Amours grivois
Enfin nous voilà dans cet hôtel
Tu es sublimes, si sensuelle
Je couvre ton corps de baisers
Je te caresse avec volupté
A ta coupe, je me suis abreuvé
De ton nectar salé sucré
De ton corps j’ai la fièvre
De tes chaudes et humides lèvres
Tu m’as conduit jusqu’à l’ivresse
Tu connais tant mes faiblesses
Ta bouche est si gourmande
Jusqu’à ce qu’en elle je me répande
Tu me donnes ton divin cul en offrande
Viens me dis tu, j’aime quand pour lui tu bandes
J’aime quand de ta verge tu m’arroses
Viens donc cueillir ma rose.
Ma langue parcoure tes pétales
Avant envie sur mon pieu tu t’empales
C’est un si agréable délice
Lorsque entre tes fesses ma queue s’immisce
Mon gland excité frappant à ta porte
Dans les plaisirs de Sodome je t’emporte
Mon vît en toi lentement s’enfonce
Tu gémis et me supplie que je te défonce
Je vais et viens en ton cul délicieux
Oh mon amour que ton membre est merveilleux
Sous mes assauts ton bassin ondule
Oui mon amour j’aime quand tu m’encules
Baise-moi mon amant à l’extrême
Je veux sentir un mon cul couler ton sperme
Tu me rends folle, j’aime tant par toi être prise
Tu me donnes tant de plaisir quand tu me sodomise
Prends-moi je m’abandonne
Avec fougue je te pilonne
Mes mains enserrant tes hanches
En ton fondement avec puissance je m’épanche
Nous sommes là exsangues
Ma verge au chaud dans ta gangue
Nous restons enlacés
Ne cessant de nous embrasser
Rien ne peut nous apaiser
Nous aimons tant baiser
Mais en attendant le lever du jour
Nous nous ferons tendrement l’amour
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