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Voyage initiatique

Mariveau

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Roissy, aéroport Charles de Gaulle, 25 décembre 2012

Dans le hall de l’aérogare, assis l’un contre Vincent et Christine, savourent encore leur nuit de Noël, dans cette suite de l’hôtel Marriott. Ils s’étaient rencontrés jours plutôt, mais par je ne sais quelle alchimie érotique, ils étaient maintenant devenus amants.

Ils sont là ne pouvant se détacher l’un de l’autre, alors que dans quelques heures ils vont suivre une route différente, telle est leur mission.

Quelle est donc cette mission impérieuse, qui oblige deux amants à se séparer?

Monaco, 20 décembre 2012

Vincent quitte l’aéroport de Nice, dans l’ATR qui l’amené de Toulouse, il se posait toujours la même question, pourquoi avait il dit oui à la proposition de cette jeune et sublime femme reçue sur sa boite mail.

« J’aime la façon dont vous écrivez vos aventures libertines, aimeriez vous aller plus loin, dans vos écrits et votre quête du plaisir ».

Il n’avait pas réfléchi, et dit oui.

« Rejoignez-moi à Monaco le 20 décembre, voici l’adresse »

Il héla un taxi, lui indiqua l’adresse. Il se disait, que de toute façon il n’avait rien à perdre.

Vincent est un homme mur, il n’a pas cinquante ans. Il a les cheveux blancs et une barbe grisonnante, des rondeurs, qui ne semblent être un obstacle pour séduire les femmes, au contraire. Il a passé sa vie jouant avec sa maitresse ultime, la faucheuse, et avec son amour immodéré des femmes et du plaisir, allant toujours plus loin dans sa quête de l’érotisme.

Oui il est libertin, dans la lignée des grands libertins du XVIII° siècle, avec cette dose de romantisme qui lui est propre et son goût à marivauder.

Il regarde défiler à travers les vitres du taxi la Riviera. Le taxi stoppe, interrompant les rêveries de Vincent. Monsieur vous êtes arrivé, Vincent règle la course. Le voilà seul devant cet immense portail. Il sonne, ses sens forgés au cours de cours de sa carrière lui font deviner, que de l’autre coté de cette caméra de surveillance on l’observe. Lui qui cinq minutes avant allait hésiter à sonner, fixe de son regard la caméra, et sourit. Le portail s’ouvre.

Devant lui, il découvre une allée, un jardin d’une luxuriante beauté, un jardin méditerranéen où les essences se mêlent comme pour provoquer les sens. Pour ce mois de décembre, il fait bon.

Il remarque sous une immense verrière, une piscine faite de courbes et d’arabesques dont les bassins sont dissimulés par de luxuriante plantes, créant ainsi des espaces propices à bien des étreintes. Ses instincts libertins reprennent le dessus, il sourit à nouveau, lorsque s’approchant encore, il découvre un spectacle des plus agréables. Ici est là des couples, des groupes s’adonnent au plaisir d’Eros et de Sapho. Une symphonie de gémissements, un opéra des plaisirs s’offrent à ses yeux et à ses oreilles. Duos, trios, quatuors ou quintettes participent à cette partition.

« Vincent, vous ne perdez pas de temps, dit une voix douce »

Il se retourne, il l’a reconnu.

Elle est là, belle est sublime, vêtu simplement de sa beauté recouvrant sa divine nudité. Son visage d’ange ou de démone est dissimulé par un masque de chatte, en cuir noir. Autour de son cou est accroché un petit nœud papillon. Ses longues jambes au galbe parfait achèvent leurs vertigineuses chutes par des hauts talons enserrant des chevilles si fine et des petits pieds délicats. Il fixe son regard, ses yeux noirs, finement ourlés d’un discret maquillage. Puis il se délecte de son corps de déesse bronzé, cuivré. Son regard s’attarde sur les seins sublimes presque ronds aux aréoles parfaites et aux pointes orgueilleuses. Il détaille chaque dessin de son tatouage de son joli petit ventre orné en son nombril d’un délicat diamant. Il s’attarde sur le pubis imberbe de la jeune femme, et il imagine la douceur de son sexe épilé, sous des effleurements tactiles.

Vincent est subjugué par cette jeune femme, quel âge a-t-elle se dit il, à peine vingt cinq ans , mais quelle assurance, quelle maturité, quelle sensualité, quelle volupté se dégagent d’elle. Il a connu de très belles femmes dans ses missions en Extrême Orient, mais pour lui elle est la quintessence de la femme asiatique.

