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Guest Anonymous

Vous avez réservé deux places côte à côte...

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Guest Anonymous

Lendemain de fête...

La nuit passée sur Nantes a laissé des traces : les têtes sont encore lourdes et les bouches pâteuses au réveil. Nous sommes alors étudiants, et les soirées de début d'été sont enivrées passé les examens. C'est donc encore sous l'emprise des effets désinhibants de l'alcool que nous nous réveillons, moi et ma compagne du moment, en compagnie de nombreux amis, ayant tous dormi dans une grande pièce à même le sol. Le café coule, un dernier joint tourne, et il est déjà l'heure de prendre notre train, direction chez nous dans l'idée de passer une fin de journée dans cet état de semi-conscience...

La journée est chaude et le soleil se fait déjà pesant. L'alcool de la nuit et le pétard du matin se font sentir, peut-être plus maintenant que nous sommes dehors et sortis de l'ambiance de cette soirée... Nous avons la tête ailleurs.

Nous prenons place côte à côte dans le wagon du TGV pour 45 minutes de trajet, et visiblement la climatisation du wagon ne fonctionne pas... La moiteur est terrible, il fait bien une trentaine de degré. Ma compagne me chuchote à l'oreille qu'elle à la tête qui tourne un peu et désire faire un somme alors que le train s'élance.

Elle pose alors sa tête sur mes genoux et replie ses jambes de façon à se mettre en position foetale, puis ferme les yeux...

Notre train file à toute allure sur les bords de Loire, les paysages sont magnifiques, le soleil éblouissant. Les iles qui parcourent le lit du fleuve me rappellent quelques souvenirs torrides des étés précédents, passés sur leur sable à prendre du bon temps...

"Passe moi ma veste s'il te plait, la lumière m'empêche de dormir" Ma copine me sort de mes pensées. Je lui donne sa veste, qu'elle place au dessus de sa tête. Je ferme moi-même les yeux, désireux de repartir dans mes pensées...

Je revois ces corps nus entremelés sur le sable, au bord de l'eau. Aucune pudeur, aucune contrainte sociale ou gènes... Nous faisons tous l'amour a quelques mètres les uns des autres sous la blanche lumière émise par l'astre lunaire. Rien de vulgaire, juste du plaisir... La loire comme je l'aime, ou le sens du mot nature prend pleinement son sens. Personne ne fera mention de cette nuit par la suite, comme si ces moments devaient rester hors du temps, hors des normes... Tant mieux.

Je me sens à l'étroit dans mon boxer. Reposant contre mon sexe au travers du pantalon, la tête de ma compagne pèse d'une sensation agréable. La situation m'excite.

Où donc erraient les pensées de ma copine au même moment? Impossible de le savoir, et elle n'osera jamais me le dire, même bien plus tard. Pourtant, nul doute qu'elles ne devaient pas être bien éloignées des miennes... Cachée sous sa veste, sans doute impulsée par la sensation d'un repose tête devenu bien rigide, elle commença alors a embrasser le bas de mon ventre sous ma chemise. Invisibles aux yeux de tous les autres passagers, ses baisers furent immédiatement teintés d'un érotisme puissant. Ses lèvres chaudes et humides, sa langue sur mon nombril ne mentaient pas : elle avait envie, elle donnait envie.

Jusqu'où irait-elle? Elle savait que le wagon était bondé. Elle savait que nous étions a moins d'un mètre de plusieurs personnes... De couples, d'enfants. Elle savait que les porte-bagages au dessus de nos têtes avaient leur surface vitrée, offrant aux yeux de toute notre rangée par reflection un point de vue plongeant sur la situation. Elle était assez joueuse, mais pas à ce point, me dis-je.

Sa main experte déboutonnait mon pantalon et faisait rapidement glisser la fermeture éclair. Je venais de me tromper. Elle osait. Mon érection redoublait d'intensité. Je sentais son souffle chaud au travers de mon boxer. Elle empoignait fermement mon sexe entre ses doigts et garda cette position durant quelques secondes. Elle savait que j'adorais çà, que cela me rendait fou. Elle jouait. Savoir que nos voisins pouvaient, à chaque instant, comprendre la situation l'excitait au plus au point. Elle me le faisait savoir de cette façon. Elle me rendait fou.

