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Après le rapport du Docteur Kinsey, le Professeur Mariveau reprend la main

Mariveau

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Pour ceux qui ne me connaissent pas encore, je peux me qualifier comme un homme au cerveau dérangé, loufoque, éternellement adolescent, voir gamin. Un être venu d’ailleurs mais comme mon GPS intersidéral était en panne je ne sais plus d’où . Une bizarrerie masculine, intenable, incontrôlable. Mais surtout un homme libertin qui a enfin trouvé sa Muse, un homme passionné par la femme, sa beauté, sa sensualité, un homme passionné par l’érotisme, la littérature et l’histoire.

Je suis boulimique des mots des plaisirs et j’aime vous faire partager cette passion dans des textes ou des poèmes qui valent ce qu’ils veulent bien valoir.

Certaines d’entre vous ont partagés cette passion dans des textes communs, alors je me propose de vous mettre toutes et tous à contribution.

Proposition indécente, oui je le revendique, alors je me lance.

En cette année 2013, nous fêtons les 60 ans de la parution de l’enquête du Docteur Alfred Kinsey sur la sexualité des hommes et des femmes.

Alors le Professeur Mariveau, Docteur en érotisme, et loufoqueries comparés, se lance dans une nouvelle étude dans l’univers du Finautérotisme.

Le finautérotisme, quel barbarisme me direz vous ? Etymologiquement, le Finautérotisme trouve ses racines dans une contrée dédiée aux plaisirs la Finautie et le plaisirs du sexe par l’exacerbation des sens, l’accomplissement ou le non accomplissement, des fantasmes, et une masse d’expériences.

Je vous propose donc de participer à cette étude, simplement en écrivant un petit texte érotique sous forme d’une confession imaginaire ou réelle à un psychanalyste homme ou femme selon vos goûts, mais surtout avec humour, décalage, loufoquerie, déjanté . Confession qui éventuellement pourra si vous le voulez déraper

Chaque semaine je ferai un résumé et une analyse Mariveaudienne qui fera date dans l’histoire de la psychanalyse alternative.

Freud t’es foutu, j’arriveeeeee.

Lorsque pour la première fois je me suis rendu chez un psychanalyste, une charmante femme mature, dont la sensualité respirait de tout son corps, je ne pensais pas que cela allait provoquer en moi un déclic, une révélation.

Ma pauvre mère se désespérait d’entendre chaque week-end des gémissements féminins qui n’étaient jamais les mêmes ( je précise cette chère femme avait l’oreille musicale et l’ouïe fine).

J’avais commençais très tôt, à quinze ans surtout avec les mères de mes copines de collèges, de lycée ou de mes voisines, en fin de compte les amies de ma mère très assidues aux réunions tuperwaere et Stanhome de ma chère maman.

A 19 ans s’il y avait eu un bac option sexe,( oui j’étais plus assidu à la compréhension de la géographie féminine que des fonctions affines), j’aurai eu la mention excellent et les félicitations du jury, c’est d’ailleurs ce que m’avaient dit un jour ma prof de maths après l’avoir culbuté sur le bureau, et ma prof d’anglais après une nuit mouvementée lors d’un voyage scolaire à Londres.

Mariveau …. tu devrais voir une psychanalyste, tu ne vas pas passer ta vie à courir.

Je me présentais donc à la première séance.

Donc cette magnifique femme d’une cinquantaine d’années, une véritable BCBG(Bourgeoise – chaude-Bordelaise – Gourmande) je le découvrirai d’ailleurs bien vite me reçut dans un superbe bureau dans un hôtel particulier proche de la Place Gambetta et du Cours de l’Intendance à Bordeaux.

Chemisier saumon, dont les premiers boutons ouverts laissaient entrevoir des seins digne de la femme de Zeus , Héra . Jupe de tailleur noire, bas noirs . Elle s’assit sur un fauteuil de cuir face à moi qui me trouvait sur le divan.

