Aller au contenu
  • entries
    39
  • comments
    139
  • views
    22,546

Cours particulier de langue vivante

Amarylis

867 vues

Cette histoire n’est ni tout à fait un fantasme ni tout à fait une expérience vécue c’est un mélange des deux mais je ne dirais pas dans quelle proportion afin de laisser planer le doute…

Dans le cadre professionnel, j’avais besoin de me perfectionner en anglais et pour cela ma société me proposa des cours particuliers qu’elle financerait.

Ma société s’occupa de tout moi je devais juste me rendre à ces cours.

J’arrivais à l’heure prévue devant un très bel immeuble qui m’impressionna quelque peu, je cherchais sur les étiquettes de l’interphone le nom que l’on m’avait donné « Sir Stephan Miller » je sonnais, une voix masculine se fit entendre :

- Oui ?

- Bonjour Monsieur, je suis Alice… de la société…, je viens pour le cours d’anglais.

- Très bien montez je vous ouvre c’est au 2éme étage, 1ére porte à gauche.

Le bruit caractéristique de l’ouverture de la porte se fit entendre, je poussais celle-ci et me dirigeais vers l’ascenseur tout en admirant le superbe hall d’entrée.

Une fois dans l’ascenseur j’appuyai sur le bouton « 2 ». Un miroir tapissait le mur du fond, je jetais un œil à mon reflet, l’image renvoyée me convenait, bien coiffée, léger maquillage qui n’avait pas bougé, quelques bijoux et une tenue impeccable composée d’une jupe droite noire et d’un chandail léger, féminine mais « professionnel », aucune retouche n’était nécessaire.

Les portes de l’ascenseur s’ouvrirent, je me dirigeai vers la porte indiquée, j’avisais le nom sur la sonnette c’était le bon, je sonnais donc.

Quelques secondes plus tard, la porte s’ouvrait et là pendant un instant je restais comme sous le choc .L’homme qui se tenait devant moi avec une présence, un charisme impressionnant. Grand, il me dominait de plus d’une tête et pourtant je ne suis pas petite moi-même, des cheveux noirs légèrement grisonnants, les yeux verts et des traits fins, il dégageait de son être une noblesse, une prestance, un charme qui m’intimideraient immédiatement, je me reprenais rapidement néanmoins tout en espérant qu’il n’avait pas perçu mon trouble, je lui tendais la main avec autant d’assurance que je pus :

- Bonjour Monsieur Miller, Alice… de la société… je viens pour le cours d’anglais.

Il serra ma main avec douceur et force à la fois :

- Bonjour Alice, je vous prierais de m’appeler par mon titre à savoir « Sir », entrez, je vous prie, et suivez moi.

Je le suivais donc toute penaude, j’étais venue à ce cours sans appréhension, sans me poser plus de questions, je venais me perfectionner en anglais, mais là devant cet homme si impressionnant je n’en menais pas large du tout. Nous traversions un grand appartement meublé avec beaucoup de goût, mais je n’eut pas le temps d’en voir beaucoup, car il marchait vite et je devais presque trotter pour le suivre, nous arrivâmes dans un bureau, son bureau de toute évidence ou apparemment il donnait ses cours, pièce également très belle, meublée avec soin et charme « à l’anglaise ».

Il me désigna le siège devant le bureau :

- Bien, Alice, rien que de l’entendre prononcer mon prénom me fit légèrement frissonner, mélange de peur, de désir et encore d’autres sensations peut être, enfin bon c’était grave ! Pour commencer, je vais évaluer votre niveau d’anglais, pour vous faire travailler et progresser il faut que je sache où vous en êtes actuellement. Je vais donc vous demander de répondre tout d’abord par écrit à ce test que j’ai préparé pour vous.

Tout en parlant, il était passé de l’autre côté de son bureau et il me tendait maintenant une feuille imprimée de caractères noirs. Je tendis la main à mon tour et en prenant la feuille ma main effleura la sienne, nouveau frisson, et j’eu le malheur de le regarder au moment où ses yeux se rivaient aux miens et là je vis distinctement que non seulement il avait tout à fait perçu mon trouble, mais surtout que cela lui plaisait énormément. Un sourire se dessina sur ses lèvres :

- Je vais vous laisser tranquille le temps que vous répondiez au test, appelez moi quand vous aurez terminé.

