« Elle. » Du fantasme à la réalité
« Elle. » Du fantasme à la réalité
Elle était belle. Je fantasmais sur elle. J’avais des idées coquines plein la tête et passais des nuits en sa compagnie, virtuellement bien sûr, pour mes plaisirs solitaires. Tout ça m’empêchait d’avancer dans la réalité depuis qu’elle m’obsédait.
Les copines ne m’intéressaient plus de la même façon. « Elle », s’était dans la journée, le soir jusqu’à une heure très avancée de la nuit. Mes nuits étaient de plus en plus courtes.
Je vivais dans le virtuel en permanence et ça semblait me convenir. Je me sentais heureux comme ça ! Les journées au travail devenaient de plus en plus difficiles.
J’avais déjà eu des aventures très poussées avec quelques copines ou des voisines de mon quartier sans trop d’expérience à ce moment de mon adolescence. Je draguais beaucoup et les filles m’intéressaient énormément avant de l’avoir dans ma tête.
J’avais 19 ans et c’était mon premier travail. Je préparais mon Brevet Professionnel.
Elle avait 31 ans. C’était l’épouse de mon patron. Elle m’aidait dans mes cours et avait décidé de passer l’examen en même temps que moi, pour être autorisée à seconder son époux.
Tout a commencé par des livres qu’elle me prêtait pour m’inciter à lire, chose que je n’aimais pas trop ! Le blé en herbe, la main sur le... cœur... Et par la suite d’autres littératures de plus en plus érotiques. Quand je rendais le livre, elle me demandait toujours mon avis sur le bouquin. Les conversations devenaient de plus en plus coquines. Elle me fascinait par la façon, très a l'aise, qu’elle avait de me parler de sexualité. Elle me posait beaucoup de questions intimes qui m’embarrassaient parfois. Je m’en suis souvent trouvé gêné par des érections que j’avais du mal à dissimuler. Le faisait-elle exprès pour t’attiser? Je m’étais aperçu qu’elle recherchait beaucoup ma compagnie.
À plusieurs reprises, je m’ isolais volontairement dans une pièce et immanquablement elle me suivait quelques minutes plus tard. Cela me troublait de plus en plus. Peut-être des coïncidences ?
À partir de là, je me suis mis à cogiter. Je me posais de plus en plus de questions :
- Que cherche-t-elle ? A-t-elle envie de faire l’amour avec moi ?
Une seconde après, je me disais :
" - Arrête de rêver, arrête de faire ton cinéma ! T’es trop jeune pour elle ! Elle est trop belle pour toi ! "
Cela a duré plusieurs semaines comme ça. Mes fantasmes étaient de plus en plus précis. J’imaginais toutes les situations possibles ! Vivre toute la journée à ses côtés était très excitant.
J’avais l’âge ou je roulais des épaules ou je me prenait déjà pour un homme plein d'expérience mais je n’étais pas du tout sûr de moi ! Mon comportement n’était qu’une façade.
Je paniquais à l’idée de faire des avances à cette femme respectueuse mais je sentais bien quand même que quelque chose pouvait se passer.
Dans notre métier, il y a des tours de garde. Le patron avait son père malade au village voisin et allait le rejoindre pour rester avec lui, la nuit. Vrai ou pas vrai, je n’en savais rien. Je le savais très coureur. Était-ce un alibi ?
Il m’a demandé de venir un week-end pour faire la garde à sa place, parce que sa femme ne voulait pas rester seule.
Cette nuit de garde, je ne l’oublierai jamais.
Après un moment de lecture dans mon lit j’avais éteint la lumière de mon chevet mais le réverbère dans la rue éclairait faiblement ma chambre. J'avais laissé ma radio marchait doucement pour ne pas géner ma patronne.
Il y avait sa chambre qui était encore allumée. Nos portes étaient ouvertes pour pouvoir entendre la sonnette, qui se trouvait au rez-de-chaussée, en cas d’urgence. Je la voyais faire des va-et-vient dans sa nuisette que la lumière de sa lampe de chevet rendait transparente. Je commençais à fantasmer, sentant mon sexe gonflait. J’avais de plus en plus chaud, j'ai donc retiré les draps et je me suis surpris entrain de me caresser en regardant vers sa chambre. Un vrai régal ! J’étais très excité et envie d'aller la rejoindre. Je me dégonflais, peur de l’échec et de sa réaction.
