elle m’aimait.

La sonnette de la porte tinta et nous eûmes ensemble un sursaut. Après ce moment de surprise, Louise me regarda et ria sans retenue. Je lui fis signe de faire moins de bruit mais elle continua à rire :

- « C’est les copines qui reviennent ! »

- « Ah ! Et qu’est-ce qu’on fait ? »

- « On continu ! »

- « Et qu’est-ce qu’on fait de tes copines ? »

- « Elle peuvent rester ici, elles sont lesbiennes. Ca te dérange ? »

- « Lesbiennes… c’est même plutôt excitant… »

- « Si ça t’aide à rester aussi fort, je les fais entrer tout de suite ! »

- « Tu rigoles ou non ? »

- « Non, jusqu’à encore une demi-heure, j’étais lesbienne mais maintenant, c’est toi que je veux »

- « Trois superbes filles lesbiennes et je fais l’amour à l’une d’elle. C’est un truc un peu dingue non ? »

- « Oui, mais c’est cool et j’adore » dit-elle en se secouant le bassin pour me faire bouger en elle.

La sonnette retendit pour la deuxième fois. Plus sérieusement, elle me demanda

- « Ca te gêne ? »

- « Quoi ? »

- « Si elles rentrent ! »

- « Ben, c’est que généralement, quand je fais l’amour à une femme, on est deux ! »

- « Ca ne t’excite pas d’être regardé par deux autres nanas ? »

- « Vous êtes toutes les trois magnifique et je risque d’avoir des envies envers elles aussi. »

- « Et bien, si elles veulent essayer avec un homme, autant que ce soit toi. Moi, j’m’en fout. »

- « Rien que d’imaginer ça, je risque de t’éjaculer dedans avant qu’on soit à la porte. »

- « Chiche ! Allez, on va ouvrir comme ça ? »

- « Ok belle inconnue ! »

Après un essai lamentable, je réussi à me lever avec Louise accrocher à mon cou et empaler sur moi. Le transport jusqu’à la porte fut entrecoupé par une autre sonnerie et deux coups sur la porte. Louise avait du mal à se tenir et je mis mes mains croisées sous ses fesses pour qu’elle reste bien empalée sur moi. Louise s’amusait et semblait vraiment heureuse. Arrivée près de la porte, elle demanda à travers l’huisserie qui était là. Une voix étouffée répondit que c’était les filles comme prévu. Louise me demanda si j’étais prêt. J’avais un peu peur mais la confiance de Louise envers ses copines me donnait des forces. De plus, je dois avouer que j’avais espoir de pouvoir regarder les nanas entre elle, et même, pourquoi pas, en goûter un peu. Louise réussi à ouvrir la porte pour ne montrer que sa tête à la porte. Mon sexe bougeait en elle et je sentais ses muscles abdominaux travailler et caresser mon sexe toujours aussi raide. Les filles dehors s’impatientaient mais Louise leur demanda ce qu’elles voulaient.

Le couloir était assez étroit pour que je puisse m’appuyer contre le mur, la tête coincée entre le porte-clefs et le compteur électrique. Louise, s’appuyait aussi sur le mur d’en face pour parler avec les filles. En suivant le dialogue entre les nanas, je regardais Louise. Elle était superbe avec ses seins fermes qui dansaient au gré des mouvements de sa propriétaire. Louise négociait :

- « Je suis avec Pascal à faire un truc qu’est pas pour vous deux. »

- « Non ! me dit pas que tu l’a fait ? »

- « Si, et j’adore alors si vous entrez, je ne veux pas de problème avec lui. A partir de maintenant, c’est mon mec…ok ? »

- « Mais tu le connais pas ! » - « Et nous ? »

- « Ecoutez les filles, vous me connaissez ! Si vous entrez, vous faites ce que vous voulez, à deux, à trois et maintenant à quatre. Si vous ne voulez pas, pfft, à la prochaine ! »

De ma place, j’avais l’impression que Louise était la meneuse du groupe à voir comment elle parlait. En y repensant, j’avais été depuis le début à la merci de cette femme. Elle m’avait sorti des ronces, elle m’avait mis à poil dans sa salle de bain, elle m’avait peloté et elle m’avait utilisé pour son plaisir. Bon… je reconnais que je n’avais pas vraiment dis ‘non’ mais c’était évident que j’étais sous la coupe de cette fille. Une vraie bombe qui était chaude comme les braises et me réservait sûrement d’autres surprises. Je ne reconnaissais pas les personnes qui parlaient derrière la porte mais ça négociait ferme.

Louise continuait :

- « Bon, les filles, avant que vous sonniez, on allait passer dans la chambre et je suis impatiente de continuer avec Pascal. Je vous laisse la porte ouverte. Vous choisissez toutes les deux. Soit vous fermez la porte, soit vous entrez mais, moi, je vais continuer ma journée avec Pascal. A plus les nanas ! »

En se retournant vers moi avec un grand sourire, elle ajouta :

- « Et toi, mon blessé, emmène moi dans la chambre et montre moi de quoi tu es capable »

Elle m’attrapa par le cou et m’embrassa à pleine bouche tout en serrant un peu plus fort ses jambes autour de moi. Avec peine, je me remis à avancer dans le couloir, puis à gauche le long du petit buffet. Passer devant la porte de la cuisine pour pénétrer dans la chambre. Arrivé sur le pas de la porte, Louise me glissa à l’oreille :

- « Tu es suivi par deux lesbos qui matent ton cul ! » et elle pouffa de rire.

J’étais gêné que les copines me regardent. Entre le fantasme d’être avec plusieurs nanas et le faite qu’on me regarde les fesses pendant que je fais l’amour, le pas n’est pas si évident à franchir et j’étais dans une situation assez délicate. Soit ces regards sur moi allait me bloquer et j’allais passer pour un nul. Soit j’arrivais à m’exciter avec ce voyeurisme féminin et je pourrais passer pour une bête. A moi de jouer et le ‘no fault’ était obligatoire.

Arrivé devant le lit, je fis un grand effort pour déposer Louise sur le bord du lit, toujours pour que mon sexe reste dans celui de Louise. Aussitôt installée sur le bord du lit, Louise desserra ses jambes et releva les genoux pour s’offrir à pâture. Elle était vraiment excitante avec ses seins ronds glissants, par leur volume, sur le côté. Chaque mouvement leur donnait vie. Louise se foutait complètement que Elise et Marielle nous matent et elle mit ses mains à l’intérieur de ses cuisses autour de son sexe pour attraper le miens. Elle me dit : « Vas-y, j’en veux encore, encore, encore… ».

A ces injonctions et avec le contact des mains de Louise sur moi, je pris un grand plaisir à faire quelques allés et venus dans son ventre. Louise, avec sa position, m’offrait vraiment un spectacle superbe. Posée sur le bord du lit, j’étais à genoux et je pouvais me regarder entrer en elle jusqu’à la garde de mon sexe. A chaque fois que j’entrais en elle avec lenteur pour faire durer le plaisir des frottements de mon sexe le long de son vagin, Louise émettait des petits sons qui voulaient sûrement dire qu’elle appréciait. En tout cas, c’est comme ça que je les interprétais. Du coin du regard, j’apercevais les bonnes copines qui regardaient leur amie se faire pénétrer. Pour des lesbiennes, je me demandais ce qu’elles pouvaient penser de la situation. Enfin… quand je dis ‘je me demandais’, c’est un peu faux car je ne pensais qu’aux plaisirs échangés avec Louise et je n’avais rien à foutre de ses copines et de leurs états d’âme.

Voulant montrer aux nanas que je n’étais pas uniquement un bout de bois, je fis glisser Louise vers moi. Mon sexe complètement en elle, nous fîmes quelques efforts pour que je puisse me mettre en tailleur sur le lit avec Louise assise sur moi. Elle m’embrassa aussitôt et elle mit les mains sur le lit pour se mettre en bascule. De mon côté, mes mains sur ses fesses, je la faisais venir à moi ou la laissait repartir en arrière. Cette position procura à Louise un tel plaisir et de telles sensations qu’elle explosa dans un orgasme presque plus violent que le premier. En quelques secondes, Louise se transforma en furie. Son visage se crispa et elle donnait de violent coup de bassin pour me faire entrer en elle par grands gestes. Nos hanches se cognaient violemment et quand, dans un mouvement plus ample que les autres, mon sexe sorti du sien, elle râla et ré-ajusta son bassin pour que je revienne en elle. Etonné par autant de fougue et de violence dans le rapport, je profitais du moment sans avoir l’électrisation me poussant à éjaculer. Ce n’était pas grave car j’avais la satisfaction de rendre Louise heureuse et c’était un plaisir d’être avec elle. Elle finit dans un râle long et langoureux et se jeta à mon cou pour me serrer contre elle. Elle était essoufflée et me murmura dans l’oreille un « je t’aime » plein de tendresse et de sincérité. Je gardais Louise dans mes bras et lui caressais sa peau fine et douce. Ce moment était magique et je fermais les yeux pour le garder intacte du reste.

Dans ce moment béni des Dieux où l’esprit est envahi par les restes du plaisir partagé, je me posais quelques questions. Comment une fille soi-disant vierge pouvait trouver autant de fougue dans l’acte amoureux ? Comment une soi-disant lesbienne pouvait trouver un rapport hétéro aussi bon ? … Comment ? … Pourquoi ? … Tout ce que je savais, c’est que j’avais une belle femme nue dans les bras et que j’adorais ça. Au delà du physique, il y avait ce regard profond quand elle me regardait. Il y avait aussi son esprit alerte, vif dans les prises de décision. Il y avait aussi une certaine folie dans le sexe et cela dépassait tout ce que j’avais vécu avant avec mes anciennes femmes. Bref, Si j’oubliais ce côté « aventure », Louise représentait une femme comme je les aimais. Belle, intelligente et un peu folle.

Louise reprenait doucement sa respiration et finit par me dire :

- « Jamais je n’aurais imaginé pareille plaisir avec un homme, je suis heureuse de t’avoir poussé dans les ronces »

- « Euhh… la prochaine fois qu’on se rencontre, si on peut éviter les ronces ! »

Louise pouffa et me répondit :

- « Promis mon amour ! » et elle resta sans voix, juste serrée contre moi.

En ouvrant les yeux, je voyais toujours Elise et Marielle contre le chambranle de la porte. Elles nous regardaient comme on regarde des bêtes dans un zoo. Je ne savais quoi penser de ces deux femmes. A les voir comme ça, habillées toujours dans leurs robes printanières, je me demandais comment était leur corps. Si seulement elles pouvaient se mettre à poil, j’adorerais les voir et les toucher.

Marielle était la plus âgée et elle était bien faite avec des hanches peut-être un peu forte mais un visage régulier avec des yeux bleus perçant. Si dans un couple de lesbiennes, il y a une dominante et une dominée, je pense que Marielle était la dominante. Posée contre le chambranle de la porte, elle m’offrait un profil qui laissait deviner une belle poitrine.

A côté, Elise faisait petite fille. Elle était moins grande que les autres, elle était toute menue et ne semblait pas avoir énormément de forme. Moi qui était adorateur de poitrines, Elise n’allait pas m’apporter beaucoup de plaisir de ce côté là. Elle devait avoir d’autres atouts que j’espérais découvrir si mon fantasme se déclenchait.

Comme pour me sortir de ma contemplation, Louise eut un frisson qui l’a fit trembler de la tête aux pieds. Je lui demandais immédiatement si elle avait froid. Sans répondre, elle commença à tirer sur le dessus de lit pour ouvrir le lit. Au premier mouvement, mon sexe sorti presque entièrement et Louise se replaça immédiatement pour me garder en elle.

- « Toi, tu reste là ! »

- « Non, mets toi au lit et je reviens quand on sera au chaud »

- « Vite alors ! »

Louise, à contre cœur ne dégagea de mon sexe et se glissa dans les draps. Sans aucune peur que les deux lesbos me regardent le sexe, je bougeais en faisant presque exprès de me montrer. Pendant que Louise se glissait dans le lit, je me levais à côté du lit en attendant que Louise soit bien allongée. En restant debout comme ça, je montrais aux deux filles, mon sexe dressé, arrogant et fier. Dès que mon amante fut installée dans le lit, je la suivais et me glissais derrière Louise. Doucement, ma main lui attrapa un sein chaud et doux. Mon autre main se posa sur ses hanches et glissa sur son ventre en couvrant sa toison. Du bout des doigts, j’écrasais doucement le clitoris, puis avançais vers son sexe. Mes doigts rencontrèrent la chaleur humide de la vulve de Louise toujours désireuse de caresses. Elle était trempée de désir et son sexe était ouvert. Louise gémit doucement. Je plaçais mon bassin contre ses fesses et dirigeais mon sexe entre ses fesses. Sans aucun effort, mon sexe glissa et s’enfonça dans le ventre avenant. Louise glissa dans un souffle :

- « Ohhh, que c’est bon ! »

Je dois bien avouer que me retrouver avec une telle fille dans les bras à lui faire l’amour était extrêmement bon aussi. Louise ondulait du bassin pour me faire bouger. C’était des gestes lents et très érotiques. Dans le même temps, je lui caressais les seins en prenant le temps de caresser le galbe, les tétons et tous les alentours de sa poitrine. Cette position dura un bon moment et l’érotisme des caresses nous donnait un rythme sans heurt et plein de plaisirs profonds. Louise laissait échapper de temps en temps des petits bruits.

Pour tenter de lui donner plus de plaisir, je lui proposais qu’elle s’allonge sur le ventre. Sans poser de question, elle se retourna doucement et je pus me mettre sur elle. Pour me laisser me mettre en place, elle écarta les cuisses et je posais mes jambes entre les siennes. Cette position me donnait l’impression de glisser complètement en elle dans un puit sans fond. Doucement, avec le maximum de douceur, je sortais mon engin pour le glisser entre ses lèvres trempées. Je me portais sur les coudes pour éviter de l’écraser et Louise prenait un pied d’enfer si je me fiais aux gémissements qu’elle produisait à chaque fois que je me glissais en elle. En peu de temps, elle commença à s’agiter et me dit d’aller plus vite. A chaque coup de reins, Louise sautait au rythme des coups de butoir au fond de son ventre. La position me frottait le gland avec une délicieuse sensation et je sentais l’explosion arriver. Les bruits de Louise me motivaient et je commençais à ressentir les prémices de l’éjaculation. Sans plus aucune retenu, j’enfonçais mon sexe en elle à un rythme de plus en plus fort. Louise eut encore un orgasme et je lui éjacula profondément. Notre unité dans le plaisir était fort et Louise dut sentir mon jet au fond d’elle car elle se mit à crier au même moment que je lui inondais le fond de son vagin. Après quelques mouvements pour garder les électrisations toujours actives, nos ébats eurent leurs rythmes réduits. Nous étions essoufflés et heureux d’avoir atteint le suprême plaisir ensemble. Je glissais à l’oreille de Louise un « Je t’aime » qu’elle me rendit aussitôt. C’était impressionnant comment une telle nana, lesbienne d’après ses dires, pouvait devenir aussi rapidement amoureuse d’un gars. Elle devait cacher sa vrai sexualité sans même s’en rendre compte !

Tout en pensant à ça, j’entendis, comme un écho à la respiration de Louise. J’avais oublié Elise et Marielle qui avaient assisté à cette monté en puissance du plaisir entre deux personnes de sexe opposé. En tournant la tête, je vis clairement Marielle qui s’activait toute seule contre le chambranle de la porte. Je regardais avec plus de curiosité et je la voyais avec la main sous le tissu de sa robe en train de se frotter l’entre jambes. Par contre, je ne voyais aucune trace d’Elise. Mon érection ne s’était pas arrêtée et, avec la vision de Marielle se masturbant, je n’étais pas prêt à m’arrêter. Je glissais dans l’oreille de Louise :

- « Regarde Marielle. Elle se masturbe toute seule ! »

Louise tourna la tête et me répondit :

- « Oui… ça te plait ? »

- « Oh, oui ! J’aimerais la voir faire et pouvoir la lécher »

Sur le coup, ma phrase était parti un peu vite et je me sentais un peu vicieux de vouloir lécher une autre femme pendant que je faisais l’amour. Je m’attendais à ce que Louise me freine dans mes élans de mec assoiffé de sexe. Pour me faire pardonner, je fis un mouvement de rein pour sortir et entrer dans le fourreau offert par le sexe de Louise. En réponse à ma demande, elle appela Marielle :

- « Marie, viens ici s’il te plait… Je veux te gourmander »

Nos visages tournés vers Marielle, je la vis sursauter et rabaisser le tissu de sa robe rapidement. Louise repris :

- « Ma chérie, viens ici et montre nous comme tu es belle »

- « …mais… lui… »

- « Ne fais pas ta gamine. Et puis, t’inquiète pour Pascal, je le garde en moi. Montre nous comment tu es belle. On veut te voir…et Elise, elle est où ? »

- « …dans le salon avec… tu sais quoi… »

Louise pouffa en répondant :

- « Elle est bête celle là… elle joue avec un gode alors qu’on a bien mieux dans le lit…pfff. Va la chercher s’il te plait, je veux la voir aussi . »

Marielle quitta la chambre pour aller chercher Elise. J’en profitais pour demander à Louise :

- « T’es une vrai chef toi ? »

- « Mouais. Je suis surtout tellement excitée que j’en veux plus et j’adore mes copines. »

- « Je n’ai jamais vu une nana jouer avec un gode »

- « Et bien, je pense que tu vas apprendre un tas de choses toi aujourd’hui »

- « J’en ai bien l’impression et j’espère que je pourrais voir Marielle et Elise à poil. »

- « Si ça peut te rendre dure comme ça encore longtemps, elles ont intérêt. »

- « Tu crois que je pourrais les caresser et les lécher ? »

- « T’es un gros gourmand toi sous tes airs de gentil garçon ! »

- « J’adore le sexe quand il est vécu avec passion et partage. Vous avoir toutes les trois à disposition, c’est comme un rêve et je veux en profiter pendant que je suis dedans. »

- « Profites mon garçon et fais-nous confiance. On va t’apprendre comment faire plaisir à une femme ! »

- « Oui maîtresse »

Louise ria de ma réponse. En même temps, Marielle entra dans la chambre avec Elise dans sa suite.