Il attendit quelques instants, je ne comprenais pas ce qu’il voulait, il me regarda droit dans les yeux :

- Que dit-on Alice ?

Là je compris instantanément :

- Oui Sir.

Il sourit de nouveau :

- Bien c’est bien… je vous laisse à tout à l’heure.

Puis il sortit du bureau. Je réfléchissais quelques instants : pourquoi cet homme me mettait-il dans un tel état ? Je sentais que le reste du cours allait être beaucoup plus difficile que je ne l’avais imaginé, mais pour le moment j’allais me concentrer sur mon polycopié et essayer de penser à autre chose, à l’anglais !

Je remplissais le test plutôt rapidement, ça me semblait facile bien que malgré que j’essayais de me concentrer mon esprit était ailleurs. Une fois fini je me relu, fis quelques corrections et quand je pensais en avoir terminé je me retournais afin de l’appeler. Il était nonchalamment appuyé contre l’embrasure de la porte, il m’observait ! Depuis combien de temps était-il là ? Je l’avais pourtant bien entendu et vu sortir de la pièce ! Il sourit de nouveau devant ma surprise de le trouver là, un sourire qui m’hypnotisait, je dis d’une toute petite voix :

-J’ai fini Sir.

Il s’approcha :

- Bien, voyons cela alors.

Il s’installa à son bureau, je déposais la feuille devant lui et il commença à lire. pendant ce temps j’essayais de faire tout mon possible pour ne pas l’observer, mais vainement. Donc, je ne jetais sur lui que de rapides coups d’œil furtifs tout en espérant qu’il ne le remarquerait pas trop. cet homme avait vraiment quelque chose qui me troublait terriblement, le charme distingué des Anglais ? Je ne savais pas trop, en tout cas une telle présence que je me sentais comme une petite fille auprès de lui.

Il releva la tête vers moi, planta ses yeux dans les miens, il n’avait pas l’air très content :

- Il y a des erreurs, Alice, pas mal d’erreurs même, ce n’est pas du bon travail, ce n’est pas bien, je me demande si cela ne mériterait pas une punition.

Je le regardais bouche bée, une punition ?! Quoi ? Comment ça une punition ?!

Il se leva fit le tour du bureau et vint derrière moi, il posa ses mains sur mes épaules et se pencha au creux de mon cou, il murmura à mon oreille tout en caressant très doucement le haut de mes bras :

- Tu n’as pas bien travaillé Alice, tu as bâclé ce test donc moi je pense que tu mérites d’être punie comme il se doit, pas toi Alice ? Tu n’as pas envie que je te punisse ?

Tout en me parlant, ses mains avaient quitté mes bras pour venir frôler mes seins ou plus précisément mes tétons à travers le fin tissu de mon chandail et maintenant il déposait de légers baisers tout le long de mon cou.

Je gémis tout doucement presque malgré moi :

— je… je ne sais pas Sir…

J’avais les idées embrouillées, une part de moi avait envie de répondre « oui », car cela m’attirait, car j’avais envie de savoir ce qui m’attendait, ce qu’il me ferait et l’autre partie se disait que c’était de la folie, que je ne connaissais pas cet homme et surtout qu’à la base je venais le voir dans un cadre professionnel pour me perfectionner en anglais.

Pendant que je pensais à tout cela lui continuait ses caresses et ses baisers, ses mains avaient englobés mes seins et les massaient, les soupesaient, sa langue courait le long de mon cou puis il commença à le mordiller.