Elle croisa les jambes et je découvris le début d’une porte jarretelle.

Chevelure de feu, nouée en chignon, des yeux verts émeraude.

Elle ne me laissait pas de glace.

Les trois premières séances furent dédiées à ma petite enfance et tout le reste.

La quatrième elle aborda le sujet pour lequel j’étais là. Les débuts de ma sexualité. Je racontais mon dépucelage à la va vite en Polynésie, mais on en resta là.

Lors de la cinquième séance, j’arrivais vers 19 heures, j’étais son dernier patient. Je relatais ma première relation avec une femme mature

(Arcachon septembre1980,

L'été de mes quinze ans.Je venais de rentrer avec mes parents d'un séjour de deux ans en Polynésie, mon père devait prendre un nouveau Commandement à la mer en métropole.

Mes parents en cet été devaient me laisser afin de régler les problème domestiques liés à toutes mutations. Ne voulant pas passer la fin de mes vacances chez grands parents, mes parents me confièrent à des amis, qui était son Second.

J'étais assez content de cette situation, il avait une villa à Arcachon avec piscine. Ces villas landaises à étage pas loin de la plage, dans les pins. Le couple avait une quarantaine d'années..Il y avait une fille de 18 ans dont j'étais "amoureux', mais qui ne pensait qu'à sortir avec des mecs plus âgé qu'elle (19 et 20 ans j'en ris encore de mon aplomb à séduire à cette époque) et un garçon de 12 ans pensant plus à jouer qu'à draguer comme moi.

Je disposais d'une chambre à l'étage.Le premier soir j'eus du mal à dormir, je n'avais pas encore mes marques, mon attention se porta sur des bruits provenant du fond du couloir. Je me levais et me dirigeais vers le bruit. Il provenait de la chambre de mes hôtes. La porte était entre-ouverte et je découvris Annick c'était son mon, nue à quatre patte, les fesses offerte à son mari, ses seins avaient un étrange mouvement de balancement à chaque mouvement de Marc son mari.Dans mon caleçon, je sentais mon sexe d'adolescent grossir. Ce n'était pas nouveau pour moi, ayant avec mes camarades de Polynésie, subtiliser des revues pornographiques, ou revues PlayBOY à nos pères respectifs et m'étant fait dépuceler par une jeune tahitienne .

Je restais quelques temps à regarder cette femme, que je découvrais sous un autre jour, chevauchant son mari en gémissant de plaisir. Je revins à ma chambre pour me masturber et me finir.Le lendemain matin au petit déjeuner, sur le bord de la piscine, je ne montrai rien .La fille faisait la gueule, le fils l'andouille. Elle, elle était rayonnante, un paréo laissait deviner ses formes harmonieuses. je ne pouvais m'empêcher de fixer son corps. Elle était brune, cheveux très courts laissant apparaître une nuque digne de la statue de Nefertiti.

Marc apparu en uniforme, il partait rejoindre mon père sur leur navire.Marion, la fille partit avec des copains faire du bateau et je me retrouvais avec Didier ,le fils et Annick. Je fus troublé lorsqu'elle dénoua son paréo et plongea nue dans la piscine. Elle me dit de venir me baigner, mais je ne fis pas allant rejoindre Didier pour faire je ne sais quoi.

La nuit suivante, j'entendis à nouveau du bruit venant la chambre d'Annick et Marc, j'étais surpris, je m'approchais quand le la vis allongée nue sur son lit les jambes légèrement remontées. Elle était face à la glace de l’armoire et s'enfonçait un objet dans sa chatte au pubis rasée.Je la regardais un temps et je repartis dans ma chambre.

Je mis nu sur mon lit et je commençais à me masturber.J'étais sur le point de partir quand la porte de ma chambre s'ouvrit, elle était là nue devant moi. Elle s'approcha de moi sans rien dire et pris mon sexe dans ses mains le caressa délicatement et le prit dans sa bouche.

