La Petite Baise Coquine dans la Grange
Des sms coquins, qui ont dérapé vers une parodie de "La Petite Maison dans la Prairie"…Ne chercher pas à comprendre, comment un tel dérapage a pu se produire, c’est mon imagination débordante qui m’a joué un tour.
Je vais vous conter, l’histoire de Charles et Caroline qui, sont de grands coquins.
Par une belle journée de printemps, le soleil, le chant des oiseaux, l’éveil de la nature…
Charles et Caroline vaquent à leurs tâches quotidiennes. Charles dans la grange à retourner le foin, et Caroline à la lessive…
Du haut de la grange, Charles fais une petite pose, admire la beauté du paysage, lorsque son regard se pose sur la croupe de Caroline besognant sa lessive…
La vue de ce joli petit cul excite grandement Charles qui a du mal à reprendre son travail. Toutefois, il retourne travailler en pensant au joli petit cul de Caroline, qu’il aimerait bien fourrager.
Mais rien n’y fait chaque fois son regard, se fixe sur le cul qu’il convoite…Il sent son désir grossir dans son pantalon.
Caroline de son côté peste, grogne, devant sa lessive qui lui semble interminable, elle regarde, les alentours et croise le regard de Charles…
Elle lui sourit et se dit qu’il ferait mieux de venir l’aider à la lessive au lieu de regarder le paysage …
Charles quand à lui, se dit qu’il aimerait bien prendre le petit cul de sa Caroline dans la grange, il regarde sa montre et se dit, qu’ils auraient le temps de forniquer plusieurs fois avant le retour des filles.
- Caroline, tu veux bien venir dans la grange, je dois te montrer quelque chose !
- Charles, tu vois bien que je suis occupée, ça ne peut pas attendre !
- Oh non, ça ne peut pas attendre, c’est vraiment important (J’ai très envie de vous baiser, et baiser votre petit cul Mme Ingalls, donc non ça ne peut attendre) se dit-il
Caroline peste et lance rageusement, ses bas dans l’eau de la lessive, pour se diriger vers le haut de la grange, là ou l’attends Charles.
- Que veux-tu me montrer Charles ? dit-elle un peu excédée
Mais le filou, s’est caché…Elle le cherche du regard, pour enfin le trouver allongé dans le foin, avec ce petit regard qu’elle connaît si bien.
- Oh Charles Ingalls, je connais ce regard et nous n’avons pas le temps pour cela !
Avant qu’elle n’ait eu le temps de réagir, Charles, l’attire à lui.
- Caroline, je te soupçonne d’avoir sournoisement remuée ta croupe pour me détourner de ma besogne… Il va falloir que je te punisse !
- Charles Ingalls, vous êtes un coquin… dit Caroline en éclatant de rire.
Il l’attire plus à lui, pour l’embrasser passionnément, tout en glissant une main sous ses jupes.
- Caroline, Caroline, tu me sembles bien mouillé pour quelqu’un qui faisait sa lessive.
Il glisse ses doigts en elle, elle soupire de plaisir…Elle lui mord le cou, il grogne de plaisir, de son autre main, lui défait son corsage avant de laisser sa bouche s’emparer de ses petits seins si délicieux.
Caroline se laisse emporter, par les caresses de Charles…Au diable la lessive, se dit-elle.
- Charles, oh oui, Charles continue, murmure-t-elle lorsque sent sa langue lui lécher son puits d’amour.
- Mme Ingalls, vous êtes une coquine, lui dit-il on remontant vers ses seins… Je vais vous baiser puis je baiserai votre petit cul, mais avant vous aller me sucer !
Caroline est si surprise par les mots de son époux, qu’elle en rougit….
- Ne fait pas ta vierge effarouchée, ma coquine et viens plutôt honorer mon vît de ta bouche !
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Elle se met à genou, pour défaire son pantalon, qu’elle fait glisser lentement, puis le caleçon long. Le sexe de Charles, gorgé d’envie, se dresse fièrement devant la bouche de Caroline.
