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Faites des rencontres coquines près de chez vous

serpentine

Tatoues moi!

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J'avais toujours rêvé de me faire encrer la peau. Sentir le contact de l'aiguille piquer ma chair, colorer ma peau de pigments pénétrants. Résister à la douleur, faire face, courageusement, me dépasser. Me transcender. J'étais fascinée par l'extrême beauté des tatouages japonais, des tableaux gigantesques animés par le corps. Des tableaux qui semblaient vivants, tant ils étaient expressifs.

J'allais au Japon, décidée à revenir métamorphosée. Arrivée sur place, je me mis à la recherche d'un institut de qualité, et j'obtins quelques précieux renseignements dans un salon de massage, où des yakuza se rendaient quotidiennement. Je frémissais à la fois de peur, de curiosité, et de désir devant ces hommes trés impressionnants, qui avaient dû subir de sérieuses mises à l'épreuve pour pouvoir abhorrer ces toiles de chair. Ils faisaient partie d'un gang. Je le savais, et j'étais fascinée, bien que terrifiée.

Je me faisais masser quotidiennement, moi aussi, et me délectai de ces rencontres furtives. Ils ne m'apercevaient pas, lorsqu'ils passaient, je baissais la tête. C'était une règle, une sorte de soumission hiérarchique. Je m'exécutais sans broncher, ayant accepté les règles.

Les yakuza venaient ici faire masser les novices, avant leur première séance de tatouage. Les massages étaient un peu spéciaux. les filles étaient trés sensuelles, et exécutaient des gestes rituels, à la fois douloureux, et extrêmement doux, alternant vitesse et lenteur. Appuyant fortement le long de la colonne vértébrale, laissant sur le corps des marques écarlates; Le corps, ainsi "pressé" lavé de toute courbature, était apaisé par quelques douceurs buccales et voluptueuses. Pendant ce temps, les autres Yakuza s'amusaient à des jeux érotiques, buvaient du saké, riaient. L'ambiance était lascive, excitante à souhait.Les caresses fusaient, les gémissements, les cris, on devinait à l'oreille qu'une femme recevait de part et d'autres des sexes érigés, la rendant folle de plaisir, soumise et heureuse, remplie, rassasiée. Hannnnn.

Aprés le massage, L'initié recevait de la bouche des masseuses de délicieuses fellations, et autres gourmandises.Tétant, léchant, buvant alcools et saveurs intimes. Se mélant à la joyeuse ambiance, jouissant de tout son soul. L'initié épuisé, se faisait laver, avec des serviettes brulantes et parfumées. Ainsi, rassasié et parfaitement détendu, le tatouage pouvait commencer.

Les filles et les autres yakuza quittaient la salle, laissant la place au Maitre Tatoueur.

Il portait un Kimono noir, était grand, avait des mains fortes, presque noires, gorgées d'encre. Une splendide geisha l'accompagnait, ainsi qu'un disciple, qui portait un petit coffre et un tabouret bas.

...a suivre

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Guest sylphide

Je ne suis pas tres fan de tatouages mais ton recit est tres bien ecrit et la photo que tu as jointe est tres sensuelle

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Très beau texte, j'ai hâte de lire la suite :)

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Moi aussi j'ai toujours été fasciné par le Japon. Honneur, désir de bien faire et de satisfaire... Et puis les japonaises sont si mignonnes avec leurs cheveux noirs, leur timidité apparente, leur petit corps qui semble si fragile...

Merci pour cette invitation au voyage, j'attends la suite avec impatience moi aussi. :clap: :)

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A croire que je sois pas le seul non plus qui est fasciné par le Japon :clap::)

Vivement la suite =)

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Maitre Horiyoshi ôta son kimono. il portait en dessous une tenue ample, noire, souple. Il était dans un état de concentration intense.

Son disciple préparait une bassine d'encre noire,qui allait servir à dessiner les contours du tatouage. Il installait un spot au dessus de la zone de travail, disposait le matériel stérile sur un plan de travail plastifié.

L'initié attendait, allongé sur le ventre. La geisha l'avait confortablement installé, et l'avait invité à se détendre.

Maitre Horiyoshi s'approcha, enfila ses gants de plastique, et commença le tracé du dragon gigantesque qu'il s'apprêtait à encrer dans la peau du novice.

Le dermographe mis en route et gorgé d'encre noire, le maitre commença son dessin. Le novice, sentant les aiguilles pénétrer sa peau trouva cela trés douloureux au départ, puis, les vibrations , et la pénétration trés rapide des aiguilles endolorit le derme, amenant Yoshi (c'était son nom) dans un état second. Il était bercé, par le vrombissement du dermographe et le contact ultra rapide des aiguilles dans son dos.

Le tracé dura quelques heures, lorsque Maitre Horyoshi, satisfait par son esquisse, se leva.

