Les gaffes de Mariveau- La méhari
Les gaffes de Mariveau – La méhari
Si on connait ma nature libertine, on connait peu mon coté gaffeur, je reviens donc ici ajouter à la longue liste de mes désastres érotiques ou louper magistraux.
La nature a fait que depuis toujours j’ai eu une libido débordante, qui m’a souvent conduit à bien des turpitudes et des infidélités.
Eté 1995, Arcachon
Ma moitié était enceinte de 7 mois et demi et nous avons encore sacrifié aux vacances dans la famille. Je rentrais de mission dans les Balkans et je me pliais aux exigences familiales.
Nous étions donc chez mes beaux-parents à Arcachon, ville où j’ai passé une partie de mon adolescence et où j’avais gardé biens des amis et amies.
Au bout du troisième soir, mon épouse ne pouvant sortir étant trop fatiguée, me laisse quartier libre.
Il faisait chaud et je demande les clés de la méhari de mon beau-père.
Légendaire voiture qui avait fait le bonheur de bien de surfeur sur la côte.
Me voilà parti dans ce petit quartier d’Arcachon que l’on appelle le Moulleau à deux kilomètres d’Arcachon.
L’été le quartier est animé, des bars, des orchestres, des glaciers, une jetée, des jolies filles, que de souvenirs.
Je m’installe à la terrasse du « Pinasse café » et commande un cocktail, Mojito Royal.
J’en sirote, un deux puis trois , oui je l’avoue matant autant les jeunes femmes en vadrouille que les femmes mariées aux maris raplapla empêtrés entre les cornets de glaces des gamins , la laisse du chien, racontant des blagues vaseuses avec l’ami ou le beau-frère avec qui ils partagent le camping ou la location.
J’entends une voix
« Eh bien Vincent, on fait plus la bise »
Je lève les yeux, du moins je déplace mon regard d’une jolies paire de fesses parisiennes pour découvrir Valérie.
Valérie, hummmmmm Valérie, avec qui enfermés dans une salle de cours du lycée nous avions testé le bureau de la prof de maths, en avant première que le le texte avec ladite prof d’ailleurs.
Valérie avec qui les fins de soirées n’étaient jamais tristes, parfois même avec mon copain Michel.
Valérie donc était devant moi, je l’invitais à se joindre à moi, je commandais un quatrième Mojito.
« Tu es seule, je te croyais mariée, Valérie »
« Je le suis mais mon mari ronfle à la maison et j’avais envie de voir du monde »
« Et toi, ta femme »
Je lui expliquais ma situation, j’étais un peu chaud et Valérie ne fut pas longue à me rejoindre dans les brumes alcooliques.
Nous parlâmes de notre adolescence, de nos camarades, et on dévia vite sur nos frasques passées et aussi présente, car Valérie était mon double féminin apparemment.
Etant un peu gris et ne voulant pas reprendre la route, on alla marcher sur la plage. Il était très tard.
Et bien sur ce qui devait arriver arriva
« Vincent t’es pas cap de te foutre à poil avant moi et te foutre à la flotte »
Elle n’avait pas fini qu’elle avait retiré son tee shirt et son short. Je pouvais voir qu’elle ne portait rien dessous, quel fesses, non je le dit quel cul. D’ailleurs je lui dis.
« Valérie j ai toujours aimé ton putaiiin de cul »
Elle se retourna, ria, et offrant à ma vue ses seins lourds et sublimes
« Tu as toujours aimé mon cul, alors te gêne pas, çà fait un moment qu’il est en manque et tu as toujours su te servir de ta queue pour me faire gueuler »
Oui les mots sont crus, mais l’alcool n’y était pas pour rien, et je me souviens encore de ses cris dans les salles de classes ou sur les parkings des boites de nuits de Biscarosse sur le capot de la Cocc’.
Je la rejoignais dans l’eau. Tâtant mon appendice caudale, elle me dit.
« Effectivement toujours aussi bien outillé, j’aurai du te choisir que Frédéric »
Nous allions passé à l’acte quand apparu une groupe d’ado que Valérie reconnu comme ses élèves.
« M……… pas moyen de s’envoyer en l’air »
« T’inquiète pas j’ai la méhari garé dans une allée perpendiculaire donnant sur la plage".
Comme deux voleurs nous voilà partis vers la fameuse voiture.
Valérie était gourmande et s’empara de ma verge pour une divine fellation, mes mains appuyaient sur le capot en plastique, je priais qu’il ne se déforma pas.
« Prends-moi par derrière, j’en ai tellement envie »
Elle s’arquebouta sur le capot et me voilà en train d’aller et venir prenant à pleine mains ses hanches.
On baissait la tête à chaque faisceau de phares de voiture qui passaient au bout de la ruelle.
Elle un premier orgasme lorsque le retirant d’un coup je lui enfournais ma langue en lieu et place de ma verge, elle inonda ma bouche de sa cyprine.
Nous étions déchainés
« Encules moi, fous moi ta bite dans mon cul »
Avec le recul et nos métiers quand nous en reparlons parce que nous sommes revus, nous nous disons qu’on était bien grave.
Valérie monte dans la méhari, se mets à genou sur siège avant appuyant ses coudes sur le dossier.
Me voilà enfournant ma verge en son œillet, elle crie, j’accélère, ses jambes tremble de plaisir. Pour mieux me recevoir profondément, elle appuie ses pieds sur le tableau de bord………..
Pour ceux qui ne connaissent pas la méhari, le frein à main , est au niveau du tableau de bord.
La voiture est stationnée en pente, avant vers la plage.
Nous sommes bourrés comme des Ptits Lu et déchainés.
Sur un de mes ac coups son pied glisse………….. et libère le frein à main.
Sans qu’on s’en aperçoive, la voiture lentement dévale la ruelle, et continue sa course sur la plage.
Nous sommes encore en train de baiser oui c’est le mot, on tourne la tête et on voit que des promeneurs rigolent.
Je me retourne, et je vois les vagues qui s’approchent. En fait c’était la méhari qui avait avait d’un bain de minuit.
Je quitte le coït, et j’arrive à stopper la voiture alors qu’elle a les roues dans l’eau.
Je suis hilare, Valérie aussi.
« Eh bé je te fais toujours le même effet.
Deux promeneurs arrivent, Valérie les reconnait se planque, j’ai juste le temps d’enfiler mon jean et avec les deux jeunes nous remontons la voiture sur le slip à bateau.
Ouf elle démarre, pas besoin de donner d’explication vaseuse au beau-père.
Les deux jeunes me disent en partant,
« Vous les adultes vous êtes fort et on dira rien pour la prof »
Mais nous sommes sur notre faim, j’ai ramené Valérie chez elle, et c’est dans la voiture de son mari, un Range Rover qu’on a fini ce qu’on avait commencé.
Moralité : si tu veux t’envoyer en l’air dans une voiture, fais gaffe au frein à main, si tu veux garder la main