« Vincent suivez moi, nous avons à discuter de votre travail pour moi, il sera temps de vous adonner au plaisir ce soir, je vais ai préparé une surprise, appelez moi Nina, ou Cat comme vous voudrez »

Vincent, suit la jeune femme, ne perdant pas du regard, la démarche féline de celle qui sera son Boss. Il sourit car il a toujours rêvé d’avoir pour chef une femme. Il ne perd aucune ligne des courbes des hanches et des divines fesses de Nina.

« Vous prendrez bien un verre, Vincent »

« Martini Gin, s’il vous plait ».

« Vincent, votre projet d’écriture m’enchante, faire découvrir dans vos textes le libertinage aux rythmes des Capitales du monde par un homme et une femme, se racontant leurs aventures par lettres interposées est des plus subtil ».

« Mais moi je vous propose d’aller plus loin, et si réellement vous parcourriez le Monde pour moi racontant vos aventures »

Vincent resta interloqué devant cette proposition … indécente mais des plus excitante.

« Rassurez vous, vous ne serez pas seul, votre compagne de route va arriver et je vais la recevoir, je vous la présenterai ce soir, en attendant, allez vous installez, vous mettre à l’aise et peut être rejoindrez vous la piscine »

Nina avait un sourire espiègle, il aimait décidément sa décision.

Une jeune femme à la peau d’ébène, portant pour seul vêtement un voilage, laissant découvrir sa nudité, l’accompagna pour rejoindre sa chambre………….

La tête posée contre l’épaule de Vincent, Christine se sent bien, mais elle est triste, perdre aussi vite son amant. Dans le hall de l’aéroport Charles de Gaulle, les noms des vols s’égrainent. Au dernier moment sur un coup de tête Vincent lui a fait changer son billet, ils resteront ensemble durant le vol qui les conduiront à Chicago, puis là ils se sépareront pour accomplir leur quête érotique.

Christine pense à ces derniers jours intenses, ce message de Nina, lui proposant de travailler pour elle, après avoir lu sa suite de récits érotiques de ses expériences, de ce fabuleux premier trio.

Ce coup de tête, et ce vol entre Caen, Orly et Nice, encore pleine de doute, mais si tentée d’aller plus loin dans sa quête de sexe.

Christine est une superbe femme, une quarantaine d’années tout au plus, elle a des yeux d’un bleu si clairs si limpides, à la fois rêveurs , provocants, espiègles, mutins, tristes parfois, mélancoliques sont le reflets d’une âme tourmentée, mais aussi libre, allant de l’avant.

Elle est l’avenir, il est le passé.

Les lignes parfaites de son corps sont autant d’offrandes pour le peintre, le sculpteur, le photographe, l’écrivain, le poète. Elle ne peut être qu’une Muse, non une Égérie.

Son corps est dédié à l’amour, ses seins doux fiers, aux aréoles larges sont un cadeau pour une bouche avide à goûter ses pointes orgueilleuses. Les courbes de ses hanches, de ses sublimes fesses, sont une invitation aux caresses des mains d’un amant passionné, fougueux et tendre.

Elle pense sur ce banc, à cette rencontre improbable avec Vincent et pourtant rien ne les destinait à ce qu’ils se rencontrent et encore plus qu’ils deviennent amants.

Monaco, 20 décembre 2012

Christine derrière une vitre sans teint, observe la conversation de Vincent et Nina, elle est étonné par cet homme mûr, au physique ingrat, mais dont il se détache, un je ne sais quoi.

Christine est arrivée deux jours avant, Nina ne l’a pas reçu, dans sa chambre, une ordinateur et un mot

« Lisez chacun de ses textes, imprégnez vous de leurs mots, de leurs images »

Christine avait partagé son temps entre la piscine et des étreintes furtives mais intense, et la lecture de ces textes. Quel pouvait être cet homme à l’âme si sombre, qui pouvait écrire des textes si déroutant, voir excitant.

Elle le regardait, elle écoutait sa voix douce, chaude au timbre grave. Sa chevelure blanche, sa barbe grisonnante contrastaient avec la noirceur de ses vêtements. Elle devinait en cet homme tant de tourments, tant de contradiction. Elle était fascinée.

Vincent sorti du bureau de Nina accompagnée d’une magnifique femme à la peau d’ébène, elle imagina sans comprendre cet homme s’emparant de ce corps sublime et l’aimant comme le héros de ces textes qu’elle avait lu. Elle ressenti pour la première fois de la jalousie.

