Ma faiblesse, mon ivresse
Il est un moi une immense faiblesse
Qui toujours me conduit à bien des ivresses
Oui je suis soumis à vos atours mes maitresses
Lorsque je vous déshabille du regard point de sagesse
Et je me sens alors prêt à accomplir milles prouesses
De mes mains tremblantes je veux vous délivrer de douces caresses
Entendre vos gémissements est pour moi autant de promesses
Belles Andromaque, vous vous sublimez par votre souplesse
D’une fleur de Lotus, vous donner du plaisir je m’empresse
A ce doux contact mon désir se dresse
Du désir vous êtes les prêtresses
Sur vos courbes, de mes doigts, je dessine sans cesse
des arabesques , et vous devenez diablesses
De vous atours vous vous faites tigresses
De votre volupté vous êtes les altesses
De mon plaisir vous êtes les poétesses
De mon envie vous êtes les papesses
Car vous êtes si enchanteresses
Lorsque vous m’offrez vos, si belles et désirables fesses

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