Le jeu était donc simple, induit mais évident : elle offrait mes plaisirs préférés, sa bouche, et, je le savais, ma jouissance comme apothéose, à la seule condition que j'arrive à ne manifester aucune émotion visible qui pourrait alerter nos voisins de trajet... Car tout comportement alerte de ces derniers mettraient évidement une fin immédiate à notre petit jeu. Elle était invisible, cachée sous la veste. Si elle ne faisait en sorte qu'aucun mouvement perceptible ne parvienne aux regards extérieurs, elle pourrait laisser libre cours à son imagination.

Je pensais avoir un petit temps pour me préparer à cette situation, me concentrer pour intérioriser le plaisir. Elle ne m'en laissa pas l'occasion. A peine l'étreinte violente desserrée de sa main sur mon sexe, elle sorti mon membre turgescent de son fourreau, et glissa un doigt entre mon prépuce et mon gland. Immédiatement, je senti que mon sexe était déjà dégoulinant de plaisir. J'avais déjà tendance à beaucoup lubrifier naturellement, mais je sentait le bout de mon sexe baigner littéralement dans le jus de mon excitation. La sensation de son doigt caressant l'intérieur de mon prépuce, faire quelques va et vient sur la base de mon gland, dans cette moiteur ambiante.... Incroyable. Je transpirais beaucoup.

Le fait de ne pas la voir ne me permettait pas d'anticiper ces mouvements et ce qu'elle préparait. Cela ne m'aidait pas à rester impassible. Je regardais en permanence de tous les côtés afin de s'assurer que nos voisins ne pouvaient s'imaginer la véritable trame qui se jouait sous leurs yeux. Rien à signaler à ce moment là. Tant mieux.

Elle avait cessé de toucher mon sexe. Je sentais désormais ce liquide chaud qu'elle me faisait émettre me couler le long de la hampe, pour se répandre sur le haut de mes bourses. Elle caressait d'une main experte et elle-même trempée par mes soins mes deux testicules par le dessous. Elle les malaxait toutes les deux, puis une par une, de ses doigts chaud, de sa paume englobante. Quel délice. Descendant toujours un peu plus , je sentais le doigt qui avait déjà fait des merveilles sur mon gland s'approcher dangereusement de mon anus. Elle savait, une fois encore, que ces petites intentions avaient le mérite de travailler au plus haut point mon imaginaire. Prometteur de plaisirs intenses, ce doigt jouait désormais d'une science exacte à l'entrée de mon petit trou, alternant entre petites pressions et douces caresses...

Je me redressais d'un coup. Je me laissais aller, et j'étais en train de tomber dans le piège terrible tendu par ma compagne : j'oubliais le contexte, j'oubliais la peur de nous faire surprendre. Elle cessa tout mouvement, tandis que je jetais un oeil alerte sur les alentours. Notre voisin le plus proche, durant un instant fugace, à croisé mon regard avant de le détourner. Dans toute autre situation, je n'aurais vu là aucune intention. Mais ce regard m'intrigua : je devais rester vigilant.

Ma compagne redoubla alors d'attention vis à vis de mon cas, et vraissemblament éxcitée par cette fausse alerte, plaça directement ses lèvres sur mon gland. Elle englobait juste le haut de son sexe et, l'espace de quelques secondes, ne fit pas un mouvement. Juste ses lèvres là, généreuses, brulantes, posées sur la partie la plus sensible de mon corps. J'imaginais ses courbes, je l'imaginais se caressant devant moi comme elle le faisait lorsqu'elle voulait me rendre fou et que je la prenne sauvagement... Nul doute que si le contexte avait été autre, elle se tiendrait là devant moi, jambes écartée, trois doigts profondément enfoui entre ses lèvres gonflées, le pouce sur le clitoris, un doigt de l'autre main aux portes de son petit trou...

Sa bouche descendait maintenant lentement de haut en bas. Cette chaleur emmanant de mon bas ventre, de ses mains et de sa bouche... L'envie de jouir se fait trop forte. Je ne tient plus. Elle active son mouvement, elle sait que je vient...

Le voisin le plus proche l'a su aussi, finalement. Je ne l'ai compris qu'a la descente du train, avec un long regard qui nous était directement adressé, et que jamais nous n'avons réussi à interpréter...

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:clap:

joli texte ^^ et très bien écrit :)

belle experience! je ne sais pas si moi même j'aurai osé faire ça ^^

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La chance ! Très bien écrit ! Je ferais gaffe la prochaine fois que je prends le train mdr :wink:

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Guest aniscanelle

:wink: :P magnifiquement raconté :P

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Guest sylphide

Tres joli, tu as tres bien retranscrit ton excitation et tout le plaisir de la situation. C'etait un reel plaisir de te lire

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