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LA DIRECTRICE DU CENTRE EQUESTRE

Mariveau

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blog-0357361001335469879.jpg7 mars 2012, 18 heures 30

Je ne sais pas si c'est l'approche de la cinquantaine, mais depuis quelques mois, le démon qui sommeillait en moi s'est réveillé, à mon grand plaisir, égoïste d'homme.

Ce démon je l'ai communiqué à ma douce, sous certain aspect.Puis j'ai découvert récemment le Forum Intime, la liberté d'esprit des membres m'a conduit à vouloir partager mes souvenirs, mes expériences anciennes et plus récentes , et donner libre court à mon imagination en partageant mes passions.

Petit à petit, je prends mes marques et je découvre des amitiés, de la convivialité, des parties de rire

.Hier après midi après un petit tour sur la room, je me suis rendu au centre équestre de mon village pour sortir un peu le cheval de mon fils, un Appaloosa Mister Black.

Je comptais faire une ballade d'une heure, mais le vent du Nord a eu raison de moi après une heure de promenade dans les collines calcaires du Quercy.Je décidais donc de faire travailler Mister Black en carrière pendant une petite heure.De retour à l'écurie, la directrice du centre était présente.Une belle femme d'une quarantaine d'années, très racée, avec des formes mises en valeur par sa tenue équestre. Des yeux noirs perçants , des cheveux noirs coupés courts , et de jolis seins bien ronds.Cela fait maintenant 12 ans que je connais cette femme depuis que mon fils fait de l'équitation et il a vingt ans. Mais hier elle était une découverte pour moi, elle avait totalement changé.

Elle était réellement belle et désirable.Bonjour, Monsieur ….......... cela fait un moment que vous n'êtes pas venu, que deviens votre fils depuis cet été ( son niveau équestre lui avait permis de décrocher un job d'été dans le centre)

Elle m'accompagna en discutant de tout et de rien jusqu'aux écuries, où j’entrepris de rafraichir les jambes de Mister Black. Tout en le pansant , je regardais cette femme. Je la découvrais. Elle avait vraiment changer. Ses pommettes étaient rosées par le froid.Je brossais délicatement mon compagnon équin, je le pansais avec attention.Soudain elle me dit, quelle chance a votre femme ?

Je la regardais avec interrogation, et avec un petit sourire elle me dit, vous avez une telle douceur dans vos gestes, qu'elle doit être aux anges quand vous la caressait. Puis elle reparti vers son bureau avec une démarche féline mettant en valeur les courbes de sa croupe. Je me surpris à fantasmer sur cette femme.Je regagnais ma résidence.

Ce midi , je me promenais, sur le site, papotant sur le tchat avec deux charmantes amies , tout en écrivant une petite nouvelle érotique pour une dédicace, lorsque je reçois un sms sur mon portable.Aimeriez vous cet après midi panser mon cheval ?

Me voici donc reparti direction le centre équestre, avec l'esprit léger.Elle était là son cheval scellé tenant par la bride Mister Black lui aussi scellé.Une petite ballade me dit elle ?

Nous sommes partis une petite heure, puis au retour, nous nous retrouvons dans les écuries, à panser nos montures respectives.Sans un mot, elle vînt à coté de moi et prenant ma main elle l' accompagna alors que je brossais mon compagnon. Elle plaça son corps entre mon cheval et moi même . Je la plaquais contre le cheval . Elle sentit la raideur de mon membre et ne réagit qu'en se cambra un peu plus.Je m’enhardis en lui soufflant dans le cou, et posant ma main gauche sur son sein. A travers le tissus de son pull je sentais une pointe dardé.

Mais il y avait du monde, elle quitta la stalle en souriant et déposant à mon étonnement un baiser furtif sur ma bouche, suivi, d'une petite morsure à ma lèvre supérieur.

Un peu dans les « vaps » je continuais machinalement à m'occuper de Mister Black, tout en ayant des pensées plus qu'osées .J'allais partir, regagnant ma voiture, lorsque que mon portable sonne. Un sms, je t attends là haut.

Le centre équestre dispose au dessus de son manège couvert d'un grenier servant de réserve de fourrage. On y accède par une petite échelle à l'arrière du manège.Je monte, j'ouvre la porte, rentre vite et ferme vite .Elle est devant moi, et me dis veux tu jouer de tes mains sur mon corps ?

Malgré le vent à l'extérieur, Il fait bon dans ce grenier remplie de paille, au dessous de nous les écuries . J'aime cette odeur de paille, cette odeur typique équine.Elle se dévêt devant moi m'offrant son corps de femme épanouie par son âge. Elle s'allonge sur une couverture et m'offre son dos, sa croupe à l'assaut doux de mes mains, de mes doigts.Son corps se met à onduler, elle commence à gémir. Viens contre moi me dit elle, je me dévêts et nous nous retrouvons à nous caresser. Pas un mot, au dessous de nous une reprise pour adultes vient de commencer , une heure sans pouvoir sortir sans risque.

Elle glousse, en pensant à ses clients très appliqués à essayer de maîtriser leur monture en dessous de nous.Je tressaille de plaisir lorsque ses mains chaudes se mettent à caresser ma verge durcie par le plaisir .Mes lèvres mordillent ses tétons qui réagissent en lui arrachant de petits cris qu'elle tente d'étouffer.Puis elle me repousse, et commence à donner de petits coups de langues sur mon torse, suçotant mes seins qui réagissent autant que les siens. Puis sa bouche s'empare de ma lance et elle enserre de ses lèvre mon gland, je sens sa langue rouler sur cette peau si sensible

.Elle joue avec ses mains sur mes bourses, elle entame un va et vient sur mon sexe me mettant au supplice. Elle s'arrête pour venir s'empaler sur mon membre et son bassin entame une danse endiablée. Je torture la pointe de ses seins, je malaxe ses fesses fermes, ses cuisses musclés par des heures de monte . Elle gémit de plus en plus, je râle de plaisir. Sa bouche se plaque contre la mienne ses lèvres sont salées. Nos langues se trouvent.

.C'est sûr on va nous entendre, mais en bas le palefrenier commence à donner à manger aux chevaux, qui frappent de leurs sabots les portes des stalles, couvrant ainsi le bruit de nos ébats que nous avons de plus en plus de difficultés à retenir.Je n'en peux plus je la bascule sur le coté et plonge mon visage entre ses cuisses, assouvissant ma soif de son sexe humide et chaud. Je la lèche avidement, je suçote son bourgeon, elle jouit.Elle se cambre me repousse et se retourne me présentant sa croupe. Je n'en puis plus, et je présente mon glaive à l'entrée de son sexe et je m'enfonce d'un coup lui arrachant un cri étouffé, elle mord son pull. Je me déchaine, prenant ses hanches j'entame un va et vient de plus en plus fort. Je sens monter en elle comme en moi l'orgasme.

Elle se redresse, je la plaque contre mon torse en écrasant de mes mains ses seins meurtris. Je lui mordille le cou. Je devine sa main jouant de son clito.Elle arrache un cri de jouissance lorsque mon écume jaillit en elle.Nous nous affalons en sueur épuisés dans la paille, le cour en bas va s'achever. Elle se rhabille très vite, part la première, attends dix minutes dis t elle. Je me rhabille et je descends.Je n'ai pas encore démarré ma voiture qu'un sms arrive sur mon téléphone, vendredi après midi, ça te dis, une reprise au manège en cours particulier.Un simple OK en réponse et je m'empresse d' effacer mes sms.

Il est 17 heures Je rentre à la maison, une douche avec encore des sensations et je me mets au clavier.

Bonne soirée.


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