Promenade en mer- Orage au Cap-Ferret (3)
Valérie était une femme de 46 ans, brune, les cheveux longs, elle avait de biens belles courbes agréables, que Vincent devinait facilement sous le petit short échancré, et le débardeur blanc qui laissait apparaitre ses seins lourds aux pointes encore dardées par la vue des ébats de Christine et Vincent.
Elle était mariée, mais aussi la maitresse de Michel, chirurgien dans une clinique bordelaise. Elle était sa secrétaire.
Christine s’entoura d’un paréo et bras dessus bras dessous avec Valérie, suivirent les deux copains de lycée vers la pinasse amarré à l’estacade.
Ils les entendaient glousser, et souriant, ils se disaient que la balade en bateau allait être intéressante.
A peine monter sur le bateau, les deux femmes se dirigèrent vers la proue, Valérie la première retira son débardeur et son short, libérant la nudité. Elle fut imitée par Christine.
Valérie fit allonger sur le ventre Christine qui avec sensualité accepta avec de doux gémissements les caresses des mains de cette femme qui commençaient à l’enduire d’huile solaire.
Les deux hommes ne perdaient aucun moment de ces instants.
Les mains de Valérie s’attardaient sur les courbes, les hanches, les fesses de Christine qui commençait à se cambrer sous ces caresses. Christine avec son impudique sensualité étaient maintenant à quatre pattes, offrant sa croupe à la langue et aux doigts explorateurs de Valérie. Christine adorait sentir une main la fouiller intimement et là sa maitresse d’une après midi s’y employait avec habilité.
Michel et Vincent regardaient les deux femmes et dans leur boxer de bain, leurs virilités se trouvaient bien à l’étroit.
Christine ne quittait pas le regard de Vincent, elle se retourna et les deux femmes s’embrassèrent avec fougue, et érotisme.
Les deux femmes se caressaient, leurs bouches, leurs lèvres, parcouraient mutuellement chacune des parcelles de leur corps, jouant de leurs pointes dardées.
Puis elles se mirent face à leurs amants. Chacune d’une main titillait la pointe des seins de l’autre, laissant l’autre main avec le majeur tournicoter sur leur bouton de plus en plus vite.
Les deux hommes n’en peuvent plus mais Valérie est la maitresse de balais et elle leur fait signe de pas encore intervenir.
Christine et Valérie se positionnèrent tête bêche et entreprirent un délicieux 69, agrémenté de vagabondages de leurs doigts de leurs mains en leurs sexes trempés de leur mouille, abondante. Leur doigts s’attardaient jouant de leurs roses, s’immisçant leur arrachant des gémissements couvrant le clapot.
Elles atteignirent un orgasme commun devant les deux hommes qui semblaient frustrés.
Christine rejoignit Vincent et l’embrassa avec passion, comme Valérie fit de même avec Michel.
Ils avaient dépassé les « tianques », ces piquets verticaux qui délimitaient les chenaux. Plus loin, plusieurs oiseaux aux ailes blanches, au vol élastique, surpris par leur arrivée, s’élevèrent à fleur de l’eau et s’éloignèrent à tire d’ailes sans cri, pour être hors d’atteinte.
La rive de départ semblait maintenant éloignée sous les reflets soupirant du soleil déjà très haut.
Christine et Vincent se tenait à l’arrière du bateau, s’embrassant se caressant.
Bientôt, ils abordèrent le banc d’Arguin, mouillant l’ancre au milieu d’une conche aux eaux transparentes.
Michel et Valérie se retournèrent pour découvrir Christine en train de sucer avec avidité son amant, dont la verge se dressait comme un mat. S’interrompant, elle invita Valérie à goutter au cornet de glace de son amant.
Michel se sentait frustré , mais les deux femmes lui firent signe de les rejoindre, offrant leurs croupes à sa verge. Alors qu’elles se délectaient du membre de Vincent, Michel alternait les va et vient dans les antres d’amours des deux amantes.
Plusieurs plaisanciers avaient mouillés à quelques encablures et semblaient apprécier la situation.
Les voiles épanouies des voiliers de plaisance venaient se croiser ici et là entre les bancs de sable, entre les chenaux sinueux par lesquels les ostréiculteurs accédaient à leurs parcs.
Des oiseaux de mer en plein vol traversaient l’atmosphère purifié, ravis d’annoncer par leur tournée la félicité sereine et vivifiante de cette dernière journée d’été.
L’eau, elle-même semblait ému par le rayonnement solaire. D’un coté il y avait l’océan séparé du Bassin par les terribles passes, de l’autre la dune du Pyla dont la masse imposante de sable semblait écraser le rivage.
Michel prit la place de Vincent, laissant les bouches des deux femmes de se délecter de son membre couvert de leur cyprine. Vincent entreprit aussi je jouer de ses va et vient dans les sexes brulantes des deux amantes.
Les corps se défirent, et varièrent, Valérie s’empalant sur la verge de Vincent, alors que Christine faisait de même sur la verge de Michel. Les deux femmes s’embrassaient mêlant leurs langues et offrant leurs seins à la bouche des deux hommes.
Ils allaient et venaient au rythme des vagues et de leurs pulsions. Valérie glissa à l’oreille un mot à Vincent, se retira. Vincent se leva, Valérie s’empara de sa main de la verge se cet amant du moment et la conduisit à la rose de Christine
Maintenant les hanches de sa maitresse, il s’enfonça en elle, lui arrachant un cri de plaisir. Elle aimait tant sentir la virilité de deux hommes en elle. Valérie, se caressait regardant la scène. Les deux hommes retirent encore leur plaisir. Valérie connu le même plaisir laissant son amant la posséder dans son palais de Sodome.
Pour Valérie cette sensation était une découverte. Elle était en Andromaque sur Vincent, Michel la sodomisant avec douceur, Christine était accroupie sur le visage de son amant dont la langue la fouillait avec avidité, conjointement avec la langue de Valérie. Les deux couples étaient en train d’atteindre les summums du plaisir.
Mais les deux femmes voulaient garder la maitrise de leurs plaisirs, repoussant leurs amants, maintenant tout penauds. Ils étaient là debout le sexe dressé dépité.
Les deux femmes s’agenouillèrent aux pieds de leur amant et s’emparèrent de leur bouche ces verges exacerbées, s’échangeant ces virilités masculines comme deux adolescentes échangeant leurs cornets de glace.
Ils n’en pouvaient plus, elles le sentirent et elles reçurent en leur bouche la jouissance de leur amant, dont elles s’employèrent à ne perdre aucune goutte. Puis elles échangèrent un baiser des plus sensuel.
Ils plongèrent dans l’eau tiède de la conche et jouèrent dans l’eau.
Les filles revirent au bateau et prirent un bain de soleil, pendant que les deux hommes démarraient le moteur pour pécher un peu.
La soirée s’annonçait des plus chaude quand Michel reçu un appel, sa cliniue le demandait pour une intervention imprévue dans la soirée.
Avec regret, Michel et Valérie ramenèrent Christine et Vincent à leur petite cabane de l’ile aux oiseaux où ils allaient se retrouver seuls pour la nuit.
Vincent fit un feu avec des sarments de vigne trouvés dans une remise et s’employa à nettoyer les deux bars péchés durant cette escapade.
Regardant le soleil se coucher, Christine posa sa tête sur la cuisse de Vincent qui lui caressait les cheveux.
Ils allaient passer une nuit divine, avec pour seuls témoins la voûte céleste et les flots de la Petite Mer de Buch comme on nommait jadis le Bassin d’Arcachon
A suivre
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