« Entrez Christine »

Elle entra dans la pièce et découvrit pour la première fois Nina, Christine était troublée par la beauté et jeunesse de celle qui allait être sa boss.

La nudité de Nina troubla Christine, mais elle sentit de la chaleur monter en elle.

« Que pensez-vous de ce projet, Christine, et de votre partenaire de voyage »

Christine sans détacher son regard de Nina, dit:

« Je veux bien tenter l’expérience et enfin rencontrer mon partenaire d’aventure. »

« Soyez patiente, vous le rencontrerez ce soir mais selon mes conditions »

Christine sortit de la pièce, regagna sa chambre et ne se dirigea pas vers la piscine.

Elle ouvrit à nouveau l’ordinateur, et se mit à lire les textes de Vincent, se laissant aller, s’offrant le plaisir de ses mains aux plaisirs des mots de cet homme, qui avait le pouvoir de créer des images en elle.

Elle offrit à son corps du plaisir, se caressant avec sensualité devant les miroirs parsemant les murs de la chambre. Elle lisait, fermait les yeux, les rouvrait pour se regarder. Elle regardait ses mains empaumant ses seins, imaginant les mains de cet homme s’emparant de ses fruits, ses mains glissèrent entre ses cuisses, décalottant son bourgeon excité, ses doigts s’enfoncèrent dans son antre humide, les ressortant brillant de sa cyprine, et les offrant à sa bouche comme si elle les offrait à la bouche de cet homme. Elle eut des orgasmes inconnus jusqu’alors, des orgasmes par les mots, les images.

Alors que l’orage s’apaisait, elle entendit des râles et des gémissements dans la chambre d’à coté. Elle sortit de la sienne, nue, sans prendre le temps de se recouvrir que quelques morceaux d’étoffes que ce soit.

La porte était entrouverte. Elle se fit curieuse.

Elle vit la jeune femme à la peau d’ébène chevaucher avec fougue le vît tendu de Vincent, violacé par le plaisir. Elle ne voyait pas son visage, elle n’entendait que ses râles d’homme.

La jeune femme faisait onduler son bassin en une danse érotique sur la verge de Vincent.

Christine se caressa à nouveau, immisçant de plus bel ses doigts en sa chatte trempée. La jeune femme se retira et elle découvrit le sexe de Vincent, elle se pinça ses lèvres pour ne pas se faire surprendre. Elle aurait aimé les rejoindre, mais Nina avait été formel – « Ne cherchez pas à le rencontrez avant ce soir »

La jeune femme s’empara de sa bouche du membre de Vincent, le lécha avec avidité, l’aspira, le branlant d’une main, l’autre caressant ses bourses. La jeune femme avait remarqué la présence de Christine, leurs regards s’étaient croisés. Elle lui avait sourit et sans quitter des yeux Christine elle avait poursuivi cette fellation. Christine entendit le râle puissant de cet homme lorsqu’il fit jaillir en la bouche habile de cette maitresse d’un moment, son écume épaisse, chaude, en longs jets chaud.

Christine se mordit à nouveau les lèvres presque au sang, retenant ses cris car elle avait un eu un nouvel orgasme. Elle rentra vite dans sa chambre le cœur battant.

Il lui tardait la rencontre de ce soir.

Christine rentra dans sa chambre, le long de ses cuisses coulaient encore sa jouissance.

Elle avait été si troublée par la scène érotique de cet homme avec cette femme, non qu’elle était novice, ou prude, mais simplement par les gémissements de Vincent et son membre violacé, aux veines sculptées à même la chair.

Elle avait imaginé ce membre se glissant entre ses lèvres, se jouant avec sa langue de la sensibilité de ce gland apetissant. Elle était allongée sur son lit, offrant à son corps les caresses de ses mains.

Elle ferma les yeux et son rêve s’amplifia, elle devinait la verge de cet homme se contractant en sa bouche, répandant sa semence en puissants jets chauds.

Elle eu un orgasme violent, comme jamais elle avait eu. Elle resta tremblante un moment, en sueur, savourant ce plaisir. Elle s’endormit.

La jeune femme à la peau d’ébène, se délecta du sperme que Vincent avait répandu en sa bouche, de sa langue, elle s’employa à lui nettoyer son membre, ce qui eut pour effet de réanimer la vigueur de son amant. Elle s’avança et avec volupté elle embrassa Vincent, tout en empalant sa rose sur le membre à nouveau tendu. Elle râla son plaisir, lorsque la verge large et puissant lui pourfendit les entrailles. Prenant avec fougue les hanches de la jeune femme, Vincent la pilonna avec vigueur.

