Nuit au manoir (2° partie)
Le rayonnement de la cheminée, se reflétait sur la peau brillante de nos corps couverts de la sueur de nos premiers ébats.
Nos lèvres unis en un baiser langoureux, nos langues jouaient d’habileté à se donner du plaisir.
J’en profite pour à nouveau te bander les yeux, tu frémis et tu gémis.
Je retire ta robe, ne te laissant que pour seul vêtement ta sublime nudité. Tu es nue, offerte à la merci de mes envies érotiques. Je prends ta main et je t’invite à me suivre. Puis je te prends dans mes bras, te soulève et t’allonge délicatement sur le piano du salon.
Je viens te toucher, te frôler, suivant lentement le dessin de ta poitrine. Ce n’est pas avec mes mains, cela te semble rigide, froid. Tu déglutis.
Que vais-je faire penses tu ?
Je t’observe, je sens monter en toi une certaine appréhension. Je vois la veine de ton cou battre plus fort. Je me déplace, lentement, autour de toi, laissant échapper un léger courant d’air que tu perçois.
La tension doucement se rabaisse, ton souffle se fait plus lent, comme soulagé.
Soudain je te fais assoir, et d’une poussée ferme et douce j’écarte tes cuisses
Tu tressailles, frémis, frissonnes.
Je regarde tes jambes s’entrouvrir ta poitrine se soulève, d’une manière saccadée.
A nouveau je te fais te retourner et je te demande de te cambrer. Tu prends appuie sur le bord du piano.
D’un geste précis, je soufflette tes fesses, d’un léger coup de baguette. Tu sursautes, le corps, soudain, électrisé. Je reste, un instant, admiratif, subjugué par ton voluptueux et divin séant.
Je glisse ma main sur tes cuisses, m’infiltre en elles, elle glisse sur ton sexe, je t écarte les lèvres, te caresse, lentement. Je perçois ton souffle qui s’accélère, ton trouble augmente encore.
Je t amène vers sol sur un épais tapis persan ramené de mes voyages, te fait te retourner, à quatre pattes, je t’écarte les jambes, appuie d’une main ferme, sur son dos, t’obligeant à te cambrer.
Je tourne autour de toi me repaissant de la beauté de tes fesses. Je glisse un doigt dans ta fente, ou déjà perlent quelques gouttes de ton miel. Ma main se pose sur l’arrondi de Ta fesse, en frôle le sillon, puis revient à nouveau se perdre au plus secret de ton sexe.
Tu te cambres encore plus fort, recherche la main maîtresse. Je me place derrière toi, me frotte toi, je t’entends gémir de désir. Je caresse ton superbe cul avec un objet froid. Un nouveau frisson te traverse l’échine. Je m’approche, tu perçois la chaleur de mon corps.
Puis j’écarte tes hémisphères fessiers et doucement, insinue en toi, un objet que j’ai fait réaliser chez mon joaillier, or et diamant, superbe bijou culier .
Tu gémis à nouveau ton plaisir.
Le bijou glisse en ton palais de Sodome, je te fais mettre sur le dos.
Je me place ensuite devant toi, je contemple ton sexe humide légèrement entrouvert, qui palpite de désir. puis lui glisse dans ta bouche ma verge.
Je sais combien tu le désires. Comme tu as envie de lui. Je glisse mon sexe sur le bord de tes lèvres. Ta bouche s’est aussitôt ouverte comme pressée de l’accueillir. Ta langue se fait douce et savoureuse, glissant autour de mon gland d’une façon délicieuse.
Je te laisse faire, me laisse faire, savourant cette fellation sublime, laissant ta langue monter puis descendre, faire le tour de son gland puis revenir à la naissance de mes testicules engorgées, te laissant les aspirer, une à une. je savoure ce jeu troublant.
Puis, à nouveau, je me retire, observant ta langue en train de m chercher, en dépit de tes yeux bandés.
Je me place, enfin, entre tes cuisses, le sexe dressé puis brusquement m’enfonce en elle,
t’ arrachant un gémissement de plaisir.
Tu te cambres, prenant appui de tes pieds sur le tapis et ton bassin semble animé de vas et viens incontrôlables, allant dans ma direction, avec un plaisir inavouable et sauvage.
Je bute en toi, observant en toi la montée du plaisir.
Ta bouche semble chercher un second souffle. Tes narines palpitent avec frénésie. La veine de ton cou se gonfle comme une rivière sauvage.
Tes seins se tendent, guettant la morsure gourmande de ma bouche.
Mon souffle devient plus nerveux, plus court et je râle cherchant ce sexe pour mieux te prendre…
Je m’enfonce en toi, te fouille, te possède avec âpreté, puis je ressorts comme pour reprendre des forces avant de revenir, m’empaler.
Tu es chaude, brûlante et deviens de plus en plus excitée. Je te plaque sous moi, continue de te besogner avec avidité…
Un premier gémissement s’élève. Puis un second. Et un autre suivi de beaucoup d’autres qui semblent s’échapper de ton corps affamé.
Soudain, tu te contractes, te figes une seconde puis ton corps électrisé semble totalement t’échapper, secoué par ce plaisir en train de te traverser.
Te voir jouir a pour effet à mon tour, de craquer. La jouissance est trop forte et je me repends en toi, t’inondant de ma semence chaude, en de longs jets d’amour.
Épuisés par l’intensité de cette étreinte, nous restons enlacés.
Est-ce bien moi qui étais le maitre ou étais je sous son emprise…………
( à suivre)