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Voyages, Nouvelles, Souvenirs, Poèmes, Digressions,

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Le Miroir

Le Miroir   Je suis un simple miroir, le complice d'une charmante femme, elle m'a découvert dans une vente aux enchères dans un vieux château. J'en suis heureux, je suis un très vieux miroir, j'ai jadis appartenu à une Reine, méchante Reine qui ne pensait qu'à son apparence..... A peine livré, me voilà dans une cave parmi de multiples objets anciens je suis recouvert d'un tissu diaphane, je la devine à travers la fine trame de l'étoffe. Mais que fait elle ? Soudain je sens le tissu qui me recouvrait, glisser avec douceur, j'en ressens un sensuel frisson.
  Face à moi se trouve une paire de cuisses grandes ouvertes, sans honte, décidées, généreuses, mais qui, pourtant, ne débordent pas d'un fauteuil en osier sur laquelle elles sont posées. Les talons sont au sol et résistent à l’envie de se lever. Quelques longs soupirs, des gémissements, et des respirations pour l’instant encore maîtrisées les y aident. Deux doigts d’une main –est-ce la droite ou la gauche ? peu importe– sont insérés dans un antre déjà très humide qui, lui, contrairement à tout ce qui se trouve à l’extérieur, ne se laisse pas voir. Le plaisir que procurent ces doigts n’est pas pour autant invisible. Formant un petit crochet, ils appuient à un endroit agréable, aussi fort qu’ils le peuvent, mais pourtant pas aussi efficacement que ceux de l’homme dont le souvenir me vient à l’instant. Deux doigts de l’autre main décrivent des ovales réguliers sur une autre partie cachée, qu’ils recouvrent et excitent, et à laquelle ils offrent l’un des touchers les plus agréables au monde. Quiconque pénétrerait au sous-sol à cet instant comprendrait immédiatement ce qui s’y passe, tout en restant perplexe sur comment on peut en arriver là, à s’exciter et se donner du plaisir au milieu de ces objets provenant des ses multiples quêtes entre châteaux et brocantes.  
  En fait, on ne voit pas grand-chose car la seule lumière est celle d'un candélabre d'où quelques bougies laissent couler la cire comme des sexes masculins excités par tant d'érotisme de ma nouvelle propriétaire. Sa tête est coupée, hors du cadre de ce grand miroir qui reflète rien que pour moi ce spectacle improvisé. Je ne devine que sa bouche qui exhale un souffle qui embue un peu mon tain… Oui, j’ai la tête ailleurs. Il manque une tête pensante dans l’image si corporelle de cette femme qui se fait plaisir. Ma tête est ailleurs, ou alors je l’ai perdue et sûrement, avec elle, une partie de mon cœur dont la résistance m’étonne.
  Sa robe en lin beige s’y reflète. Voilà qu’elle glisse à ses pieds, suivie par une culotte blanche en coton, sans dentelles. Les pieds, nus, se dégagent de ses chaussures aux talons vertigineux. Un soutien-gorge rejoint le reste des vêtements à même le tapis persan négligemment étendu sur le sol. Il n’y a qu’à déplacer le fauteuil d’un mètre pour qu’elle soit parfaitement centrée. J'aperçois en arrière plan, un sofa, un tas d’habits et des chaussures féminines , et, derrière, des peintures représentants toujours la même femme offerte et nue , et puis, au tout premier plan, un corps nu de femme déjà un peu bronzé par un été clément. Cette image-là, à elle seule, pourrait raconter tant d’histoires, tant d’épisodes. Le choix d’une pilosité présente mais maîtrisée, chaque cicatrice, chaque trace dirait son vécu et toute ceci pourrait être sujet à interprétation, sujet de longues conversations post-coïtales. La femme reflétée dans le miroir se dit soudain que ce décor de meubles entassés et ces multiples bibelots peuvent paraitre étrange. Elle se rappelle de tous les moments qu’elle y a passés avec ses amants, ses maîtresses.
  Elle s'installe dans ce fauteuil, je le découvre sur affiche de cinéma , face au miroir. Cela fait longtemps qu’elle ne s’est plus fait plaisir en se regardant en entier. Elle n’en a plus ressenti l’envie. Sûrement est-ce dû au fait que son destin l’a porté vers un homme pour être son vis-à-vis, un homme avec lequel échanger des regards, des caresses, des baisers, des fluides et des énergies…
  Un homme qui l’a faite se sentir entière : la tête était là, le sexe et tout son corps. Le cœur ? Qui pourrait le savoir ? Cela lui échappe aussi, mais désormais, elle comprend un peu mieux pourquoi il la trouve belle.
  « Miroir, mon beau miroir, dis-moi qui est la plus belle ? » - « Belle comment ? Pourquoi une question si pleine de vanité ? N’as-tu pas d’autres qualités à mettre en avant pour combler ton estime de toi ? ». Il a eu raison de le lui dire. Cela faisait longtemps, aussi, que personne ne le lui avait dit avec une telle sincérité et qu’elle n’avait pas senti autant de désir –même pas le sien propre– posé sur son corps. Elle s’assied et voit ses jambes s’écarter et ses talons se poser au sol. Son corps est reflété jusqu’au cou. Un instant, elle hésite à ajuster son miroir pour se voir elle-même, se voir entière, pouvoir soutenir son propre regard au moment de jouir, puis elle y renonce car déjà ses doigts ont trouvé leur position, leur mouvement, leur rythme. Ses talons, libres pourtant, restent au sol pour maintenir cet écartement. Elle a décidé de l’ouverture dans plusieurs domaines de sa vie. Pourquoi se fermer ? Pourquoi craindre de laisser arriver ce plaisir ? Elle commence à avoir chaud. De temps en temps, l’une des mains quitte sa tâche et s’en va soupeser l’un ou l’autre des deux seins, puis elle reprend son mouvement de pression ou de tourbillon autour d’un clitoris très réceptif. Sait-il que c’est la dernière fois qu’il est sollicité dans ce lieu souterrain ? Ce corps sait-il tout ce qui va lui arriver ?  Le temps n'est plus à la réflexion mais à l'action. Je réfléchis seul , malgré le manque de lumière, un corps qui, au bout de quelques minutes, se met à trembler et puis se cabre brièvement dans un soupir indiscret, suivi d’un éclat de rire grandiose. Oui, c’était la première fois ici avec elle, moi son nouvel objet … une réflexion excitante. J’ai encore le temps de savourer les effets de ce plaisir improvisé, et de la voir se rhabiller.
  Soudain elle semble s'adresser à ma personne.
  «  A demain mon beau miroir »