Ils parvinrent ainsi à la jouissance. La jeune femme se retira et laissa Vincent allongé sur le lit. Il s’endormit.

Christine fût réveiller par un jeune homme, à la plastique parfaite, elle le laissa la regarder, elle avait envie qu’il la prenne, mais il se contenta de déposer une robe de soie noire au décolleté vertigineux et dont la chute de rein ne laissait aucun doute sur le chemin à suivre pour le Palais des Mille et Une Nuits.

Elle se leva, alla se doucher, et se maquiller. Elle apprêta sommairement ses longs cheveux blonds et fins, elle n’aimait pas se coiffer. Elle déposa sur chaque parcelle de son corps son parfum favori Trésor de Lancôme.

Elle enfila de très hauts talons, elle était si belle si grande et ses superbes chaussures la rendaient encore plus grande, plus désirable.

Elle gagna la salle de réception, une salle immense. Sur une estrade se tenait Nina, toute aussi désirable, si belle, sa nudité et son masque de chatte la rendait des plus mystérieuse.

La grande pièce ressemblait à une salle de dance l’un des murs était constitué d’un immense miroir, la lumière était tamisée, la pénombre régnait.

Christine était contrariée, elle ne voyait pas Vincent.

Deux jeunes hommes étaient là, dont celui que Christine avait vu l’après midi.

Christine était tendue, où était cet homme.

« Ne craignez rien Christine, vous le verrai bientôt »

L’homme qui lui avait amené sa robe, invita à danser Christine. Elle accepta de guerre lasse.

Le slow fut des plus sensuel, Christine se laissa aller aux baisers et aux caresses de cet homme. Oui elle avait envie de lui, elle avait envie de ses caresses, elle avait envie de son membre dont elle sentait grossir en contre sa cuisse. Elle mordilla les tétons de l’homme, glissant sa main en son pantalon.

C’est alors que le deuxième homme vint les rejoindre, plaquant son désir de chair contre les fesses de Christine.

Il lui empauma les seins, alors que le premier amant lui soulevait sa robe, caressant ses fesses et glissant ses doigts dans le sexe trempé de Christine.

Nina ne perdait aucun des moments de ce trio.

Christine s’agenouilla et libérant les verges des deux hommes, dont elle se délecta avec avidité.

Dommage que mon futur compagnon de voyage ne soit pas là se dit elle.

Elle se donna sans retenue aux assauts de ces deux amants, offrant son sexe, son divin cul à ces verges. Elles semblaient plus fine que celle de l’inconnu, mais qu’elle délice lorsque telle Andromaque elle s’empala sur l’un des hommes pendant que le second s’immisça en son palais de Sodome .

Christine se cambra pour jouir son plaisir. C est à ce moment que Nina fit naitre à nouveau la Lumière.

Elle découvrit alors Vincent, depuis le début il la regardait derrière ce miroir sans teint.

Il était assis sur un sofa face à elle, deux jeunes femmes, dont celle qu’elle avait vue avec lui, le suçaient avec sensualité.

Elle vit enfin cet homme, pas un bel homme, un homme mature avec ses rondeurs, ses cheveux blancs, sa barbe grisonnante, mais elle était fascinée par sa verge.

Ils se jaugèrent, Christine redoublant de prouesses érotiques avec ses deux amants, elle ne quittait pas des yeux ceux de Vincent.

Lui avec espièglerie lutinait, gamahuchait, léchait, pénétrait les deux officiantes.

Christine à chaque assaut de ses amants pensait maintenant à la verge de Vincent la possédant.

Lui imaginait la bouche de Christine honorant son Priape, il s’imaginait glissant en cette divine femme.

C’est à ce moment que Nina claqua dans les mains, les deux hommes et les deux femmes la rejoignirent, ils quittèrent la salle vers la piscine tropicale.

Le miroir qui les séparait, s’enfonça dans le sol.

Christine et Vincent étaient maintenant face à face.

Instinctivement Christine couvrit sa nudité face au regard intense de Vincent. Ses yeux marrons verts semblaient entrer dans son âme.

Vincent se leva, son désir le précédait, il avait repris de la vigueur car Christine fixait sa nature masculine avec envie. Il s’enfila un kimono noir, se saisit de deux coupes et d’une bouteille de champagne Bollinger et s’approcha de Christine.

