Soumise à son amant et à son mari, les aventures de Ludivinelibertine 3
L’homme est assis dans l’Airbus qui le conduit à Zurich, il semble absorbé dans ses pensées. Il a quitté Toulouse il y a une heure et il n’a pas vu passer le temps. L’hôtesse le réveille :
« Monsieur, veuillez attacher votre ceinture, nous allons atterrir »
Il sourit à la charmante et délicieuse femme, en se disant que ce n’est pas avec une ceinture qu’il attacherait cette créature si féline. Avait-elle compris ses pensées, car elle rougit en croisant le regard vert de cet homme.
Qu’allait-il faire en Suisse, il allait simplement retrouver une femme. Elle n’était pas sa maîtresse au sens adultérin du terme, mais tout comme lui une femme amoureuse des plaisirs érotiques. Ce n’était pas la première fois qu’ils se voyaient.
Ludivine nous le savons est libertine, elle aime la vie, elle aime le plaisir, l’érotisme poussé à l’extrême dans une quête de l’orgasme total, intense et sensuel.
Elle est mariée et c’est avec son mari et maître qu’elle accomplit cette quête dans une soumission quasi-totale la conduisant au-delà des fantasmes les plus fous que l’on peu trouver dans des romans à la mode. Elle accepte ainsi d’être le jouet des envies et désirs de son mari. De soirées privées en orgies libertines, elle s’offre sans retenue aux hommes et aux femmes avides de son sublime corps.
Ainsi le temps d’une nuit, elle devient entre leurs mains, Joy, Emmanuelle, ou Ô .
Mais son mari n’est plus autant présent qu’elle le voudrait, son activité de financier international le conduisant à travers les capitales de la planète. Elle sait qu’il s’y adonne à bien des plaisirs, lui-même lui concoctant des rencontres des plus chaudes.
Elle a rencontré cet homme au détour d’un site, et de dialogue en dialogue, ils se sont rencontrés, pour la première fois elle était sous l’emprise d’un autre maître que son mari, libre de la soumission de son époux. Cette soumission était différente dans son approche érotique mais tout aussi intense. Elle s’était confié à son mari, qui même s’il ressentait de la jalousie, jouait de ce plaisir, gardant sa maitrise sur son épouse.
L’avion de ligne avait atterri, l’homme en descendit et rejoint dans le hall, Ludivine. Toujours aussi sublime, avec son tailleur de chez Dior, son n°5 , son chemisier saumon négligemment boutonné, laissant deviner des seins délicieux emprisonnés par une lingerie de chez Chantal Thomas.
En se précipitant vers son autre maître et en l’embrassant avec fougue comme deux amants, elle le surprit.
« Allons nous faire enregistrer pour notre vol, et nous avons trois heures avant de décoller, et une heure devant nous »
Il devait décoller pour le Japon, l’homme la conduisait à Osaka pour lui faire découvrir ce que pour lui était l’Empire des Sens. Elle avait prévenu son mari, qui d’abord interloqué avait accepté facilement.
Ludivine avait été surprise pas son attitude résigné, mais elle pensait qu’il était avec une de ses maitresse, alors elle oublia.
Ils prirent une chambre dans un hôtel très proche de l’aéroport, ils étaient l’un et l’autre très excités, à peine entrés dans la chambre, elle plaque son amant contre la porte.
« Baise moi, j’en peux plus d’attendre, mes jouets, tes mots ne me suffisent plus, baise moi fort, je veux te sentir me posséder, prends moi, inonde moi, rempli moi »
Elle l’embrassa avec fougue, tout en dégrafant le jean de son amant, libérant sa verge tendu et large.
Leurs bouches avaient pris de l’avance et se faisaient l’amour sans retenue.
Sans attendre il reprit la maitrise des choses et il plaqua sa maitresse contre la cloison opposée. Glissant une main sous sa jupe, écartant sans ménagement son string bien humide, il enfonça ses doigts en sa chatte brulante. Elle poussa un gémissement profond.
« Ouiiiiii ouiiiiiii, ouiiiiiiii, c’est trop bon »
De son autre main, il avait libéré ses seins de son amante, lui torturant ses pointes dardées entre son pouce et son index ou les mordillant avec ses dents.
Ludivine s’empara alors de la verge de son maitre, et la conduisit vers son antre.