Louise me demanda de bouger pour nous mettre face aux filles. Je me mis sur le côté et mon sexe humide du mélange de nos fluides, sorti toujours aussi fier. Louise attrapa une taie d’oreiller et sépara l’oreiller de la taie. Elle me sourit et m’avoua qu’elle avait quelques débordements. Elle s’essuya l’entre jambes avec la taie d’oreiller et me la tendit pour m’essuyer. Efficace comme réaction ! Je pris le tissu et m’essuya le sexe juste humide.

Ensuite, Louise, maîtresse femme, prit les décisions et mit tout le monde en action. Elle indiqua clairement à Elise où se mettre pour qu’elle continu à se faire du bien avec le gode. Marielle eut aussi ses ordres :

- « Elise, tu vas te mettre sur ce côté du lit. Tu gardes ta robe mais tu retires ton slip. Prend ton copain et je veux te voir jouir avec lui… Non, pas comme ça, je veux te voir donc, tu me montres tes fesses. »

Elise, avec quelques difficultés s’assit sur les fesses et glissa le gode sous le pan de la robe. Elle ne dévoilait rien de sa féminité, de peur que je la vois. Moi, je restais avec mon sexe dressé et visible. Je jouais de ma position d’outsider avec Louise qui plaçait les filles pour l’étape suivante.

- « Marie ! comme Elise, à bas la culotte et je veux pouvoir te gourmander tranquillement. »

- « Louise, j’aime pas vraiment ça comme jeu ! » dit Elise avec une petite voix timide.

- « Ecoutes, ma chérie ! Quand on est ensemble, tu te défonces avec ton truc en caoutchouc alors tu ne vas pas faire ta mijaurée pendant que je te regarde et que Pascal s’excite à te regarder. T’es superbe alors montre le ! »

- « Elise à raison. C’est pas parce que tu prends ton pied avec un mec, qu’on doit suivre ! » surenchérit Marielle.

- « Bon, les filles ! Qui délirait tout à l’heure ? Ce n’est pas moi toute seule. Maintenant, je vous assure que Pascal est largement à la hauteur du plaisir qu’on recherche toutes alors, on lui montre ce que nous sommes capable de faire et on lui apprend que les nanas sont les plus fortes. Ok ? »

Elise et Marielle étaient en arrêt et ce fut Elise qui prit la parole en premier :

- « Et toi, Pascal, tu vas faire quoi ? »

- « Je vais faire l’amour avec Louise sauf si vous m’autorisez à faire des choses avec vous. »

- « Des choses ? »

Louise prit la parole :

- « Oui, des choses ! Il en crève de vous lécher mes chéries, et de vous voir vous tripoter alors lâchez-vous. »

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Guest Sexapile33

Marielle souleva le bas de sa robe et en retira sa culotte. Elle la déposa sur le côté du lit. Une belle petite culotte blanche toute simple. Si j’osais, je lui demanderais bien de retirer son soutif mais je n’osais pas. Avec sa robe à fine bretelle qui offrait la vision des bords de son sous-vêtement, je me disais que retirer le soutif pourrait m’offrir une vision sur ses seins. Mon érection n’avait pas changé et ma réflexion sur la poitrine de Marielle ne risquait pas de faire baisser la pression sanguine. Louise se tourna vers moi avec un sourire mais aperçu immédiatement mon regard sur Marielle. En se retournant vers sa copine, elle comprit rapidement et demanda à Marielle de retirer le soutif. Louise me dit :

- « Ca va aller mon chéri ? »

- « Oui, j’espère que je vais réussir… »

- « Réussir quoi ? »

- « …je ne sais pas… réussir à ne pas vous décevoir ! »

- « T’es fou toi ! C’est la première fois que je jouis autant en si peu de temps ! Tu es un amour… rayé et griffé… mais un amour quand même » me répondit-elle en riant de sa réponse.

Louise plaça Elise sur ses fesses avec les jambes écartées. Ensuite, Marielle se retrouva sur le ventre avec une jambe sur le lit et une autre par terre. Louise allait pouvoir travailler avec Elise ou Marielle au choix. Et moi… et bien j’allais me régaler en vivant mon fantasme avec trois nanas faisant l’amour ensemble. Ensuite, et avant même que les filles aient dévoilé leur intimité, elle se mis à quatre pattes en m’offrant sa croupe. Elle me dit :

- « Je te fais confiance, mon amour. Donnes moi tout le plaisir que tu peux »

Après s’être retournée, elle souleva la robe de Marielle et se glissa entre les jambes pour l’embrasser. Je regardais Louise, la tête sous le tissu de la robe de Marielle en devinant, d’après ses mouvements, ce qu’elle pouvait faire. Marielle, eut juste le temps de tirer sur le soutif pour le sortir de sous la robe. Dans un mouvement des tissus, j’eu l’occasion de voir le bord de son sein. Une vision furtive mais qui généra en moi un désir renforcé de la voir et de l’avoir. Marielle rejeta sa tête en arrière en soufflant bruyamment. Louise devait la lécher avec une belle précision !

Elise ne me quittait pas des yeux. Elle tournait de temps en temps la tête du côté de Marielle qui avait quitté le monde Terrestre, mais revenais vers moi. Je mis ma main sur les reins de Louise et laissa glisser ma main pour longer sa raie des fesses en passant sur l’anus et arriver sur l’arrière de ses lèvres. Sans m’arrêter, mes doigts continuèrent et glissèrent dans la cyprine qui débordait du sexe ouvert de ma dulcinée. Voyant Elise bloquée, je lui proposais de m’utiliser comme gode, ou de s’occuper d’une des filles. Ma demande lui fit baisser le regard vers mon sexe dressé. Elle semblait complètement bloquée et je ne savais quoi faire pour qu’elle se bouge. Ma main caressait toute la longueur de la vulve de Louise, allant d’une extrémité à l’autre en prenant bien soin de caresser les lèvres gonflées. Mes doigts étaient complètement trempés et à voir Elise coincée, j’eu l’idée de soulever sa robe pour regarder sa chatte. Je crois que le blocage d’Elise me permit de faire ça et elle se laissa faire juste assez pour que je puisse regarder sa petite toison rousse. Quand je dis « petite toison », c’est vraiment ça car elle avait du passer la débroussailleuse méchamment pour avoir si peu de poil. Presque aussitôt après avoir aperçu sa touffe, elle remit le tissu en place pour cacher sa nudité.

Pour Elise, je devais faire une croix mais il n’y avait rien de grave la dedans car j’avais ma main sur le sexe de Louise et cela me donnait quelques promesses d’une culbute. Abandonnant Elise, Je me mis derrière Louise, entre ses jambes et je positionnais mon sexe entre ses fesses. Louise, toujours la tête sous le tissu de la robe de Marielle, gémit quand mon sexe glissa en elle. A partir de ce moment, je pus prendre les seins de Louise en main et les caresser. Loin d’être une brute, je caressais légèrement les seins en les portant doucement ou en laissant le balancement de la poitrine frotter contre mes mains. Mes mouvement en Louise étaient très doux et très lents pour que nous ressentions un maximum de sensations. Avec le concert de gémissements que Marielle et Louise faisaient, Elise ne tarda pas à se glisser son gode sous sa robe et à se bricoler toute seule. Je la voyais s’agiter sans jamais pouvoir regarder son engin en elle. Par contre, pour Marielle, je réussis à remonter le tissu de la robe pour voir ce qui se passait et, là, j’ai eu une vision superbe !

Louise embrassait et léchait tout ce qui se trouvait autour du sexe de Marielle et quel sexe ! Vraiment merveilleux avec une dilatation de la vulve extraordinaire. Ses grosses lèvres étaient complètement ouvertes et très écartées. Du clitoris jusqu’à l’anus, les lèvres rendait le sexe comme un fruit éclaté. Tous les poils pubiens d’une couleur châtain clair étaient assez peu nombreux pour laisser voir le rosé des chairs. Je prenais les cheveux de Louise pour les mettre sur le côté et pouvoir regarder les fesses de Marielle et son sexe. Allongée comme elle était, et quand Louise me laissait voir, le sexe de Marielle était une caverne ouverte prête à recevoir en elle l’engin qui pouvait lui apporter le plaisir jusqu’au fond de son ventre.

Dans un long mouvement pour pénétrer Louise jusqu’à la garde de mon sexe, je lui proposais de me laisser la place. Sans aucune hésitation, elle posa ses mains autour des hanches de Marielle et avança. En trois mouvements, j’étais juste au dessus des fesses de Marielle qui hochait des hanches. J’entendais toujours Elise pousser ses petits cris et j’étais attiré par la vue de la chatte offerte de Marielle. En tournant ma tête vers Elise, je la voyais toujours avec ses mains sous le pan de sa robe à s’agiter.

Je dois remercier Louise de n’être pas jalouse envers ses copines car, c’est un peu prétentieux de le dire mais elle m’offrit ses copines en se décrochant de moi pour aller embrasser Marielle et me laisser la liberté de faire ce que je voulais. Enfin, je crois qu’elle a fait ça car dès que Louise s’écarta de moi, je me suis allongé entre les cuisses de Marielle et j’ai jouer avec ses lèvres. Ca faisait un bon moment que je ne m’étais pas trouvé en face d’un tel spectacle. Quelques baisers sur l’intérieur des cuisses. Sentir l’odeur caractéristique du sexe féminin dans tous ses états, les caresses du bout du doigt et le contact humide et tiède des chairs tendues vers le désir et la frustration, les mouvements du bassin de Marielle appelant les caresses et les baisers, … Bref, un environnement féminin que j’apprécie particulièrement !

En pliant mon index, je caressais doucement les lèvres de Marielle. Pas de pénétration. Pas de brusquerie. Prendre son temps pour faire monter un désir fulgurant. La douceur et l’extase devant le spectacle offert me donnait un grand plaisir. J’avais une envie folle de pénétrer cette belle femme mais si je faisais ça, je gâchais toute la suite car il y avait une forte probabilité que j’éjacule et tout ce trésor allait être souillé… Alors, je prenais mon temps. Petit à petit, ma langue remplaça mes doigts. Marielle réagissait au quart de tour. La pointe de ma langue glissait de son anus jusque au plus prés de son clitoris. Marielle bougeait son bassin pour me donner le champ libre au fur et à mesure de mes avancées. Je trouvais que pour une lesbienne, elle avait une ouverture d’esprit assez large. J’espérais l’avoir conquise comme Louise. A force de jouer avec son sexe, je devenais de plus en plus intrusif et ma bouche gourmande avait tendance à s’ouvrir pour la plaquer sur sa vulve. Marielle décolla littéralement quand, après toutes mes caresses linguales ou buccales (ça fait très médical !), je me suis mis à écarter ses grandes lèvres pour plaquer ma bouche sur elle et titiller de la langue son clito. Quand je dis qu’elle décolla, je ne suis pas loin de la vérité car elle fit pratiquement le bruit d’un réacteur et elle fut secouée par une multitude de spasmes. Je n’ai pas une expérience d’avoir fait jouir moult femmes dans ma vie mais, entre Louise et Marielle, j’avais deux drôle de phénomènes avec moi. Je ne comptais pas Elise qui s’envolait toute seule avec son meilleur ami, le gode. D’ailleurs, pour cet ami, alors que Marielle gémissait et soufflait après son extase extraordinaire, je pris la décision de tenter encore un mouvement vers Elise.

Je m’attendais à une rebuffade de la part d’Elise. Et bien non ! Alors que je continuais à caresser de la main la chatte trempée de Marielle, Mon autre main réussi à se glisser le long de la jambe la plus proche d’Elise et d’atteindre le champ de bataille. Bon ! J’exagère en parlant de champ de bataille bien sûr mais il y avait du monde. Entre ses mains et le truc tout mou qui s’agitait en elle, si vous ajouter ma main, ça faisait un peu comme un hall de gare le jour des grandes vacances. Je déconne complètement et c’est encore Louise qui prit les choses en main si je puis dire. Elle me dit de m’occuper d’Elise et de la laisser faire. Ok !

Je quittais les fesses de Marielle pour m’approcher d’Elise. Elle était toujours les cuisses écartée sous sa robe. En me retournant, pour ramper vers Elise (et oui ! quand je disais « champ de bataille », je n’étais pas loin de la vérité !), Louise me rabroua en me demandant de me mettre sur le dos. Elle avait un plan et je devais le suivre. Maintenant, mettez vous à ma place et tenter de ramper sur le dos !

Pour corser le tout, Louise m’attrapa le sexe et elle se l’enfila presque d’un coup. La chaleur soudaine de son ventre autour de moi me fit une sensation d’électrisation sur le bout du gland. Ouah ! super !

En regardant Louise, je ne vis que son dos. Elle s’était mise à califourchon sur moi en me tournant le dos. Physiquement, je devais entrer en elle dans le bon axe surtout qu’elle était penchée en avant pour s’occuper des fesses de Marielle. Un peu loin pour voir ce qu’il se passait mais j’imaginais aisément la scène. Louise se servait de moi pour son affaire et elle était tellement humide que je ne sentais pratiquement pas les frottements de mon sexe en elle. Etonnant comment des positions peuvent être sans le moindre déclenchement de plaisir. Je ne veux pas dire que je n’avais pas de plaisir à être en elle, bien entendu, mais je ne risquais pas d’éjaculer en elle car mon gland n’était pas excité par une pression ou un frottement. Pas d’éjaculation par ce principe mécanique mais avec Elise qui se masturbait presque devant moi, ça allait devenir sympathique.

Je réussi à poser ma tête sur l’intérieur de la cuisse d’Elise. Sous le pan de la robe, régnait une odeur très forte de sexe. N’ayant pas un cou de girafe, je décidais d’approcher Elise de moi. Deux mains partir vers les hanches de la donzelle. J’attrapais ses fesses et la fis glisser vers moi. Très grosse surprise quand je la vis venir d’un coup. Elle devait être bouillante car elle m’avait aidé en se levant un peu. Maintenant, même si la luminosité était limitée ici bas, je pouvais voir clairement le sexe poilu de Elise encombré avec un gode. C’était la première fois que j’en voyais un. Evidemment que je connaissais ce genre d’engin vu sur des bouquins ou des sites de cul mais, en vrai, c’était la première fois. Comment le décrire ? Un truc en caoutchouc ! Ben oui… Un truc en caoutchouc sans forme particulière avec des rainures latérales.

Sous cette robe, les bruits étaient aussi invités. Des « Slurp…slurp » à répétition me donnait le rythme à tenir pour contenter Elise. Je pris le gode dans les mains et Elise eut quelques mal à le laisser. Finalement, je me mis à utiliser cet engin pour faire l’amour à Elise. Petites lèvres rougies avec une touffe assez rare par rapport à Marielle, Elise grogna quand je sorti l’engin avant de le rentrer avec une grande lenteur. Après deux mouvements de la sorte, j’en avait marre de ne rien voir, ou presque. D’un mouvement ample, la robe vola et je pus voir enfin le sexe d’Elise écarté par le gode. En sortant le bout de plastique, le vagin restait ouvert et les lèvres roses et vraiment trempées luisaient à la lumière de la chambre. De nombreux fil de cyprine encadraient son sexe et coulaient, pour certains, vers son anus. Je jouais à enfoncer le gode en le tournant doucement pour créer des frottements vaginaux et créer des plaisirs à Elise. En retirant le gode, je me permis de déposer un baiser pile entre les lèvres, sur les petites lèvres et l’entrée du vagin, là où les chairs sont d’une extrême sensibilité. Elise poussa un son roque comme un grognement de fauve. Décidément, toutes ces femmes étaient des tigresses ! Au fur et à mesure, Elise me laissa tout loisir à la masturber et à la défoncer (terme très méchant et loin des actions que je faisais) avec le gode. Mes baisers, au début timides, devenaient de vrais caresses et Elise mis ses mains autour de son sexe pour l’écarter de m’offrir un accès sans contrainte vers toute sa fente.