Elle était belle, ses cheveux blonds, si fin tout ébouriffés par ses ébats de ce trio endiablé.

Depuis qu’elle y avait gouté, il y a peu, elle aimait cette sensation de se faire posséder par deux hommes qui la tenait à leur merci. Mais elle savait qu’en fait c’était elle qui les possédait, les rendait fou.

Vincent l’avait deviné, il n’avait pas perdu un seul moment de l’étreinte de la jeune femme, il avait vu ses yeux briller lorsque de sa bouche, elle s’empara des sexes tendus de ses amants. Il avait remarqué la petite perle ornant la langue de Christine, et avait frémit en imaginant le contact de ce bijoux sur son membre tendu.

Il était maintenant à coté d’elle, il pouvait sentir son souffle, sa respiration encore haletante. Sa peau brillait de sueur. Il sentait son parfum mêlé à ses effluvent érotique.

Lancôme, se dit-il, elle porte du Lancôme. Il aimait les parfums et identifia de suite la flagrance, Trésor sourit il.

Christine regardait Vincent, il n’était pas un Apollon, loin de là, mais il se dégageait de sa personne, de la puissance mêlée de douceur. Ses cheveux blancs, sa barbe grise, instinctivement la rassurait.

Elle avait toujours été attirée par les hommes plus matures, elle ressentait lors de ses étreintes avec eux, une forme de sérénité, elle se sentait en sécurité. Elle aimait leur technique, leur façon nonchalante mais aussi fougueuse de faire l’amour.

Cet après midi, elle l’avait vu faire l’amour, jouir, donner et se donner. Elle le voulait.

Il était là maintenant devant elle, et elle se sentait si timide.

Bonsoir chère Christine lui dit il. Bonsoir Vincent répondit elle.

Il remplit les deux coupes du nectar pétillant.

Sans détacher leur regard de l’un de l’autre, ils burent une gorgée.

Comment cela arriva, il se le demande encore aujourd’hui. Sans un mot, les bouches de Vincent et de Christine se rejoignirent, les lèvres s’ouvrirent et leurs langues se mêlèrent.

Elle frémit au contact des ses mains puissantes mais si douces. Il l’allongea et s’agenouilla.

Il lui lèche et suce ses petits orteils déliés, puis ses jambes et l’intérieur de ses cuisses. Sa langue bien à plat, son goût emplit sa bouche et son nez tapissant l’intérieur de son corps.

Christine frissonne et ses seins deviennent durs, le bout un peu douloureux.

Vincent prend la chatte de sa maitresse comme il lui embrasse la bouche, lèvres ouvertes, langue à l’intérieur il la fouille.

Christine gémit et coule. Le désir est là et son ventre s’embrase. La verge de Vincent est dressée et il ne veut pas encore la posséder ; Il veut qu’elle l’attende.

Elle a envie de lui, elle l’a vu à l’œuvre, elle veut le sentir en elle, elle a vu la jouissance de cette jeune femme lorsqu’elle s’est empalée sa rose sur ce pieu de chair.

Christine de ses mains écarte ses fesses. Il sait son envie. Elle s’accroupit sur sa bouche pour que sa langue tel le serpent l’ouvre et la desserres. Elle balance ses hanches, la langue de Vincent dilate et échauffe son petit trou du cul, de ses pouces aux portes de Sodome il la distant et elle aime.

Elle le veut comme cela en sodomie et que sa queue vienne entre ses fesses. Penchée sur lui, elle a en bouche la verge de son amant. Elle le suce, son gland au fon de sa gorge. Elle salive sur sa hampe pour adoucir l’entrée. Il hésite, mais c’est sa chatte qu’il veut d’abord honorer assise sur lui, elle veut qu’il force sa fente serrée. Un gémissement de douleur délicieuse l’envahit.

« Vincent votre verge me déchire, mais quel délice.

Sa verge est si raide, il va et vient juste au bord, quand brusquement les portes s’ouvrent, si chaude si mouillée. La sensation le fait exploser. Il glisse sa verge en son sexe de soie et d’une poussée libératrice, il l’a pénètre et au plus profond il l’écarte.

« Oui je me sens si bien avec vous, si dur et si doux, oui remplis moi bien »

Elle pleure son plaisir, elle se fait soumise, pour mieux le posséder.

Christine joue de ses muscles vaginaux, elle serre et desserrent, elle le pompe, elle le tient.