Avec douceur la petite coquine, le prend en bouche, et suce son époux avec tendresse et fougue. Charles grogne de plaisir, Caroline s’applique, elle fait glisser son sexe en bouche puis remonte avec sa langue, tournoie autour du gland, avant de le faire à nouveau coulisser dans sa bouche…
- Oh oui, Caroline, continue…
Elle s’applique, à donner du plaisir à son tendre époux, le suce, le lèche, le déguste, comme un sucre d’orge.
Charles ne tient plus, il a très envie de posséder sa douce moitié. Il la relève, l’embrasse, la tourne en lui demandant de prendre appuie à la balustrade. Il remonte les jupes de Caroline, caresse ses fesses, en pensant au plaisir qu’il allait prendre en forniquant sa belle.
Il lève la main, qui claque sur le fessier de Caroline qui tressaille de plaisir, il malaxe à nouveau ses fesses, les claques en la pénétrant d’un coup.
La hardiesse de cette pénétration provoque un gémissement de plaisir chez Caroline, ce qui donne à Charles des envies bestiales. Il se met à la besogner avec toute la fougue de son désir, il faut peu de temps à Caroline pour se mettre à couler de plus belle alors que son mâle va et vient dans de puissants coups de reins, faisant trembler jusqu' à la balustrade ou Mme Ingalls s'appuie.
Mais voilà que l'animal en rut cesse ses assauts, il se retire du délicieux fourreau ou déjà il s'est retenu de s'abandonner, il place sa bouche à hauteur de l'antre trempée de Caroline, sa langue inquisitrice caresses les lèvres de la coquine qui aurait pourtant voulu encore être rudoyée, mais Charles dans son élan lubrique à une autre idée en tête.
Sa langue manœuvre toujours sur les lèvres de la belle, le doux parfum de son eau intime excite notre fermier de plus belle.
Alors qu'elle soupire du bonheur d'être honorée de la sorte, notre coquin décide d'explorer la rose de sa douce, cette langue ardente remonte entre les sublimes fesses de Caroline, il lèche à présent la porte de ce puits étroit où il sait pouvoir s'abandonner avec la complicité et l'envie de sa femelle consentante.
Charles décide alors de relever son petit démon.
- Viens par là ma belle, lui dit-il fermement.
Il la fait s'appuyer sur un mur de bottes de pailles tout proche.
Son vît toujours dressé, il la prend à nouveau fermement, elle coule toujours autant.
Il glisse son doigt humide sur la corolle de cette fleur diabolique, une léger pression et déjà l'antre interdite s’ouvre, il le sent la belle est prête.
- Je vais prendre ton merveilleux petit cul Mme Ingalls, lui glisse-t- il à l'oreille.
A ces mots, Caroline tend ses fesses, comme une bénédiction à être possédé de la sorte.
- Oui baise mon cul Charles, n'épargne pas tes efforts .............
Voilà que le mari enfiévré pose son gland gorgé de désir sur la porte d'Ishtar de sa douce compagne soumise.
Doucement, cette fois il la pénètre, sentant son membre de plus en plus enserré, il caresse les hanches, les fesses, de sa petite chatte gourmande, là voilà détendue.
Lui, son pieux au fond de la grotte lubrique de Caroline, un premier coup de rein, lui arrache un cri, puis deux, puis ............................
Mme Ingalls acculée au mur de bottes de pailles, ardemment sodomisée par son homme, tremble de plaisir et d'ivresse, elle est possédée, il la secoue de toute la force de ces hommes besogneux.
Enfin, ils jouissent à l'unisson, lui se répandant en spasmes frénétiques au plus profond du puits étroit de sa belle, elle pantelante de plaisir. Elle vient coller son dos au torse de Charles qui passe ses mains sur ses petits seins dardés.
Il embrasse dans le cou, lui délivre quelques mots doux pour la remercier de leurs plaisirs partagés.
Caroline, roucoule, malicieusement contre son mari, tendre et si farouche à la fois. Elle dépose des baisers ici et là, sur son torse…La gourmande, sent déjà, l’envie, le désir, la reprendre.
Charles, sourit….
- Oh Mme Ingalls vous semblez prête pour forniquer à nouveaux
Son rire malicieux, ne laisse aucun doute sur les envies gourmandes de Caroline.
Mais c’est une autre histoire !
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