Pendant ce temps, Louise continuait à me faire glisser en elle. D’un coup, Elise se redressa et ma tête tomba sur le lit. Je la regardais faire en m’attendant à en prendre une. Sans comprendre pourquoi car j’avais été doux depuis le début, Elise, se mit à genoux et retira sa robe. Elle retira, ou plutôt, fit voler son soutif pour libérer deux petits seins tout mignon. Loin d’être au niveau des poitrines de Louise et de Marielle que j’espérais voir et toucher bientôt, elle était quand même assez mignonne. Toujours sans un mot, Elise me chevaucha le visage et plaça son sexe au dessus de mon visage. Sans mot, je réussi à comprendre que ma prochaine occupation serait de la lécher, ce que je fis avec plaisir. Je la trouvais un peu brusque dans ses manières et elle avait une drôle de tendance à chercher à m’étouffer avec sa chatte. Je dus prendre ses fesses dans les mains pour contrôler ses mouvements pour ne pas mourir par asphyxie en léchant un sexe féminin. Je pense que sur ma pierre tombale, cela aurait fait tâche à côté de « pour mon mari bien-aimé » et de « A ma tata préférée », d’avoir un « Etouffé par une vulve baveuse ».

Tellement occupé à lécher Elise et, de temps en temps, à lui enfoncer le gode que je gardais à porter, je me suis pas aperçu que Louise m’avait libérer le sexe. C’est en écoutant les bruits de la chambre que je compris que Marielle et Louise devaient s’occuper entre elles. Elise était bouillante et je pensais bien que j’allais pouvoir entrer en elle avec autre chose que mes doigts, ma langue ou son gode. Une main m’attrapa le sexe et commença à jouer avec. La tête dans le sexe d’Elise, je laissais faire sans maîtriser quoi que ce soit. Contre toute attente, Elise leva une jambe pour me libérer. Ouf ! je respirais librement !

Pendant son mouvement, je voyais sa chatte complète et écartée. Elle n’avait aucune pudeur extrême et me montrait toute sa féminité sans peur. Ensuite, elle recula et se plaça au dessus de mon sexe. En levant la tête, je vis qu’elle était la responsable des caresses sur moi. Elle se plaça juste au dessus de ma tige tendue et prisonnière de ses mains puis commença à me faire glisser le long de sa fente. Les seuls mots, qui me sont venu à ce moment là, sont « Oh ! putain ! » car j’avais le gland dans une sensibilité extrême et je sentais que j’allais éjaculer dans la demi-seconde qui suivait. Avec un grand effort, je réussis à me contenir. Pô simple mais efficace, je me suis mis à penser aux impôts, un cassoulet, de la merde, bref, à plein de trucs qui pouvait me couper l’envie d’asperger les lèvres qui m’encadraient. Quand Elise se décida à me diriger en elle, la sensation était encore très présente et je dis à Elise que j’allais éjaculer et qu’elle devais arrêter. A ce moment là, soit elle à joué à la sourde, soit elle m’a testé. Elle a recommencer ses caresses le long de son vagin avec mon gland. Toutes les images du monde ne m’aurait pas aidé. J’ai explosé d’un jet sur Elise qui s’amusa à récupérer le sperme et se mouiller la chatte avec. En trois à quatre spasmes, j’avais vidé la cartouchière. Elise, ne voyant plus rien sortir de mon sexe, se décida à me faire entrer en elle. Loin d’être dans la phase « débandage », je suis resté dur en elle. Elle avait un gode en chair et sans os en elle.

Entre les deux nanas à côté de moi qui se faisaient un joli 69 et Elise qui me chevauchait telle une amazone, j’avais droit à un concert de grognements et de gémissements. Joli concert ! Après un long moment dans cette configuration, Louise et Marielle arrêtèrent et regardèrent Elise me faire l’amour. Oui ! Quand on est allongé sur le dos et qu’une femme joue les rodéos sur votre sexe, il faut arrêter de dire que vous faite l’amour à une femme. C’est le contraire !

Maintenant, pourquoi Elise, pourtant du style lesbienne assurée et contre tout possession par un homme, s’est laissée prendre au jeu hétéro ? Sur le coup, j’en avais rien à foutre… Je prenais le plaisir comme il se présentait et je dois bien avouer qu’il était assez génial. Les filles étaient parti dans un délire digne des plus beau film de cul et j’étais l’instrument de leurs plaisirs. J’avais bien quelques concurrents comme le gode d’Elise mais je ne me plaignais absolument pas de mon rôle. Maintenant que toute cette aventure est terminée et avec du recul, je me demande si dans chaque femme lesbienne, il n’y a pas un côté refoulé qui recherche les rapports hétéros. Au vu de ma très petite expérience dans ce genre de rapport, il est difficile de généralisé. Pour ce que je connais, Elise a pris son pied avec moi. Marielle, la plus âgée et donc, pour moi, la plus accrochée à son statut de lesbienne, a aussi pris son pied. Il y avait bien Louise mais je la soupçonne d’être une bi-sexuelle qui se cache son statut

Louise a un caractère à chier ! Si ! Si ! Quand elle décide un truc, c’est clair qu’on ne lui fera pas changer d’avis…Sauf, si c’est elle qui décide. Dans un moment de faiblesse, je pense qu’elle pourrait me dire qu’elle n’a jamais voulu de mec pour une multitudes d’excuses plus ou moins valable. Je ne vais pas commencer à lister toutes les excuses sinon, plusieurs lecteurs vont se jeter du haut du pont ! Certains seraient recevable au vu des gros cons qui prennent les femmes pour de la viande. D’autres seraient limites avec une généralité un peu facile, un peu comme le genre de réflexion « La femme au fourneau » ou « les blondes ont un cerveau moins lourd », bref, toutes ces réflexions bien trop facile et bien trop rapide à dire. Les faibles d’esprit et les pôvres bougres qui ne vivent qu’à travers les dires des autres se reconnaîtrons mais n’avouerons jamais.

Donc, pour en revenir à cette journée extraordinaire, j’étais tranquillement allongé sur le dos avec Elise qui commençait à se secouer dans tous les sens en s’empalant sur mon membre bien dressé. Quand je dis « secouer », ça pourrait être « gigoter », « sauter », trembler », … Elle avait tout de la femme faisant un rodéo sur un cheval fou. La grande différence était que le cheval fou était assez immobile si on oublie les sauts que le matelas m’obligeait à faire. J’avais une frousse, c’est qu’elle torde mon sexe et qu’elle tombe dessus de tout son poids. Non qu’elle soit lourde, elle aurait pu me faire super mal, et elle aussi. J’ai eu de la chance car rien de mal ne se passa. Elle se fit le maximum de bien avec moi et je profitais de « mon temps libre » pour regarder les deux autres nanas se faire leur 69. Pour Marielle, je n’avais pas vraiment de chance car sa poitrine était collée contre le ventre de Louise. Depuis le début des ébats, je n’avais vu que les courbes, façon film érotique où tout se joue sur quelques images, et laisse l’imagination faire le reste. Pas de problème pour moi, mon imagination fonctionnait à plein régime.

Au bout d’un moment, alors qu’Elise était toujours aussi agitée, les filles arrêtèrent leurs baisers et elles me regardèrent avec Elise. Je voyais enfin la poitrine de Marielle. Des seins arrondis avec une belle formes. Comme Louise, la blancheur de la peau autour des mamelons contrastait avec la couleur générale de la peau. On pouvait deviner le dessin d’un maillot de bain. Un peu plus tombant que ceux de Louise, le dessin du galbe était parfait et les tétons très prononcés semblaient représenter de profile un carré presque parfait. Je réussis à dire à Marielle qu’elle était belle mais les sauts de Elise m’empêchait de parler normalement. Marielle et Louise se regardèrent et pratiquement sans un mot, elle nous rejoignirent. Louise se plaça devant Elise en se mettant à califourchon sur mon ventre. Je sentais ses poils pubiens me chatouiller le ventre. J’imagine qu’elles se sont embrassées et caresser. Quoi qu’il en soit, Elise ralenti un peu ses sauts de puce.

Marielle se pencha vers moi à me toucher le nez :

- « Tu lèches super bien pour un mec. Tu mérites un cadeau »

- « … Je te sucerais bien les seins…Ils sont beaux » dis-je avec un peu de gêne.

- « Tiens, prends les et après, je veux encore que tu me lèches »

Elle resta penchée au dessus de moi en plaçant une de ses tétines devant ma bouche. Je n’eus que le loisir d’ouvrir ma bouche et tendre la langue pour toucher le téton durci. Marielle me laissa faire tout en me parlant :

- « Si tu es gentil, tu auras tout ce que tu veux…Oui, comme ça…Tu te débrouilles vraiment bien… »

Elle n’arrêta pas de me féliciter et de me motiver durant tout le temps où j’ai jouer avec ses seins. Elle les prenait pour enfoncer le téton et un maximum de son sein dans la bouche. Dès qu’elle dut sentir qu’elle en avez assez, elle m’embrassa à pleine bouche et se plaça au dessus de moi.

Elle se glissa un doigt dans la chatte et l’enfonça complètement. En le sortant, je voyais clairement cette femme se caresser le sexe. Elle sorti le doigt et me le présenta. Sans même réfléchir, j’attrapais le doigt pour le sucer. Elle refit le manège une dizaine de fois, toujours avec le maximum d’érotisme dans le geste et la vitesses d’exécution. Ensuite, elle plaça sa chatte juste devant ma bouche et me laissa lui prendre les fesses pour la lécher lentement. Combien de temps, je ne sais plus, mais c’était super bon. Pendant ma grosse lèchouille de la chatte de Marielle, Elise et Louise changèrent de position et ce fut Louise que je retrouvais empalée sur moi. Je préférais car elle était plus douce et plus en harmonie avec moi. Quand Marielle décida d’arrêter, elle se retira et vint me faire un gros baiser à pleine bouche. Elle me demanda :

- « Maintenant, ton cadeau. Tu as déjà vu une femme se faire pénétrer ? et deux ? »

- « …non, jamais ! »

- « Tu veux me voir avec Louise ? »

- « …vous allez faire ça avec qui ? »

- « Mais non, gros bêta, on a des outils…tu vas voir… »

Sur ces paroles, elle se leva, magnifique et ouvrit le tiroir de la table de nuit.

Si chez vous, vous avez des petites affaires dans votre table de nuit, Louise et ses copines ont des outils. Maintenant, je les connais, mais la première fois, ça choque ! Marielle prit une sorte de tube bleu d’une soixantaine de centimètre. Le tube était souple pour être plié dans le tiroir du petit meuble. Marielle appela Louise et lui montra l’engin. Louise semblait heureuse à cette idée. Marielle lui proposa de me montrer comment elles faisaient sans moi. Louise et Elise rejoignirent Marielle.

J’en profitais pour me relever et cela me fit un maximum de bien. J’avais le dos en compote ! Avec ma chute de la journée et… les deux heures de cabrioles sur le lit avec ces trois tigresses, j’étais sur les rotules ! Elles, par contre, avaient une pêche de folie. Trois petites nanas sur des vélos et maintenant, trois infatigables du sexe qui ne s’arrêtent même pas pour boire un coup. Sur certains endroits de mon corps où les ronces avaient laissé des traces, la sueur me faisait mal. Je n’allais pas me plaindre de peur de casser l’ambiance et de passer pour une pauvre petite chose qui ne méritait pas la présence des filles. Je supportais la douleur en me demandant ce qu’elles me préparaient. Elles discutaient entre elles et, après un petit conciliabule, Elise revint vers moi et me demanda de la prendre par derrière comme Louise. Nous mettions nos affaires en place pour qu’il n’y ait pas d’incompréhension pendant que Louise et Marielle se mettaient assises face à face avec le gode double entre elles.

Elise, la petite et douce Elise se dévoilait en super nova. Autant elle était timide et réservée que, dès qu’elle ouvrait la porte, on découvrait une tornade. Les instructions que j’entendais ressemblaient plus à des ordres qu’à des demandes ou des ententes cordiales. Chaque fille pouvait largement se contenter seule et j’étais là uniquement comme un autre jouet sexuel. Loin de m’en plaindre pour le moment, j’avais tout loisir d’en profiter mais je jouais sur des œufs. Je sentais que si jamais j’avais la malchance de faire ou dire une erreur, j’allais me retrouver à poil avec mes griffures sur le palier de la porte en une fraction de seconde. Pour en revenir à Elise, elle se mit à quatre pattes sur le lit et écarta les jambes sans aucune gêne par rapport au début. Je pouvais voir sa chatte poilues avec le renflement de sa vulve. La raie de son sexe continuait après son anus et je ne pouvais pas voir ses lèvres ouvertes comme Marielle. Elle me demanda de la regarder faire et de la pénétrer doucement. Elle m’expliqua sans aucune difficulté que c’était la première fois et qu’elle ne savait pas si j’allais lui faire mal ou non. Dans sa phrase, il y avait un sens du style « Vous, les mecs, vous êtes tellement brusque ! ».

Donc, j’ai pris sur moi car je ne pouvais pas lui prouver qu’elle avait tord avant d’avoir fait mon affaire avec elle. Pour lui prouver ma bonne fois, je lui demandais ce que je devais faire si j’avais envie d’éjaculer. La question la laissa un moment sans réponse. Enfin, elle leva les épaules et me dit avec la plus grande franchise : « De toute façon, personne n’a de capote, alors… ». Ok, j’avais donc libre cours pour m’enfoncer dans le ventre d’Elise et lui arroser la partie la plus précieuse de son corps si j’avais mon excitation à son paroxysme. Pendant ce temps, Marielle et Louise commençaient à se caresser en étant assise en tailleur face à face.

Ma main se posa sur la toison d’Elise et je commençais à la caresser. Elise était en face des deux autres filles et elle pouvait, à son gré, les embrasser ou plus si affinité. Doucement, toute la scène commença à devenir de plus en plus chaude. Les deux filles, après s’être embrassées, se caressaient les seins et les embrassaient. A les voir comme ça, j’étais excité comme un fou. C’est dingue comme elles étaient dans une scène extra érotique. Avec la caresse sur le sexe d’Elise et les filles se donnant l’une à l’autre, Elise n’eut aucune difficulté à s’ouvrir comme une fleur. Quand mon doigt réussi à se glisser entre ses lèvres, je découvrit aussitôt un lieu chaud et humide à souhait. Mon doigt mouillé pu alors se promener sur son clitoris et jouer avec. Elise recommença à grogner et à gémir. Mon sexe était raide à me faire mal tellement le fait de jouer avec le sexe d’Elise et les deux nanas en face m’excitaient. Louise et Marielle avaient commencé à se masturber avec les mains. Chacune avait sa main sur le sexe de l’autre quand mon sexe entra dans celui d’Elise. Dans un grand mouvement lent, mon sexe glissa sans problème dans celui d’Elise. J’avais l’impression de m’enfoncer dans un gouffre sans fond. Elise eut un petit cri quand j’atteint la totalité de mes capacités en elle. Je commençais un retrait pour sortir un maximum de mon sexe en laissant juste la pointe du gland entre ses grandes lèvres. Louise et Marielle gémissaient de concert avec un rythme de plus en plus fort quand je me ré-introduisit dans Elise. Par rapport à la position où Elise gigotait sur moi comme si elle avait les doigts dans la prise secteur, là, elle ne bougeait pas d’un pouce et était devenu de marbre. En jetant un œil sur les deux autres nanas, je vis les filles s’enfoncer chacune un côté du gode en elle.

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Guest Sexapile33

Très beau quand le gode se glisse dans un sexe. Je vois pour la première fois de ma vie le sexe de la femme, s’écarter et gonfler au fur et à mesure que le sexe se remplit du membre. Chacune des filles arrêta l’enfoncement à mi parcours de la longueur disponible. Après un autre aller et retour dans Elise, Elise se pencha en avant et attrapa du bout des doigts le milieu du gode. Je voyais les toisons de Louise et Marielle en face à face : L’une avec ses grosses lèvres écartées et les chairs roses luisantes autour du petit tube, l’autre avec ses lèvres un peu moins prononcées mais tellement peu de poil que le sexe semblait avoir une forme ronde pour accueillir l’outil.