Vincent sent l’orage monter en lui, en un râle puissant, son écume jaillit, il sent son sperme juter contre les parois de la matrice de Christine pour un plaisir aigu qui lui envahit son ventre.

A cet instant leur vie devient jouissance et violence.

Christine ne voulait pas en rester là, Vincent n’ont plus, sans se connaitre, ils savaient ce qu’ils voulaient.

Vincent se retira, et Christine entrepris immédiatement de réanimer la vigueur de son amant, jouant de sa bouche, de ses lèvres, de sa langue, de ses mains de ses doigts sur ce sexe ruisselant de cyprine et de sperme.

Vincent allongea à nouveau Christine soulevant délicatement ses jambes, glissant un coussin sous ses fesses qui s’écartèrent.

Dans cette position, il empoigna sa verge dont la pointe frémissante butta contre son anus et trouva sans tarder l’entrée de cet orifice hospitalier, qui se dilatait pour la faire pénétrer. Il poussa à peine et son gland s’engouffra tout entier, enserré aussitôt par le sphincter avec une force telle, qu’il n’aurait pu se retirer sans effort.

Il la pénétra lentement pour prolonger autant que possible l’ineffable sensation qui l’envahissait.

Il donna un nouvel assaut et il s’enfonça centimètre par centimètre dans le doux boyau culier de Christine. Elle gémissait, criait son plaisir. La douleur de la pénétration de ce membre si large, devenait plaisir. Elle engloutit jusqu'à la garde le sexe de son amant.

« Oui c’est si bon, baisez moi le cul mon ami, baisez moi »

Vincent électrisé par ces mots redoubla de puissance dans son va et vient culier, s’agitant dans ce fourreau de chair.

Elle l’entoura de ses bras et le serra contre elle. Son visage se reflétait dans les yeux de Vincent, le sien se reflétait dans ses yeux verts presque marron. Durant cette scène de pleine sensualité, ils se caressaient l’un et l’autre, leurs lèvres scellées en un baiser profond leurs langues se glissant alternativement dans leurs bouches. Ils restèrent un moment immobile, mais le désir de plaisir reprit ses droits et leurs bassins en une danse érotique reprirent leur mouvement.

Il accéléra la cadence, elle cria son plaisir, ses muscles culiers se contractèrent sur la verge de Vincent, une dernière fois il poussa de toutes ses forces en elle laissant jaillir son liquide ardent et dense longuement à intervalles réguliers.

Ils jouirent à l’unisson, et s’affalèrent comme épuisés, terrassés par ce plaisir.

Ils se caressèrent longuement, les yeux dans les yeux.

Au dessus dans une alcôve dissimulée, Nina et Lola sont amies n’avaient manqué aucun de ses moments, mais ceci est une autre histoire.

Pour Christine et Vincent la nuit ne faisait que commencer.

Ils étaient là enlacés dans leurs plaisirs, sous la lumière des flambeaux leurs corps luisaient de sueur.

Vincent se leva et se dirigea vers le petit guéridon pour servir deux coupes de Champagne, Christine se leva et le suivit, elle sentait entre ses cuisses le sperme de Vincent, couler le long de ses jambes.

Elle avança vers Vincent avec une démarche féline, sensuelle désirable. Il la regardait avec intensité.

Elle s’était laissé aller aux assauts de cet amant diabolique. Cet homme pour la première fois lui a avait fait baisser la garde, elle avait été la proie de son désir.

Christine n’attendit pas, elle voulait reprendre la main. Elle était maintenant face à lui.

Elle poussa Vincent, il se retrouva assis sur ce fameux fauteuil, qui avait tant émoustillé tant d’hommes en découvrant Emmanuelle.

Sans détacher son regard vert presque marron, des yeux de verts de Vincent, sa bouche s’empara encore de sa verge.

Elle joua de sa langue remontant de ses bourses, sa hampe jusqu’à son gland. Le contact de la langue de Christine rendait fou de plaisir Vincent. Il sentait rouler sur sa peau la perle qui ornait la langue de Christine. Sa langue tournait autour de son gland, ses lèvres le serrèrent. Il était transporté par ses petits bruits de sussions et les petits gémissements les accompagnants.

Elle jouait de sa main allant et venant sur sa hampe, la serrant pour l’empêcher l’éjaculation qu’elle sentait monter en lui.

