Les aventures d'Emilie - Chapitre 5 - 2ème rencontre
La première fois qu’elle s’était rendue à son rendez-vous mystérieux, elle avait mis quinze minutes à pied, ce qui n'était pas bien loin de son bureau. Et faire le parcours à pied lui permettait de prendre un peu l'air et décompresser un peu de cette journée, de plus prendre le métro aux heures de pointes était une horreur à ses dires.
Elle se retrouva de nouveau devant la grande porte qu’elle avait franchie quelques jours auparavant, une grande porte en bois donnant l'accès à des appartements d'un immeuble arborant une belle façade qui sans aucun doute avait été refaite il y a peu. Elle poussa la porte, comme la dernière fois, elle n'était pas verrouillée, entra et se retrouva dans le hall. Emilie prit le temps de jeter un coup d’œil et remarqua bien des détails qu’elle n'avait pas vus lors de sa première visite, à sa gauche, un grand escalier permettait l'accès aux étages supérieurs, un tapis rouge cardinal en recouvrait les marches.
Le hall s’étendait devant elle, elle avança lentement, et s’engouffra dans le couloir au fond duquel se trouvait la pièce dans laquelle elle était attendue.
Avec un peu d'hésitation, Emilie tapa à la porte pour annoncer son arrivée.
"- Entrez Emilie" entendit-elle au travers de la porte.
Saisissant la poignée, elle la fit tourner et entra dans la pièce en la refermant derrière elle.
"- Donnez un tour de clé, ma chère, s’il vous plait"
La clé se trouvait sur la serrure, elle la saisit et la fit tourner entendant le verrou s’enclencher sans difficulté.
Emilie se retourna alors, son cœur battait vite, elle était à la fois curieuse et angoissée, curieuse d’en savoir plus sur son inconnu, sur le pourquoi de toute cette histoire, et angoissée par le fait que depuis leur première rencontre, elle ne maîtrisait plus ce qui lui arrivait.
Dans la pénombre, elle observa les lieux, la chaise en bois de la fois précédente avait fait place à une chaise qui semblait bien plus confortable, une table rectangulaire était placée au centre de la pièce, dans l'un des angles au fond elle distingua un bureau.
Une silhouette se détacha dans le fond près du bureau, mais l’obscurité ne lui permit pas d’en voir plus.
"- Bonjour Emilie, bien content que tu ais accepté ce deuxième rendez-vous, je t'en prie, assieds-toi"
Sans un mot, elle s’approcha de la chaise, posa son sac à main au sol et prit place.
"- Il y a un bandeau sur la table devant toi, je veux que tu le places sur tes yeux, sache qu'en temps voulu je te dévoilerai ce que tu veux savoir alors ne triche pas!".
Elle prit le bandeau, au toucher, elle en devina immédiatement la matière, de la soie. Elle le plaça sur ses yeux prenant soin à le mettre bien en place.
"- Il est bien en place, je te fais confiance Emilie."
La voix de son inconnu était à présent toute proche, elle le devina sur sa gauche derrière elle et entendait à peine sa respiration.
"- Tu es très désirable dans cette tenue Emilie".
Elle sentit les mains de son inconnu se placer ses épaules, il n’avait encore rien fait, mais elle sentait déjà des frissons lui parcourir le corps. Lorsqu’elle sentit que des baisers se posaient sur son cou, elle en oublia les frissons, le plaisir de se sentir désirée avait pris le dessus, et petit à petit elle commença à se détendre.
Ayant perdu le sens de la vue, elle avait du mal à deviner les gestes de son inconnu, et chaque caresse, chaque baiser était à chaque fois une surprise, une explosion de sensations qu’elle ne pouvait anticiper.
Rapidement, elle sentit les mains descendre sur sa poitrine, les sentant lui caresser les seins au travers de son pull, sur le moment, elle aurait aimé que ces douces mains soient au contact direct de sa peau, mais au travers de son pull, les sensations étaient tout aussi bonnes, elle les sentit se gonfler, ses tétons pointaient malgré elle, et ce n’était pas pour lui déplaire.
« Retire ton pull Emilie. »
Elle s’exécuta sur le champ, retirant son pull avec délicatesse pour le poser sur la table devant elle se retrouvant à moitié nue, seul son soutien-gorge lui couvrait encore les seins, mais elle se douta que cela ne durerait pas. Rapidement, elle le sentit se défaire sur l’arrière, libérant sa généreuse poitrine de sa prison de dentelle.
Ses seins étaient à présent sous l’emprise de son inconnu, il les caressa avec douceur, ne faisant que les effleurer parfois, à plusieurs reprises, elle laissa échapper des râles de plaisir, qui se firent plus intenses lorsqu’il commença à faire rouler le bout des seins entre ses doigts.