Elise commença à faire entrer le gode dans l’une puis dans l’autre à tour de rôle. Le rythme était lent et les filles écartèrent les jambes au maximum pour offrir à Elise la joie de les pénétrer à tour de rôle. Je ne sais plus combien de temps ce la dura mais, j’avais éjaculer dans Elise bien avant la fin de ce va et vient sexuel et mécanique dans les deux nanas. Le rythme s’était accéléré franchement et vers la fin, avant que Marielle n’éclate dans un orgasme de folie, Elise allait tellement vite qu’elle devait faire mal à l’une des deux, voire les deux. Je voyais clairement les visages des filles se déformer et je me demandais si c’était l’excitation ou la douleur. Quoi qu’il en soit, quand Marielle eut son orgasme, Elise retira presque aussitôt le gode des chattes et, comme dans un exercice bien ficelé de longue date, Louise et Marielle se rapprochèrent pour permettre à Elise d’enfuir son visage sur les deux chattes explosées. Elise était déchaînée et elle tournait son visage d’un côté à l’autre pour, sûrement, lécher les deux vulves ouvertes.

Moi, de mon côté, je faisais petit joueur et je tentais de suivre les mouvements d’Elise pour rester en elle et continuer à lui donner du plaisir. Chaque pénétration que je faisais était agrémentée d’un mouvement sur le côté pour frotter les parois d’Elise. Sans vraiment savoir si je réussissais à lui procurer un plaisir ou non, je continuais avec toujours autant de douceur au cas où un mouvement lui fasse mal. Aux mouvements de son bassin, j’avais l’impression qu’elle trouvait du plaisir dans ces caresses internes. Elle, qui était du style violente dans ses rapports, trouvait peut-être ici de l’érotisme, de la passion, du glamour dans une relation sexuelle pleine d’échanges et d’amour.

L’amour était un grand mot dans ce moment car les sentiments n’étaient pas vraiment nés. Seuls les plaisirs étaient présents et l’amour ne correspondait qu’au plaisir de donner du plaisir et de faire perdre pied à la personne d’en face. Alors que Marielle est Louise finissaient en se plaquant les sexes l’un contre l’autre pour se frotter très langoureusement, Elise les laissa tranquille et se concentra sur les mouvements de ses hanches pour me faire glisser en elle. Elle avait trouvé les mouvements lents d’une danse Indienne et elle avait changé ses grognements habituels par des gémissements très longs. Tel un cavalier de rodéo, j’avais la satisfaction d’avoir dompté une jument sauvage. Ca fait très égocentrique mais je préférais cet échange empli de sensualité et de douceur à la charge bestiale que Elise semblait être gourmande. Tout à mon affaire, j’avais aussi l’occasion de caresser les petits seins d’Elise. Je passais mes mains de son ventre à sa poitrine en contournant les tétons pour faire monter le désir et rendre frustrer cette tigresse. En fin de compte, j’attrapais ses pointes pour les caresser et les titiller doucement.

Sans vouloir me vanter, j’ai un sexe de bonne longueur. A mon avis, il est normal mais je sais qu’une de mes anciennes femmes me disait que je lui faisais mal en tapant au fond de son vagin. La conclusion m’était donc venu que mon sexe était de taille très honorable. Elise en profitait sur toute la longueur. Elle me faisait carrément sortir d’elle avant de me laisser glisser jusqu’à atteindre la garde. Les bruits de sucions donnaient une ambiance particulière à faire rire. Louise me rejoignit et m’embrassa sur la bouche. Elle était toute rouge et en sueur. Marielle se redressa aussi et regarda Elise qui était affalée sur le lit avec la croupe en arrière.

Je m’assis sur les talons et Elise se recula pour gérer elle-même le rythme de ma pénétration. De ma place, je voyais clairement mon sexe disparaître dans son corps. Marielle se mit à côté de moi. Avec les deux femmes à mes côtés et leurs poitrines rondes et lourdes en vue, mon excitation ne risquait pas de descendre. Je montrais aux filles mon sexe disparaître dans Elise.

Curieuses et vicieuses, elles se penchèrent pour se mettre à la hauteur de mon bassin pour regarder le sexe et les fesses d’Elise engloutir mon membre dur. Penchées en avant, j’en profitais pour attraper un sein de chaque fille dans mes mains. Chaque sein tenait juste dans ma main et j’avais loisir de jouer avec la forme et tout le poids. Elles restèrent comme ça quelques temps pour regarder leur copine faire l’amour. De mon côté, j’en ai bien profité pour jouer avec leur poitrine. Voyant les filles penchées en avant, j’en profitais pour quitter leurs poitrines et glisser sur leurs dos vers les fesses. Après une longue caresse sur le dos en englobant les fesses tendues en arrière, je conclu qu’elles n’étaient pas contre un peu plus !

Mes mains se glissèrent le long de leurs fesses pour atteindre leurs sexes. Pour Marielle, je trouvais aussitôt les lèvres écartées et la moiteur de son sexe. Pour Louise, mon doigt entra directement dans son vagin sans le faire exprès. Je sortis mon doigt de Louise et commença à caresser doucement les sexes ainsi offerts. Mes doigts jouaient avec le clito et caressaient avec beaucoup de tendresses les lèvres humides. Elles étaient bouillonnantes et je découvrais encore une fois les délices des glissades le long de ces canyons de plaisir. A part Elise qui continuait les longs mouvements en m’utilisant comme gode perso, personne ne bougeait à part les caresses de mes mains et les balancements de Louise et Marielle d’avant en arrière. Cette situation aurait pu durer des heures tellement c’était génial !

Elise, comme à son habitude, ne pu réfréner ses ardeurs et elle commença à partir en live ! Elle gémissait de plus en plus fort et cela allait de pair avec ses mouvements de plus en plus rapides. J’avais l’impression que Elise donnait le rythme à toutes les filles car les gémissements de Louise et Marielle donnaient aussi dans le tempo supérieur. En quelques instant, la scène d’un grand érotisme devint un grand n’importe quoi de sexe hardcore !

Elise recommença à grogner en tapant ses fesses sur moi pour me faire entrer avec beaucoup plus de force. Elle était redevenue la furie s’empalant sur un manche disponible. Inquiétante cette nana ! Elle se secouait tellement que mon sexe sortait complètement du sien et j’avais même peur que j’entre directement dans son anus sans avertissement. Sa chatte devait être tellement ouverte et trempée que j’entrais toujours directement en elle. A deux reprises, Elise eut mon sexe dans son anus. Sans entrer totalement, la force du mouvement d’Elise fit que mon gland pénétra en parti dans son petit trou. Elle ne semblait pas contre et elle ne fit aucune remarque. Pour ma part, je ne suis pas du genre à me glisser de ce côté !

A la troisième ou quatrième reprise où mon sexe arrivait à reprendre l’air, Marielle ou Louise, je ne sais plus attrapa mon sexe et le glissa dans sa bouche. A partir de ce moment, je me suis retrouvé avec les deux filles, que je masturbais toujours, prenant mon sexe en bouche. Un truc de dingue ! Elise ne resta pas en reste et se retourna assez rapidement pour les rejoindre. Elle avait le visage rouge avec les cheveux collés sur son front en sueur.

Les trois nanas m’avalaient à tour de rôle avec des bruits de bêtes fauves s’attaquant à une proie. Je n’irais pas jusqu’à dire que j’avais la trouille qu’elle me bouffe mon petit engin, mais au fond de moi, je pense que quelques signaux d’alerte s’étaient allumés. Quoi qu’il en soit, elles me donnaient une quantités assez extraordinaire de sensations et ce qui devait arriver, arriva.

Mon corps arriva à puiser dans les quelques réserves cachées en cas de guerre et une éjaculation me libéra de l’excitation extrême qui me submergeait. Une avalanche de spasmes électriques me secoua pendant que mon sexe recrachait le sperme vers les trois filles voraces. Je ne me suis même pas demandé si elles allaient aimer ou non ! De toute façon, rien n’arrêta leur repas autour de mon sexe. J’avais arrêté de caresser les sexes offerts car mon esprit était embrumé par l’excitation et je risquais de leur faire du mal avec des gestes inconsidérés.

Arrgghh, c’était merveilleux comme situation et, encore aujourd’hui, j’en garde un souvenir superbe.

Les filles semblaient se calmer un peu et c’est Marielle qui se releva et me dit :

- « A ton tour maintenant ».

- « Tout ce que tu veux ! »

Euh… Je ne savais pas de quoi elle parlait mais avec ces trois nanas, je ne pouvais m’attendre qu’à un truc de dingue. Marielle alla retrouver les deux autres filles qui s’occupaient toujours à me sucer le sexe. Un petit conciliabule autour de mon membre et les nanas se redressèrent pour changer de position.

Elise ne me regarda pratiquement pas alors que Louise me fixa avec un regard empli de tendresse et je dirais presque d’amour. Elle était en sueur comme les autres et quelques cheveux étaient collés sur son visage. En la regardant, mon cœur jouait du tambourin et je la trouvais vraiment splendide. Il y avait bien son corps nu qui m’attirait mais, à ce moment, j’avais dépassé l’étape des seins arrogants, de la toison attirantes et de son sexe bouillonnant, elle était comme un ange avec une aura l’enveloppant dans une lumière miroitante de douceur infini. En terme plus clair, je devenais amoureux de cette superbe fille. Son visage avait perdu toute l’arrogance que j’avais vu depuis notre première rencontre, elle semblait en paix avec la vie.

Notre contemplation fut vivement stoppée par Marielle qui demanda aux filles de suivre ses directives. Elle s’allongea sur le bord du lit, sur le ventre avec les genoux à terre. Cette position me laissait entrevoir une pénétration par derrière car elle avait les fesses bien cambrées et les genoux suffisamment écartés pour me laisser voir son sexe. Elise se plaça sur Louise, allongée aussi sur le ventre avec les jambes qui suivaient celles de Marielle. Pendant la mise en place, je ne faisais plus attention à Marielle et Elise, seule Louise m’intéressait et elle ne bougeait plus en attendant que Marielle et Elise trouve leur place avec un ou deux coussins. Marielle, qui semblait être la maîtresse femme en définitive, ordonna à Louise de se mettre en place.

Louise alla se placer au dessus d’Elise pour offrir aussi une vue imprenable sur son sexe grâce à sa croupe dressée au dessus de celles d’Elise et Marielle. Marielle me demanda de les lécher toutes les trois maintenant.

Comment vous dire la grande différence entre un site porno et ce que je vivais ? En fait, je crois qu’il n’y en a pas car l’ensemble de la chaleur corporelle, les odeurs, les goûts, les bruits font qu’il est impossible d’imaginer ce que cela peut produire en vrai. Quand je me suis trouvé devant le spectacle des trois chattes ouvertes devant moi, je ne vous raconte pas l’état d’émerveillement qui m’envahi.

J’adore le sexe féminin et je n’en ai aucune honte. Je trouve le dessin du sexe, les courbes, les détails d’une complexité allant très bien avec la femme. Tout dans cet organe donne plaisir à contemplation et chaque parcelle est concentré de terminaisons nerveuses donnant à la propriétaire un accès vers un monde infini de plaisir.

De ma place, je voyais les trois chattes. Celle de Marielle avec ses lèvres très prononcées qui donnaient une dimension spéciale à son vagin souligné par un rose vif et les quelques poils alentour. Elise avec sa touffe rousse autour de son petit sexe traçant un sillon comme une crevasse géodésique vu du ciel. Louise avec son sexe juste devant moi, ouvert comme un fruit trop mûr et appétissant à souhait. A choisir, c’est le sien que j’aurais choisi sans aucune hésitation.

Avant que les filles ne s’impatientent, je commençais par embrasser chaque vulves offertes. A chaque baiser, la fille propriétaire tendait les fesses et émettait un bruit en fonction du caractère. Je jouais à faire une chose après l’autre en découvrant l’effet que cela faisait sur trois filles différentes. Je m’étonnais de voir les réactions d’après le caractère de la personne et la zone touchée.

La pointe de ma langue touchait les clitoris tendus et les excitait. Chaque fille adorait cela et l’effet immédiat était des frissonnements du bassin et d’autres cris et gémissements.

J’adorais lécher ces jolis minous avec toutes les méthodes possibles. Ma langue se promenait sur toute la longueur de leurs fentes en me glissant entre les lèvres. Je prenais les lèvres dans la bouche et je les aspirais. J’avais envie de passer très rapidement d’un minou à un autre tellement la vision de ses sexes devant moi était excitant. Mes petits baisers devenaient de plus en plus gourmands et je finissais par poser ma bouche sur chaque sexe en ouvrant la bouche et en tirant la langue pour m’enfoncer entre les petites lèvres et titiller les chairs tendres. A chaque fois que je m’attardais sur une fille, elle gémissait assez fort pour me prouver que j’avais toucher les endroits sensibles et qu’elle adorait cela. Marielle était celle qui avait le plus de cyprine avec ses grosses lèvres et son sexe gonflé. Le sexe d’Elise était le plus petit et je pouvais le couvrir de ma bouche sans aucune difficulté. Celui de Louise était le plus doux et le plus beau. Il était clair que j’adorais de plus en plus cette fille.

La position des filles n’étant pas du plus agréable, elles se relevèrent et me félicitèrent pour ma belle prestation. J’étais assez content de mon travail. Marielle et Elise ne manifestaient pas plus de contentement que cela à part un gros baiser qu’elles me donnèrent sur la bouche. Louise s’approcha de moi et m’enlaça pour m’embrasser. Il y avait dans ces manières beaucoup d’amour et le fait qu’elle me prenne dans les bras semblait loin des scènes de cul que nous faisions depuis quelques heures. Louise glissa sa main vers mon sexe qu’elle attrapa doucement. Elle me chuchota :

- « Je te veux encore en moi… Allonge toi et laisse moi faire »

- « Gourmande va ! Mais moi, j’ai soif… » et c’est vrai que je crevais de soif avec tous ces ébats en file indienne.

- « Va dans la cuisine mais reviens vite »

Je profitais de mon voyage dans la cuisine pour prendre de la distance avec la chambre et les trois amazones. Le plaisir de boire un coup était vraiment plaisant car j’avais dépenser une quantité d’énergie assez effarante. Après deux bons verres d’eau, je retournais dans la chambre. J’étais complètement éreinté et je commençais à vouloir dormir plutôt que de remettre le couvert avec les filles. Elles étaient insatiables avec une puissance sexuelle que je ne pouvais pas soutenir. Comment ces trois petites nanas pouvaient avoir une aussi grande gourmandise de sexe alors qu’elles semblaient presque fragiles sur leurs vélos ?

En arrivant dans la chambre, Marielle et Elise avaient remis le couvert avec un gode que Elise s’efforçait de glisser dans Marielle. Louise ne participait pas et m’attendait avec patience. Dès mon entrée, elle se leva et alla à ma rencontre. Elle me demanda si ça allait mieux et je lui dis que j’étais vraiment crevé. Elle m’assura que je n’avais plus aucun effort à faire et qu’elle allait s’occuper de tout. Elle ponctua sa phrase avec un doux baiser sur la joue. Cette nana semblait vraiment m’avoir dans la peau.

La suite fut une fin pour moi car Louise m’allongea sur le lit et prit mon sexe en main pour le glisser en elle. Elle était très douce et notre rapport fut d’une très grande sensualité. Louise guidait mon sexe pour se faire du bien. Pendant que mon sexe servait encore au plaisir d’une femme, Marielle se mit au dessus de moi et frotta ses tétons sur mon visage.

Les seins de Marielle se balançaient en fonction des pénétrations effectuée par Elise. Ca m’excitait de voir les grosses gouttes formées par les seins pendus se balancer devant moi. De plus, Louise jouait avec vraiment une très grande douceur avec mon sexe qui commençait à être sensible à force d’avoir jouer toute la soirée. Marielle arrêta son jeu avec ses seins et retourna avec Elise dans un rapport entre filles. Louise en profita pour s’allonger contre moi et, enfin, avoir une position de couple amoureux. Elle m’embrassa sur la joue et sur la bouche. Me glissa au creux de l’oreille un « Je t’aime » suivi d’un gros soupir avant de coller sa tête sur le haut de mon épaule. Ses cheveux me chatouillaient et malgré l’odeur de sueur qui emplissait la chambre, je trouvais son odeur merveilleuse.

Louise prit ma main dans la sienne. Cette fille était extraordinaire et notre situation aurait pu être idyllique dans un autre endroit, seuls.

Alors que le lit était légèrement secoué par les jeux de Marielle et Elise, Louise reprenait sa respiration contre moi. Elle n’était pas allongée contre moi mais lovée. Nos respirations prirent un rythme commun et j’étais bien avec elle dans les bras. Nous étions en train de fusionner dans le plus simple appareil et sans un mot. Il est étrange comment deux êtres peuvent avoir la certitude qu’ils sont fait pour être ensemble. Dans ce moment, j’avais cette certitude que Louise et moi avions la vie à nous. Ce moment était magique et j’aurais voulu qu’il dure éternellement. Sa poitrine contre la mienne, nos jambes croisées et nos mains jointes, voilà l’image qui reste de ce moment car, ensuite, je me suis effondré dans un sommeil qui avait tardé à m’être autorisé.

