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AsMoth

Jeux interdits à la piscine de vacances

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Géraldine est ma cousine « éloignée » si on peut dire, puisqu’elle n’est que la fille de l’homme avec qui ma tante s’est remariée ! Bon, un peu compliqué comme ça, mais juste pour justifier ce qui s’est produit ce fameux été… comme quoi derrière le mot « famille », les sens peuvent parfois dépasser les convenances…

La « famille » s’était donc réunie dans une petite villa du Maroc, comme nous le faisions une fois tous les cinq ans.

Cette fois-ci, moins de monde avait répondu présent à la proposition, peut être du fait de l’éloignement. Bref, cinq ans, il s’en passe… et les corps changent.

Je fus ainsi presque choqué en revoyant Géraldine. Elle avait maintenant dix neuf ans. Une vraie petite bombe ! Une ado dans un corps de femme. Un mètre soixante dix, un corps aux formes fermes et généreuses… rien à voir avec la « pisseuse » (lol) que je connaissais jusqu’alors.

Si bien qu’une sorte de malaise s’est instauré entre nous. Dès le début. Mon corps lui aussi avait changé. Ou peut être était-ce les désirs de femme qui prenaient le corps de Géraldine, mais je voyais bien que son regard posé sur moi n’avait rien de « familial ».

Les choses dérapèrent ce fameux début d’après-midi à la piscine de la villa. Tout le monde était parti soit en excursion soit dans les souks. On se retrouvait seuls Géraldine et moi, avec les grands parents faisant la sieste à l’étage. La veille au soir, Géraldine portait une robe légère qui m’avait fait bander toute la soirée. Elle annonça durant la soirée qu’elle comptait profiter de la piscine ce jour même, marquée par les profondes chaleurs de l’été. Cela n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd !

Rien qu’en enfilant mon boxer noir moulant, je ne pus m’empêcher de bander. Je fantasmais déjà à l’idée de voir Géraldine en maillot de bain. Dévorer du regard ses formes généreuses.

C’est avec la queue à moitié dure et surtout les boules bien lourdes que j’arrivais à la piscine. Mon cœur s’accéléra quand je vis que Géraldine était déjà dans l’eau. Elle lui arrivait en haut des cuisses. Elle me fixa, me voyant arriver vers elle. Je posai ma serviette et me planta devant elle :

- alors, elle est bonne ?

- Oui, un peu froide, mais ça va…

Je vis ses yeux se poser un bref instant sur mes parties. Celle-ci ne faisait que commencer !

Géraldine se tenait légèrement penchée en avant, sentant les fleurs jonchées autour du bassin. Maintenant dans l’eau, je dévorais ses fesses du regard. Je me mis à bander fort dans mon boxer. Je dévorais les formes pures de corps, me disant que ça devait être un bonheur immense de lui faire l’amour. Profitant qu’elle avait le nez plongé dans les fleurs, je sortis ma queue de mon boxer afin de me masturber et ainsi me soulager un peu. Le sexe dans l’eau, il n’y avait pas de danger. Je remis ensuite mon boxer et attendant quelques instants que je ramollisse un petit peu, je sortis de l’eau pour prendre un verre de jus d’orange.

Naturellement, les yeux de Géraldine se posèrent sur la bosse maintenant généreuse dessinée par mon sexe en érection. Celui-ci fièrement dressé en avant, je me rapprochai de nouveau de Géraldine, cette fois-ci à l’extérieur de la piscine :

- le décor est super beau ! Toutes ces fleurs et cette verdure, c’est top !

- Oui, et les fleurs sentent super bon !

- Ah bon ? laisse moi sentir !

Aussitôt, je plongeai dans l’eau, me retrouvant aux côtés de Géraldine. Je sentis alors mon sexe toucher puis s’écraser contre sa cuisse ferme alors que je m’approchais des fleurs pour les sentir à mon tour. Sentant mon chibre durci par la température de l’eau contre elle, Géraldine hoqueta. Je la sentis se raidir, sans pour autant de décaler.