Elle fut surprise lorsqu’elle sentit des lèvres se poser sur les siennes, elle n’eut pas le temps de réfléchir que déjà leurs deux langues se mêlèrent dans un long baiser langoureux, elle se sentit partir dans un doux rêve éveillé, elle devina son entre jambes trempé, il n’en avait pas fallu beaucoup plus pour la mettre dans un tel état d’excitation.
Ce tendre et fougueux baiser prit fin, en un instant, elle se retrouva seule, dénuée de sensations, de caresses et de repères.
"- Mets toi debout Emilie et approche de toi de la table s'il te plait".
Elle se leva lentement, avec le bandeau devant les yeux et le reste de ses sens en éveil et à fleur de peau, elle mit un peu de temps à retrouver son équilibre, elle s’approcha de la table, et lorsqu’elle put saisir le bout de la table d’une main, elle se positionna, immobile attendant la suite.
Les mains de son inconnu se posèrent sur ses hanches lui imprimant un mouvement vers l’avant
"- Avance encore un peu »
Elle avança, jusqu’à sentir le bord de la table entrer en contact avec elle.
« Voilà, parfait, ne bouge plus ! »
Elle sentie alors le contact de ses mains sur ses chevilles, elle le devina derrière elle, certainement accroupi pour mieux la contempler. Elle les sentit remonter, elle aimait cette sensation de caresse au travers de ses bas en soie, c’était doux et étrange à la fois. Elles remontaient toujours plus, caressant ses cuisses, et finirent par franchir la frontière délimitée par ses bas, frontière que la vendeuse du magasin de lingerie n’avait pas franchie, mais là il n’y avait plus de limite imposée.
La limite franchie, elle sentie le contact de sa peau sur le haut de ses cuisses et rapidement sur ses fesses, chacune de ses caresses fut un doux plaisir, un pas de plus vers un paradis inconnu.
Elle sentit alors son string neuf descendre, lentement libérant son intimité trempée de désir pour cet homme qu’elle ne connaissait pas mais qui la rendait folle. Son string finit par tomber à terre, elle sentit son inconnu le dégager d’entre ses pieds.
De nouveau elle sentit le contact de ses mains, elles étaient repassées sous sa jupe, remontant de nouveau vers le haut de ses cuisses, malaxant ses fesses, elle les sentait passer entre ses fesses se rapprochant inexorablement de son intimité.
Elle sentit un doigt effleurer son clitoris et se cambra en arrière par reflexe incontrôlé poussant un râle de plaisir.
Son amant inconnu finit par trouver le chemin de son intimité en feu, Emilie prit l’initiative et écarta d’elle-même ses jambes afin de lui faciliter la tâche et lui offrir un accès plus facile à ce volcan en ébullition.
"Eh bien ma petite Emilie, tu es trempée, dis-moi, ne t'en fais pas je vais m'occuper de toi petite cochonne".
Emilie n’avait pas pour habitude qu’on la traite de « cochonne », mais là elle l’avait pris comme un compliment, elle savait que son intimité mouillée n’était que le reflet de son état d’excitation et une preuve pour son inconnu qu’elle prenait du plaisir.
Les caresses sur son intimité se firent plus insistantes, plus intenses, elle sentait des doigts lui caresser le clitoris, le palper, le titiller. Lorsqu’elle sentit un doigt lui pénétrer son antre en feu, elle ne put se retenir…
"Humm oui... C’est bon, encore...".
Sous cette avalanche de sensations, elle se pencha en avant, posant ses mains sur la table afin de se maintenir debout. Son intimité était fouillée, caressée, livrée à cet homme, mais qu’importe, le plaisir était si intense. Lorsqu’elle sentit un deuxième doigt rejoindre le premier elle poussa un cri qui résonna dans toute la pièce, elle n’avait pas pu se retenir et se demanda si personne ne l’avait entendue.
« Tu es bien chaude à présent, je vais te faire jouir ne t’inquiète pas! Je vais t’enfoncer quelques chose bien plus gros que deux simples doigts ».
L’inconnu retira ses doigts de son antre, Emilie resta en position immobile, elle avait envie de se sentir remplie, mais elle se demandait aussi ce qu’il entendait par quelque chose de bien plus gros, partagée sur le moment entre inquiétude et excitation.
En position, devant la table, jambes écartées, penchée en avant les mains reposant sur la table pour se maintenir en équilibre, elle sentait son entre jambes trempé, toujours aussi désireuse de se sentir remplie.
La main de son inconnu se posant sur son épaule droite et lui imprimant une pression lui fit comprendre qu’il souhaitait qu’elle laisse reposer le haut de son corps sur la table.
