Les gaffes de Mariveau - le jean
Vous allez bientôt croire que Mariveau et sa douce Véro sont le roi et la reine de la gaffe amoureuse, et on peut dire que l'on a commencé tôt ,
Bordeaux septembre 1986, nous sommes étudiants. Nos parents ne sont tout à fait d'accord pour que nous vivions ensemble. Qui n'a pas entendu la sacrosainte rengaine : quand vous aurez du travail, vous pourrez vivre ensemble.
Mais c'était pas nous connaître et nous avions choisit elle un petit studio, moi une chambre chez l'habitant à exactement 50 mètres l'un de l'autre et ce dans le quartier du jardin public.
Chaque soir après les cours je rejoignais ma belle pour partager un petit repas en amoureux et parfaire nos techniques de câlins coquins.
Ce soir là, nous avions décidé de commencer par les câlins, plutôt que par le repas.
Il faisait chaud dans ce petit studio, et nous étions très entreprenant à découvrir les effets des caresses par une plume et une rose, oui déjà j'étais accro.
J'étais très excité par les douce mains de Véro, jouant avec ma lance quand on sonne à la porte.
Véro réagit très vite enfile un pantalon de survêtement, un tee shirt sur ses petits seins.
Elle ouvre les volets se retourne livide c est ma soeur et mon beau-frère.
Je me précipite sur mon jean ,un tee shirt et hop assis sur la banquette, entre classeurs et livres de cours.
C'est encore un coup de ma mère souffle Véro. La visite se passe très vite, les deux sœurs parlent en aparté, moi je reste la tête dans les livres.
Enfin ils sont partis, on souffle. Où as tu mis mon jean dit alors Véro, je lui montre un jean caché sous le lit. Elle le prend et me dit, mon celui là c'est le tien. Et elle me regarde, le mien tu le portes.
Je constate alors qu'effectivement je me suis glissé dans son jean taille 36/38. J'avais bien remarqué la difficulté à le fermer. Véro me dit en riant, rends le moi, même s'il te fait de belles fesses.
Je tente de l'enlever mais çà coince, je m'allonge sur le lit et Véro prend les pieds et tire et il reste coincé et je me retrouve par terre, elle rigole de plus belle et tire de nouveau me faisant parcourir une partie du salon en glissant sur le parquet. Et là je m'accroche à un pied de la table, qui cède immédiatement laissant choir la pile de livre sur ma tête m'occasionnant un superbe coquard.
Véro est hilare, le jean enfin décide de glisser le long de mes jambes. Je suis sonné et je m'allonge sur le lit, pour me soigner Véro va me câliner avec moult s attentions .
Je remercie ce jean car quelques semaines plus tard les parents de Véro acceptaient enfin que nous devions colocataires..................
CONCLUSION
En cas d'urgence assures toi que c est ton pantalon que tu enfiles, être jouer peut être sympa, mais cela comporte toutefois des risques.
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