L'atoll

Il fait chaud sur cette plage, le vent léger rafraichit à peine l’atmosphère, face à nous le bleu turquoise du lagon, derrière nous la lisière de la forêt tropicale. Nous sommes là sur cette lame de sable blanc corallien.
Nous sommes seuls au monde, tu es si belle, si magnifique, si merveilleuse.
Je te regarde sortir de l’eau, désirable, cette nuit nous avons fait l’amour sur la terrasse de notre faré. Nous avions pour seuls témoins la voûte céleste et les vagues lointaine se brisant sur la barrière corallienne de ce petit atoll.
Tu es là, maintenant allongée sur la plage de sable brûlant, tu bronzes sur ta serviette de bain. Ton corps parfait se gorge de soleil. Je te regarde et me délecte de ta vue. Délicatement, je pose quelques baisers dans ton cou et descend jusqu'entre tes omoplates. Mes doigts vont doucement, de plus en plus loin, délicatement sur ta magnifique peau.
Je caresse tes hanches, mes doigts vont jusqu'à ton ventre que je sens chaud et c'est ensuite à tes petits seins de se faire chatouiller. Je remarque alors que tu mouilles abondamment. Je cale alors tes jambes sous mes pieds, les genoux écartés et plantés dans le sable chaud, mon membre comme prêt à jaillir. Je joue avec toi, doigtant ton puits lisse et humide puis ton fondement, le dilatant et l’élargissant. Tu es totalement détendue, tu jouis déjà intérieurement.
Je plaque ma bouche contre la tienne, tes lèvres restent collées aux miennes. Tu pousses de petits gémissements, étouffés par ma bouche. Dieu qu’il est agréable de sentir tes tétons s’écraser sur ma poitrine, agréable de presser mon sexe turgescent sur la douceur de ton ventre brulant. Peu à peu, je te sens mollir; puis le bonheur m’envahit lorsque tu fermes les yeux, abandonnée, comme vaincue.
Tes lèvres s’ouvrent. Je m’agrippe à tes fesses, douces et fermes, que je pétris. Ton bras droit, s’enroule autour de mon cou, le gauche entoure ma taille et appui, comme s’il voulait que ma verge transperce ton ventre offert
Le baiser que nous échangeons est comme à chacune de nos étreintes d’une force jouissive Nos langues s’enroulent l’une autour de l’autre, nous buvons nos salives. Ta main descend sur le devant de ma cuisse, touchant au passage l’extrémité de mon gland recueillant au passage le liquide pré-éjaculatoire qui, collé à ta main, forme un lien unique. Notre échange buccal dure une éternité, pour notre plus grand plaisir. Nos lèvres, brulantes, se séparent.
"Christine tu es tellement belle. Tu sais à quel point tu me rends fou ! J’ai envie de toi".
Tes lèvres reprennent possession des miennes, pour un baiser aussi ardent, acte d’Amour. Puis, un long moment plus tard, tu te laisses glisser, lentement, le long de mon corps jusqu’à ce que tes yeux, ta bouche, soient à hauteur de mon membre turgescent. Tu prends mon envie dans ta main et la porte à tes lèvres.
Tu dépose, sur le sommet du gland de ton amant , un doux baiser, puis, alors que je pose la main sur ta tête tu ouvres la bouche, t’emparant de mon phallus tendu à l’extrême. Ta langue tournoie autour du gland violacé, puis tes lèvres enserrent ma hampe et ta bouche s’enfonce jusqu’à toucher mon pubis ; tes mains s’agrippent à mes fesses et appuient comme pour mieux enfoncer mon pieu au fond de ta gorge.
Tes lèvres, rapidement, vont et viennent le long de ma colonne de chair ; ralentissent pour revenir sur le bord du gland et titiller le méat, puis engouffrent de nouveau mon phallus, prêt à déverser sa liqueur. Je sens monter ma semence, tu sens mon corps se raidir. Tu sens bien que je viens : ma tige, après quelques soubresauts déversent des flots de semence . Ma lance semble ne jamais se tarir. Tu me bois, m’aspires, avales les nombreuses giclées que mes bourses ont fabriquées.
Afin de ne rien perdre, tu fais un étau de tes lèvres autour de ma queue qui n’arrête pas d’éjaculer. Tu bois ma liqueur d’amour. Je t’aime, tu es une amante de rêve : de tes doigts fins et agiles tu empaumes mes bourses que tu tritures pour en extraire les ultimes gouttes ma jouissance.