- Huuumm… tu as raison ! Elles sentent bon ces fleurs !

Je me mis à frotter lentement mon sexe contre sa cuisse. Je remarquai que les seins de Géraldine pointaient sous son maillot rose fluo.

Alors, je m’éloignai, partant au milieu de la piscine.

Géraldine fit alors tomber une fleur dans l’eau par mégarde. Tentant de la rattraper au vol, ses seins sortirent de son maillot.

- Oh merde !

- Hé bé ! Ben qu’est-ce qui t’arrive ?

- Mon soutif est trop grand… désolée !

Mes yeux étaient rivés sur ses beaux seins aux pointes durcies par l’eau fraîche, peut être qui sait par le désir.

- T’inquiète ! Il est surtout trop grand pour bien bronzer ! Tu vas revenir avec les marques du maillot et ça va pas faire beau !

- Ah oui, zut j’y avais pas pensé !

- C’est bon, on est entre nous. Laisse le sur le rebord au cas où, mais le garde pas… ça va faire moche sinon !

Je voyais ses seins fermes resserrées l’un contre l’autre par ce maudit maillot qui faisait ma veine.

J’étais au milieu de la piscine avec une trique énorme tant j’imaginais plonger ma belle queue entre cette belle paire de seins, par très grosse, mais joliment galbée, et surtout avec ces pointes dardantes qui me faisaient bander de plus belle.

Je voyais que Géraldine hésitait à retirer son haut… sûrement par pudeur. Il fallait donc l’aider…

Me voyant me contorsionner un instant dans l’eau, Géraldine finit par me demander :

- qu’est-ce que tu fais ?

- je me mets à l’aise !

L’eau, quasi sans vague, était d’une limpidité parfaite. Je vis alors les yeux de Géraldine voir à travers l’eau et fixer ce membre dur dressé entre mes cuisses. Je la vis aussi lentement ôter son soutif, alors que sans même s’en rendre compte, elle s’était mise debout sur l’une des marche de la piscine, sans doute pour mieux voir en se surélevant. Moi, je voyais la forme des lèvres de sa jolie chatte se dessiner sous son bikini. Son ventre plat et la jonction suggérée de ses cuisses me fit bander fort. Je n’en pouvais plus. Alors, feignant marcher dans l’eau, je pris mon chibre à pleine main et me mis à me masturber délicatement. Je pensais que Géraldine regardait ailleurs maintenant, mais ce n’était visiblement pas le cas.

Alors, je m’approchai d’elle, marchant lentement. Je la voyais reluquer timidement mon sexe outrageusement dressé devant moi dans cette eau qui éveillait tous nos sens.

- Aller… on est tout seuls ! Profites-en ! Les mecs ils n’aiment pas les marques de maillot ! En plus, être dans l’eau tout nu, c’est trop bon !

- Je sais pas…

Voyant qu’elle hésitait, je jetai mon vas tout : m’approchant encore d’elle, le niveau de l’eau baissait. Il fut alors assez bas et c’est ma nudité que je lui offris. Les yeux de Géraldine se rivèrent de longues secondes sur mon sexe en érection totale. Je vis que j’avais fait mouche, car elle ne pouvait contenir sa respiration que par la bouche.

- Aller viens ! C’est hyper excitant !

Et là, se tournant d’un quart, me présentant son cul tout en posant son genou sur une marche, elle défit lentement le lacet de son bas situé sur sa hanche. Des secondes qui parurent pour moi des heures. Je fus plus excité que jamais lorsque je la vis au même moment poser ses yeux sur mon sexe en feu, scrutant peut être une réaction de celui-ci.

Ma queue sursaute en effet d’excitation lorsque je découvris les lèvres parfaitement lisses et rasées de sa petite chatte ! Décidemment, ma pseudo cousine était femme jusqu’au bout ! Femme, mais rouge de honte… ou d’excitation !