Elle l’abandonna, encore humide de leur première étreinte, retira ses talons haut qu’elle portait encore. Elle prit les mains de son amant et le conduisit à nouveau sur les coussins qui parsemaient le sol. Elle s’accroupit alors au niveau de visage de Vincent, plaquant son sexe trempée de cyprine et du sperme de son amant.

Elle lui offrait la vue de sa chatte ouverte, ses seins lourds. Elle lui prit son visage à deux mains et le plaque contre ses lèvres. La langue de son amant se darda, la pénétra avec force. Il aimait son goût ses odeurs intimes.

Elle posa ses doigts sur ses lèvres brulantes et elle décalotta son clitoris pour mieux ressentir la langue de son amant. Vincent positionna ses mains sur les hanches de Christine et l’accompagna dans son mouvement.

Il sentit le plaisir de sa maîtresse monter en elle, ses gémissements devinrent sonores puissants. Elle appuya son sexe avec force sur la bouche de Vincent et en un cri de plaisir elle éjacula sa cyprine dans la bouche avide de son amant.

Elle resta assise sur sa bouche, goutant avec plaisir à la langue de Vincent qui ne perdait aucune gouttes de ce nectar féminin.

Christine changea de position, glissa le long du corps de Vincent, et s’empala sur sa verge. Elle aimait le sentir en elle, il avait une verge dans la moyenne, mais elle aimait sa largeur. Elle plaque sa bouche encore imprégnée du sperme de son partenaire et vint mélanger sa salive à celle de Vincent remplie de son propre suc érotique.

Leurs langues se mêlèrent, jouèrent, firent l’amour.

Elle contrôlait toujours ses mouvements. Son amant était à sa merci, sur ces coussins.

« Ferme les yeux »

Elle entreprit alors de jouer de sa bouche, agaçant suçotant, mordant les seins de son amant. Sa langue glissait sur les aréoles de Jacques, elle aimait les voir réagir comme ceux d’une femme.

La langue glissait sur son ventre, elle aimait ses rondeurs matures. Puis elle s’empara à nouveau de la verge de Jacques, ses lèvres suçotaient, aspiraient, aspiraient le gland violacé de son amant. Sa main allait et venait sur sa hampe. La perle roulait sur ses bourses remontant le pieu de chair.

Elle sentait Vincent perdre le contrôle, il allait lâcher son plaisir, elle aimait le goût de l’écume de son amant. Elle plaqua la verge contre son palais et elle ressentit la plaisir de cet homme.

Vincent en un râle animal, rugissant son orgasme inonda le palais de sa belle, elle se délecta de son nectar le perdant aucune goutte. Elle le garda en bouche comme pour mieux le maintenir sous son emprise.

Vincent était en sueur, elle s’approcha de lui et vint à nouveau l’embrasser.

Christine aimait le plaisir, le sexe, elle lui raconta sa dernière aventure avec deux collègues, et leur prochaine rencontre. Vincent était jaloux, mais ne jouait il pas avec Christine écrivant ses aventures avec des femmes. Vincent aimait les femmes, Christine aimait l’amour.

Elle quitta la bouche de son amant, et telle Andromaque, elle vint s’empaler à nouveau sur le sexe encore raide de son amant. Mais la caverne de Vénus n’était pas son but. Elle s’empara d’une main de la verge de Vincent.

Elle la présenta à la porte du Palais de Sodome. Elle appuya son anus encore humide de leur dernière étreinte dans le parking, sur le gland de Jacques, la porte céda.

Elle cria, se lâcha. Vincent fut surpris par la crudité de sa maitresse, mais cela l’excité et il redoubla ses va et vient

« Putaiiiiiiiiiiiin, j’aime ta queue en mon cul, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, c’est trop boooooooooooon »

Elle fut amazone, chevauchant son étalon, Vincent gémissait, elle criait son plaisir. Elle était maintenant accroupie face à Vincent .

Ils se regardaient, leur corps en sueur. Vincent posa ses mains sur les hanches de Christine et entreprit de puisant va et vient dans le boyau culier de sa maitresse.

Elle hurlait son plaisir, au diable les convenances, de toutes façon à ils étaient dans un palais dédié au plaisir

Sa verge la pilonna, la lima, la pistonna, jusqu’au l’extase érotique commune.

Il décharge son suc en elle une dernière fois. Ils s’affalèrent.

Il était temps de rejoindre le reste des invités pour poursuivre la nuit.

Vincent prit la main de Christine et l’invita à se lever, allons rejoindre les autres dit il.

Elle lui sourit.