Avec la lumière sur mes paupières, mon esprit commença doucement à reprendre vie. Toute la chambre semblait empli d’une énorme luminosité. J’étais encore fatigué. Entre ma chute d’hier et la méga partie de jambes en l’air, j’avais la tronche en vrac. J’étais allongé sous un drap avec un corps à côté de moi, blotti en boule contre moi. Je sentais une chevelure sur le haut de mon torse et une respiration très tranquille avec un rythme très lent. Doucement, en ouvrant les yeux, je voyais devant moi un mur ! Juste un mur ! En regardant la chevelure, je reconnu aussitôt celle de Louise. Elle dormait dans la position du fœtus, comme un bébé, recroquevillée au plus près de moi. Adorable chérie qui n’avait pas quitté mon côté durant toute la nuit. En bougeant, je pris Louise dans mes bras et elle s’allongea pour se coller à moi. Elle m’enlaça doucement tout en restant très calme. Nous sommes donc resté dans cette position longtemps et ce corps contre moi me donnait beaucoup de force, comme une pile accrochée à son chargeur. De temps en temps, j’embrassais la chevelure de cette fille merveilleuse. J’avais la sensation qu’à nous deux, nous ne formions qu’un.

Le matin et le corps chaud de Louise contre me moi me donna une belle érection mais j’ai laissé la pression descendre car je ne voulais pas détruire cet instant magique pour une vulgaire histoire de désir sexuel. Je ne savais pas où étaient Marielle et Elise. Elles devaient dormir de l’autre côté du lit. Je me foutais d’elles et j’avais Louise pour moi tout seul, c’était l’essentiel. Mon esprit de plus en plus alerte, je commençais à me demander comment allait se dérouler la suite de cette aventure. Pour le moment, la maison était calme mais après ? Les filles allaient-elles avoir encore le feu dans le corps ou allais-je être obliger de rentrer chez moi à pieds… Euh… En Roller avec mes habits en sang ! J’étais coincé entre deux envies. Celle de fuir avec Louise pour tenter de créer quelque chose ensemble. Celle de profiter de la situation et de baiser jusqu’à la mort. Sans vous cacher mon désir le plus profond, le premier choix m’intéressait au plus haut point.

Derrière moi, ça commença à bouger. Une fille se leva et alla aux toilettes. Je restais immobile au maximum avec l’espoir de me débarrasser des deux autres nanas pour garder Louise qu’avec moi. Après un court moment, une deuxième fille sorti de la chambre et eu la gentillesse de fermer la porte de la chambre. Génial ! J’étais seul avec Louise. Ma petite Louise…Maintenant que nous étions seuls, je pouvais lui caresser la peau douce à ma guise. Juste à l’endroit où ma main se trouvait, et avec un ou deux doigts, je caressais cette belle demoiselle. Louise ne dormait pas car elle me dit :

- « Elles sont enfin parties ! »

- « Ben… Tu ne dors pas ? »

- « Non, ça fait un moment que je suis réveillée mais j’attendais d’être seule avec toi »

- « Tu as bien dormi ? »

- « Ohhh oui ! J’étais morte ! et toi ? »

- « Ouaip ! J’ai dû défoncer une latte du sommier tellement j’ai écrasé ! »

- « Dis donc, tout à l’heure, tu m’a semblé en forme pour un gros câlin où je me trompe ? »

- « Le matin, c’est le porte drapeau mais je ne voulais pas forcément refaire comme hier ! »

- « Tu n’as plus envie de moi ? »

- « Oh si ! Mais avec du respect et des sentiments, pas comme des bêtes ! »

- « C’est gentil d’avoir des considérations de la sorte. Avec les filles, on généralise les mecs comme des obsédés sexuels dénué de sentiment »

- « Avec toi, c’est en train de devenir spécial et je suis loin d’être un mec qui saute sur tout ce qui bouge »

- « Hier, c’était un peu ça quand même ! »

- « Oui, je dois bien l’avouer mais ce n’est pas dans ma nature. Ce que j’ai fais hier correspondait à quelques fantasmes mais en réalité, les seuls vrais plaisirs que j’ai apprécié hier ont été avec toi »

- « … C’est gentil… »

- « C’est sincère »

- « … »

Louise se plaça encore plus contre moi et poussa un grand soupir. Sans le vouloir, mon érection ré-apparu et j’étais gêné de cette réaction non contrôlée. Louise dû sentir la grosseur de mon sexe contre son ventre et elle approcha son bassin du mien pour se frotter. Sans un seul mot, elle releva une jambe et glissa sa main sur mon sexe. En quelques mouvements silencieux et très doux, mon sexe entrait en elle sans aucune brutalité, sans aucune arrière pensée sale ou dégradante. Louise ondula son bassin et nos respirations s’accélérèrent. Cette danse sensuelle me fit exploser au fond du ventre de Louise alors que Louise m’embrassait partout sur le visage. Sa jambe se replia derrière mes fesses et elle s’accrocha à moi pour me garder en elle. Notre étreinte était forte et délicate à la fois. Louise, dans quelques soupirs me dit plusieurs fois « Je t’aime » et je ne pus que lui répéter la même chose. J’avais l’impression d’avoir trouvé mon âme sœur. J’étais tout simplement bien.

Les bruits de la maison devenaient de plus en plus distincts. Après les bols dans la cuisines, ce fut la douche et quelques portes qui s’ouvraient et se fermaient. Je proposais à Louise de bouger mais elle râla en disant qu’elle ne voulait plus bouger tellement elle était bien. Je devenais pragmatique en lui disant que je devais rentrer chez moi pour me changer. Elle acquiesça et se sépara de moi. D’un seul coup, je me retrouvais l’esprit un peu plus alerte et complètement à poil. Alors que Louise attrapait dans un petit placard une culotte et une boite de protège slip pour se rendre un peu plus présentable, je lui dis :

- « Euh… Je suis à poil et je n’ai aucune affaire à me mettre »

- « Je peux te prêter une de mes culottes ! » Dit Louise en riant franchement de ma situation

- « Non, sans rire, mon slip est dans la salle de bain et je n’ai pas envie de me balader chez toi à poil avec Marielle et Elise. »

- « T’inquiètes pas pour elle, elles ne mordent pas ! Tiens, prend mon peignoir, ça cachera l’essentiel »

Elle me tendit un peignoir avec une grande orchidée violette et mauve dans le dos. N’ayant que ça à me mettre, je ne faisais pas le difficile. Louise pouffa en me voyant accoutré de la sorte. Louise étant plus petite que moi, je vous laisse imaginer mon allure avec une robe de chambre qui fermait avec difficulté et qui s’arrêtait bien au dessus des genoux. Une rapide vérification dans la glace de l’armoire me confirma que rien ne dépassait.

Sorti de la chambre, nous avons trouvé Marielle dans la cuisine prenant son petit déjeuné. Un regard se posa sur Louise et moi avec une sorte de colère, ou de gêne. En tout cas, la gêne était pour moi car elle ne décoinça aucun mot, pas même un ‘bonjour’. Louise me demanda ce que je déjeunais et elle me prépara deux tartines avec de la confiture. Elise revint de la salle de bain et eut juste un hochement de la tête comme signe de bienvenue. Marielle se leva et alla dans la salle de bain toujours sans un mot. Avec Louise, nous nous faisions de petits clin d’œil en cachette. Je ne comprenais pas trop ce qui se passait. La veille, toutes les filles s’étaient montrées, données et m’avaient utilisé pour tous les jeux sexuels qu’elles voulaient faire. Ce matin, c’était la douche froide avec des attitudes assez hostiles. Je sais que les nanas ne sont pas simple à comprendre et j’en avais encore une preuve flagrante devant les yeux.

Après le petit déj’, Louise me remontra la salle de bain en faisant un état des lieus de mes fringues et de mes blessures. Elle me proposa de me remettre de la pommade. Cette proposition nous fit nous regarder avec intensité. Les souvenirs de ses caresses, de notre première conversation et de notre première rencontre charnelle nous fit réagir de la même manière. Une sorte de connivence ou plutôt de complicité existait déjà entre nous. Elle me dit que c’était uniquement pour les blessures et ma réponse fut toute aussi fausse en répondant que cela me paraissait évident. Avant de quitter la salle de bain, Louise m’embrassa d’un long baiser amoureux. Seul pour la deuxième fois dans cette salle de bain, je repensais à la même situation la veille vers la même heure.

24 heures de ma vie et une multitude de choses s’était passée. Une chute assez rude, une femme et moi comme un coup de foudre, l’amour avec trois femmes en même temps, mon cœur qui battait la chamade au contact de Louise et… deux douches pour cadrer tout ça ! Le passage sous le jet d’eau fût assez agréable et je retrouvais figure humaine… Enfin presque car j’étais lacéré de partout et chaque griffure était soulignée par une boursouflure et un rougeoiement à la périphérie. En sortant de la salle de bain, je senti immédiatement qu’il se passait quelque chose. Louise me passa devant sans me regarder. Je mettais ça sur le compte d’une coquetterie quelconque sans vraiment y faire attention. Marielle et Elise étaient toujours dans le même état comme une sorte de mépris, une haine ou je ne sais pas quoi d’autre. Quoi qu’il en soit, les échanges d’hier semblaient être oublié, voire regretté. Je restais donc dans mon coin à essayer de me faire oublier.

Louise sorti de la douche avec l’air soucieuse. Cette fois-ci, je commençais à être inquiet pour Louise car elle avait perdu de sa joie de vivre et du bonheur qui l’inondait depuis notre réveille ensemble. Je voyais bien qu’entre les nanas, il y avait des regards échangés. Louise me proposa avec un sourire forcé de me raccompagner chez moi en voiture. J’acceptais en espérant que je puisse avoir des explications dans la voiture quand nous serions seuls. En quittant l’appart, je réussi à faire la bise à Marielle et Elise qui eurent l’air de faire un grand effort pour l’accepter. Je ne comprendrai jamais comment fonctionne une nana !!!

Dans la voiture de Louise, seuls, je tentais de savoir ce qui n’allait pas. Louise éluda la question et fit mine de rien. Elle résista jusqu’au moment où elle gara sa voiture. Cette fille représentait tout pour moi depuis la veille. Nous semblions être fait l’un pour l’autre. C’était évident ! J’aurais voulu la prendre dans mes bras et l’emmener loin de tous les soucis qui semblaient l’accabler. J’aurais voulu prendre ses soucis. J’aurais voulu trouver les mots pour lui dire à quel point l’amour que j’avais pour elle semblait énorme et près à faire effondrer des montagnes. Malgré tous ces sentiments et les mots qui se bousculaient en moi, je n’arrivais qu’à sortir des idioties sans queue ni tête. Louise m’arrêta et me dit :

- « C’était bien mais nous ne nous reverrons plus ! »

Elle aurait pu me jeter des braises sur le corps que ça aurait eu le même effet. En une fraction de seconde, l’univers que j’élaborais pour elle, pour vivre avec elle, pour être avec elle, pour ne faire qu’un, … tout explosait avec une force destructrice incommensurable.

- « … Pourquoi ? »

- « Ma vie est comme ça »

- « Non, ta vie est ce que tu veux en faire »

- « Je ne veux rien en faire »

Je regardais Louise avec une grande insistance pour comprendre dans ces gestes, ces yeux, ces mots d’où venait le problème.

- « … Mais c’est de la connerie ! »

- « Non, je ne suis pas faite pour vivre avec un homme. C’est tout »

Je commençais à sentir la colère en moi monter.

- « Mais ce matin, dans le lit, nous étions bien… Tu étais bien »

- « Je voulais juste un souvenir. C’est tout »

Je refusais d’y croire. Mon esprit tournait à pleine vitesse pour trouver quoi faire, quoi dire. Mon cœur était serré et j’avais du mal à respirer tellement cette situation était fausse. Il y avait de la tricherie dans tout ça mais je ne savais pas d’où elle provenait. Soudain, je pensais aux deux autres nanas et leurs regards du matin.

- « C’est Marielle et Elise ? »

- « Mais non… On ne se reverra plus jamais. C’est tout »

- « Mais arrêtes avec tes « C’est tout ». Hier, c’est récent, je le sais mais je sens qu’entre nous, il y a quelque chose de fort. S’il te plait, crois-y. »

- « Non, arrête, il n’y a rien. Va t’en s’il te plait et ne viens jamais chez moi. »

Elle me tuait. En moi, c’était le bordel le plus total. La colère et la tristesse dévastaient tout en moi. Je ne comprenais rien. Sans même m’en rendre compte, je chialais et ma vue était brouillée. Je voyais bien qu’elle ne pensait pas ce qu’elle disait mais j’étais bloqué, interdit. J’eut juste la force de lui demander :

- « C’est vraiment ce que tu veux ? »

- « Oui… Va t’en… S’il te plait »

Détruit, je suis descendu de la voiture. Détruit est vraiment le mot car Louise était restée maîtresse d’elle sans laisser une larme qui aurait pût me faire comprendre. Son visage était resté impassible. Avant de refermer la porte de la voiture, j’ai demander une dernière fois si c’était vraiment ce que son cœur voulait. Comme seule réponse, elle me demanda de fermer la portière. Aussitôt la portière fermée, elle démarra sur les chapeaux de roue et sa voiture disparue juste après le tournant. Je restais sur le trottoir, complètement soufflé. Mon allure extérieur correspondait aussi à mon allure intérieur.

Après coup, j’avais une multitude de paroles à dire à Louise. Je refaisais la scène une, dis, mille fois en tentant de simuler toutes les options qui m’étaient données. Je ne sais pas combien de temps je suis resté sur le trottoir, seul et abandonné. Si une vieille dame ne s’était pas inquiétée de mon état, j’y serais encore. A plusieurs reprises, elle me demanda si j’allais bien. J’ai tourné mon regard vers elle sans vraiment la voir et j’ai marmonné je ne sais quoi avant de me diriger en chaussette avec mes fringues déchirés et ensanglantés, et mes rollers à la main vers mon appart comme un automate.

Toute la journée, j’ai revécu ces 24 heures et les derniers instants avec Louise. Je n’ai rien compris.

J’ai respecté la demande de Louise de ne pas chercher à la revoir. Je passais mon temps à regarder par la fenêtre à chaque voiture qui passait dans la rue. Je m’attendais à la voir venir en courant et se jeter dans mes bras. Très loin du désir de cul, je voulais simplement retrouver Louise et apprendre à la connaître. Je me suis demandé des milliers de fois ce que j’avais fait pour qu’elle décide de ne plus vouloir me revoir. J’ai accusé le monde entier. J’ai attendu patiemment qu’elle réfléchisse et qu’elle revienne. Rien !

J’ai refais du roller avec l’espoir fou de la croiser sur la piste. A chaque fois que je passais à côté du tournant où j’étais tombé, je voyais encore la trace de ma chute et une foule de souvenirs m’obligeait à m’arrêter. Je pleurais comme un gosse sur le bord de la piste. Je priais n’importe quel dieu pour me rendre celle qui aurait du être à mes côtés.

Petit à petit, les ronces reprirent possession du trou sur le bord de piste. La nature effaçait un épisode de ma vie comme si jamais rien ne s’était passé. La joie de vivre m’avait quitté et il n’y avait pas grand chose qui m’amusait. Je cherchais Louise partout sans jamais la reconnaître. Un jour, j’ai craqué et je suis allé à son appart, juste pour savoir que je n’avais pas rêvé. Juste pour la croiser. Juste pour forcer le destin. J’ai attendu trop longtemps pour le faire et je m’en veux encore aujourd’hui. Pourquoi avoir attendu comme un lâche dans mon petit malheur alors que j’aurais du me précipiter chez elle et lui dire qu’elle était tout pour moi dès notre premier regard.

En arrivant en vu de son appart, à pied, je suis devenu transi de peur. Peur de devoir affronter une situation où les mots ne représentent jamais vraiment ce que l’on veut dire. Je me suis battu pour avancer vers l’escalier où Louise avait retiré mes rollers et où j’avais aperçu sa poitrine pour la première fois. Je me suis caché. J’ai surveillé. J’ai espionné. Rien ! Sur les boites aux lettres, pas de Elise, Marielle ou Louise, pas d’infirmière. En trichant pour entrer dans l’immeuble, je suis arrivé sur le palier et j’ai tout de suite vu qu’il y avait des changements. Le paillasson était changé. Le petit logo sur la porte était changé. Le nom suivi de ‘et leur enfant’ m’achevait.

