La remise
Les deux amants, dès qu’ils le pouvaient faisaient, tout pour se rencontrer. Ils se rejoignaient ici et là, Paris, Tours, Poitiers, Caen, Alençon, Toulouse, Castres , Agen, Bordeaux, Cahors faisant chacun une partie du chemin.
Ils avaient le goût du risque, alternant de Picasso pour voir son amant jouer du Pinceau, ou en 407 pour le plaisir d’entendre rugir sa lionne de maitresse.
Les petits chemins creux étaient leurs lieux de prédilection comme les gîtes, les hôtels n’étaient pas sur, n’avaient ils pas failli se faire prendre , ici par une collègue de travail, la par un ami de la famille.
Ils en avaient bien ri, mais c’étaient plus fort qu’eux, et pas queue ..., ils aimaient trop ce plaisir qu’ils se procuraient à l’un et l’autre.
Mais là ils avaient décidé de jouer encore plus avec le feu.
Vincent et Chris décidèrent de se voir pas très loin de chez elle, au risque de se faire prendre par son mari, ses collègues, mais l’excitation l’emportait.
Il prit un gîte à proximité du lieu de travail de Chris et à chaque pause, avant de rentrer chez elle, ils se retrouvaient, une deux ou trois heures, un après midi, un soir avant de rentrer chez elle.
Lui passait alors la nuit à écrire et potasser internet sur la région pour donner au téléphone le bon compte rendu de sa journée à sa femme. Il devait d’ailleurs consacrer chaque matinée à parcourir la région pour attester par photo de son périple normand dédié au débarquement.
Ce matin là, il flânait dans son lit,elle l’avait rejoint en sortant de son travail le soir précédent, et ils n’avaient pas perdu de temps. Ils n’avaient eu à peine une heure devant eux, quand le téléphone portable de Chris avait sonné.
Vincent avec un malin plaisir s’activait dans l’antre ouverte de sa maitresse avec une main des plus exploratrice, lui arrachant des gémissements qu’elle avait du mal à contenir en répondant à son mari qu’elle avait eu des soucis avec sa voiture, ayant oublié de faire le plein.
Elle avait à peine raccrocher qu’elle hurla son plaisir lorsqu’il introduisit sa deuxième main.
Elle le quitta immédiatement le laissant sur sa faim en lui disant:
« Mon cœur je te réserve une surprise pour demain »
Cette surprise et quelle surprise :
« Rejoins moi sur mon lieu de travail et tu verras »
Il s’apprêta, et se rendit sur place, elle lui dit entre dans cette remise, fais pas de bruit, il n’y a que moi qui ait la clé, je viendrai te rejoindre à chacune de mes pauses.
Vincent s’installa le mieux possible.
Neuf heures, la clé tourne dans la serrure, elle entre, Vincent se cache. Elle le cherche, soudain , elle le sent derrière, son souffle dans son cou, ses baisers dans la nuque, ses mains empaumant ses seins à travers sa blouse de travail. Mon désir est tendu contre ses fesses sublimes.
Sa main glisse entre ses cuisses, Ses doigts s’immiscent en son sexe humide , et comme elle aime tant le voir faire il les porte à ma bouche. Il savoure avec delectation son nectar. Puis la plaquant contre les étagères de farine, il finit de faire glisser son pantalon, écartant son string et libérant son membre d’un coup il s’introduit dans son sexe chaud .
Posant ses mains sur ses hanches il commence son va et vient avec puissance. Chris ne peut retenir ses gémissements, il accélère. Elle se cambre.
« Oui, baise moi, fais moi jouir »
Ils entendent du bruit dans le couloir, il décharge son jus en elle. Chris remonte son pantalon de service, elle prend un paquet de farine, sort de la remise, la ferme à clé et se dirige vers sa cuisine.
Elle sent entre ses jambe couler le sperme de son amant le long de ses cuisses. Troublée elle croise son directeur et sa secrétaire, avec qui elle a eu une petite aventure, un trio bien agréable, elle sourit et si avec Vincent on s’en occupait de ces deux là. Vincent s’installe de son mieux avec son pad et se connecte sur FI .
Onze heure, la serrure tourne, il se cache, c’est elle, elle vient chercher de la vergeoise pour l’élaboration d’un dessert dont elle seule sait faire. Il la surprend la bascule sur un chariot, lui fait glisser à nouveau son pantalon et il plonge sa langue en sa chatte encore humide de leurs liquides intimes.
Il la dévore, elle aime, elle gémit. Il glisse en elle, un, deux , trois doigts puis sa main en son sexe offert. Elle se retient de crier en mordant dans un torchon. Il lui soulève ses jambes, ses pieds prennent appuie sur les épaules de Vincent. Il présente à sa rose sa verge tendue.
« Prends moi ! oui prends moi »
Il appuie son gland à la porte de son palais de Sodome et d’un coup,il s’y enfonce . Il lui donne ses doigts à lécher, elle s’en délecte. Et encore une fois des bruits dans le couloir. Il s’active et délivre à nouveau sa semence en son si doux boyau culier. Le temps de se rhabiller.
« Je reviens, j’ai encore envie de goûter à ton délicieux boudoir, tu sais que j’en suis gourmande, bon j’y vais j’ai une charlotte à terminée en parlant de boudoirs »
Il s’endort entre les boites de petits poids et les packs d’eau.
Quatorze heures, il est réveillé à nouveau part la serrure, elle est là avec son regard si bleu, Ses mains sont délicate lorsqu’elle s’empare de son sexe, le ranimant avec sa bouche experte. Sa langue roule sur son gland, alors que ses deux mains vont et viennent sur sa hampe. Ses lèvres enserrent son gland, elle le suce, l’aspire, le gobe. Il jouit. Il est au supplice.
Mais encore du bruit, il est temps, sous les caresses linguales subtile de Chris sa maîtresse, il gicle une dernière fois en sa bouche en longs jets chauds. Elle vient alors l’embrasser avec fougue.
« Je reviens te libérer à la débauche, tu partiras après moi et je viendrai te rejoindre pour une surprise »
Dix sept heures, pas de Chris!
Dix huit heures pas de Chris!
Il va prendre son portable, pour l’appeler, elle a peut être eu un contre-temps.
Alors qu’il compose son n°, elle l’appelle
« Vicent ! que fais tu, je t’attend avec ma surprise »
« Je veux bien, mais faudrait il que je puisse sortir de la remise »
« Oh merde…pfffffff…. J’arrive »
Quinze minutes plus tard, la porte s’ouvre, Chris est hilare, il remarque une couple avec elle, le directeur et sa secrétaire, c’était donc cela la surprise.
« Bonsoir, je crois que pour rattraper le temps perdu, on pourrait faire connaissance dans votre bureau Monsieur le Directeur, çà te dit mon cœur »
« Bien sur Chris »
Vincent embrassant avec fougue sa maitresse, une charmante soirée pour cloturer ce séjour.
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