J’aurais dû réagir, lui dire de cesser immédiatement, mais j’en étais incapable, d’une part car j’étais toujours aussi intimidée et d’autre part, car cela me plaisait beaucoup, je commençais d’ailleurs à sentir une douce chaleur m’envahir tout le corps, il murmura de nouveau à mon oreille :

— J’ai une idée, Alice, nous allons allier l’utile à l’agréable, à partir de maintenant je vais te parler en anglais, mais ne t’inquiètes pas tu n’auras rien à dire ou à répondre, pas cette fois-ci, il te suffira de faire ce que je te dis immédiatement après que je l’ai dit, qu’en penses tu ? Et tout en disant cela, ses doigts s’emparèrent de mes tétons pour les pincer, je gémissais de nouveau un peu plus fort cette fois.

— Je suis d’accord Sir.

Ma décision était prise, j’avais envie de connaitre la suite de me laisser aller, tout cela m’excitait terriblement

— Well… good girl… dit il en passant sa main dans mes cheveux.

Il retourna s’assoir derrière son bureau :

-Go and stand-up on the middle of the room.

Je me levais, mes jambes tremblaient légèrement, je me plaçais à l’endroit demandé.

-Dress off …sensualy.

J’hésitais quelques instants.

— Now !

L’ordre claqua sans équivoque possible, les mains tremblantes cette fois-ci je commençais à ôter mon chandail. Il me regardait le sourire aux lèvres apparemment satisfait, d’un geste de la main il désigna ma jupe.

J’en saisis la fermeture éclair sur le coté et la fit descendre puis avec l’aide de mes mains et en ondulant du bassin je fis tomber celle-ci à mes pieds. Comme sous-vêtements je portais un ensemble soutien-gorge, tanga en dentelle noire ainsi que des bas autofixants noirs également.

-Get off all …except your stockings.

Heureusement que je n’étais pas particulièrement pudique et que je savais que sans avoir un corps de top model mes courbes étaient bien proportionnées, j’ôtais donc l’agrafe de mon soutien-gorge et fit glisser celui-ci le long de mes bras, le désir grandissant que je lu dans son regard m’incita à continuer. Je glissais donc 2 doigts de chaque coté de mon tanga puis le fit glisser très lentement le long de mes cuisses. Voilà j’étais entièrement nue au milieu de son bureau offerte au regard de cet homme qui détaillait chaque parcelle de mon corps de ses yeux perçants.

-Turn back.

Je m’exécutais.

-Arch your back and show me your ass.

Je me cambrais autant que je le pus.

-Good girl! Spreads your buttocks with your hands.

Je posais mes mains sur mes fesses et les écartaient offrant totalement mon intimité à sa vue.

Il ne dit plus rien pendant quelques instants, je n’osais pas bouger même pour tourner ma tête vers lui, mais je savais, je sentais qu’il m’observait.

-Well… Come here….

Je m’approchais donc de lui, je m’arrêtais à côté de sa chaise attendant la suite.

-Sit on the desk in from of me and open your legs.

Je grimpais sur le bureau, m’installa face à lui et ouvrait mes cuisses.

Il se leva et s’approcha très prés de moi à la limite de l’effleurement, il posa sa main sur ma joue, la parcourut du bout des doigts puis celle-ci descendit le long de mon cou, enserra un de mes seins qu’elle abandonna bien trop vite à mon goût pour poursuivre sur mon ventre et enfin finir entre mes cuisses largement ouvertes.

-You’re wet ! Dirty girl….

Je rougissais légèrement, ses doigts s’amusaient à agacer mon clitoris, le frôlant à peine, pendant ce temps il me regardait me fixant droit dans les yeux, les miens se fermaient en ressentant le plaisir monter de plus en plus en moi.

— No! Keep your eyes wide open and look at me!

Je sentis un de ses doigts pénétrer en moi, je poussais un gémissement un peu plus fort, il le fit aller et venir plusieurs fois puis l’enleva et le porta à mes lèvres :

-Suck it.

Tout en soutenant son regard je pris le doigt qu’il me tendait entre mes lèvres et le suçait sensuellement.

-Good girl! Stand up turn around and bent over. I’m gonna spank you .This will be your punishment for the mistakes you made .Moving is forbidden. Count each strikes aloud.