La jeune geisha et lui allèrent s'isoler un peu dans le fond de la salle. Elle lui servit du thé, s'occupa de détendre ses jambes, et son entrejambe, offrant au maitre un instant de détente bien mérité...

Pendant ce temps, l'élève tatoueur rangeait le matériel, et Yoshi revenait peu à peu de son voyage. Il lui tarder d'admirer le tracé de son dragon, sa peau rougie, enflée, qui suintait légérement le mit dans un état d'excitation particulier. Il alla à la recherche d'un miroir.

J'avais une petite chambre, dans ce lieu que je ne quittais plus; Lorsque Yoshi sortit, à un moment, dans un couloir, nous nous croisâmes, et un véritable coup de foudre eu lieu. Lui, la peau douloureuse, rougie par des heures d'encrage, et moi, tellement impatiente de recevoir le même sort... Nos yeux ont plongé dans les zones les plus intimes de l'autre, et le temps d'un instant, nous avions quitté ce monde, flottant dans les effluves de nos désirs.

Nous avons continué notre chemin, moi, retournant dans ma chambre, et lui, revenant dans la fameuse salle, où maitre Horyoshi l'attendait, pour lui indiquer la marche à suivre, pour leurs prochain rdv.

Ainsi, lorsque la geisha, l'élève et le Maitre furent sortis, je m'aventurais, curieuse et assoiffée de Yoshi, vers la salle de torture, espérant le trouver, esperant...une étreinte passionnée.

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moi j'aimerai beaucoup la suite serpentine stp!!!!! je suis tatouée et cela me rapel beaucoup de chose!!! :wink:

merci pour le debut en tout cas!!

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Moi aussi ze veux la suiitteee :wink:

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...J'approchais, à pas feutrés dans ce couloir, guêtant le moindre souffle, le moindre froissement de tissus. Il y avait une lueur rouge, une lueur qui rendait l'atmosphère trés sensuelle. Je portais un kimono bleu, orné de fleurs de cerisier et d'oiseaux enchanteurs,noué par une large ceinture grenat, et dessous, une guêpière grenat marquait ma taille, faisait remonter ma cage thoracique, et gonfler mes petits seins, mes fesses étaient nues,ornées de leurs belles rondeurs, et ma fine toison blonde qui masquait à peine ma vulve, libre et impatiente de croiser Yoshi. J'étais nu pieds. Mes ongles aussi étaient grenats. ceux de mes mains étaient trés longs. Mes grands yeux bleus étaient à l'affut, et ma bouche gourmande, rouge, brillait, appelant dans son silence l'étreinte d'un baiser.

La porte était trés légèrement entr'ouverte. Je me suis évidemment approchée, espèrant croiser la vue de Yoshi, fraichement encré.

Je le vis, il était là, baigné par la lueur rouge de la lanterne allumé dans la pièce, on lui avait fait porter un grand miroir, et il admirait son splendide dragon, qui prenait peu à peu vie dans son corps, il avait mal, sa peau était encore trés gonflée, rougie et suintante. Il y avait prés de lui une bassine dans laquelle flottaient des herbes médicinales. Il appliquait cette mixture sur sa peau, afin que la cicatrisation soit belle et rapide. Il semblait tellement absorbé par son corps. Il se mit plus de profil, et je restais subjuguée, car ce que je vis là, je ne l'avais jamais vu avant! Il était en érection, mais son sexe avait des proportions tout simplement impressionnantes! Je ne pus retenir un petit cri, et Yoshi se retourna, et me surpris, j'étais piégée, j'avais enfreint toutes les règles de comportement qu'une femme doit avoir face à un Yakuza.

a ce moment là, j'eus tellement peur que je voulus m'enfuir. Mais je suis restée, plus excitée, finalement, par la perspective de me retrouver face à lui. Han! son immense queue face à moi, ses yeux remplis à la fois de furie, mais aussi de désir... qu'allait il décider de faire de moi?

Il me dit d'entrer, et là, je me suis mise à genoux, soumise, semblant regretter mon effronterie; Il m'aida à me relever, intrigué par ma blondeur, mes boucles, mes yeux bleus. il me regardait, et me sourit, en mettant dans ma bouche son pouce, il me colla contre son corps nu. J'étais transportée, mon coeur battait fort, mon souffle était court, mes jambes tremblaient, je perdais tout contrôle, folle de désir, et aussi d'appréhension; je sentais son sexe démesuré contre mon ventre... qu'avais je fait????? plus rien ne serait plus jamais comme avant à présent. je le savais. Je laissais mourir le passé, ouverte aux perspectives nouvelles et inattendues qui se dessinaient pour moi; Hum! il sentait bon, il sentait l'homme, le mâle puissant, torride, la transpiration, et le mélange des plantes. ça me faisait tourner un peu la tête. Je vacillais, et il me retenait, fermement. Je semblais être une marionnette dans ses mains. Il me respirait lui aussi, semblait caresser ma peau fine, blanche et transparente de ses yeux, appréciant ma fragilité, ma douceur de femme, et moi, me remplissant de sa force immense d'Homme. Il s'assit, et me demanda d'enlever mon Kimono. je le fis, et lui tendit. Il l'enfila, laissant la douce caresse de la soie sauvage caresser ses plaies, il respira mon parfum, pris au piège dans le tissus bleu. Mes seins étaient durs, écrasés par la guêpière, le téton de mon sein droit s'était échappé, dépassait, bandé de désir. Il regardait ma toison, mes jambes, et me demanda de me tourner, pour qu'il puisse apprécier le galbe de mes fesses, rondes et fermes; Je me penchais, le laissant apprécier ma fente ouverte, ruisselante, ma jolie vulve rose, gonflée, mon cul, ouvert et gourmand;