C'était ma première fellation, quelle sensation je m'en souviens encore.Je ne pus me contenir et j' éjaculai dans sa bouche, j'étais gêné mais elle me sourit et repartit dans sa chambre. Je ne pus dormir le reste de la nuit.Le lendemain matin je fis tout pour ne pas rester seul avec elle. J'étais à la fois troublé et excité.

La nuit suivante elle revint dans ma chambre te me dis : tu es trop empressé, je vais t'apprendre

.Elle m'appris les caresses qu'une homme devait s'employer à réaliser pour faire jouir une femme de ses doigts, une autre nuit elle m'appris à honorer la coupe intime d'une femme en m'initiant au cunnilinctus . Puis elle m'appris à posséder une femme en retenant son plaisir, pour le plaisir de la belle.

Les quatre dernière nuits furent fantastique pour moi, je la pris comme son mari, elle me chevaucha au final elle m'appris une chose que je ne pensais pas que cela pouvais ce faire, la sodomie. Et depuis j'adore cela.L'été prenait fin, je repris le chemin du lycée et je ne la revis qu'épisodiquement, je fis l 'amour avec elle deux fois encore. La mort prématurée de mon père en 1983 fit que je ne la revis plus mais cela allait s'avérer faux.

5 décembre 1989, je viens de finir mon école de Sous-Off et dans quatre jours je vais me marier.Je reçois un appel téléphonique,quelle n'est pas ma surprise c'est Annick. Elle me dit "ta mère m'a invité à ton mariage mais je ne pourrais être là, mais je veux te donner ton cadeau de mariage". Nous primes rendez vous dans un restaurant connu de Bordeaux.

Nous étions le 6 décembre 1989.Je la reconnus de suite, toujours aussi belle, même plus belle, les années l'avaient rendu encore plus radieuse, rayonnante. Son corps sous son tailleur strict était très attirant, ses seins avaient le port toujours aussi altier. Quel âge avait elle, elle me l'avoua 49 ans

Au long du repas ,nous avons parlé de tout et de rien de nos familles, puis vint cette semaine de septembre 9 ans plutôt.La tension était forte, lorsqu'elle me dit qu'elle n'avait jamais eu un tel plaisir avec moi malgré le fait qu'elle s'était toujours éclater avec son mari.Malicieusement elle me demanda si j'avais retenu ses leçons, je lui répondis que les femmes que j'avais rencontré ne s'en étaient pas pleintes au contraire.

Je me sentais présomptueux.Alors que nous regagnons le parking, elle s'arrêta me fit face et me dit

"tu es vraiment sûr de toi . Prouves le". Je la plaqué contre le mur apposant les lèvres sur les siennes. Elle entrouvrit sa bouche et nos langues se cherchèrent. Je remontais mes mains le long de ses cuisses, elle portaient des porte-jarretelles. Mes doigts s’immiscèrent dans sa chatte elle était toujours rasée, elle était si humide.

J'avisais un hôtel proche du Grand Théâtre, elle me suivit sans rien dire.Nous fîmes l'amour plusieurs fois dans l'après midi parfois sauvagement, parfois tendrement. Elle était toujours aussi belle, plus même. Ses hanches généreuses étaient harmonieuses, ses seins lourds s'offraient à mes mordillement et mes suçotements il faisait nuit quand on se quitta, elle me souriait, et me dit, tu as bien retenu mes leçons , au fait pour ton cadeau de mariage tu viens de l'avoir;"

Plus j’avançais dans les détails de mon récit, je sentais ma psychanalyste bouger, respirer de plus en plus fort. Elle avait posé son calepin, ses cuisses se frottaient l’une contre l’autre, une main glissée dans son chemisier saumon le même que lors de ma première visite.

