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Chemin creux

Mariveau

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Cette journée de septembre s’annonçait encore merveilleuse. L’été semblait jouer les prolongations. Le soleil était déjà haut. Depuis quelques jours déjà les deux amants s’étaient retrouvés après plusieurs semaines de séparation dans une petit gîte de la Suisse Normande.

Christine et Vincent passaient leurs journées à faire l’amour et à découvrir la région.

Ce jour là, ils avaient décidé de faire une promenade à vélo. Christine portait une jupe courte à volant et un petit caraco mettant en valeur ses seins sublimes.

Ils roulaient en pleine campagne, en lisière de forêt. Une ambiance calme, parfaite pour des amants. Les couleurs de l'automne, l'humidité, les odeurs, tout invitait au calme et à la sérénité.

Les haies du bocage longeant les petites routes et chemins creux, dissimulaient de jolis près à l’herbe bien verte et grasse. Partout on pouvait voir des pommiers aux branches croulant des fruits du pécher originel.

Ils avisèrent un petit chemin conduisant vers une jolie petite pommeraie.

Posant leurs vélos contre la haie, excités comme deux adolescents allant découvrir l’amour, ils s’enlacèrent et s’embrassèrent avec cette passion qui était la chair de leur Amour.

Tout en l’embrassant, Vincent jouait de ses doigts sur le corps de Christine, délaçant son caraco et libérant sa poitrine, sa bouche plongea sur les pointes déjà dardées des sa maitresse.

Il fit glisser la jupe le long des cuisses de sa belle, la laissant choir à ses pieds. Elle ne portait rien.

Elle était nue dans ses bras. Son cœur battait à rompre. Elle était si belle . Il sentait sa peau contre lui, s’appuyant contre elle. Leurs peaux se rencontraient, leur chaleur, leur excitation fusionnaient.

Il l’allongea doucement sur l’herbe. Il se plaça à côté d’elle en la regardant. Les mains de Vincent la caressaient, ses yeux la dévoraient. Elle le rendait fou ... Elle se cambrait quand ses doigts approchaient de son ventre

Tout doucement, sa main est descendue très lentement pour s'insinuer entre ses jambes Ses doigts ont exploré alors le contour de ses lèvres, elle s’abandonna complètement fermant les yeux , laissant échapper entre ses douces lèvres un gémissement de contentement.. Ses doigts divaguèrent encore quelques instants avant de franchir une nouvelle étape, écartant délicatement les pétales offerts de sa corolle.

Les yeux de Christine étaient toujours fermés. Vincent commença à embrasser doucement les jambes puis les cuisses. Il plongea à son calice comme le voyageur assoiffé pour s’abreuver à son calice. Ses lèvres étaient parfaitement lisses, très épilées, très douces. Un très fin triangle les surmontait, élancé comme elle.

Elle se cambra sous les attouchements de son amant et, alors que sa bouche prenait possession de son intimité, ses mains s’agrippèrent à ses cheveux pour l’encourager à lui donner du plaisir.

La langue de Vincent se promena lentement le long de ses lèvres.

Il appréciait leur douceur ; l’épilation avait ceci d’extraordinaire qu’elle mettait en valeur la texture de la peau, surtout féminine. Il s’attardait sur leur contour, la faisant languir il remonta un peu plus haut entre elles, juste au dessus. Elle gémit instantanément, se cambrant. Sa langue et sa bouche devinrent beaucoup plus impertinentes. Ses mains aussi qui la caressaient.

Il la sentait se tendre et se raidir, à mesure que le plaisir l’envahissait. Il n’était pas pressé

Puis, tout à coup elle lui prit son visage dans ses mains posant ses lèvres sur les siennes au moment où son sexe se contracta de bonheur.

Elle lui souriait. Calme et sereine. Elle était nue au dessus de lui. Belle et conquérante. Ses seins étaient tendus de désir. Ses yeux brillaient d’un éclat très particulier, ils étaient remplis d’envie.

Elle s’agenouilla à côté de lui, au dessus de lui. Ses doigts descendirent de sa bouche, dans son cou, s’attardèrent sur son torse puis, très doucement, pour le faire languir et accroître son excitation, jusqu’à sa ceinture. Sa main n’hésita pas longtemps à descendre plus bas.

Elle caressa avec tendresse le membre durci de son amant. Elle s’allongea sur lui. Elle l’embrassa doucement, tendrement puis sa bouche descendit jusqu’à son ventre ventre. Ce fut à son tour de se cambrer de plaisir. Sa main, ses doigts, sa bouche, sa langue s’alliaient pour lui donner du plaisir, pour se donner du plaisir.

Ses yeux brillaient d’un nouvel éclat, tout doucement, elle posa son sexe sur le sien. Elle était si lisse, si humide étais toute lisse et très humide. Le contact était si doux et sensuel. Il avait tellement envie l’un de l’autre, leurs corps se confondirent naturellement, immédiatement.

Ils s’enlacèrent roulant dans l’herbe au rythme des leurs va et vient, elle le chevauchant lui la possédant. Ils s’aimèrent intensément jusqu’à la délivrance de leur jouissance.

Ils crièrent à l’unisson leur amour alors que la semence de son amant se répandait en elle.

Ils restèrent enlacés dans l’herbe, puis reprirent leur route vers ce petit gîte où à nouveau ils se donnèrent sans limite.


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