Elle rougit plus encore lorsqu’elle me vit fixer sa belle chatte et son cul ferme et rebondi. Je bandais comme un âne. Tous deux avions les yeux posés sur le sexe de l’autre, désireux d’y goûter.

Géraldine se mit alors totalement dans l’eau et fit une ou deux longueurs…

- alors, t’as vu ! C’est trop d’être tout nu dans l’eau !

- Oui, c’est très agréable…

Géraldine se dirigea alors près du bord. Je n’en pouvais plus de voir ses fesses nues et parfaites dandiner devant moi. Me masturbant dans l’eau, je me dirigeais vers elle. Au même moment, Géraldine se retourna pour s’adosser au rebord. J’arrivai à elle le sexe hors de l’eau, en érection totale. Géraldine se mit alors debout. Je vis alors que son pubis était orné d’une toison brune, taillée en un petit et coquin triangle ras.

- ça va Gégé ?

- Oui…

- Ben, je sais pas tu dis rien… tu as l’air gênée…

- Non… en fait, ça me fait bizarre d’être toute nue devant toi…

- Ah ah ! Ben pour tout t’avouer… comme tu peux le constater… moi aussi ! J’avoue que tu ne me laisse pas indifférent ! J’ai le zizi tout dur à cause de toi !

- Hihi ! Oui, je vois bien ça…

Je la sens légèrement détendue… je continue de m’approcher d’elle. Elle ne quitte plus mon sexe dur des yeux. Je m’approche jusqu’à elle. Le bout de mon sexe n’est qu’à quelques centimètres de sa cuisse. Son corps lisse t ferme m’excite plus que tout.

Je prends alors sa main, doucement, et au même moment que la posant sur mon sexe dur…

- Tu sais, si tu veux, tu peux la caresser… on ne fait rien de mal après tout… on n’est pas vraiment cousins ! Voir tes petits seins pointer comme ça, ça me fait tout chose… tu sens comme je suis dur ?

- Oui… Gégé garde les yeux baissés sur mon sexe, plus timide que jamais, ne sachant plus si ce qu’elle est en train de faire est mal ou bien… elle se mordille les lèvres… le désir semble l’emporter.

Ma main vient alors se poser sur sa poitrine, ferme comme jamais. Géraldine hoquette de surprise et de plaisir.

- Je ne sais pas si…

- Laisse… oublie… j’ai très envie de toi… toi aussi n’est-ce pas ?

- Oui mais…

- Y’a pas de mais ! On a l’occasion de se faire un peu plaisir… on ne va pas gâcher ça !

Et là, ma main plonge entre ses cuisses et caresse son fruit d’amour. Gégé gémit en fermant les yeux. Je sens alors sa main fragile se raffermir pour caresser mon sexe plus fort à m’en décaloter le gland. Ça y est ! J’en suis sûr ! Elle veut ma queue… elle me veut en elle, je le sens à la façon dont elle ondule le bassin aux caresses précises de mes doigts qui s’attardent sur son clitoris avant d’entrer délicieusement en elle.

- oui… !

cet aveux confirme mes pensées…

- Moi aussi j’ai super envie de toi Gégé ! Tu es si belle !

Ses gémissements accompagnèrent les caresses de mes doigts dans un déhanché de plus en plus virulent. La vue de sa jolie chatte lisse me rendit fou. M’accroupissant dans l’eau, je ne résistai pas à l’envie de lui lécher la fente, à goûter sa jolie minette. Son corps rafraîchi par la température de l’eau contrastait avec l’intérieur de son antre, investie d’une moiteur suave. Gégé me regardait laper et embrasser son fruit qu’elle me tendait et m’offrait du mieux qu’elle pouvait, contenant son plaisir dans la limite du possible. Elle avait posé son pied droit sur l’un des marche de la piscine et écartait ainsi parfaitement les cuisses pour que j’immisce ma langue coquine en elle. Quelle jolie chatte douce ! Je la voulais ! je la voulais ! De même que sentir ses belles fesses à la fois fermes et charnues que je caressais tout en léchant.