Soudain elle s’exclama :

« Petit salaud, tu me fais mouiller comme une salope ». Je restais interloqué par ses propos mais pas étonné, j’avais assez culbuté de charmante BCBG dans notre chère capitale d’Aquitaine.

« Bouffe moi la chatte et montre moi si tu sais aussi bien baiser que tu le dis ».

Un ordre et un ordre ( psychanalysement parlant cela présageait de ma future carrière militaire) , je m’exécutais sans tarder, avec application, dextérité si j’ose dire...

Elle écarta les jambes m’offrant son sexe épilé, simplement protégé par un string de dentelle noire.

Ma bouche, mes lèvres, ma langue, assistées de mes doigts s’emparèrent de son sexe qui effectivement était trempé, ruisselant de son jus intimes. Elle arracha un gémissement puissant, presque un râle lorsque j’enfonçais en elle deux puis trois et enfin quatre doigts dans sa vulve ouverte, offerte.

Ses chairs se dilataient avec aisance, me prouvant que pour elle ce n’était pas la première fois.

Avec ses talons hauts, elle me repoussa sur le divan, et dégrafant mon jean, elle libéra ma verge bien tendue, pour l’engouffrer dans sa bouche avec avidité et gourmandise ( vous savez le G de BCBG).

Sa langue roulait autour de mon gland, montait et descendait sur ma hampe, s’attardait sur mes testicules. D’une main elle se gamahuchait de l’autre elle me branlait avec force.

Elle gémissait, comme si elle savourait une glace. Je ne fus pas long à décharger dans sa bouche mon écume. Elle l’avala s’empressant de ne perdre aucune goutte en me nettoyant ma queue avec application. Cela eut pour effet de redonner de la vigueur et elle en profita pour s’empaler sur moi.

Je libérais ses lourds seins, pour venir les suçoter, les aspirer, les malaxer. Elle détacha ses cheveux tombant sur ses épaules sur ses seins. Elle était une walkyrie chevauchant son étalon pour conduire le guerrier au Walhalla.

Je l’avoue je bandais dru, je sentais sa cyprine couler à flots sur ma queue, mes bourses.

Je décidais de reprendre l’initiative , la soulevant et la retournant. Elle était maintenant en levrette sur le divan où tant de patient avaient racontés leurs névroses, (peut être en suis-je un d’ailleurs) .

Je me demandais combien avaient ils été la proie de cette femme, qui semblait assoiffé de sexe.

J’enfonçais donc mon membre en elle, allant et venant avec force, mon pubis claquait sur ses fesses sublimes , rondes, une véritable callipyge.

Mes mains tenaient fermement ses hanches, une invitation aux plaisirs, sous mes accoups je devinais ses lourdes mamelles allant et venant dessinant des arabesques dans l’air chaud de son cabinet .

Mes pouces appuyaient sur son œillet qui réagit immédiatement se dilatant les laissant pénétrer.

« Encule moi, cria t’elle dans un râle »

Je me retirai de son sexe, la queue couverte de son jus qui fit office de lubrifiant, lorsque d’un coup je la sodomisais.

« Ouiiiiiiiiiiiiiiii cria t’elle, baise moi »

Ma verge coulissait dans son orifice culier comme le piston d’une machine à vapeur qui s’emballe.

Puis un orage de chaleurs et de sensations nous emporta, l’orgasme nous ravagea, lorsque je déchargeai en son intimité.

Nous restâmes plusieurs minutes sans rien dire, puis elle se reprit et d’un ton académique elle me dit.

« Bon pour vous pas besoin de psychanalyse, mais elle rajouta, avec une voix chaude ( le C de BCBG) si tu veux de temps en tant consulter tu es le bienvenu, appelles moi on s’arrangera »

Je rentrais à mon appartement d’étudiant l’esprit vagabond, je retrouvais devant la porte une copine , et vous savez quoi ?

Elle était en manque……….

Pauvre de moi…………..

A vos plumes, crayons , stylos ou clavier

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