Un peu d'humour... revu et corrigé
Un peu d'humour... revu et corrigé
Poésie sur la bistouquette
Très romantique !!!
Surtout Messieurs ne pleurez pas !
*****
Ma libido pourtant si parfaite
Est finalement partie en retraite
Mes jours de gloire sont révolus,
Ma libido, finie, foutue !
Ce par quoi tant de femmes ont joui
Ne sert maintenant qu'a faire pipi
Il y avait un temps ou la coquette
Sortait hors de mes bobettes.
Aujourd'hui, c'est presque une corvée,
Simplement de la trouver !
Jadis, c'en était même embarrassant,
D' la voir grimper en l'air tout l'temps !
Même le matin quand j'me rasais,
Le nez bien haut, elle me regardait...
Et comme j'avance dans la vie ,
Je sens comme une nostalgie
De voir maintenant cette pauvre chose
Me regarder les pieds quand je me chausse
Après avoir fait tant de kilomètres pour elle.avec tant d'émoi
Elle ne sait plus faire ... quelques centimètres pour moi,
Pour résumer :
Dans le temps, elle me faisait courir,
maintenant je la promène !
Mignonne allons voir... (revu et corrigé)
Mignonne, allons voir si l'arthrose
Qui ce matin, tant m'ankylose
Depuis qu'a sonné mon réveil
Pour clore une nuit de sommeil
Aura perdu de sa vigueur
Après un footing d'un quart d'heure.
Las ! Voyez comme sont les choses,
Il faudrait que je me repose.
Mes maux, loin de se calmer
Las, las, ne cessent d'empirer.
Ô vraiment, marâtre nature
Avec l'âge la douleur perdure !
Donc, si vous m'en croyez, mignonne,
Tandis que votre âge fleuronne
En sa plus verte nouveauté
Avant que ne ternisse votre beauté,
Pour assouvir toutes envies
Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie !
Source :
Le CID (revu et corrigé)
Don Diègue :
- A moi, belle, deux mots !
Chimène :
-Parlez!
Don Diègue :
- Baiseur assermenté des REINES et des INFANTES,
chargé de par le ROI de vous dépuceler ?
J’offre ma chaste queue à Votre MAJESTÉ.
Chimène :
- Approchez, chevalier, et accomplissez
vite cet honneur qui échoit à votre auguste bite.
Vous cueillerez sans peine une fleur d’oranger
que mes mains ont déjà en partie dérangée.
Finies ses longues nuits sans compagnon
avec mes seules mains pour calmer ma passion.
(Elle s’éloigne de lui)
Don Diègue : ( A part)
- Quelle ardeur, la voilà qui, contre moi, se colle.
comme ses seins sont durs...
Chimène : (A part)
- Comme sa trinque est molle.!!!
- Qu’attend-il pour ôter son caleçon Aréna ?
Don Diègue :
- J’ai pourtant avalé trois boites de Viagra !
(Avec un air finaud, l’innocente, à dessein,
a ôté sa culotte et a mis des atours de soie et de satin)
Chimène :
- Croit-il me contenter avec ses seules mains ?
Don Diègue :
- Honte de mes jours, devant une pucelle,
malgré tout mes efforts, hélas ! Je fais flanelle.
(Chimène sort en se grattant le cul)
O rage, ô désespoir, testicules traitresses,
n’ai-je donc tant vécu que pour voir ma maitresse,
assoiffée de baisers, se tordre et se pâmer
et moi de n’avoir, qu’un doigt pour te calmer.
(A ce moment, Rodrigue, fils de Don Diègue, arrive)
- Rodrigue, ta trinque est-elle dure ?...
Rodrigue :
- Tout autre que vous mon père, à l’instant, je le jure,
par un pareil propos excitant mon courroux
eût perdu, sur le champ, sa pièce de dix sous.
Don Diègue :
- Comme je reconnais, dans ces mots qui me piquent,
cette ardeur qui jadis faisait dresser ma trinque
et qui m’a fait baiser, en une seule nuit,
la baronne, son fils, la bonne et son mari.
Hélas ! Trois fois hélas ! Ces temps sont résolus,
mon cœur le désire encore, ma bite n’en peut plus,
cette bite sans cœur, cette bite sacrée
qui sonda tant de cons, de culs et de gosiers.
(Il s’arrête, songe quelques instants)
Il me faut renoncer à l’amour qui me tente
et, par procuration, dépuceler l’infante...
- Viens mon fils sans tarder, va, cours, vole et la baise.
-
3
3 Commentaires
Recommended Comments