- Viens !

- Quoi ?

- Viens par là ma belle ! On va se mettre dans le coin de la piscine, là où on ne peut pas nous voir. J’ai trop envie de toi !

Presque autoritairement, je la fis se tourner de façon àce qu’elle offre mon cul.

- mets ton pied là ma belle, voilà, comme ça, offre toi bien, j’ai trop envie de ta minette d’amour !

Géraldine se retrouva penchée en avant avec le pied gauche cette fois-ci posé sur le rebord de la piscine. L’eau nous arrivait en haut des cuisses. Gégé m’offrait son joli cul et sa chatte qui dans cette position, était outrageusement accessible. Je ne pus d’ailleurs pas m’empêcher de lécher sa vulve rose pâle à pleine langue. Offrant ainsi son intimité, Gégé devint plus excitée que jamais. Elle s’offrait comme une chienne en chaleur, tous les trous offerts à mes avides coups de langue. Mais rapidement, s’en fut trop.

Je me redressai. Je pris ma belle queue à pleine main et commençai à caresser sa chatte avec mon gros gland rose et tendre. Gégé en était toute excitée. Comme quoi, la morale bridait bien les envies et les pulsions de sexe ! Je faisais glisser mon gland contre son clitoris, avant d’introduire celui-ci tout doucement entre les petites lèvres de sa belle chatte. Le contraste de chaleur entre ses fesses et l’intérieur de son antre me fit fondre le gland sur place. Il en fut de même pour Géraldine qui sentit soudain mon sexe épais et brûlant s’introduire en elle, l’écarteler, et pour finir la remplir. Un profond gémissement de plaisir sortit de sa gorge.

Posant mes mains désireuses sur ses fesses rondes et fermes, je me mis à aller et venir en elle de tout mon sexe. Voir Géraldine respirer profondément par la bouche, tant le plaisir semblait impossible à con tenir autrement, me mit dans un sacré état d’excitation. Au-delà du plaisir de la sensation de sa jolie chatte chaude et serrée, le plaisir que je fantasmais si fort m’arriva enfin : celui de sentir ses fesses s’écraser contre mon bassin. Quel pied !

Ça non alors ! Offerte ainsi, avec un cul et une chatte pareils, Gégé n’avait plus rien qu’une petite fille ni même d’une ado ! Elle s’offrait à ma queue épaisse comme jamais, sa min gauche posée sur sa cuisse comme pour mieux s’offrir, mieux s’ouvrir. Son cul claquait contre moi, mon sexe dur et gonflé pilonnait et remplissait sa fente. Gégé se mit à gémir de plaisir et moi à râler. Après autant de retenue, voire de frustration, le plaisir et le désir de l’autre maintenant s’exprimaient à plein régime.

J’en avais vingt cinq, elle en avait dix neuf… j’avais déjà oublié tout le plaisir de la fermeté du corps des filles de son âge. Un joli petit cul rebondi et ferme à la fois, contre lequel venait buter mon bas ventre, alors qu’au même moment mon sexe long et dur remplissait sa petite chatte chaude et humide. Il n’y avait pas plus beau bonheur, à baiser ainsi dans la piscine, entourée de palmiers. Curieusement, alors que tout était ici réuni pour me faire jouir, la plénitude soudain omniprésente de baiser la belle Géraldine dans ce cadre féérique me permettait de la culbuter, encore t encore ! Quelle partie de baise ! Géraldine gémissait de plus en plus fort, avait les joues de plus en plus rouges. Je la sentais maintenant venir à la rencontre de mes longs coups de rein, comme si elle en demandait toujours plus. Fermant les yeux et ouvrant la bouche en grand, elle se mit soudain à se caresser le clitoris avec le bout du majeur. Un cliquetis qui se mit de plus en plus virulent jusqu’à ce que Géraldine explose au travers d’un violent orgasme. Je ressentis les spasmes de son vagin sur mon sexe, profondément enfoui en elle. Restant immobile, je sentis son vagin serrer fortement mon sexe, pendant plusieurs secondes, avant de le faire par saccades. Gégé fléchit même un instant sur sa jambe droite.