Chaque jour, je garde espoir que Louise revienne. Je l’attend en m’efforçant de garder son visage en moi. Son absence devient un peu plus supportable mais je sais que Louise pense à moi. Je ne peux pas concevoir que les 24 heures passées ensemble n’ont été qu’un plan cul juste pour utiliser un mec comme gode et le jeter ensuite. Il y avait quelque chose de plus. Quelque chose de fort s’est mis en place et je suis convaincu qu’elle garde en elle mon empreinte.

J’ai fait des recherches sur Internet et j’ai retrouvé son nom dans les anciennes pages jaunes. Un nom et une adresse. J’ai écrit des dizaines de lettres, aucune ne m’est revenu. J’espère que la poste travaille bien et que mes lettres ont atteint leur objectifs. Dans ces lettres, je dis à Louise qu’elle représente mon avenir et que je l’aime. Si seulement elle pouvait en recevoir juste une…

Je ne déménage pas. Elle reviendra.

Signé : Pascal

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Guest Calynette

J'ose dire un mot.... me sentant démunie devant ton chagrin, ta peine.

Je sais ce que c'est de souffrir dans l'espoir de quelque chose, alors que dans le fond, on sait que rien n'arrivera.

Je te souhaite de retrouver ta sérénité Pascal.

Je ne te dirai pas de sottise comme, une de perdue 10 de retrouvées... L'amour frappe bien souvent d'une manière si virulente, que dans ces moments là, on est totalement débousolé, pri au dépourvu. Je ne te dirai pas non plus qu'elle s'est jouée de toi, ça personne ne le sait a part elle.

Courage Pascal.... :police:

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Ton texte est asolument splendide et émouvant.

Je suis vraiment resté accroché jusqu'à la fin. Tu as vécu quelque chose de tellement intense et tu l'a retranscrit vraiment bien. Le tout mélanger avec une pointe d'humour, beaucoup de tendresse et de tristesse.

Je ne peux que comprendre ce mal être que tu ressent et j'espère vivement que tu retrouvera ta joie de vivre et ton entrain!

Courage Pascal et encore merci pour un texte aussi fabuleux.

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Guest Sexapile33

Merci de vos encouragements mais rassurez-vous, ceci est une fiction.

La fin est avec un espoir que chacun a pu vivre un jour... puis le temps passe et la vie reprend le dessus.

Chacun vie avec ses bagages et ses souvenirs.

Dans cette histoire, j'ai voulu finir avec un sentiment d'innachevé. :police:

Perso, je sais au fond de moi que cette histoire finira bien, ils se retrouveront et auront une belle vie. :wink:

Pour les quelques fans de mes grandes histoires, mon idée initiale était que Louise se soit battue contre ses copines pour lâcher le micro-monde où elle vivait. Elle décide de quitter sa fratrie pour rejoindre l'amour de sa vie et trouver la sérénité dans un amour total.

:doh:

A bientôt

Pascal

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:police: :wink:

Bravo! l'écriture est thérapeutique, et tu dois être bien blessé pour parler ainsi. C'est agréable et passionnant de te lire. C'est profond;

comme toi, j'aurais souhaité que Louise choisisse l'amour, plutôt que la soumission.

Beaucoup de colère dans ce récit. Une profonde incapacité à recevoir de la douceur pour élise, elle aussi trés touchante. cette colère, comme je la connais!

C'est trés difficile d'être en amour, avec soi, son corps, les autres.

Merci;

Aurore

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Guest Calynette

Je suis bien aise de savoir que ce n'est que fictif... N'empeche, comme le mentionne Serpentine, pour écrire un texte de la sorte, faut avoir souffert.

Il est vraiment beau ton récit.... l'escalade entre l'amour qui nait et la folie du sexe...sublime tout en retombant cruellement sur terre.

Entre la raison et la déraison parfois on en perd le nord. Pas simple pourtant d'abandonner quand on a la sensation de vivre quelque chose d'intense.....Alors on persiste...a tort ? A raison ? Ça, seul l'avenir nous le confirme. :police:

Bravo Pascal...

:wink:

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Comme je me doute, mais pour pouvoir écrire des émotions aussi forte et nous les faire ressentir de la sorte, comme cela a été préciser auparavant, il a fallut que tu vive quelque chose d'assez intense.

En tout cas je suis complètement fan de ton magnifique récit... A quand le prochain? :oops:

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Guest Sexapile33

J'écris la suite...

... Je ne supporte pas les fins inachevées, alors... J'achève !

Pour celles et ceux qui aiment les descriptions et les sentiments, vous allez être servi car je me lâche !

Bises

Pascal

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Guest Calynette

J'ai hate de lire la suite.... :) :wink:

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Guest Sexapile33

Ne supportant pas de laisser une fin de récit sans happy-end :roll: , je me devais de réparer la chose. Je crois avoir réussi. Bonne lecture.

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Chaque jour ne se passe sans que j’ai une pensée pour Louise. Ma petite Louise, ma dulcinée, mon amour, ma vie.

C’est complètement idiot d’être à ce point addicte d’une personne qu’on a connu uniquement pendant 24 heures. Certes, ces 24 heures ont été d’une folie furieuse avec la découverte de l’amour physique entre et avec 3 filles, mais pendant ces 24 heures, j’ai aussi été happé par une nana qui m’a envahi le corps, le cerveau et le cœur.

Je n’arrive pas à me raisonner et quoi que je fasse, Louise est toujours présente en moi et absente à côté de moi. A chaque situation vécue, je ne peux m’empêcher d’imaginer de la partager avec elle. C’est dingue mais je ne peux pas faire autrement. Que ce soit la semaine, le week-end, pendant mes sorties de sport, mes voyages et tout ce qui touche à ma personne, j’ai l’impression de vivre une vie parallèle et virtuelle avec Louise. J’en viens à imaginer les dialogues que nous pourrions avoir, les choix en commun et les rêves que nous pourrions avoir. Ca fait mal quand je me réveille de cet état second et que je m’aperçois de ma solitude. Le temps passe et j’arrive difficilement à retrouver un équilibre de vie classique.

Je ne peux pas me promener dans la rue sans m’empêcher de chercher dans les femmes croisées le visage de Louise. J’ai toujours le fol espoir de la retrouver à la croisée d’un chemin ou dans les rayons d’un magasin quelconque. J’ai vu Louise une seule fois habillée et j’ai donc du mal à l’imaginer dans un style différent de celui que je connais. Comment pourrait être sa coiffure ? Comment reconnaître sa taille et sa silhouette dans la foule ? Où peut-elle vivre ?

Je ne me demande même pas avec qui elle peut vivre car cela ne m’inquiète pas du tout. J’ai la certitude qu’elle m’attend. Du moins, je suis persuadé qu’elle attend le moment de me rejoindre. Je ne sais pas pourquoi mais c’est une évidence pour moi. De temps en temps, je me prend pour le dernier des imbécile tellement j’ai l’impression de vivre un roman à l’eau de rose ! Comment, moi, un homme ayant déjà vécu l’amour et les sensations associées, je peux en être arrivé à ce stade ? Je ne me comprend pas !

Cela fait déjà presque 1 an que j’ai vécu ma fabuleuse aventure avec Louise et ses copines. Mes lettres me reviennent depuis maintenant 6 mois et mon espoir de revoir Louise un jour s’effondre jour après jour. Quelque part, le fait que mes lettres me reviennent m’aident à prendre la décision d’oublier Louise. Je me force à reprendre ma vie en main. Je tente régulièrement de rencontrer d’autres personnes, de faire des sorties. Je commence même à regarder des filles presque sans penser à Louise. Presque…

Lorsque je fais du Roller sur la fameuse piste cyclable et que je passe à l’endroit où je m’étais vautré dans les ronces, je ne peux m’empêcher de m’arrêter. D’une part, ça me sert de moment de repos mais cette fausse excuse cache aussi une sorte de besoin, de pèlerinage, de recueillement. Il y bien longtemps que la nature a repris sa place et tout est devenu purement un souvenir. A chaque fois que je repars, j’ai l’impression d’avoir pris la ferme décision de passer à autre chose, de continuer à vivre, d’avancer dans la vie sans être accroché à un souvenir, une image, un rêve, un espoir impossible. J’y arriverai…

8 mai. Ca y est ! Nous voilà au 8 mai ! 1 an jour pour jour. L’anniversaire. Le premier. Celui qui doit être le dernier car je dois passer à autre chose. Je refuse de laisser une journée de ma vie et la rencontre fugace d’une personne me coincer le reste de mon existence. Je décide. C’est dur mais je décide. Aujourd’hui, je vais faire mon dernier pèlerinage sur le lieu de ma rencontre avec Louise et je vais lui dire « adieu ». C’est une décision qui doit être ferme. Je chausse mes rollers qui gardent toujours quelques traces de la chute ou est-ce une idée ? Le prochain week-end, j’irai les changer et les foutre à la benne pour ne plus rien avoir qui me rattache à ce jour que je commence à maudire. Adieu Louise…

Je roule sur la piste cyclable en appuyant sur les quarts. Rien à voir avec ce fameux jour car je suis sûr de moi. Je maîtrise mes gestes. Je gère correctement chaque mouvement. Je suis maître de ma destinée. Je tourne en boucle dans ma tête le fait que je suis le seul maître de ma vie et j’use de la méthode Coué pour motiver mes décisions. J’entame la longue ligne droite pour la dernière fois. Oui, la dernière fois car, ensuite, je changerai d’itinéraire et jamais, je ne reviendrai sur cette piste. Jamais, je ne retournerai vers l’ancien appart de Louise. Jamais plus. Jamais…

J’anticipe le tournant et, doucement, je laisse mourir mon élan jusqu’à mon pèlerinage. Un petit demi-tour pour casser ma vitesse et je m’arrête dans un petit tourbillon pile sur le lieu hanté. Je me retourne et personne ne peut me voir, ni m’entendre. Comme un fou délirant seul, je parle à voix haute et dit adieu à Louise. Je la libère de moi ou plutôt, je me libère d’elle, ce qui serait beaucoup plus vrai ! Je lui demande pardon d’être resté accroché à elle. Pardon de l’avoir aimé comme un fou au delà du raisonnable. Pardon de l’avoir traité comme un bout de chair que l’on prend et qu’on jète. Pardon… Mais, n’est-ce pas à moi que je dis « pardon » ? Pardon de m’être détruit pendant un an avec une image souvenir. Assez… Je repars vers le bout de la piste et j’accélère au maximum de mes capacités. Je dois la faire partir de ma tête… Oublier…Vivre…

J’arrive au bout de la piste qui se termine avec l’intelligence d’un bureaucrate à la fin de ces heures de travail ! Un bout d’asphalte qui s’arrête d’un coup juste avant… rien. Un peu comme ma vie depuis un an ! Le parallèle est rigolo et je fais demi-tour pour continuer la piste de ma vie. Le retour est plus léger. Je regarde la nature, les maisons, les animaux, … Je vie le moment sans contrainte… C’est bon ! Le petit passage dans les bois arrive, je m’amuse à zigzaguer en prenant un plaisir à voler au dessus de mes roulettes. Je ne me force presque pas à ignorer le bord de piste et je passe librement. Librement… Librement… Mais !

Une alerte vient de s’allumer ! Une tâche ! Une erreur ! Un mystère qui me fait me retourner tellement vite que je risque de perdre la stabilité et de me précipiter dans une nouvelle chute. Là ! Sur le bord de la piste, à l’endroit même où… Je m’arrête dans un Slide impeccable et regarde de loin cette bizarrerie. Non ! A mon précédent passage, il n’y avait rien ! Dans ma tête, un conflit commence. « Pars ! » me dit ma raison, pars loin et accepte ta décision, retourne toi et avance dans ton avenir. Oui… Non… Ah ! merde ! Je veux savoir et j’avance comme un automate vers cette tâche de couleur qui gêne mon équilibre mental. Une rose…

Une rose est posée sur l’endroit même de mon pèlerinage ! Une belle rose d’un rouge vif avec un petit ruban de tissu accroché sur la tige. Est-ce mon imagination ou non ? Une erreur ? Le hasard ?… Trop gros ! Je n’ose toucher cette fleur de peur qu’elle ne s’évanouisse, ou s’enflamme en me consumant tout entier. Qu’est-ce que c’est que ce truc ? C’est forcément le hasard ! Mais est-ce possible que ce soit aujourd’hui que le hasard me joue ce tour ? Ma main s’avance et touche du bout des doigts cette fleur. Je suis à genoux sans m’en être rendu compte. Un robot ! Je suis un robot qui obéi aux ordres de mon inconscient sans aucun contrôle. Je prend la fleur et la lève doucement comme si elle allait tomber en poussière. Le petite voix qui crie « Pars » est devenu aphone et regarde avec moi cette fleur. Serait-ce possible que…

En soulevant la rose, le ruban se libère d’un pli et laisse apercevoir quelques écritures. Curieux, je déplie le ruban et lit. Une décharge dans tout mon être ! Un frisson ! Un voile devant les yeux… non, des larmes ! Quelques lettres manuscrites, une dizaine de petites lettres et je chiale comme un gosse à qui on a écrasé son jouet préféré. Je frotte mes yeux et relis le tout petit mot écrit d’une écriture arrondie et très lisible. « Je t’aime ». Le sens du hasard s’évanoui. Il n’y a pas de hasard, juste un destin écrit auprès de qui, l’homme n’a aucun pouvoir. Mon esprit est dans une brume épaisse. Toutes mes idées, mes certitudes, mes soi-disantes décisions, tout s’entrechoque, tout explose. Un feu dans la tête. Un éblouissement. Un blanc intense puis une idée. Une idée représentée par un mot unique, puissant. Une évidence dans un prénom prenant une importance encore jamais atteinte. « Louise »…

Je me réveille et tout mon organisme trouve une force cachée. Je me sens bien, grand, puissant, décidé. Un seul objectif. J’ai quelques secondes pour réfléchir et faire les bonnes réactions, les bonnes conclusions, les bonnes actions. Ai-je vu une personne sur la piste en venant ? Non ! Conclusion… Pas de retour sur mes pas. Combien de temps ai-je mis pour faire l’aller-retour ? A peine 20 minutes, donc il me reste à peine 5 minutes pour foncer sur le début de la piste, là où la route peut permettre à une personne à pied de reprendre sa voiture et disparaître. Action… Je me lève d’un bond et efface mes larmes d’un revers de manche revanchard. La rose ? Je la jète dans les ronces, là où personne n’ira me la prendre. Là où est le vrai endroit de pèlerinage. Je fonce…

Je vole à la franche limite de la chute. Je regarde loin mais rien ne ressemble à une silhouette humaine. Plus vite ! Plus vite ! Cette ligne droite n’en fini pas ! Je rage de ne pas avoir une fusée accrochée à chaque patin pour aller plus vite. Si j’avais le pouvoir d’arrêter le temps, je pourrais figé le moment présent et prendre le temps de fouiller chaque recoin de la région pour trouver le coupable de ce dépôt à l’endroit le plus important de ma vie. Ma vie ! Cette petite ligne dans l’existence du monde ! Cette poussière dans l’univers ! Je me défonce le souffle et mes forces pour me battre à rendre ma poussière de vie plus belle, plus différente, plus idéale. Au détour d’une longue boucle, je crois avoir aperçu quelqu’un, quelque chose mais une habitation me cache rapidement la vue. Je construis de mémoire la topologie de la piste, une carte se dessine rapidement et je tente d’anticiper toutes les solutions pour piéger ma cible…

J’atteins la maison qui me cachait l’image fugitive et je me retrouve devant ce que j’avais peur. Deux directions possible. La fin de la facilité. Le début du choix. Ce fameux choix qui pousse au deuil de l’un des deux. Non ! Ce n’est pas un choix, c’est une alternative, un conflit intérieur intense et, surtout, une décision à prendre… La bonne. A droite, un vélo s’échappe doucement. A gauche, rien mais la vue est courte. Je vais à droite à pleine vitesse et ensuite, on avisera. Je démarre avec l’accélération la plus fantastique jamais réalisée. Le vélo est ma cible. Pas de robe au vent. Juste un jean et mon approche à une tendance à faire monter en moi une colère immense. J’ai envie de taper ce cycliste car il m’a fait perdre mon temps, mon précieux temps. Arrivé à sa hauteur, je freine et demande à l’homme si il a vu une autre personne sur la piste, une jeune femme seule ou non. Surpris par mon apparition, il réfléchi longtemps, trop longtemps et fini par hausser les épaules avec la réponse négative malheureuse. Vite ! Une autre décision… Une autre réflexion… La bonne ! S’il vous plait mon Dieu, la bonne ! J’en vient à prier…

Je freine et fait un demi-tour pour foncer dans l’autre sens et rattraper mon retard. Combien ? Deux minutes… Une éternité. Je suis en nage. Je dois être rouge et mon souffle commence sérieusement à me manquer. Je passe toutes mes réserves dans l’effort ultime pour accélérer encore plus vite, encore plus longtemps. Je rejoins le carrefour et attaque l’autre côté de la piste. Vite ! Cette piste arrive sur un parking et sur la route principale qui permet à chacun de s’enfuir dans sa vie, dans la ville, dans l’inconnu. La dernière ligne droite avant le parking. Personne en vue. Je rage ! Une rage tellement puissante que je pourrais mordre, hurler, tuer ! Je débarque sur l’espace du parking à pleine vitesse, au risque de heurter une voiture. Heureusement pour moi, rien ! Enfin… pas de voiture en mouvement ! Louise avait quoi comme voiture ? Un flou ! Vite… Rouge ! Elle était rouge ! La sueur et le souffle court m’empêchent de voir clairement mon entourage. Je tourne une fois, deux fois dans tous les sens mais rien n’accroche ma recherche vive. Pas de rouge ! Excepter ma colère qui passe à l’écarlate. Mon élan me donne la possibilité de faire un tour complet de ce petit parking mais rien de rouge. La détresse fait place à l’excitation. Je suis abattu. Mon esprit est vide, mon regard perdu dans un rêve, un espoir déchu. Un mouvement dans l’extrême limite de mon regard…

Deux tours de ce parking et rien de vivant. Une dizaine de voitures arrêtées et rien d’autre. Puis, ce mouvement. A droite, je tourne la tête. Vertige !