Je ne bougeais pas, mais je serrais les dents et je fis bien, car quand la première fessée atteignit ma peau, une assez vive douleur se fit ressentir, je comptais néanmoins :

-1…

S’ensuivirent dix claques sur chacune de mes fesses, au fur et à mesure je sentais la peau de celle-ci chauffer de plus en plus et cette sensation me plaisait beaucoup. Je savais également que j’étais de plus en plus humide.

-Good, now say « Thanks you Sir ».

Je murmurais :

-Thanks you Sir.

— Louder !

Je répétais à voix haute cette fois-ci :

-Thanks you Sir!

-Put on your needs. Je m’agenouillais… Hands on your back and join it. Je mis mes mains dans mon dos… Open your month. J’ouvris la bouche… Pull out your tongue ! Je tirais la langue… Now dont move !

Il détacha sa ceinture, ouvris son pantalon et en sortis son sexe déjà dur, en le tenant d’une main, il le passa sur mon front, mes joues, mon menton, mon cou comme pour me caresser avec ensuite il le posa sur ma langue.

-Suck it whore !

Je l’enfonçais alors dans ma gorge et débutait une fellation où je mis tout mon art, ma tête allait et venait le long de son dard, j’allais le plus long possible, j’aspirais, collant ma langue à cette queue longue et dure, je voulais qu’il aime, je voulais être à la hauteur, qu’il me félicite et cela me semblait être le cas au vu des râles de plus en plus puissants qu’il poussait et qui m’encourageaient à m’appliquer encore et encore plus.

Au bout de plusieurs minutes, il me releva de ses deux mains, me colla contre lui et m’embrasse fougueusement, ses mains parcoururent tout mon corps, massant mes seins, tâtant ma taille, mes cuisses, enserrant mes fesses, griffant mon dos puis il m’allongea sur le bureau écartant mes cuisses de ses mains il plongea sur mon sexe pour me lécher de la manière la plus divine qui soit. Sa langue me rendait folle, je gémissais maintenant très fort, ma tête dodelinait de gauche à droite, il me donnait un plaisir intense.

Il se redressa et m’empala d’un trait, je poussais un cri, il se mit alors à me prendre avec force voir avec rage en s’agrippant tantôt à ma taille, tantôt à mes seins, j’hurlais maintenant sous ses coups de boutoir, j’hurlais de plaisir, un plaisir sans nom tellement il était fort.

Il se retira quelques instants, le temps de me retourner de ses bras puissants pour revenir en moi avec, si c’était possible, encore plus de force. Il me pilonna littéralement, et ce, pour mon plus grand bonheur, je sentais les prémices d’un orgasme dévastateur monter du fond de mon ventre, lui aussi du le sentir.

-Come ! come my slut ! come my whore!

Nous avons explosé ensemble et dans ma tête et mon corps ce fut vraiment un feu d’artifice, un orgasme comme rarement voir comme jamais je n’en avais eu auparavant, j’étais ivre de jouissance.

Il me redressa, me serra très fort dans ses bras et m’embrassa tendrement.

— J’ai hâte d’être à la semaine prochaine pour ton prochain cours, ma belle petite salope.

N.B : Je n’ai volontairement pas traduit les passages en anglais donc désolé pour les non-bilingues, mais c’est voulu.

Je remercie mon Maitre qui lui est totalement bilingue pour l’aide précieuse qu’il m’a apportée pour écrire ce texte.

Une suite ? Peut-être si j’ai l’inspiration…

  • Like 6


6 Commentaires


Recommended Comments

que de progrès aurais je accompli si j avais eu des cours de langue particulier........................

  • Like 1

Partager ce commentaire


Lien vers le commentaire

Ce serai un vrai plaisir de te lire

Un encouragement pour que cela t'inspire

  • Like 1

Partager ce commentaire


Lien vers le commentaire

Merci pour ce récit fort agréable à lire, un doux plaisir que de l'avoir découvert.

  • Like 1

Partager ce commentaire


Lien vers le commentaire
×

Important Information

By using this site, you agree to our Terms of Use.