Tes jambes s’effeuillent
Tes petits pas de coquine claquent sur le plancher,
Juchée sur tes talons hauts tu vas vers ce canapé
Où nos corps se sont enlacés.
Là ,où, nous nous mêlerons à nouveau.
Tes dentelles m’affolent, j’imagine les trésors
Qui s’y cachent pudiquement.
Tu me regardes, t’es yeux brillent de malice,
Ton corps chaloupe sensuellement,
Soutenu par ces escarpins qui galbent
Tes Jolies Gambettes jusqu’à tes fesses.
Maintenant tu les ôtes;
Tes pieds Frôlent le sol d’un pas délicat.
Tu portes tes mains sur le haut des tes cuisses,
Et aussi lentement que coule une nuit charnelle
Tu fais glisser cette résille qui caressait ta peau
Et la dévoile à ma vue concupiscente
Ta cuisse, ton genou, ton mollet, ton pied
Enfin se dénudent, je suis fébrile et palpitant
Alors que tu passes lascivement
A ton autre jambe toujours finement voilée.
Cet effeuillage se répète, j’imagine
Le dessein qui t’anime belle immorale
Tu veux que je sois ton jouet
Tu veux me prendre au piège de ton
Filet de nylon