Maude, ma jolie écuyère,et directrice de centre équestre
Vendredi 9 mars 17 heures 30
Soyez indulgent, j ai passé un si bel après midi que j ai voulu immédiatement vous le faire partager
Mercredi dernier comme vous avez pu le lire, j'ai goûté aux joies de l'équitation, avec Maude, puisque c 'est son prénom, la directrice du centre équestre où je monte . L'invitation à une reprise équestre avec Maude, ce vendredi présageait d'une agréable ballade équestre.
Jeudi midi je me faisais chambrer par de bons amis sur le tchat du forum, à ce sujet. J'avais à peine quitté le forum qu'un SMS arrive sur mon portable.
« Il me tarde de sentir vos mains parcourir mon corps, je serai votre pouliche, la paille sera chaude »
Ce message réveilla en moi, nous seulement des images récentes, mais aussi ce qui nous est cher ou chair pour notre incorrigible plaisir d'homme. La nuit fût des plus confuse dans ma tête. Ma moitié ressentit physiquement les effets que produisaient dans mes rêves ces images sur ma personne. Elle profita à mon grand plaisir et du sien de la situation quelque peu ambiguë.
Ce matin je prépare donc mon équipement, graisse ma selle, et place discrètement dans une de mes fontes, un flacon d'huile de massage,(huile d'argan à la rose) pour parfaire au pansage de ma belle pouliche.
13 heures 30, je roule rêveur sur la petite route conduisant au centre équestre, tellement rêveur que je manque de finir dans le fossé lorsqu'un lièvre traversa devant moi. Ah non arrête un peu de rêver Mariveau, soit patient me dis- je.
J'arrive au centre, je me gare, je ne la vois pas, je prends ma selle et me dirige vers les écuries.
Un tracteur arrive derrière moi, un homme en descend........ le mari. Il me dit d'un ton enjoué , belle journée pour monter, cela fait un moment que l'on vous a pas vu. Maude arrive derrière lui, les pommettes un peu rouge, mais avec le sourire mutin. Je lève les yeux au ciel voyant s'écrouler tous mes rêves . Et en effet là je vois que la porte extérieure du grenier est grande ouverte, un élévateur se trouve en bas avec des bottes de paille.
Mon château de carte érotique que j'avais tant élaboré s'effondre d'un coup. Mais derrière son mari Maude sourit, mais pourquoi sourit elle ?
Je me remémore une phrase que j'avais dit jeudi sur la room: «j'ai ma dignité, j'accepte de m'échapper par une fenêtre le pantalon à la main à la mode de Feydeau, mais je refuse d'être poursuivi par un tracteur conduit par un mari cocu ». (une bonne scène vaudevillesque par ailleurs si on l'imagine bien)
Je me fais une raison, je me dirige vers l'écurie, Mister Black me voit, il piaffe de plaisir. Au moins il y aura quelqu'un qui sera content de son après midi me dis je.
Je le selle et je prends la direction des collines de calcaire blanc . A peine sorti du centre j'entends la voix de Maude, « Mr M............. attendez moi, certes nous ne pouvons faire une reprise à deux mais une ballade vous tente t elle encore? » Je souris , chevaucher à coté de cette belle cavalière sera pour moi aussi agréable et nous partons.
Cela fait un quart d'heure de nous parcourons le plateau de calcaire blanc surplombant le centre équestre. Sans rien se dire, nous progressons à travers de petits sentiers et des sous bois constitués de chênes truffiers, de hêtres, d'Aulnes et de genêts.
Le ciel est bleu, quelques nuages furètent dans le ciel.
Le vent de Nord Ouest est encore présent, mais le soleil certes avec parcimonie donne de ses rayons faisant exhaler à la terre encore humide de cette fin d'hiver, son parfum d'humus .
Soudain elle me dit , me tutoyant pour la première fois, « prends ce sentier à gauche ».