Ils quittèrent la salle et se trouvèrent dans le jardin d’hivers. La nuit étoilée et la pleine lune dispensaient une lumière diaphane à travers la verrière. Il faisait chaud, la vapeur d’eau et la chaleur des étreintes en cours donnaient à l’atmosphère une sensation d’une forêt équatoriale après un orage tropical

Vincent fit entrer dans les lieux Christine la première, l’offrant aux regards des invités sa beauté, deux femmes un peu plus âgés virent leur prendre les mains pour la conduire dans le bassin principal

Autour d’eux des couples étaient formés, des trios, hommes femmes mêlés dans une sarabande érotiques. Elle reconnaissait les deux jeunes femmes avec qui Vincent avait offert à ses yeux ses techniques érotiques ? La musique douce était couverte par de multiples gémissement s, râles, cris, hurlements

Christine descendit avec félinité, les marches la conduisant vers ces eaux à la chaleur tropicale encadrée par les deux autres femmes. Dans ce bassin elles s’emparèrent du corps de Christine . Elle sentait ces quatre mains caresser, s’immiscer dans sa chatte trempé. Elle jouissait à grand flot, l‘une des femmes la fit assoir sur les premières marche et s’agenouilla et de sa langue de délecta de la cyprine de Christine encore emprunte de ma semence de Vincent.

La seconde femme se planta devant la bouche de la jeune femme, lui offrant son sexe rasé. Christine sans hésiter honora de sa langue de ses lèvres ce sexe pubère offert à sa bouche avide. Les trois femmes s’adonnèrent à des ébats lesbiens intenses, s’introduisant mutuellement leurs doigts, leurs mains dans leurs sexes ouverts à l’envie. Elle chercha du regard son amant, il était là assis sur un transat la regardant fixement. Elle comprit qu’elle allait être son objet à travers les invités présents. Elle eut un violent orgasme, laissant gicler un pissat d’amour dans les bouches avides de ses deux amantes.

Une troisième femme s’approcha d’elle la fit se lever et l’invita à la rejoindre dans l’eau laissant les deux amantes rejoindre Vincent , l’une lui offrant son sexe à sa bouche l’autre s’emparant avec avidité de sa verge encore brillant du nectar de Christine .

Un homme s’approche nageant avec souplesse, il est contre Christine, il en profite pour lui caresser les seins et les fesses ; à coté deux ou trois couples et quelques hommes dont deux discrètement d’abord, puis de façon plus coquine promènent leurs mains sur elle ; devant l’accueil positif du regard de son amant, un métisse fort élégant en dehors d’un léger embonpoint, se plante derrière elle et après approbation de la part de Vincent.

Le métis se met à peloter généreusement les pointes de plus en plus saillantes ; c’est un endroit qui déclenche rapidement sa jouissance et le résultat ne tarde pas, ces yeux brillent ,sa respiration s’accélère et de petits gémissements font se retourner les voisins ;de plus en plus hardi, notre homme glisse une main entre ses cuisses, Vincent observe avec plaisir les événements sans chercher à intervenir , puisqu’il semble être le maître de cérémonie.

La main du métis doit avoir progresser dans sa chatte car rapidement elle s’appuie contre la jeune femme et sa jouissance éclate à grand cri, la main qui s’active sur le clitoris et dans la chatte de Christine autour plusieurs mains en profitent pour la peloter et ses seins sont durement malaxer . Elle ne quitte pas le regard de son amant.

Il vient à elle, il offre une coupe de champagne aux deux femmes, il a laissé les deux amantes sont enlacées, faisant l’amour sensuellement. De retour sur le bord de la piscine, Christine et sa compagne du moment s’adonner à des baisers ardents , dansant seins contre seins, mains flottantes sur tout le corps, elles quittèrent rapidement le bord pour se refugier dans un box fait de végétaux , la jeune femme la prit par les épaules ,la coucha sur des coussins et lui planta sa bouche sur le sexe, lui écartant, les petites lèvres , lui aspirant son bourgeon, puis alternant la position lui enfonçant deux, puis trois doigts dans son étui d’amour.

Sa main devient de plus en plus rapide et sous cette masturbation elle ne tarda pas à jouir ; autour d’elles , plusieurs personnes regardaient avec envie le spectacle en se caressant , sous le plaisir elle se déchaîna, ses cris retentissaient dans la pièce et son corps ne tarda pas à se cabrer, puis retomba sur les coussins , manifestement comblée.

Un homme s’approche et son sexe force sa bouche, se branle entres les lèvres encore chargées

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