Son bras droit fut ramené vers l’avant, elle sentit le contact d’une corde en soie lui entourer le poignet, elle tira un peu et constata rapidement qu’elle était attachée, lorsqu’il en eut fini avec son bras gauche, elle comprit alors qu’elle ne pouvait plus se libérer de sa position. Être ainsi à la merci d’un inconnu l’excitait encore plus, elle vivait l’un de ses fantasmes et elle y prenait un sacré plaisir.
Elle sentit sa présence derrière elle, de nouveau ses mains se posèrent sur ses cuisses, elle sentit sa jupe remonter jusqu’à la limite du possible. Elle imagina la vue qu’elle lui offrait ainsi, soumise, les jambes écartées.
Perdue dans ses pensées, Emilie reprit rapidement ses esprits lorsqu’elle sentit quelque chose se frotter à son intimité.
L’engin la pénétra lentement, mouillée comme elle était, elle sentit à peine les premiers centimètres entrer en elle, mais rapidement son intimité s’entrouvrit de plus en plus, le diamètre de l’engin avait soudainement augmenté pour son plus grand plaisir. Emilie poussa des râles de plaisir, elle n’avait jamais subi l’assaut de quelque chose d’aussi gros, de quelque chose qu’elle ne pouvait qu’imaginer. Elle le sentit entrer en elle, de combien de centimètres, elle n’en avait aucune idée, mais elle se sentait remplie comme jamais elle ne l’avait été.
Elle sentit l’engin commencer à faire des va et vient en elle, elle attendait ce moment depuis longtemps, et elle le vivait à présent. A chaque fois qu’elle le sentit la pénétrer, elle poussa un râle de plaisir intense, râles qui finirent par se transformer en cris « oh oui… continue, c’est bon, remplie moi, enfonce moi le bien au fond… ». Elle avait fini par se faire à la taille de l’engin, son vagin s’était adapté et sentait à présent ce gode entrer et sortir au grès des mouvements que lui imprimait son inconnu.
Les mouvements de va et vient s'accélérèrent, Emilie perdue dans son plaisir ne se retint plus "oh oui, encore, plus vite, ouiiii, continue je vais jouir…". Accélérant encore la cadence, il n'en fallait pas beaucoup plus pour l’amener à la jouissance « Je vais jouir, je n’en peux plus c’est trop bon….. » Dans un cri qu’elle ne put contenir, Emilie connut alors une jouissance avec une intensité qu’elle n’imaginait pas possible, sa chatte était en feu, dégoulinante. Lorsqu’elle sentit l’engin se retirer, la cyprine coula le long de ses cuisses inondant le haut de ses bas.
« - Tu as été formidable Emilie, j''espère que tu as pris autant de plaisir que moi. »
Emilie ne répondit pas de suite, sa tête était posée sur la table, elle tentait de reprendre son souffle après cette jouissance extrême.
« C’était formidable, si intense, et cet engin, ce gode, comme j’ai aimé le sentir en moi, jamais rien d’aussi gros ne m’a jamais pénétré ainsi »
« Il était à la hauteur de vos exigences et de votre appétit ma chère, heureux qu’il ait pu vous combler ainsi, je sais à quel point ta petite chatte est gourmande maintenant. »
Ses bras furent libérés, elle comprit alors que la séance du jour était levée. Elle se releva, pendant un instant elle voulut retirer son bandeau, mais elle se ravisa son « maître » ne l’avait pas encore autorisé.
« Je dois te laisser Emilie, j’ai laissé une enveloppe sur la table. Tu n’as qu’à claquer la porte en partant, tu peux prendre ton temps avant de partir, personne ne viendra ici. »
Elle sentit un baiser se déposer sur son épaule et puis entendit son inconnu prendre la direction de la porte et son claquement lorsqu’il la referma derrière lui.
Emilie ôta son bandeau, elle chercha son string du regard, posé sur la table, elle le prit et l’enfila rapidement constatant son état d’humidité avancée dans lequel elle était encore, les assauts de cet engin dont elle n’avait pas la moindre idée des dimensions la maintenait encore dans un état qui mêlait excitation et bien être.
Elle fit redescendre sa jupe et prit le temps de remettre de remettre son soutien-gorge et son pull. Elle vérifia rapidement que rien ne laissait transparaitre ce qu’elle venait de subir. Elle prit l’enveloppe sur la table et la plaça dans son sac à main et prit la direction de la sortie.
Le hall de l'immeuble était toujours aussi calme, dehors l’obscurité régnait en maître, il était temps de rentrer.
Elle resta quelques secondes sur trottoir devant l’immeuble, observant les alentours, quelques voitures passaient, une personne âgée promenait son chien, rien de bien anormal à cette heure. Elle observa sa montre, le prochain train était dans 20 minutes et mieux valait ne pas le rater afin de ne pas arriver trop tard, son mari devait déjà être rentré et sûrement en train de l’attendre.
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