Je m'exécute et après avoir parcouru un petit kilomètre, je découvre d'abord une gariotte,(petite cabane de berger en pierres sèches) Puis une petite ferme Quercynoise, surmontée de son traditionnel pigeonnier. Cette bâtisse traditionnelle vient d'être restaurée . Sur un petit panneau en bois, je peux lire le Petit Causse .
Maude saute de sa monture et me dit : « le confort de notre gîte, compensera bien la paille du grenier » et elle déverrouille la porte, elle entre, avec sa démarche féline. Sa tenue cavalière met délicieusement en valeur ses harmonieuses courbes .
J'attache Mister Black à coté de Pallas son cheval et je la suis.
A peine rentrée, « déshabilles moi »dit elle ( des paroles de Juliette Gréco me passent par la tête : déshabillez moi, pas tout de suite, pas trop vite). Elle plaque sa bouche contre la mienne.
Je l'a fait s'asseoir sur le bord d'un canapé style Rococo, posé au milieu de la pièce principale. Je remarque qu'il fait bon dans la maison, un poêle à bois dispense une chaleur douce. Le plancher ciré grince légèrement . Elle a de la ressource Maude, rien ne l'arrête me semble-t-il quand elle a décidé quelque chose.
Je lui enlève délicatement ses bottes, je dénude ses jolis pieds tout froids, que je réchauffe de mes mains, lui arrachant de petits rires, car elle semble chatouilleuse. Puis je retire sa culotte de peau beige pour découvrir qu'elle est complètement nue. Je ne peux qu'admirer une nouvelle fois son sexe délicatement épilé, un sexe si fin, si doux , si soyeux , pratiquement juvénile. Je retire son pull, elle ne porte rien. Je pense alors à une autre chanson de Juliette Gréco (t'es toute nue sous ton pull, jolie môme). Je découvre ses seins harmonieux aux aréoles roses claires et aux tétons carmins déjà dardés..
Qu'elle est jolie.
« Tu as froid » lui dis- je , sortir presque nue, voyons!..... « Non j'ai chaud !» dit elle.
Je me dévêts, son regard fixe mon désir bien prononcé. Elle se retourne lascivement offrant à mon regard sa croupe divine, le creux de ses reins , ses hanches.
« Alors tu ne panses pas ta pouliche ».
Je fouille dans ma fonte, je sors le flacon d'huile, la réchauffant près du poêle à bois.
Puis j'entreprends ce qu'elle attend. Je commence par ses pieds m'attardant sur ses orteils si mignons . Je remonte le long de ses jambes, de ses cuisses, mais je m'arrête avant d'atteindre ses fesses magnifiques. Je veux la faire un peu languir.
Je change de position et me mets à califourchon sur ses fesses. Ma verge est dure comme l'acier d'une lame d'épée. Elle se cale entre ses douces fesses. Je continue à la masser. Je me mets à parcourir sa nuque, ses épaules ses aisselles sans atteindre le sein des seins. Je m'attarde sur ses reins. Elle ronronne de plaisir, « continue ne t'arrête pas. Ne t'arrête jamais » .
Elle se cambre.
Je remarque qu'elle a une main sous elle, elle joue de son bourgeon, de ses lèvres intimes.
Je glisse ma lance vers son humidité intime telle la racine du Saule cherchant à se rassasier.
Je présente mon sexe à l'entrée de cette caverne humide et bouillante , elle remonte ses hanches et je m'introduit en elle lui arrachant un gémissement profond. Ma verge glisse dans son étui comme l'épée dans son fourreau. Je continue à prodiguer massages et caresses, légers baisers tout en allant et venant délicatement en elle. Je sens son sexe se contracter sur ma verge à chaque mouvement. Quelle douceur, quelle chaleur, elle ondule, son souffle s’accélère, ses yeux sont mis clos. Elle gémit.
Je me retire doucement et sans un mot nous nous allongeons l'un contre l'autre tête bêche, mes lèvres viennent boire à sa coupe intime, sa bouche s'empare de ma lance. Elle enserre de ses lèvres la base de mon gland jouant avec, de sa langue. Ses mains sont habiles. Sa bouche devient fourreau pour mon glaive. Je lui rend le plaisir qu'elle me donne jouant aussi de ma langue , mes doigts , mes lèvres, suçotant son bourgeon, introduisant mes doigts dans son intimité.
