Hommage à celle que j'aime et à mon maître François Villon
Je viens ici Belle Dame vous rendre hommage,
Étendue nue et offerte sur cette plage,
Je viens à vous, pour vous donner mille plaisirs
Vous rendre folle de désir;
Avec fougue vous prendre
En vous, avec passion me répandre,
Vous entendre gémir,
Lorsqu’ en vous je vais jouir
Je devine votre sexe humide
J’aime boire votre suc limpide
Ma bouche est avide de votre liqueur
Vous me donnez tant de bonheur
Des doigts en vous s immiscent
Puis à votre demande ma main en vous se glisse
J’ aime tant lécher mes doigts imprégnés de votre nectar
Je m’abreuve à votre coupe sans retard
J’aime votre bouche aux arômes de mon écume de vie
Qui s’écoule entre vos lèvres, pleine d’envie
J’aime vous voir vous caresser.
Vous aimez tant m’excitez ,
Ma verge est tendue vers vous telle une offrande
Oui pour vous Ma Dame, je bande
Je vous soulève doucement le bassin
J’admire vos si divins seins
Je me présente à votre rose
Que de ma langue j’humecte, oui j’ose
Les portes s’ouvrent et en votre palais de Sodome je pénètre
Je vous possède de tout mon être
Mes mains saisissent vos seins sublimes, les empaumant avec passion
Je vous plaque contre moi, je sens votre émotion
Je suis en votre secrète alcôve
En votre intimité je me love
Je vais et viens en mordillant votre nuque vertigineuse
Je veux vous rendre heureuse
Vous susurrant « je vous aime » à l'oreille;
Vous gémissez votre plaisir sans pareil
Je libère mon jus dans votre étroite caverne en un râle puissant
Vous criez votre plaisir, de me sentir en vous jouissant
Je continue mes va et vient
J’ai envie de me répandre mais je me retiens
Car je veux vous offrir encore ce plaisir
Et bien d’autres de vos désirs
Mon pubis claque sur vos douces fesses
Vous ondulez, vous êtes une diablesse
Vous glissez une main entre mes cuisses
Vous jouissez, quand en vous un olisbos je glisse
Mes mains sur vos hanches accueillantes
Mon dard en vous je plante
Je vous possède
Pour vous je serai votre aède
Je vous prends avec amour
Je vous baise sans détour
Je m enfonce, je vous pistonne
Je vous lime, je vous pilonne
Ma verge large et excitée
Vous lime votre œillet
Oui madame je l’avoue j aime
Quand je vous encule à en perdre l’haleine
Je suis esclave de votre sublime séant
Je me trouve si bien dans je suis dedans
Je sens couler sur mes cuisses
Votre cyprine débordant de votre calice
Je m’en abreuve avec délice
Oui tel est un de mes vices
Oui ma Belle Dame
Pour vous toujours je me damne
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