Mariveau

Mariveau

 

Une soumission soft

Ils se retrouvaient régulièrement, chez lui, chez elle, dans la nature, à la plage. Ils s'adonnaient aux plaisirs avec intensité, sensualité, volupté. Ils aimaient prendre le contrôle l'un sur l'autre et inversement, chacune de leur rencontre était un nouveau jeu. Aujourd'hui, il est son esclave.
Elle est là assise dans son fauteuil Emmanuelle, elle le regarde fixement ses jambes écartées. « AVANCE !!! me dit-elle d'un ton péremptoire « DESHABILLE TOI !!!!!!! Je m’exécute, ses ordres je l'avoue m’excite Elle le sait et fait rouler sa langue entre ses lèvres. Ma verge redouble de vigueur
 APPROCHE !!!! J'avance précédé de mon désir. « A GENOU !!!!! Me voilà à sa merci « BOUFFE MOI !!!!!! Le vêtement et les jambes s’écartent pour me laisser le passage. Ma joue frôle l’intérieur de la cuisse, d’abord le bas soyeux mais froid, puis la chair tiède et douce. J’atteinds l’aine, l’endroit où la peau est la plus souple et soyeuse. Je laisse mes lèvres s’attarder à cette place délicieuse, je respire les parfums de cette peau si délicate. Derrière l’odeur des sels de bains (rose et bois de santal ?) je sens un musc peu entêtant, une senteur animale et boisée. Le sexe est là, devant mes yeux. Les grandes lèvres ouvertes et charnues laissent partiellement découvertes les petites lèvres roses et luisantes, à demi cachées dans la fente vulvaire. Mon objectif, le clitoris montre sa tête dans son capuchon. Il est comme une petite perle nacrée et brillante. Je l’embrasse, le lèche de haut en bas, de bas en haut, de droite à gauche, de gauche à droite, vite, lentement, j’aspire, je tète en prenant entre mes lèvres et mes dents une partie des petites lèvres que je mordille… je varie le rythme et les mouvements mais n’arrête jamais. Parfois je descends jusqu’ au vagin que je lape avec ardeur, je tends ma langue au maximum pour pénétrer le plus loin possible. Le goût n’est pas désagréable, salé mais ni âcre, ni amer. Peut-être est-ce cela, "l’ umami" des Japonais? Je pourrais entrer mes doigts dans le vagin et atteindre le point G, mais elle a dit «avec la langue» alors je m’abstiens. Je reprends mon travail, ou plutôt ma dégustation du clitoris. Vite, lentement, de bas en haut, de gauche à droite… Combien de temps cela dure-t-il? Cinq, dix minutes, un quart d’heure? Plus? Je ne saurais le dire, j’ai perdu la notion du temps tellement je suis concentré sur ma tâche. Bientôt j’entends le souffle de ma maîtresse qui s’accélère, je sens le ventre qui s’agite de spasmes de plus en plus forts, les hanches qui se mettent à chalouper… je dois m’agripper aux cuisses pour ne pas être désarçonné. Soudain, deux, trois râles de plus en plus forts, la respiration saccadée… c’est l’orgasme que je recherchais. Je dois continuer, plus vite, plus fort, plus profond… À nouveau la respiration haletante, les gémissements, les mouvements désordonnés… elle arque les reins, saisit ma tête qu’elle enfonce entre ses jambes… un nouveau cri, elle se relâche. Moi je continue de plus belle, en haut, en bas, à droite à gauche, la langue enfoncée dans le vagin. Aspirer, téter… elle se crispe, dévoile sa poitrine dont elle triture les mamelons, les tire, les fait rouler… Sa respiration est de plus en plus profonde, son ventre se contracte au-dessus de ma tête, ses cuisses s’écartent et se ferment convulsivement, sous ma langue son clitoris devient rigide et j’ai l’impression qu’il grossit, puis elle pousse un grand cri, se tend comme un arc, serre ma tête entre ses cuisses comme dans un étau; je ne peux plus, ni ne désire bouger.   Elle se détend, me libère, repousse ma tête et reste alanguie, calmée; j’espère comblée. Moi aussi je reprends mon souffle et mes esprits avec la satisfaction du devoir accompli. J’attends accroupi à ses pieds ses instructions.