Soudain, j'ai paniqué ! Je l'ai vu traverser sa chambre en direction du couloir et se diriger vers ma chambre. Je ne bougeais plus je gardais les yeux fermés faisant semblant de dormir. Je n’ai pas eu le réflexe de tirer le drap pour me couvrir.
Au fond de moi, je pensais :
" - Tant pis ! Elle n’a pas à rentrer dans la chambre. "
La radio sur la table de chevet était toujours allumée. Elle devait penser peut-être que je m’étais endormi en oubliant de l’éteindre ? Je ne bronchais pas, cette situation m’excitait. Nu sous ses yeux... Quel effet pouvais-je lui faire ? Mon sexe faisait des soubresauts. Je sentais sa présence tout près de moi. Que faisait-elle ? Je me risquais d’entrouvrir légèrement les yeux. Elle était là, penchée sur mon corps, Je sentais son souffle sur mon torse. Elle me regardait. Mon cœur battait très fort. Je n’osais plus bouger. Qu’allait-il se passer ? j' espérais une caresse de sa part.
Des pensées folles me traversaient l'esprit. Je pensais :
" - Vas-y , ose !!! "
Elle posa sa main sur mon torse qu'elle caressa. J'ai fait mine de me réveiller à cet instant. Maintenant, je la regardais dans les yeux et j'ai compris qu’elle avait envie de moi ou de sexe. Elle commença à m’embrasser tendrement , partout sur le torse, dans mon cou, cherchant mes lèvres. Je la sentais très motivée. Elle était là, la sentant très excitée devant mon sexe fièrement dressé, sous son regard coquin.
Elle me fit quelques gentils baisers sur ma queue, elle l'a prit entre dans sa main après quelques mouvement très agréables et j'ai senti sa bouche sucer agréablement mon gland. Sa langue tournait au tour de ma bite . Elle commença des va-et-vient avec ses lèvres serrées sur ma hampe. J’ai eu, ce jour là, la fellation la plus jouissive que n’avais jamais eu jusqu’ à ce jour.
Elle suçait divinement bien.
Mes copines avaient encore pas mal d'apprentissage pour arriver a sa hauteur !
C’était la première fois que je la tenais dans mes bras. Cela m'a fait bizarre à cet instant mais très vite, j'ai oublié nos différences! Après avoir tant fantasmé sur elle, j’avais du mal à le croire. Elle était bien là dans mes bras contre mon corps nu. Elle sentait bon. Son parfum, je n’oublierai jamais.
J’entrepris de la caresser. j’étais tellement intimidé que j'en étais maladroit. Elle s’en était aperçu et avait pris ma main et la guida sur son corps, la passa sur ses beaux seins fermes, sur ses tétons dressés. Elle glissa son autre main vers son minou pour se caresser.
Elle ne tarda pas a attraper mon autre main pour la poser sur sa chatte et guidé par sa main me donna le rythme pour la caresser.
Elle , m'expliqua comment je devais faire :
- Oui, là, autour de mon clitoris, appuie plus fort ici, oui, c’est bon, ça va... continue ...hummm!
Elle me suppliait pour que je pénètre son sexe avec mes doigts.
j’étais fou d’excitation. Ma patronne était déchainée ! Mon sexe n'avait pas perdu de sa vigueur.
Elle me calmait en me disant :
- Pas si vite ! Fais durer !
J’étais impatient. Elle me demanda de me mettre sur le dos. Mon sexe était extrêmement tendu. Elle s’empala dessus et se mis à bouger énergiquement sur mon ventre. Elle lâcha une multitudes de petits cris suivi d'un soupire prolongé. J'ai compris qu’elle venait de jouir. Elle s’allongea sur mon torde, essoufflée. Je venais de jouir au même instant qu'elle. J’étais comblé. Je n'y croyais toujours pas que cela m'était arrivé.. avec elle, quel bonheur!
Nous avons été amants pendant trois ans, dans la plus grande discrétion. Chacune de nos rencontres étaient intenses. Elle m’a initié à tous les plaisirs. Je ne pensais pas que cette histoire entre nous aurait duré si longtemps.
Après tant de bonheur, de bons souvenirs, ça s’est mal terminé quand j’ai voulu faire un bout de chemin avec une amourette de mon âge, que je fréquentais en même temps, elle l’a très mal accepté. Elle a fait une sérieuse dépression.
Heureusement les choses se sont améliorées. J’ai quitté mon travail pour partir vers d’autres lieux.
L’amour a ses plaisirs et ses souffrances !
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