Il me fit signe de m'approcher, et tira sur la corde qui fermait ma guêpière, libérant mes seins à la peau si fine et leurs aréoles roses,excitées, mon ventre de femme doux , brulant d'un feu intérieur puissant. Je lui plaisais, il me regardait avec gourmandise, son sexe aussi semblait vouloir m'étreindre, me prendre. Ah comme il était grand. je me demandais comment un tel engin pouvait entrer en entier dans une femme, sans la déchirer. Il sentais ma peur, et notre désir prenait le dessus. Il versa du saké, et me le fis boire, jusqu'à ce que me joues soient roses. Il me souriait, riait de plaisir. cette journée était pour lui extraordinnaire! Pour moi aussi, et ça donnait une intensité, une force incroyable à cet instant.

Yoshi se fit doux, carressant, effleurant, goutant mon cou, ma bouche, mes seins, lèchant mes bras, suçant mes doigts, passant sa langue sous mes ongles, je me détendais, profondément, tout en regardant ce personnage parfait, qui provoquait en moi à la fois beaucoup de désir et un sentiment de complicité incroyable. comme si Yoshi et moi étions parfaitement accordés, l'un à l'autre.

Il prit vraiment le temps d'explorer chaque parcelle de ma peau, observant avec une curiosité réelle mes réactions, la montée de mon désir. Il vint gouter à mon sexe, et s'abreuva pendant un temps infini de ma liqueur, me donnant un plaisir immense, il m'amena savamment à me dépasser, à m'abandonner toujours plus, il accueillait ma tige,la tétait, l'aspirait, et je jouissait dans sa bouche, ouverte, encore plus.j'étais trempée, je dégoulinais,et Il massait mes cuisses, allait jusquà mes pieds , les léchant, eux aussi. que c'était doux. Et puis, il présenta à ma vulve ouverte et affamée son immense protubérance. Nous étions assis, face à face. et progressivement, il la fit entrer dans mes entrailles. En plus d'être longue, elle était vraiment trés grosse. Elle remplissait absolument tout l'espace de mon antre, qui se régalait de pareilles caresses, et avalait, toujours d'avantage cet ami délicieux. Une simple inspiration me faisait frémir, les parois de mon vagin semblaient être en état d'hypersensibilité, chaque millimètre de sa queue qui entrait en moi comblait mon ventre, m'amenant à un état de transe exquise. Nos souffles se mêlaient, je respirais par lui, il soufflait par moi. Nous ne faisions plus qu'un. ça y est, il était entré, en entier. J'ai failli m'évanouir, il me fit boire du saké, pour me ramener, et me redonner de la force. Il me montra ensuite comment respirer, et m'aida à me mouvoir, remplie de lui, par lui; avec mon ventre, je faisais des mouvements circulaires, comme des huit. les muscles de mon vagin se frottaient contre ce pylône qui m'habitait, et, ce faisant, mon bassin lui aussi imprimait des huit cadencés, entrainant nos deux corps dans une ondulation cadencée, nous étions en osmose, et ce que nous vécûmes ensembles durant ces instants semble indescriptible; Nous ne faisions qu'un, nous n'étions plus qu'une osmose, un souffle, une vague, chevauchant le dragon, nous envolant par delà les mondes.

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C'est tout simplement magnifique,j'en ai des frissons!!!

J'aime beaucoup t'a façon d'écrire!!!!

:wink: :P

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Je te remercie Elyah. je n'étais pas sûre d'y arriver, à rendre cela joli et excitant. c'est vrai que c'est plus facile d'être cohérent, quand c'est du vécu...

:P :wink:

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Guest Calynette

Une Poésie .... Sublime.... :P :wink:

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:P :P Wouahou !!! :P:wink:

Alors la :P ça m'a donné chaud hihi !!! J'adoooore

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c'est tellement exotique....ça me fait voyager.... merci pour la suite c'était super :wink:

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c'est tellement exotique....ça me fait voyager.... merci pour la suite c'était super :)

+1. C'est trés original et vraiment jolie ^^'

J'ai hâte de te lire une nouvelle fois ;)

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