Mariveau

Mariveau

 

Tu me rends fou

Sur ce lit parsemé de pétales de roses,
Tu t’approches délicatement et tu ‘imposes, Le regard furtif, les mains moites, le souffle lent, le sourire illuminé,
Je me demande ce qu’il va m’arriver,
Ton regard coquin et ton mordillement de lèvres me rend fou,
Je sais maintenant ce qui va se passer tout à coup,
Tu viens chercher mon oreille,
De loin, tu sais qu’elle t’appelle,
Tes dents mordillent,
Ta langue titille,
Tes mains sur mon torse en sueur Le caressant d’une façon originale,
Révélant ton côté bestial, Tes ongles s’y enfoncent avec ardeur
tes baisers se posant sur mon visage,
Sentant ta respiration,
Je me dis que tu redeviens sage, Mais tout respire la passion
Tes dents croquent ma lèvre supérieure,
Afin de me témoigner que tu as un esprit dominateur,
Ta langue lèche la mienne, la caresse tendrement,
Je sens ce désir imminent,
Un baiser langoureux s’échange,
Nos salives ne font qu’une, un véritable mélange,
Mes mains sur tes seins,
Les palpant en restant serein,
Continuant à m’embrasser,
Mon souffle commence à augmenter,
Touchant ta peau douce,
Je ne souhaite pas que  tu me repousses,
Tu me plais beaucoup trop,
Pour penser à de tels mots,
J’ai envie de toi et tu le vois dans mes yeux,
Mais tu laisses le désir s’installer,
Afin que je souffre encore un peu,
Et que je sois encore plus excité,
Tu touches mon sexe,
Délicatement avec ton index,
Puis tu me lances ce regard si envoûtant,
Afin que tu  puisses sentir ma chaleur,
Ta langue titillant mon gland,
Tes lèvres suçant le long de ma verge,
Elle ressemble à un cierge,