Un moment d’absence. Un arrêt dans ma vie. La planète s’arrête de bouger. Tout se fige. Je suis le mouvement dans cette immobilité et j’heurte un obstacle. Je tombe lentement. Tout est au ralenti et blanc. Perdu les bruits. Perdu les émotions. Perdu !

Blanc… Des fourmillements dans les membres, la tête. Un bourdonnement sourd écrase tous les bruits alentours. Je vole dans un nuage de coton sans arriver à me sortir de ce cocon. J’entend des sons qui ne veulent rien dire, qui n’ont aucun sens. Mes membres retrouvent le sens du contact. Je me réveille doucement… Les sons prennent un sens et mon esprit travaille avec une grande difficulté pour reconstruire la cohérence des informations reçues par les organes en phase de réveille. Une voix ! Oui… une voix. Le regard est toujours blanc. Les images n’arrivent pas. Je décide de bouger mais les membres ne répondent pas. Trop tôt ! Le temps n’a plus de valeur. Combien de temps dans ce nuage ? Aucune idée !

Les sons prennent décidément une forme très distinctes. On m’appelle. On me supplie de revenir. Mais, je suis là. Dans mon corps, je suis là. Pour les sens venant de l’extérieur, c’est autre chose ! J’ai l’impression d’arriver à bouger. Oui ! Je crois avoir réussi à bouger une main, ou une jambe. Ou est-ce quelqu’un qui me sert les membres et cherche à me réveiller. Pourquoi me réveiller ? Je suis bien sans aucune sensation désagréable ! Mais ça change, mes sens reviennent et avec eux tout mon esprit et mes sentiments intacts comme avant de partir dans ce monde reposant. La voix… Cette voix… Elle ressemble à quelque chose de connu mais quoi ? J’ouvre les yeux… Enfin, je crois les ouvrir… Le blanc est remplacé doucement par un flou coloré et mouvant. Le temps s’accélère et je reprend possession de mon corps. Je passe en revu mon organisme avec une check-list. Jambes : ok, ça bouge… Main, bras, dos, tête, … tout est ok ! Pas de douleur mais toujours ce voile devant les yeux. La voix ! Oui ! Je la connais !

Je prononce « Louise » mais mon oreille n’entend qu’un gémissement, un bruit sans consistance. Serais-je encore absent ? La douleur physique arrive, insidieuse, là, là et petit à petit, partout. Je manque d’air, je meurs, je me sens repartir dans les songes. Non ! Je dois reprendre conscience. Reprendre le contrôle. Je me concentre et tente de respirer. Je dois respirer. Est-ce moi ? Je ne sais pas mais un déclic en moi, ou une force automatique, ou ma force pure donne l’ordre à mes poumons d’agir. L’ordre est reçu, je respire. Non ! Je me gonfle tellement la respiration est puissante. L’oxygène revient. Deux. Trois respirations et tout mon organisme redevient fonctionnel. Je vis ! Les sons deviennent clairs. La douleur s’écarte doucement de moi. La vision… ça viendra…

Cette voix ! sans aucune difficulté, c’est la voix qui m’a accompagnée pendant 1 an. Si seulement je pouvais avoir l’image claire ! On me demande de sourire, de parler, de lever les bras. Est-ce une blague ou un exercice ? Est-ce un rêve. Je ferme les paupières mais clac ! Un vive douleur sur la joue me fais réagir. On m’engueule. On me secoue. Je suis là mais laissez moi revenir à mon rythme… Je le demande et mes oreilles entendent une vague phrase qui ressemble presque à ce que mon esprit vient de dire. Je le redis et la phrase devient plus audible. Maintenant, je dois appeler mon rêve. Vais-je avoir mon vœu exaucé ? Autant tenter ! mon esprit ordonne le prénom et mes oreilles entendent clairement « Louise ». J’ai réussi. Je suis revenu. Dans le même temps, le voile se lève sur mon esprit. Les connexions avec l’extérieur s’affirment. Je quitte mon petit monde intérieur pour revenir dans le monde réel, avec ses craintes, ses douleurs, ses espoirs… La vue s’éclaire et un visage s’affiche devant moi. Légèrement flouté, c’est un visage encadré dans une chevelure courte et noire. Ce n’est pas Louise… Ce n’est pas Louise… J’ai envie de retourner dans les limbes !

Quelqu’un pleur à côté de moi. J’entend des « oh, mon Dieu ! », « pitié ! », « pas ça ! », « S’il te plait ! ». Est-ce moi ? N’est-ce pas ce que je disais en boucle tout à l’heure… Tout à l’heure… Oui… Bien sûr… Je retrouve le fil de ma pensée. Je dois retrouver Louise ! Je dois repartir à sa recherche maintenant. Je tente de bouger. Ma tête me fait mal. Je regroupe mon énergie, j’ordonne, je crie des ordres à tout mon corps pour reprendre le mouvement. Je bouge doucement. Oui ! Je bouge. Je commence par ramener les jambes. Je ferme les yeux dans une concentration énorme pour garder l’influe de l’effort sur les mouvements. Je dois me relever et continuer ma quête. Trouver mon Graal.

Putain ! Ca pique ! Cette pensée idiote me fait sourire. Quel con ! Je sors d’une absence ou d’une chute, voire les deux et je me raconte une blague sous forme d’une expression nulle. Il n’y a vraiment que moi pour faire ce genre de bêtise. Je suis à quatre pattes et je reprend mon souffle. C’est dur !

« Pascal ? ». On m’appelle ? La voix et mon prénom associé entrent en moi et tire quelques neurones de leurs sommeil léthargique. Dis-donc, petit homme… Je crois qu’on te parle ! Une personne te connaissant t’appelle ! Réfléchis ! Trouves la réponse ! Evident ! J’ouvre les yeux et regarde le sol. Le gravier me regarde aussi étonné d’avoir été écrasé par ma carcasse encore bien atteinte et bien mal au point. Je parle : « J’arrive… »

Un dialogue peut-être ou suis-je seul dans un rêve complètement détaché du réel ? Non, c’est un dialogue puisque la douleur est là. A-t-on mal dans un rêve ? Non ! Je souffle. J’en ai marre de cet état à demi comateux. Je ferme les yeux. Je les ouvre. J’ai dû cogné la tête méchamment par terre ! Je pense au casque que je ne mets plus depuis quelque temps. Bêtise ! Mouvement lent de la tête à droite et à gauche. A droite, pas mal au cou. Vision de quelques arbres, une voiture garé au loin et personne. A gauche, pas mal au cou mais une baffe aux souvenirs avec un tissu posé sur le sol. Tissu imprimé de beaux motifs colorés avec les petits personnages tirés d’un songe quelconque. Le tissu… Ce tissu. Louise ! Tout me ramène à elle. Je dois regarder la personne prêt de moi. Je n’ose pas. Timidité ou peur ? Peur de trop d’espoir ! Peur de trop de peine si …

Je ferme les yeux et m’assieds. Je demande simplement :

- « Louise ? Est-ce toi ? »

Attente interminable… Le temps s’arrête encore une fois… Suis-je seul ? Etais-je seul depuis le début ?

- « Oui, bien sûr ! »

Soupir ! Soulagement ! Tout en moi se relâche. Fin de la quête. Objectif atteint. Je chiale comme un gosse. Vidé d’une attente de plus de 31 millions de seconde de ma vie à espérer ce moment. 31 millions de façons de vivre ce moment. 31 millions d’espoirs et de doutes. Une seconde suffit pour en effacer 31 millions. On me prend dans les bras et on me sert fort. Je suis le petit gamin que l’on console. Inerte. Ma vie va changer. Les plans vont se construire. Mes forces me reviennent et j’enlace ce corps en face de moi. Je ferme toujours les yeux de peur que tout s’efface si je les ouvre. Cette odeur. Cette chaleur. Ce corps. Je suis bien… Je suis bien. Stop ! Arrêtez le temps et gardez moi dans cette pose !

Mes sanglots sont accompagnés. Deux enfants pleurent. Deux fragilités se réconfortent. Deux vies se joignent. Deux veulent faire Un. Les « Je t’aime » succèdent à d’autres. Longtemps. C’est bon ! Je lui demande ? Oui, il le faut ! Elle ne doit plus partir. Cette fois-ci, elle reste avec moi. Je me battrai ! Jamais plus, Louise loin de moi ! Jamais ! Elle est ma pile, ma force, mon cœur, ma vie, … tout ce qui fait de moi un homme. Je n’ai pas honte de le dire. Sans elle, je ne suis rien ! Elle représente tout dans cet univers ! Sans elle, les couleurs sont froides. Sans elle, le bonheur est fade ! Sans elle, rien ne peut exister avec saveur. Sans elle, la vie n’a pas de sens. Elle restera avec moi et je me battrai. Les doutes reviennent… Je hais les doutes ! Si elle ne voulait pas ! Non ! je refuse cette idée. Je dois lui demander pour donner un revers à ce doute. Je regroupe un peu de courage et lui demande :

- « Tu restes avec moi ? »

- « Oh oui ! »

- « … Toujours ? »

- « Oui ! »

Alors, le doute… On fait moins le malin ? Je suis heureux ! Je dois la regarder et lui dire en face que je l’aime. Je suis grand. Je suis fort. Elle est avec moi ! Je desserre mon étreinte et la regarde. Mon Dieu qu’elle est belle ! Elle a les yeux rougis par les larmes qui envahissent son visage mais son regard a toujours la même intensité. Ce grain de peau si doux. Les pommettes gonflées. Les formes du visage et sa chevelure. Une couleur inconnue pour moi qui avait gardé la coupe et la couleur claire rencontrées l’année dernière. Je tiens ma vie dans les bras. J’en ai le souffle coupé ! Je lui demande :

- « Veux tu m’épouser ? »

Drôle de question mais elle est sortie comme ça. Sans réfléchir. Mon inconscient travaille à ma place. Il devait cacher cette idée depuis bien longtemps sans me l’avoir avouer. Il s’affirme maintenant mais je trouve que ce n’est pas bête comme question. Finalement, pour garder mon amour auprès de moi, c’est une solution. Louise… Ma Louise sourit. Non ! Elle rayonne comme un soleil. Son aura me chauffe le cœur à distance. Ses yeux se plissent doucement et ses lèvres s’ouvrent. J’enregistre chaque instant, chaque geste, chaque odeur, chaque couleur. Tout est enregistré dans un côté de ma mémoire qui gardera cet instant inoubliable. Louise prend son souffle. Elle ne réfléchit même pas avant de répondre à ma question. Je n’ai même pas le temps de me demander si ma question est trop abrupte. Elle répond d’un « Oui » qui ferait abattre toutes les armées du monde par le seul pouvoir qu’il porte.

Les oiseaux se sont remis à chanter. Toute la planète a recommencé sa reptation dans l’espace. La vie a repris son court. La vie ! Un petit mot de trois lettres mais un combat pour les mettre dans l’ordre que l’on veut. Pour moi, la vie est aujourd’hui belle chaque seconde. Elle a un sens maintenant. Louise et Pascal ! Ca sonne super bien ! Un couple qui se sera connu par une chute stupide en Roller et se sera concrétisé par une seconde. Etonnant mais tellement beau ! Chaque 8 mai, vous pourrez avoir une pensée pour le couple que je forme avec Louise car c’est un jour béni des Dieux. Certes, la première fois, j’ai fini avec le corps lacéré, griffé mais la découverte de Louise valait ce prix. La seconde fois, j’ai fini aux urgences avec une commotion cérébrale mais j’ai gagné la femme de ma vie.

La fin de journée aux urgences créer une autre urgence bien plus torride. Trois heures dans l’univers de l’hôpital nous met tous les deux dans un état d’attente insupportable. Nos regards se croisent. Nos mains ne se quittent pas. Nous avons chaud. Fait-il chaud ? Non ! C’est nous ! A chaque regard, notre désir augmente de façon logarithmique. Chaque minute, chaque seconde augmente notre amour. J’ai envi de la prendre dans mes bras. Je le fais mais je me force à la relâcher. Nous sommes dans un hôpital ! Dur attente ! Attente de nous retrouver. Attente d’une force extrême. Je scrute le corps de Louise et je la trouve belle. Mon souvenir n’avait rien perdu. Au contraire. Elle est plus belle que dans mes souvenirs. Peut-être plus marquée au visage. Je m’inquiète. Qu’a vécu mon amour ?

Le retour à mon domicile est d’une lenteur affreuse. Envi d’accélérer. Envi de forcer le temps. Arrivé chez moi. Les vêtements sont éparpillés entre la porte d’entrée et la chambre. Nous passons les deux jours suivants au lit sans nous quitter une seule minute. Régime pizza avec un appel au boulot pour indiquer une très forte fièvre pendant ces deux jours. L’amour dans toute sa force et sa splendeur. Perdu les copines. Perdu les folies de sexe. Perdu les déviances. Mais… trouvé l’échange. Trouvé les cadeaux. Trouvé l’unité. Avec le week-end, 4 jours à vivre ensemble. 4 jours de rêve à préparer l’avenir. Oui ! L’avenir. Il y en a un maintenant. 4 jours aussi à revivre l’année passée. 4 jours de tristesse et de joie. 4 jours durant lesquels mon amour pour Louise a atteint le firmament car elle mérite vraiment tout mon amour, toutes mes attentions et toute ma reconnaissance d’avoir eu le courage de revenir. Je l’aime.

Louise raconte le 8 mai. Puis le 9 et tous les jours suivants. Je vis avec elle ces moments durs. J’ai envie de remonter le temps pour être à ses côtés et l’aider. Elle me dit que j’y étais. Tant de souffrances que je comprend comment son visage peut être marqué. Elle est forte ma femme ! Je l’écoute. J’ai mal pour elle. Je souffre de ne pas avoir réussi à la retenir il y a 1 an. J’aurais dû. Non ! Impossible ! Elle était incapable d’accepter. Elle devait souffrir pour me revenir. Foutaise ! Je refuse cette idée mais c’est la seule d’après ses dires. Je l’écoute et je souffre.

Le fameux jour de notre rencontre. Elle m’avait pris pour un jouet, une expérience, un truc à essayer. La découverte charnelle avait déclenché en elle une avalanche de réactions et de sentiments jusque là inconnus. Elle avait pris cela pour un accident mais elle ne pouvait pas s’empêcher de s’approcher de moi. Elle me voulait pour elle. Etrange sensation d’attirance. La recherche des plaisirs physiques dépassée par une autre recherche. Une recherche charnelle mais par l’émotif et non le touché. Le début, dans un temps très court, d’une sorte de fusion entre elle et ce mec rencontré sur un chemin. Une sensation de sérénité au contact avec moi. Une réelle concordance, attirance comme deux aimants. Aucun mot n’avait été échangé, ou si peu. Les sens de chacun avaient travaillé pour lier ces deux êtres. Découverte inconnue mais tellement bonne. Première nuit à mes côtés où elle avait dormi parfaitement bien, l’esprit reposé et tranquille comme rarement elle avait eu. Cette première nuit, et la seule, elle l’avait revécu en rêve pendant toute l’année passée. C’était son trésor, sa lumière, sa bouée dans les coups durs. Rien ne pouvait effacer cette nuit. Rien ne pouvait effacer ce réveille à côté d’un être devenu cher. Comment, sans se connaître, sans se parler, on pouvait devenir lié à la vie, à la mort ? Nous rigolons de cette étrange situation vécue ensemble. Ce partage de sentiments et cet amour énorme et soudain entre deux inconnus. Nous nous prenons dans nos bras pour vérifier la réalité de cet instant tellement difficile à croire encore un jour plus tôt.