Retirant sa main du sexe de la jeune femme, il conduisit ses doigts à la bouche de cette dernière, elle les lécha avec avidité avant qu’à nouveau leurs bouches se soudent.
Sa main à nouveau libre, il souleva la cuisse droite de sa partenaire et d’un seul et puissant coup, il s’enfonça en elle, lui arrachant un cri.
« Salaud, tu me fais jouir comme la garce que je suis »
Elle passa les bras autour du cou de son amant, prenant appui, elle enserra de ses cuisses, les hanche de son maitre, dont elle reçu les assauts passionnés
« Je suis ta chose, je suis ta chienne, baise baise baise !!!!!, je t’en supplie , ces heures de vol sans pouvoir rien faire alors que je sais que tu vas jouer avec tes mots de mes sens, rempli moi »
Il l’a prit avec fougue, puissance sans lui laisser de répit, mais il restait maitre, son but la laisser sur une certaine faim pour exacerber son plaisir. Elle l’avait comprit, elle accepta n’était il pas son nouveau maitre.
Ils arrivèrent juste à temps pour embarquer. Durant le vol, il ne cessa de l’exciter par ses mots et quelques subtiles et discrètes caresses. Il la gamahucha durant une bonne partie du vol. Elle mouillait, se mordait les lèvres presque à sang pour ne pas crier. Ses cuisses étaient trempée.
Arrivés à Osaka, ils prirent le taxi pour se diriger à l’extérieur de l’ancienne capitale impériale. Il avait loué un palais traditionnel. En cette saison l’arbre traditionnel, symbole de l’intemporalité du Japon était en fleur. Les cerisiers resplendissaient de leur floraison. Autour du palais de bois le jardin était si beau, une plénitude émanait de l’endroit.
Sur le perron deux jeunes femmes, et une plus mature les attendaient, elles étaient resplendissantes en leur tenue traditionnelle. Sans attendre, elles prirent par la main Ludivine et elle disparu à l’intérieur de l’habitation.
Troublée mais curieuse, elle se laissa conduire, et sous un patio elle découvrit des bains chauds. Soumise elle se laissa dévêtir par les deux jeunes femmes sous la direction de celle plus âgée.
Elle se glissa dans l’eau chaude accompagné des trois officiantes elles aussi maintenant nues.
Les trois femmes se rapprochèrent de Ludivine et jouèrent de son corps en délicieuses caresses tactiles, liptiques et linguales. Ludivine aimait les plaisirs saphiques mais la délicatesse de ces femmes lui fit atteindre très vite des orgasmes multiples. Ses trois bouches suçotant aspirant embrassant ces six mains jouant de ses pointes, de son bourgeon, s’immisçant en elle la rendait folle de plaisir au point qu’elle avait oublié son maitre.
Elles sortirent ensuite de ce bain, et virent s’allonger sur des coussins et te tapis dans une pièce où un feu crépitait. Un sabbat lesbien débuta avec douceur, puis fougue entre ses quatre femmes.
Trio, quatuor, deux plus deux, elles variaient leurs plaisirs au gré de leurs envies. Elles jouaient avec des objets phalliques, les unes sur les autres, seule regardant ces amazones.
Ce n’est qu’à ce moment là qu’elle le vit à nouveau, il était là assis les regardant, les surplombant. Elle devinait son désir tendu sous son kimono noir.
Les trois femmes s’emparèrent de Ludivine, la plus âgée des trois banda les yeux de la jeune amante, alors que les deux autres officiantes jouèrent de leurs bouches et de leurs petites mains si fines en sa chatte offerte.
Elle était maintenant à cheval sur la bouche de d’une d’elle, recevant les caresses de cette petite langue en un face sitting lesbien délicat, les deux autres alternaient leurs mains en un fist subtil.
Elle criait son plaisir, qui se mêlait aux gémissements de chattes des trois japonaises.
C’est à ce moment là que son Maitre intervint offrant son membre à la bouche de Ludivine. Elle savait que c’était lui, elle aimait son odeur, son goût et le fait d’avoir les yeux bandés lui provoquait des sensations si intenses.
Il joua de son membre allant et venant dans la bouche de sa maitresse comme s’il s’agissait de son sexe. Elle jouait quand à elle de sa langue de ses lèvres. Il défit le bandeau, elle poursuivit sa douce fellation, s’aidant maintenant de ses mains, et le regardant avec intensité, sensualité, gourmandise.