Gobant mes bourses dans ta bouche,
Coups de langue par ci par là,
Moi je te touche,
De haut en bas,
Faisant des va et vient avec ta bouche,
Mon sexe chaud et humide,
Tu fais des mouvements verticaux rapides,
Je deviens de plus en plus farouche,
Tu me vois gémir de désir,
Je suis envahi par le plaisir,
Tu continues par me branler,
Je te demande de continuer,
Tu lèches ma verge de la base vers le haut lentement,
Ta langue  parcoure mon gland de doux mouvements
Passant délicatement sur mon frein,
Titillant de plus en plus rapidement,
Je ne suis plus du tout serein,
Je suis comme un fou maintenant,
Je commence à trembler,
Tu continues à me caresser,
Embrasse mes bourses,
C’est la source,
Faisant monter tes lèvres sur ma verge,
Tu aimes voir cette asperge,
Poursuivant tes va et vient dans ta bouche,
Histoire d’en remettre une couche,
Jusqu’au moment où vient ce fameux liquide,
Que tu avales avec prouesse,
D’une telle délicatesse,
Merci pour ce moment torride,
Je suis comme épuisé par ce divin effort, Mais j’en redemande encore,    

Mariveau

Mariveau

 

Entre tes jambes

A la lueur du feu crépitant dans l’âtre, je vais à ta découverte, Regard incessants, envoûtés et troublés, Iront  découvrir et effleurer ton intimité, Tes jambes longues et fuselées, restent entrouvertes.
Couverte de baisers au contact de mes lèvres, Mes caresses légères et empressées viennent agrémenter, Ta douce et troublante  toison parfumée D’une saveur naturelle, qui me donne la fièvre.
J’aime à explorer ton  sublime corps De la courbe de tes seins à tes cuisses féminines, Mes lèvres te frôlent et mes mains qui s’animent, Tel est chère gourmande, le début du décor.
Doucement mes lèvres s’immobilisent entre tes jambes, Pour embrasser  et lécher le contour de ton sexe A l’écoute de ton plaisir tel est mon réflexe, Tu t'abandonnes à moi et de plaisirs tu en trembles.
Je place mes mains sous tes fesses, pour sentir tes mouvements, Tu te mets à onduler, et ma langue flatte tes grandes lèvres Je sens monter une  douce chaleur, et tel un orfèvre Je découvre dans son écrin un éblouissant gisement.
  Caressant de ma bouche ton délicat appendice Je viens étancher ma soif de ta liqueur érotique Ce n’est point une sensation onirique Que de sucer ton sublime clitoris   Nourris moi mon Amour de cette envie tentatrice Donne-moi mon Amour l’ivresse De ce nectar qui coule entre tes sublimes fesses Me transportant dans un vertigineux délice   Immisçant doucement  mes doigts entre tes cuisses Tu m’ouvres tes lèvres humides A ma bouche  à la langue avide  De ce tentant  et  envoûtant orifice   Ma langue fébrile se fait alors dard Et te pénètre doucement Libérant en toi de doux gémissements En ton calice ma langue s’égare   Je ne veux perdre aucunes gouttes de ta liqueur érotique Qui telle la fontaine de jouvence Me donne vigueur et jouissance Plaisirs  intenses puissants et  uniques   Nos corps enflammés s’appellent Nos corps se font complices Mon désir tendu en toi s’immisce Nos langues à présent s’emmêlent   Faisons l'amour Je t'aime    

Mariveau

Mariveau

 

Réveil gourmand

Les rayons du soleil matinal pénètrent par la fenêtre Réchauffant nos corps endormis étroitement mêlés Leurs chaleurs réveillent lentement nos êtres Rappelant nos caresses, nos désirs, nos étreintes endiablées   Ma main s’anime et glisse sur ton ventre frémissant Pour se frayer un chemin vers ton antre qui palpite Tu t’abandonnes déjà à mes caresses, à mon désir brûlant Véritable brasier, j’atteins ton humide pépite   Contre ton corps rayonnant des étreintes de la nuit Je frotte mon membre dressé par le désir Ton corps frémit, tu te cambres, offrant à mon envie ton doux fruit Mes doigts vagabondent vers ta vallée des plaisirs   Nos bouches se cherchent, se trouvent, s’unissent Nos langues se mêlent ne cessant de danser L’un contre l’autre nos corps frémissant glissent Tu abandonnes ma bouche, tes lèvres parcourent mon corps abandonné   Te voilà accroupie au pied du lit, comme en prière devant mon érection D’une main habile et douce tu caresses mes bourses avec volupté De l’autre tu me décalottes et sur ta joue tu frottes avec passion La peau fine et tendue de mon sexe mis à nu aux veines gonflées   Maintenant tu joues de ta langue agile Le long de ma hampe tendue et fébrile Tes lèvres lisses sur ma verge coulissent Tes vas et viens sur mon pieu en feu, indicible plaisir     Ta salive humecte, mon gland turgescent Plaisir si puissant, indescriptibles sensations Je m’abandonne en râles et gémissements De jouir me tente sous le rythme de tes succions   J’essaye de garder l’ascendant et le contrôle La fièvre me traverse de part en part Mais toi animale de mon vit tu t’empares Tu me rends fou de plaisir, de ta bouche je raffole   Mon ventre se creuse, mes reins se cambrent Je ne peux juguler ma jouissance, je ne peux plus attendre Tu sens ma verge tremblante se tendre Tu la retiens pour sentir dans ta bouche ma sève se répandre   Je cris, je jouis, faiblesse d’amour Je coule en toi mon écume, nectar nacré A ton doux palais sur ta langue de velours J’essaime ma semence, que tu savoures avec volupté   Jusqu’à la dernière goutte, tu te délectes avec avidité Tes yeux coquins et lascifs me regardent avec désir Tu approches tes douces lèvres de ma bouche et tu viens m’embrasser Réanimant ma lance sur laquelle tu viens gémissante  t’empaler  et jouir