Je retirai un instant ma grosse bite de sa chatte qui se referma presque aussitôt pour caler mon sexe dur entre ses fesses et en profiter pour la lui frotter le long de sa raie culière et de sa rondelle. Gégé en profita pour se caresser la chatte qui semblait avoir fondu sur place. Je sentais ma belle queue plus gonflée que jamais entre ses fesses froides. Cette sensation semblait exciter Gégé tout autant. Je me mis à taper ses fesses à coup de queue, pour lui indiquer à quel point je bandais ferme.

Je fus alors surpris de voir Géraldine s’emparer de mon manche à pleine main pour tirer fermement sur sa peau épaisse et la diriger de nouveau vers sa petite chatte.

- Mets-la moi ! Je la veux en moi tout au fond ! me dit-elle d’un voix lascive. Je n’en revenais pas.

Je me remis donc à la culbuter de plus belle. Gég » s’agrippait à mon bras comme pour m’inviter à ne pas freiner. Son cul claquait contre mon bassin. La sensation de sa chatte tendre t chaude me faisait fondre le gland et le prépuce plus particulièrement encore dans cette position.

Je grimaçais et me raidissais de plus en plus…

- je vais jouir ! prévins-je ma belle Gégé.

Celle-ci ne moufta pas… ce qui voulait dire qu’elle m’autorisait à jouir en elle. Alors, lui mettant des ultimes et longs coups de queue, je me raidis soudain au fond d’elle et me mis à jouir très fort. Je ne pus m’empêcher de râler comme une bête tellement la sensation était extrêmement intense et bonne. Je me mis à me vider les couilles au fond de Gégé, par de puissants jets de sperme qui ne tardèrent pas à lui remplir la chatte. L’orgasme à peine terminé, je me retirai. Gégé s’empara aussitôt de mon sexe et fit sortir les dernières gouttes de sperme épais qu’elle étala sur ses fesses. Un flot de sperme blanc coula de sa chatte et dégoulina le long de sa cuisse bronzée, avant de finir dans l’eau. Bordel quel pied !!!!!!!!!!

On finit en se relaxant dans la piscine, nageant tranquillement. La glace était maintenant brisée entre nous. On parla de tout et rien jusqu’au retour de la « famille »…

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Guest tiny

wahou!

quel récit =)

... très excitant !

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Le grand retour de mister Asmoth :oops:

Sale petit détrousseur de jeunes filles en fleur :wink::wink::wink:

Toujours aussi bien écrit.

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:oops: :wink::wink::wink:

magnifique texte comme à ton habitude!

tu ecris toujours aussi bien, c'est un vrai regal de te lire

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Alors la j'ai comme un e bosse gigantesquement dur dans le pantalon !

Ça a du être un moment énorme.

biz biz

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olala, c'est officiel : cette histoire est bandante !!!!!

vivement cette été et les maillots de bain (ou pas ;) )...

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Quel histoire! J'en suis toute retournée, vraiment bien écrite et qui donne envie. Dans la piscine en plus, j'en rêve, quel chance!

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Guest sieg

incroyable récit je m'en remets à peine

merci vraiment au plaisir de te relire

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très beau récit

très bien écrit

merci !

as-tu revu cette "cousine"

raconte-nous la suite...

:twisted:

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Et bien l'ami, tu écris magnifiquement bien et... j'adore la piscine lollll

Merci champion !

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Felicitation pour cette magnifique histoire tres bien raconter et tres excitante

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