Il allait défaillir, mais se repris quittant la bouche de sa maitresse, il la fit allonger et sans attendre, de sa bouche il s’empara de la corolle gouteuse de Ludivine, se délectant de la cyprine de sa maîtresse, délicat nectar aux arômes subtils, coulant à flot en son palais. Sa langue s’immisçait, vagabondant, explorant avec avidité, gourmandise, le sexe de sa maitresse.
Puis ce furent ses doigts qui prirent le relais, suivi de ses mains s’enfonçant en elle avec douceur. Elle se cambrait pour mieux le recevoir.
« Prends moi, baise moi »
Il ne répondit rien, et s’empara d’une petite fiole d’huile et commença à lui oindre sa forte offerte et luisante de plaisirs.
Elle attendait cela depuis leurs retrouvailles à Zurich, elle aimait sentir sa langue sur son anus si sensible. La sensation de cette huile tiède la rendait folle.
Il s’empara d’un olisbos anal, avec sa délicieuse indécence, elle se positionna en levrette, offrant sa croupe accueillante au regard de son maître.
Avec délicatesse il introduisit l’objet de latex en sa caverne culière et commença à jouer avec.
« Hummmmmm j’aime, j aime, enfonce, encule moi »
Elle criait son envie se lâchant totalement
« J’attends cela depuis si longtemps, prends moi »
Il continua ses mouvements, lui arrachant autant de gémissements que de soupirs qui devinrent halètements. Elle se perdait dans un labyrinthe de sensations érotiques .
Il n’en resta point là et il ouvrit un petit coffret en ébène et en sortit un WE VIBE qu’il s’empressa de positionner sur le bougeons de la belle et son vagin offert et dont il déclencha les vibrations, non sans avoir introduit en plus un œuf vibrant.
Ludivine fut prise dans un maelstrom d’orgasme, soumises aux vibrations des deux nouveaux objets et les allers venus de ce sex toy anal bien différent de ceux qu’elle utilisait habituellement.
Son corps était soumis aux plaisirs et aux envies de son amant et maître.
Elle vit alors entrée une superbe femme, brune les cheveux longs, tombant sur ses seins lourds, des hanches sublimes, des fesses divines, des cuisses puissantes, des jambes aux galbes délicieux.
Elle frissonna en découvrant qu’elle était équipée qu’un superbe membre artificiel.
L’homme retira l’objet de son plaisir anal, elle était soumise à lui, elle eut une pensée pour son mari qui aimait ce genre de femme.
Son amant lui offrit à nouveau sa verge à la bouche alors que sans attendre la nouvelle arrivante s’emparant de ses hanches s’enfonça en son écrin trempé .
Elle sentait sa mouille couler entre ses cuisses, elle hurla sous les assauts de cette femme, alors que son amant enfin déchargea son écume dans sa bouche, tel les eaux du torrent gonflé par une pluie d’orage.
Sans lui laissé de répits, il lui banda à nouveau les yeux .
La femme était maintenant allongée et il s’a fit s’empaler en Andromaque, offrant ses seins à la bouche avide de cette dernière qui se mit à la suçoter avec avidité.
Il la repris avec force en son palier culier, elle aimait cette sensation.
Qu’allait il se passer se dit elle.
Elle comprit qu’une autre personne était entrée, elle devina qu’il s’agissait d’un homme, aux bruits de succion de sa partenaire qui avait abandonné ses seins. Elle senti en trouble en elle. La femme offrit à la bouche de Ludivine ce membre masculin.
« Mon Dieu, ce goût, cette odeur ! »
Elle n’eut pas le temps de continuer son questionnement que son amant lui retira son bandeau, pour lui laisser découvrir que ce membre qu’elle suçait était celui de son mari.
Et la femme qu’elle chevauchait était sa maitresse.
Elle était folle de plaisir ses deux maître étaient là son mari et son amant.
Les deux couples varièrent les enchainements érotiques, elle recevait en son cul offert, la verge de son mari de son amant et celle de cette femme.
Ce fut une débauche de sexe, de luxure, de stupre.
Durant une pause, les deux hommes avouèrent avoir organisé ce voyage, ne se partageaient ils pas Ludivine qu’autant cette femme.
Ils rirent
Son amant claque des mains, les trois japonaises entrèrent à nouveau accompagnées d’un jeune homme.
La nuit et la semaine ne faisaient que commencer.
Ludivine était aux anges, nous plutôt aux démons