J'ai l'impression que le temps s'est arrêté, nous prenons notre temps pour savourer ce plaisir.
Elle revient contre moi, me présentant son dos et ses fesses magnifiques. Sur le coté l'un contre l'autre, je la pénètre à nouveau doucement. D'une main je caresse sa nuque de l'autre je dessine des arabesques virtuelles sur ses seins. Je lui prodigue des baisers dans son cou. De ses mains elle caresse ses lèvres intimes, son clitoris.
Mon sexe est attiré par une autre intimité, elle ne dit rien. Ma main se dirige vers son œillet, que je caresse, je ressens un tremblement, je m'arrête, « non continue » me dit elle.
La peau est fine, je pose délicatement un doigt , « continue », délicatement je force cette porte. Elle gémit. Je présente mon gland sans forcer , elle se cambre et les muscles se dilatent ouvrant le passage lui arrachant un gémissement de plaisir. Je la sens trembler, je veux m'en aller, de peur de lui faire mal , mais elle se plaque. Doucement je m'enfonce, tout cède en elle. Je commence délicatement à aller venir en son intimité. Je maintiens ses hanches qui ondulent par un plaisir nouveau naissant en elle. Sur le coté toujours contre elle, je cadence doucement plaquant mon torse contre son dos. Elle se blottit. Je sens l'orgasme venir autant en elle quand moi, et dans un râle puissant je m'épanche en elle. Elle crie son plaisir.
Nous restons uni en un seul corps quelques secondes, puis nous allons nous doucher, jouant encore de nos sens .
Il nous reste encore un peu de temps, nous nous allongeons à nouveau nus l'un contre l'autre seulement à se caresser, à s'embrasser.
Elle me dit alors j'ai deux choses à t'avouer.
La première, c'est la première fois que je donne mon intimité à un homme, tu as été d'une douceur, je ne voulais plus que cela s'arrête, quel plaisir indicible.
La seconde et ne t'offusque pas, sous certains cotés ton fils est digne de toi, mais je préfère de loin le père ( je comprends alors l'air béat de mon fils ainé rentrant de son job d'été) . Et nous nous mettons à rire aux éclats.
Il est temps de repartir. Nous rentrons en faisant bien galoper nos montures, pour donner le change.
Arrivés au centre, le mari nous fait signe depuis le grenier avec ses bottes de paille.
Nous rentrons aux écuries, pansons côte à côte nos chevaux . Tu vois lui dis je, nous étions il y a deux jours au dessus et lui en dessous, aujourd'hui c'est lui qui est au dessus, j'espère que les bottes de paille de cafterons pas.
Elle rit aux éclats, elle est rayonnante. Elle m'embrasse, et part à son bureau.
Je prends ma selle et me dirige vers ma voiture.
Le mari du haut du grenier m'interpelle, « bonne balade ? »
Mon sang se glace, je me vois déjà fuir devant le tracteur.
Il rajoute avec une telle innocence , ma femme ne vous en fait pas trop voir, elle est vraiment exigeante en équitation.
Je fais un petit signe amical de la main au mari, je me retiens d'éclater de rire. En dessous la porte du bureau est ouverte, Maude toujours à l'intérieur a entendu la conversation , elle rigole comme une folle, je monte dans la voiture. Je démarre. (regardant bien si un tracteur de me suit pas de trop près)
Je ne suis pas encore en bas de la côte, un SMS :
« A une reprise prochaine, je connais un superbe autre petit endroit très agréable pour parfaire ensemble notre technique de monte, il paraît que je suis exigeante , bises signé Maude ».
Je frissonne, souris, je dois me concentrer pour ne pas verser une nouvelle fois au fossé .
16 heures 45 , je suis à la maison, je range en vitesse mon équipement, je me douche rapidement avec toujours les mêmes sensations que mercredi soir .
Effacement des sms sur le portable et hop au clavier.
Bonne soirée
Mariveau
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