Mariveau

Mariveau

 

Dimanche enfin je te retrouve et je ne repars plus

Cela fait deux semaines que je t’ai quitté, lourdes semaines que ces dernières passées avant cet attendu divorce. Dimanche je vais te retrouver dans notre petit amour, toi ma maîtresse, moi ton amant. C’est toujours avec impatience que cette semaine s’achève. Je te retrouve Christine. Tu as mis sa longue robe moulante qui dessine tes formes. Est-ce par hasard ? Rapidement je me colle à toi pendant que nous échangeons un long baiser. Je goutte tes lèvres. Nos langues se touchent timidement. C’est à chaque fois des sensations uniques ! Mes mains remontent sur tes fesses rebondies, sur tes reins, et je ressens déjà mon sexe qui pointe, cherchant une place entre nos deux corps soudés. Mais cet avant-goût du plaisir s’interrompt rapidement, tu m’annonces que tu dois faire quelques courses si nous voulons manger ce soir, et je dois déballer mes valises. À ton retour du village, je ne cesse de t’admirer, de découvrir la forme de tes seins qui soulèvent le tissu de ta robe, et j’essaye de deviner la place de tes tétons aux petits renflements qui se dessinent sous le tissu. J’en profite pour les envelopper de mes mains quand tu veux bien rester sans bouger quelques instants. Nous partageons les nouvelles que nous n’avons pas pu échanger lors de nos fréquentes conversations téléphoniques. La soirée se déroule, ponctuée de caresses et baisers furtifs. Mais la fatigue de la semaine ne tarde pas à se faire sentir et nous décidons donc de rejoindre notre chambre avec le plaisir de savourer le long week-end qui nous attend. Je me glisse dans les draps frais après une bonne douche et tu me rejoins rapidement avec ton air coquin. Je t’attire sans attendre contre moi et défais délicatement la ceinture de ton peignoir que tu as pris la peine de conserver. Aussitôt, j’aperçois entre les deux pans de tissu ton ventre si doux, la naissance de tes seins et ton pubis où se dessine une petite bande noire. J’ose une première caresse et découvre plus largement tes seins. Tiens, ils pointent déjà ! J’observe tes tétons qui se détachent clairement de tes aréoles brunes. Ils te trahissent toujours en passant rapidement d’une totale discrétion digne d’une jeune fille encore vierge à deux pointes tendues et arrogantes. Les effluves de ton corps atteignent mes narines et je prends égoïstement une grande inspiration pour m’enivrer de cette odeur féminine. Je dégage totalement ton peignoir, tu es maintenant totalement nue sur le lit, offrant ton corps à mon regard. Ma fatigue a disparu, et je me lance dans une série de baisers sur l’ensemble de ton corps. Ta peau est si délicieuse, si chaude. Chaque partie de ton anatomie a une douceur particulière sous mes lèvres. Dès que je me rapproche de tes seins, tu ne peux retenir ses premiers gémissements. Je passe ma langue sur tes aréoles puis je titille tes tétons. Enfin je tète tes petits bouts en les mordillant gentiment à la base. L’effet ne se fait pas attendre, tu commences à perdre le contrôle de ton corps, ton bassin se met à onduler, tes reins se creusent et tes gémissements de plus en plus forts traduisent ton état d’excitation. Mon sexe se frotte sur ta cuisse et n’a pas besoin de plus de caresses pour atteindre sa tension maximale, les soupirs et autres cris de plaisir sont pour moi aussi excitants que toutes les caresses possibles. Ne nous précipitons pas, nous avons la nuit devant nous ! Soudain, tu ouvres largement tes cuisses et m’offre ta chatte. Aujourd’hui ce n’est pas avec les doigts mais avec ma bouche et ma langue que je souhaite l’honorer. Je pars donc à sa découverte. Ma langue cherche le