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Des vendanges particulières (3)

Mariveau

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"Elle s'approcha alors féline à quatre pattes sur le lit, le petit déjeuner pouvait encore attendre.

Baises moi, là maintenant j'en ai envie. Mon désir ravivé je la prenais avec fougue.

Nous avons passé les deux jours suivants jusqu'au lundi matin entre la chambre, cette cave , le chais , rien qu'à s'adonner au plaisir d'Eros et à m'initier au plaisir de Bacchus" .

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Ainsi commençait un week end que je n'oublierai jamais

Sans même fermer les yeux, je la revois encore s’avançant, se faisant chatte, j'étais fasciné par ses yeux de braises, ses seins qui s'approchaient vers mon membre tendu. Elle le prit entre ses deux seins et joua avec ma lance . Quel délice de sentir mon membre glisser entre ses divins mamelons; Je pouvais voir dans la glace au fond de la pièce, onduler sa croupe et deviner son sexe humide .

Puis ses mains prirent mon sexe et se mit à me branler avec une telle douceur. Ses mains allaient et venaient me décalottant mon gland rougit par le désir. Du bout des doigts, elle caressait subtilement.

Faisant une bague de ses doigts, elle l'enserrait, pendant que son autre main, elle caressait mes testicules. Je sentais ses doigts glisser sur mon périnée, déclenchant d’incontrôlable tremblement de ma verge. Puis se fut sa bouche qui pris le relais. J'étais fasciné par sa bouche qui engloutissait totalement mon membre. La langue courrait le long de ma hampe, ses lèvres suçotaient mes bourses. Quel merveilleux supplice, elle avait une technique si particulière pour me retenir de partir. Elle se délectait de mon sperme qui perlait en gouttelette. Sa langue roulant sur ses lèvres.

J'ai faim dit elle , viens on va manger. Je restais sur ma faim mais sa façon d'utiliser la confiture sur ma personne, fit ce ce petit déjeuner, un moment inoubliable, fait d'excitation, fait de rires, de sensations.

Elle me repoussa sur le lit et alla chercher quelques choses dans l'armoire à la fameuse glace. C'était un bien joli godmichet en ivoire sculpté, ramené par un de ses aïeul, armateur bordelais d'une voyage en Extrême Orient. Elle se mit à danser devant moi introduisant avec alternance l'objet phallique de sa bouche à son sexe et inversement. Je m'étais calé avec les oreillers et je me branlais . Oui branles toi, j aime de voir te branler, puis elle s'approcha puis, debout elle me présenta sa sexe à ma bouche.

Lèches moi et godes moi dit elle en me présentant l'olisbos. Je pris un malin plaisir à la faire languir . Je pouvais la voir se pincer ses tétons, se malmener son bourgeons. Continues à te branler, j 'aime te voir .

Nous pouvions nous voir dans la glace, c'était très excitant. Ses gémissements devenaient puissants, je sentais couler dans ma bouche son liquide intime.

Elle vint alors devant le lit et me présentant sa croupe, elle me dit, tu l'aimes mon cul alors baise moi. Je me redressais, j'avais remarqué qu'elle avait fait en sorte de se positionner de façon que tous deux profitions de la vue dans la glace.

Sans détour, emprisonnant ses hanches de mes mains et m'enfonçais en elle d'un coup puissant lui arrachant un cri. Elle se cambrait pour mieux recevoir ma queue, oui baises moi plus fort. Je pouvais voir ses Seins balloter sous mes assauts. Ses cheveux se faisaient crinière, elle criait son plaisir.

Je sentais sa main sur mes bourses , nous étions en sueur. La sueur couler entre ses fesses et je m'enhardis, glissant un doigt vers sa rose. « Hummm coquin, tu es plus expérimenté que je pensais ». Qu'attends tu pour continuer. Sa remarque me fit redoubler de raideur, « Ouiiii, qu'elle est bonne ta queue ».

Cette femme que j'avais vu si réservée si policée se lâchait complètement à mon grand plaisir je l'avoue. Je forçais donc l'entrée de sa rose, lui arrachant un petit cri. Je continuais mes mouvements de piston. « « Encules moi, fais moi gueuler »dit elle dans un râle. Il n'est point dans mon habitude d'utiliser dans mes textes ces mots, mais cette étreinte était devenue plus que torride.

J'abandonnais son vagin trempé et je présentais mon gland devant son petit trou, je n'eus même pas à forcer car elle écarta ses fesses et rua en arrière pour me recevoir d 'un coup.

Mon gland força la première porte avec aisance et mon glaive s engouffra dans ce fourreau étroit.

Elle se cambra et cria « Oui c'est bon, défonce moi »

Je redoublais de fougue quand je sentis que je ne pourrais plus tenir longtemps. Elle aussi . Elle s'allongea sur le ventre sur le tapis face à la cheminé. Toujours soudé à elle, je repris quelques minutes mon ballet. Puis elle fut prise de tremblements intense, et se mis à crier une nouvelle fois.

Ce fut le signal, pour déclencher ma foudre comme Zeus possédant sa femme Héra.

En longues saccades, mon jus inonda sa caverne, je m'affalais sur elle. Nous basculâmes sur le coté, je lui caressais la nuque, les cheveux, ses seins.

Après quelques minutes, on reprit nos esprits, dans la salle de bains les jeux amoureux reprirent plus légers.

Allons maintenant t'initier au vin, elle enfila une simple robe se boutonnant sur le devant, complètement nue dessous. Comme cela tu pourras mieux gouter au vin coulant sur mon corps, suis moi allons poursuivre à la cave.

Nous n'étions que le samedi matin,..............

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