Je te fais te lever, te regarde droit dans les yeux et te dit :
« Christine je t’aime !
- Moi aussi Vincent, je t’aime!
Nos bouches s’ouvrent largement pour se souder de nouveau dans un baiser incendiaire. Je te prends par la taille et te couche, doucement, à même le sable blanc de cette plage. Je te sens impatiente.
Ma bouche quitte la tienne et descend lentement dans le sillon de ta poitrine. Je prends un sein dans une main, que je pétris savamment, alors que mes lèvres se referment sur le téton de l’autre, faisant virevolter ma langue autour de celui-ci pour l’exciter davantage. Tu gémis de plaisir. De petits soupirs s’échappent de sa gorge ; ta respiration est de plus en plus saccadée. Ma langue tournoie autour de ton nombril, puis va rejoindre ta source d’amour.
De mes lèvres, j’écarte celles de ta chatte pour faire pénétrer ma langue au plus profond de ton vagin, qui dégouline de cyprine. Je bois d’un cœur heureux, le nectar que ta fleur distille. Ma langue effleure ton bourgeon, c’est elle qui De deux doigts, je décapuchonne le petit bouton, que j’agace à petits coups de langue.
Largement lubrifiée, j’arrive à faire pénétrer deux, puis trois doigts, dans ta caverne humide. Le plaisir, la jouissance, te font soulever les genoux, jambes écartées au maximum pour mieux faciliter mon intromission. Je fais entrer ma main entière, un orgasme plus fort que les autres te fait hurler, et tu resserres les jambes, m’emprisonnant la tête, comme un étau, alors que ma langue fourrage tes entrailles.
Épuisée par tant de plaisir, tu tombes d’inanition. Je sors la tête pour reprendre ma respiration, glisse sur son corps jusqu’à te couvrir complètement en une union parfaite : jambes contre jambes, ventre contre ventre, seins contre seins et bouche contre bouche.
Nous apaisons notre soif : le mélange de notre salive est notre breuvage. Tu me fais mettre sur le dos. Tu me présentes tes fesses, recules vers moi, écartes tes lèvres de ta vulve et vient t’empaler sur mon glaive qui n’attend que cela.
Comme une folle, tu montes et descends sur ma verge, gémissant, allant jusqu’à englober ma colonne entière, tes fesses allant épouser mon pubis. Mes mains caressent tes hanches; je te soulève par la taille afin de faciliter tes montées et descentes sur ma queue. Parfois, je te lâche, te laissant libre court à la cadence de ton empalement ; mes mains en profitent alors pour aller à l’assaut de tes deux magnifiques globes laiteux pour les malaxer.
J’emprisonne le téton entre le majeur et le pouce et le tournoie pour le faire ériger davantage.
Tu es ma déesse de l’amour, avec tes mouvements de hanches tu me rends fou… Je te couche sur le côté, te retourne, te replie les genoux et, me plaçant derrière toi, je te pénètre en levrette.
« Inonde moi mon amour »
Comme un animal en rut, je te transperce jusqu'à ce que je ne puisse plus me retenir. Je déverse ma semence chaude dans tes entrailles. De nombreuses giclées de foutre se déversent au plus profond de ton vagin, jusqu’à la dernière goutte.
Épuisés, satisfaits, nous nous reposons l’un à côté de l’autre. Tes yeux fermés, Ta respiration encore agitée, Tes dents mordant sensuellement Tes lèvres, je regarde chaque détail de ton corps et je t’aime encore plus encore…
Je te prends dans mes bras, je te soulève, je me dirige vers le lagon, j’ai encore envie de toi.
Je glisse dans l’eau, tes bras entourent mon cou. Tes cuisses enserrent mes hanches. Je sens ton sexe s’empaler sur moi.
Nous entamons un slow érotique dans les flots translucides du lagon.
Ta bouche se soude à la mienne, elles se joignent à notre sarabande de plaisirs.
Je me noie dans ton regard, dans lesquels se reflètent les eaux du lagons ou est ce tes yeux qui donnent cette couleur au lagon?
Tu es si belle
Unis en cette étreinte, nous nous abandonnons sans limite à notre amour

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