Louise me raconte ce lendemain horrible où son cœur s’en est retrouvé brisé comme jamais. La pression des copines pour jeter le jouet d’une soirée. Le début d’un refus et la force bien trop grande qui l’empêche d’avancer vers moi. Elle aussi a revécu cette séparation avec toute la peine reçue par mes mots. Elle aussi a regretté, chaque seconde, les choix de ce moment. Je me retrouve avec elle dans la difficulté d’avoir vécu seul avec un rêve. Ses mots me touchent car elle raconte les mêmes sentiments que ceux que j’ai vécu. Deux êtres inconnus s’aiment au premier contact. Deux êtres inconnus se séparent. Deux êtres inconnus vivent ensemble en rêve. Deux êtres inconnus se retrouvent. Un film ! Un livre ! Une histoire extraordinaire que j’ai l’impression de vivre avec ma Louise. Ca paraît tellement fou et improbable que j’en rigole. Non ! Louise continu l’histoire de sa vie et il n’y a rien de rigolo. Elle a vécu un an avec un amour caché au fond de son cœur et de sa tête. Les rares fois où elle en parlait, son environnement la raisonnait violemment. Aucune sortie pour elle. Aucune possibilité de vivre sereinement. Automate obligé de suivre la marche imposée. Vie sans saveur. Vie sans bonheur. Bonheur interdit. Abandon. Soumission. Tristesse et désespoir. Le malheur d’une vie détruite, annihilée, effacée. Un feu torride qui s’amenuise, se réduit, se meurt. Quelques fumeroles. Une chaleur devenant souvenir. Puis plus rien. Rien qu’un vague souvenir. Quelques traces noires que le temps se charge d’effacer. Et pourtant. Pourtant, toujours les cicatrices visibles. Après un incendie, il reste toujours des traces. Toujours un endroit marqué plus qu’un autre. Un endroit où le feu garde l’œil vif. Cet endroit où l’attente peut être longue mais où tout est possible. Un endroit où l’objectif de départ n’a pas été oublié. Un endroit où tout peut recommencer. Un endroit souvent oublié mais il suffit d’une étincelle. Une seule. Cette étincelle eut lieu trois mois auparavant.

Chez des amies, après une soirée entre filles torride mais où Louise ne trouvaient plus de plaisir. Un film d’amour impossible comme les américains savent les faire. Toujours pareil ! Mais là… une étincelle en elle. Son esprit remplace les acteurs. Elle se voit à l’image. Elle me voit à l’image. Deux êtres se rencontrent, … Elle connaît la triste histoire mais le film raconte une possibilité qu’elle avait oublié, ou pas osé se raconter. La bataille pour un choix ! Oui ! L’étincelle en elle déclenche un incendie. L’incendie que personne n’arrêtera. Bien avant la fin du film, sa décision est prise. Oubliée la soumission. Oubliée l’abnégation et le refus de vivre. Le phénix renaît de ses cendres. Louise se redresse. Imperceptible au début mais, en elle, tout change. Louise se débarrasse de sa tenue de souillon et revêt une armure. La sienne. Elle part en croisade. Elle fait des plans. Première action quand elle refuse de participer à une autre orgie avec les copines et les rencontres de la soirée. Elle part. Elle se fait incendier mais rien ne la touche. Fini !

Batailles, mots durs, violences est son lot quotidien pendant quelques semaines. Elle supporte sans problème et travaille dans l’ombre pour fuir. Elle sépare les biens. Elle prépare sa liberté. Elle trouve mes lettres. Lettres cachées. Lettres inconnues. Lettres finissant de consumer l’ancien monde. Ces lettres la transforme en être indestructible. Maintenant, elle sait que je ne suis pas un rêve. Je suis réel et les sentiments sont partagés. Elle ne peut pas s’empêcher de lire les lettres chaque jour. Avant chaque journée, elle les lit, les absorbe et pleure. Des pleurs de bonheur, de tristesse, d’espoir. Elle s’en veut d’avoir céder à une vie qu’elle ne concevait plus et d’avoir refuser un amour incommensurable qui l’avait envahi en une fraction de temps. Elle avance et se bat. Dernières violences et la police l’aide à partir. Fuite protégée. Coupure brutale mais nécessaire à son plan. Elle reprend contact avec ma région. Elle retrouve un travail, un logement, un équilibre. Elle voit le 8 mai approcher et élabore un plan. Elle se reconstruit vite mais pas assez pour elle. Elle veut être à la hauteur pour ce jour. Oublié la violence. Loin sa vie de lesbienne. Loin sa vie dans ce monde particulier où la différence est cultivée avec colère et refus. Aujourd’hui, elle sait. Elle décide. Elle va vivre.

Plus le mois de mai approche, plus les peurs se font plus nettes. Les lettres s’arrêtent depuis 6 mois. Pourquoi ? Est-ce fini pour ce garçon ? A-t-il retrouvé une autre fille ? Suis-je effacée ? Autant de questions qui gâchent son plan. Elle passe son temps à se motiver et se démotiver. Chaque espoir est couvert par un doute. Chaque seconde est de plus en plus difficile à vivre. Les ‘si’ sont si nombreux que le matin du 8 mai, il est impossible de prendre la décision. Louise a tout préparé. Le petit mot accroché à la belle rose est sur la table. S’en approcher est un peu comme mettre la main dans le feu. Le temps passe et elle reste bloquée. A-t-elle fait tout ça pour s’arrêter ici ? Devant sa table de cuisine dans sa nouvelle vie seule. Le combat intérieur est d’une rare violence. Elle souffre à chaque instant. Elle prend la rose et se pique. Est-ce un signe ? Non ! Elle doit aller au bout. Elle avance comme dans un nuage. Tous les bruits sont feutrés. Sans faire attention, elle se retrouve sur un parking presque désert. Elle le connaît. Son rêve habite plus loin mais elle a prévu quelque chose avant d’aller chez lui pour tenter de le voir. Elle bouge dans l’inconnu. Elle ne sait plus si ce qu’elle fait est rationnel ou non. Elle fini par redevenir cet être sans force qui se fait ballotter au gré d’untel. Elle marche comme un automate. Petite machine à gestes mécaniques programmés. Elle reconnaît le lieu et dépose sa rose sur une sorte de tombe. Ridicule et dérisoire, cette petite cérémonie qu’elle s’octroie devant un lit de ronces. En fermant les yeux humides, elle revoit ce jour où elle s’était précipité vers ce garçon qu’elle avait vu voler devant elle. Il s’était volontairement jeter sur le bas-côté pour lui sauver la vie. Peut-être l’image du prince charmant tant aimé par les jeunes filles l’avait ébloui ? Rien ici ne l’aide à aller plus loin dans son plan. Elle doit partir avant de ne pouvoir plus bouger. Elle a presque envie de s’allonger ici et de mourir sur place, à l’endroit où son rêve a commencer. Elle se ressaisit et se lève. La prochaine étape est encore plus dure.

Retour à la voiture. Petite voiture dans petite vie. Elle reste au volant perdue dans les pensées. Que faire ? Fuir ou continuer ? Elle hésite. Toujours en elle cette petite fille faible pleine de doutes, pleine de vide. Affalée sur le volant, regard dans le vague, regard dirigé vers un avenir invisible. Aucune possibilité de savoir ce qu’il va se passer. Elle est absente. Absence… Juste un mouvement rapide devant la voiture. Non ! Derrière… Un simple passant sur le parking. La vie des autres autour d’elle. La vie des autres ont un sens. Sa vie n’en a aucun. Elle s’enlise dans un défaitisme malheureux. Elle s’enfonce encore plus bas. Passage pour la deuxième fois derrière sa voiture mais son esprit a noter un bruit. Un grondement ? Non ! Elle bondit ! Electrochoc violent en elle. Elle se retourne et cherche l’origine du mouvement. Là, un mouvement régulier ! Elle sort de la voiture pour mieux voir. Le temps de croiser le regard et elle l’aperçoit. Son rêve est là. Non, il part ! Il semble vaciller. Il tombe, bascule et reste à terre sans bouger. Arrêt du temps. Un volcan en elle. Elle hurle et court vers son rêve. Il est là. A terre, immobile. Elle le prend dans ses bras. Petite poupée de chiffon sans vie. Elle est tiraillée par la professionnelle et son amour pour celui qu’elle tient dans les bras. Peut-elle perdre son rêve à la seconde où elle le trouve ? Est-ce ça la vie ? La petite fille en elle refuse. Refus des doutes. Refus des faiblesses. Elle tient son rêve dans ses bras et il restera avec elle. Elle devient froide. Elle maîtrise la situation. Son esprit se vide des émotions et elle devient l’infirmière qu’elle est. Elle devient un automate pour maintenir une vie. Chaque geste est sûr. Elle devient la force qui sauve les autres.

Le pouls est présent. Ouf ! Le temps semble lent et aucun signe de Pascal. Elle le secoue. Elle lui parle. Elle le caresse. Elle le gifle. Imperceptible mouvement. Les paupières bougent. Il revient et elle lui parle doucement. Il gémit. Il respire tout doucement. Il semble souffrir. Toujours des mots pour l’aider. Mots d’amour, de supplication, de colère contre cette lenteur. Soudain, une grande respiration, comme un apnéiste remontant à la surface après une tentative de record. Les gestes sont plus nets. Elle quitte son rôle de secouriste et retrouve ses sentiments. Il semble perdu. Elle le prie de faire doucement. Elle le laisse se redresser. Il a l’air agare. Elle le laisse retrouver ses esprits. Louise a son cœur qui s’emballe. Elle retrouve son rêve devant elle. Elle est heureuse et inquiète de l’état de Pascal. Elle a envie qu’il la prenne dans ses bras. Elle veut le prendre aussi contre elle. Non ! Elle doit le laisser retrouver ses forces. Elle le regarde prendre son temps. C’est long. Elle lui parle, prie, lui demande de revenir. Il répond. Joie intense ! Son rêve revient lentement. Un mot de lui la fait fondre. Il dit son prénom.

Ensuite, les souvenirs se confondent. Les retrouvailles. Les pleurs de joie. L’intensité du moment et la disparition d’un coup, du stress et de toutes les questions. Le bonheur après une longue année de souffrances partagées dans la séparation. Aujourd’hui, c’est uniquement du plaisir. Le début de l’oublie de cette période et le début d’une nouvelle histoire. Etat de grâce pendant 4 jours sans forcément du sexe à profusion. Juste d’interminables discussions sur le passé, le passé, le passé. Chacun se présente, raconte son enfance, sa vie d’avant. Chacun se donne à l’autre. Tellement facile de donner avec une confiance totale sans que rien ne soit demandé. 4 jours d’apprentissage et de partage. 4 merveilleuses journées qui finissent avec les projets. Non ! Un seul projet qui va devenir réalité dès maintenant. Une vie à deux dans l’amour. Une fusion qui change tout. Louise est radieuse et son état d’esprit est éclatant. Elle ne regrette rien des efforts et des batailles. Elle ne peut s’empêcher de toucher son amour. Pour rien, sa main touche, frôle, caresse la peau de son homme. De sa moitié pourrait-on dire. Ou même d’elle même car elle est incapable de vivre sans lui. Je suis pareille. Tout moment passé est partagé avec un contact comme si je voulais me rassurer à chaque instant de sa présence. Nos mains se frôlent et nos cœurs repartent dans un concert indescriptible. C’est beau l’amour !

Maintenant, nous vivons à deux. Nos vies sont éclatantes. Mes collègues s’étonnent et se réjouissent pour moi. Ils avaient perdu celui qu’ils connaissaient comme le rigolo, celui qui aidait, celui qui donnait l’impulsion. Ils le retrouvent aujourd’hui. Je ne peux pas m’empêcher de rire tellement le bonheur en moi déborde. Les journées sont horriblement longues et il me tarde d’être à la fin de ce bout de vie pour retrouver ma femme. Les textos circulent régulièrement pour des petits mots simples mais tellement bons. Le soir, ce sont des retrouvailles où on pourrait sentir l’énergie pur des sentiments entre nous. Louise a retrouvé une fraîcheur éclatante. Tout le terne en elle s’envole et il ne reste que le sublime. Elle a rencontré une ancienne connaissance de sa vie de lesbienne qui lui a fait des avances. Goutte d’eau sur les plumes du canard ! Glisse et tombe ! Rien ne la touche. Impossible. Elle n’est plus seule.

Roller à deux. Passage à côté d’un petit coin de nature où une rose fanée reste accrochée aux épines. Souvenir d’un début. Non ! Souvenir de deux débuts. Arrêt à côté de se petit endroit magique et embrassade de deux amoureux. La fin d’une belle histoire mais le début d’une belle vie.

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Je dédie cette histoire à tous les amoureux qui se posent des questions et qui se nourrissent de doutes avant d’avoir pu avouer à celui ou celle aimé(e) que son cœur bat la chamade à son approche. Osez avouer l’amour ! Il y a trop de gens qui avouent trop facilement la haine.

Je voulais, avec ce texte, extraire le sexe comme on peut le mettre dans les divers récits. Il est intéressant d’écrire des textes de cul pour défouler son côté homo sapiens. Ca peut aider à vider des pulsions purement bestiales sur papier pour mieux vivre avec le monde réel. La grande question est toujours présente dans les textes : « Peut-on vivre ses fantasmes ? ». Ici, c’est autrement.

Pour moi, le vrai amour, celui que l’on peut partager, va au delà du plan cul. Il peut défaire, créer, tuer et donner la vie. Je voulais écrire ce texte dans ce but en prouvant que deux êtres pouvaient être détruit et vivre intérieurement des batailles intenses pour juste un sentiment, un souvenir. Deux êtres peuvent aussi rayonner en atteignant le sentiment d’amour dans la plus pure idée.

Je vous souhaite à tous de trouver l’âme sœur pour vivre une belle histoire.

Pascal

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Guest Anonymous

c'est une fin magnifique :roll:

j'aime beaucoup ta façon de voir l'amour

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Guest Sexapile33

Merci :roll:

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Guest Calynette

Merci Pascal. Ton récit est le plus merveilleux que j'ai pu lire ici.

La première personne que je vois écrire quelque chose, certes avec du sexe, mais dont le but n'est pas que ÇA!

Je t'admire!!! Ton coeur est plus grandiose que le désir.

:roll: Je m'incline avec admiration :):P :P

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Guest Sexapile33

J'adore tes commentaires...

Bises

:roll:

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Guest Sexapile33

Double post mais j'ai reçu des messages que je dois clarifier :

Je suis un mec et j'ai comme fantasme d'être avec plusieurs femmes. Cette histoire ne fait pas passer les femmes lesbiennes pour des fofolles ou des détraquées.

L'histoire est juste un support pour avoir une scène entre un homme et plusieurs femmes.

Toute l'histoire est inventée et ne doit pas être prise comme une moquerie envers les femmes. Elles ont largement de quoi mériter le respect le plus sincère.

Personnellement, je crois en l'amour et je suis persuadé que ce sentiment peut passer au delà des idéologies, des orientations sexuelles et de tout ce qui existe.

J'espère n'avoir choqué personne et surtout pas vous, mesdames.

Cordialement

Pascal

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Double post mais j'ai reçu des messages que je dois clarifier :

Je suis un mec et j'ai comme fantasme d'être avec plusieurs femmes. Cette histoire ne fait pas passer les femmes lesbiennes pour des fofolles ou des détraquées.

L'histoire est juste un support pour avoir une scène entre un homme et plusieurs femmes.

Toute l'histoire est inventée et ne doit pas être prise comme une moquerie envers les femmes. Elles ont largement de quoi mériter le respect le plus sincère.

Personnellement, je crois en l'amour et je suis persuadé que ce sentiment peut passer au delà des idéologies, des orientations sexuelles et de tout ce qui existe.

J'espère n'avoir choqué personne et surtout pas vous, mesdames.

Cordialement

Pascal

t'es un mec ?

pourtant sur ton profil tu es indiqué(e) comme une femme, non ?

c'est quoi cette petite surprise?

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t'es un mec ?

pourtant sur ton profil tu es indiqué(e) comme une femme, non ?

c'est quoi cette petite surprise?

Moi non plus, j'ai pas compris :bisous3:

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Guest Sexapile33

Bonjour,

Je suis surpris comme vous mais si j'ai indiqué "femme" comme sexe dans ma carte, c'est une erreur que je corrige de suite.

Désolé de m'être trompé.

Bonne journée à tous

Pascal

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Bonjour,

Je suis surpris comme vous mais si j'ai indiqué "femme" comme sexe dans ma carte, c'est une erreur que je corrige de suite.

Désolé de m'être trompé.

Bonne journée à tous

Pascal

Lol! Merki :bisous3:

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