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Esmeralda d'un soir

rominou

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Je suis dans un bar lounge entrain d'être en tête à tête avec mon verre de vin blanc pour ainsi me consoler de mes maux du moment. Assis au comptoir, je discute et refais le monde avec le barman qui est une connaissance. Le temps passe et j'en suis à mon troisième verre. Mon souffle du désespoir sent le vin blanc sucré. En sentant mon haleine, je me dis qu'il est temps de rentrer. L'air frais me fait du bien et me remets sur de bons rails pour rentrer chez moi.

Sur le chemin du retour, je croise une femme aux allures d'une Esméralda tout droit sortie de l'univers d'Hugo. Je me dis que c'est une hallucination, que je n'ai pas bu simplement trois verres et qu'ainsi je dois rentrer avant d'avoir d'autres hallucinations. Sauf que plus elle se rapproche de moi plus elle me semble réelle !!! D'un seul coup, elle s'arrête à côté de moi et s'exclame : « vous ne devriez pas dévisager une personne comme cela vous savez !!! ».

Surpris, je riposte : « je suis désolé, excusez-moi mais c'est votre tenue qui m'intrigue, j'ai cru que j'avais trop bu et que j'étais saoul ». Elle me sourit, rigole même : « je comprends mieux votre comportement. Pour indication, je ne m'habille pas comme cela tous les jours vous savez, c'était pour une soirée déguisée ». Confus, je ne dis rien et souris. Nos regards se croisent. Pendant une brève interlude, le silence règne. Elle se mord le bord des lèvres et me demande si je peux l'inviter à boire un dernier verre chez moi. Je lui fais un hochement de tête pour lui dire d'accord. On repart vers chez moi mais je suis assez stressé de la recevoir car depuis ma dernière rupture, je n'ai ramené personne chez moi comme si mon appartement était devenu un sanctuaire, une sorte de mausolée où il n'y a que moi qui puisse rentrer et habiter dedans. Étrange idée que de faire venir une personne comme elle chez moi mais je sens en elle une énergie, une fraîcheur qui me fais sourire même rire de nouveau. Mon cœur avait besoin de battre à nouveau comme cela.

En arrivant chez moi, on s'installe dans le canapé, on refait le monde avec un bon verre de champagne. Ma Esméralda du soir voulut danser donc j'ai mis de la musique et le premier morceau qui se fit entendre c'est « Let's dance » de David Bowie. Je suis sur le canapé et je la regarde danser. Plus elle danse plus j'ai le cœur qui bat à la chamade.

A la fin de la chanson, elle se met à genou et glisse entre mes jambes. Elle rigole et commence à enlever mes vêtements un par un pour me laisser juste mon boxer. Puisque je suis à demi-nu, elle fait pareil et enlève sa longue robe de gitane. Jolie comme un cœur, elle est. Ses longs cheveux bouclés étincellent de mille feux et fait ressortir ses yeux verts. Pour sous-vêtements, elle a juste un tanga noir. Ses seins sont en forme de poire et son corps ressemble à une guitare.

Je la fais basculer sur le canapé et je me mets sur elle. Nous commençons à nous embrasser tendrement puis nos langues se sont mises à s'entrecroiser, à tourner entre nos lèvres fiévreuses de désir. Puis doucement, je descends mes baisers sur son cou, sur ses seins, sur son ventre et je reviens à la hauteur de son visage.

Pendant que je l'embrasse à nouveau, ma main glisse le long de son corps pour aller sur son pubis. Par cette même main, je glisse son tanga pour entrevoir son antre du désir. Elle est parfaitement épilée. Elle écarte alors les cuisses pour que je puisse la toucher et commence à pousser des gémissement au creux de mon oreille. « Vas-y mets moi, deux doigts maintenant » chuchote-elle. J'entre un deuxième doigt, c'est chaud, humide, mes doigts glissent profondément à l'intérieur de son intimité. Pendant ce temps, elle m'enlève mon boxer pour faire sortir de son enclos mon sexe en érection. Il est déjà bien dur et le sent palpiter entre ses doigts.

Ma Esméralda met mon pénis à l'entrée de son abricot et d'un coup de rein le fait rentrer dedans. Je commence à faire de petits va-et-vient en elle. Nous soupirons ensemble. Bien excités tous les deux, nous commençons à faire qu'un tellement nos corps sont collés l'un à l'autre. Puis j’accélère les mouvements en rentrant et sortant entièrement mon sexe humide de mouille de ma sauvageonne. Des « huumm !!! Henn !! » sortent de sa bouche pendant que je la pénètre de plus en plus fort et pour que j'aille plus au fond, s'agrippe à mes fesses.

Au bout d'un moment, nous changeons de position, elle se positionne en tant qu'amazone. Je vois que dans cette posture, elle prend du plaisir comme jamais. Elle joue avec mon sexe en le faisant sortir de temps de temps pour mieux le remettre dans son orifice, fait des mouvements du bassin en forme de rond et se frotte en même temps sur mon pubis pour un maximum de plaisir. Pendant qu'elle me chevauche, je lui mords, lèche, prends en main ses seins qui m'excite au plus haut point.

Puis nous changeons de position, elle se met en levrette, cambre bien son corps pour que je la pénètre vigoureusement. Agrippant ses reins, je commence par des coups de reins secs qui font trembler ses fesses. Elle gémit et je sens sa jouissance couler sur mes cuisses. Ce qui m'excite de plus de plus donc je monte en puissance dans ma pénétration. Cette fois-ci je m'agrippe plus à ses reins mais à ses seins tout en pinçant ses tétons et l'embrassant sur la bouche quelques fois. Je lui dis au creux de l'oreille : « Tu es excitante comme femme » et comme réponse, elle me réplique : « Tu sais, une Esméralda sait se faire désirer et enflammer l'âme du pauvre pêcheur avec son corps ».

Plus j'entends le bruit du claquement de mes boules sur son sexe mouillée plus je deviens sauvage et commence à lui tirer les cheveux en arrière comme pour la dompter. Puis avec tout mon poids, je lui fais comprendre qu'il faut qu'elle s'allonge sur le ventre. Je me colle à elle. J'écarte ses fesses pour que mon pénis rentre bien dans son vagin et je recommence de plus belle mes coups de reins tout en lui tirant les cheveux en arrière. Elle gémit. Elle me dit : « je vais jouir » ce qui m'excite plus encore. J’accélère la cadence et je sens son corps se crisper, elle est entrain de jouir. Ce qui fait, que ma sève arrive. Je me retire et éjacule sur ses fesses. Je suis étonné de la quantité que j'émane sur son derrière. Mon sperme coule jusqu'à son vagin pendant que sa mouille coule le long de ses cuisses.

Nous restons allongés un moment sur le canapé dans les bras de l'un et l'autre et nous nous endormons. Arrivé sur le matin, je me rends compte que je suis seul et je trouve un mot sur la table du salon. « Merci pour cette nuit mais Esméralda restera toujours une femme libre donc bonne continuation mon bellâtre d'une nuit. ». Je souris et je me dis qu'elle m 'a soufflé un vent de fraicheur pour repartir en avant et oublier mes maux du moment.

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