sillon qui la conduira à la pointe du clitoris en écartant les petites lèvres. Je remonte ainsi doucement entres tes lèvres en essayant de débusquer le petit bouton magique. Tu bascules légèrement tes reins, écarte tes lèvres et m’offre un tableau parfait de ton sexe totalement ouvert prolongé par sa rosette. Je plonge mon visage dans cette caverne, mon nez fait office d’un sex-toy sur ton clitoris, lui donnant de petits coups pendant que ma langue profite de la cyprine qui ne cesse de couler. Un petit moment de répit pour dévorer simplement avec les yeux une nouvelle fois ton sexe, et je retourne profiter de ton intimité qui s’offre à moi. Je viens lécher les bords de ton vagin au plus profond de cet antre plus qu’humide. Je n’ai pas oublié ta rosette, aussi je la retourne comme une crêpe et décide de mordre à pleines dents tes belles fesses. Je suis étonné que tu supportes mes morsures sans m’ordonner d’arrêter immédiatement. Je me rapproche de ton sillon et ma langue commence des va-et-vient à la naissance de tes deux globes. Mais je ne peux pas attendre plus longtemps et j’écarte franchement tes deux fesses pour découvrir son petit trou. Tu pousses un « non » timide, semble t’offusquer de cette initiative mais me laisses me précipiter sur ton trésor. Ma langue contourne ta rosette puis se présente au centre de ton anus. Je sens alors ta rosette se contracter puis s’ouvrir puis se contracter à nouveau comme si elle me faisait des baisers. J’essaye de rentrer ma langue au plus profond dans ton trou, mais elle est définitivement moins raide et moins longue que mon sexe et ma pénétration se limite sans doute à quelques millimètres, dommage. Je sens que ta jouissance se rapproche, ton bassin s’agite et tu pousses de petits cris. Ces baisers osés ont aussi eu un effet très stimulant sur ma propre excitation et mon sexe se rapproche de l’orgasme. Nous voulons jouir ensemble, mon sexe au plus profond de ton minou dans cet acte de communion. Tu te mets sur le dos et m’accueille entre tes cuisses. Tu diriges rapidement mon sexe à l’entrée de ton vagin et je rentre doucement dans cet étui chaud. Je ne peux attendre longtemps immobile dans cette caverne d’Ali Baba et commence des va-et-vient, cherchant à chaque fois à rentrer encore plus profond ou bien juste à rester à l’orée de ton sexe pour des aller-retour rapides, tout en faisant attention de ne pas sortir de cet étui chaud. Tu accompagnes le rythme en appuyant sur mes fesses d’une main et en ondulant des hanches. Je masturbe ton clitoris qui est devenu presque aussi dur qu’un noyau de cerise et roule sous mes doigts. Tout en continuant je te demande de te caresser le clito, tes doigts rejoignent les miens. Tes soupirs s’accélèrent, tes gémissements s’intensifient. Je sens mon orgasme venir et à partir de ce moment-là, j’ai du mal à contrôler ce qui va se passer. Ce ne sont plus des gémissements que tu pousses, mais des cris de jouissance, des cris puissants qui se répètent au rythme de mes poussées. De mon côté, je sens ma sève monter et le même orgasme m’envahir. Ton orgasme atteint son paroxysme et se prolonge, tu me demandes d’aller au plus profond de toi. Je sens ma sève brûlante monter et se déverser dans ton sexe. C’est si bon ! Nous restons ainsi de longues minutes, l’un dans l’autre prolongeant cette union. Combien de temps avons-nous passé ainsi, je ne saurais le dire. Mon sexe a repris une plus petite taille et ma sève commence à déborder de ton vagin, tu t’échappes de mon emprise et trotte jusqu’à la salle de bain pour nettoyer le sperme qui coule de ta chatte. Après ce moment merveilleux nous nous endormons soudés l’un à l’autre, tes seins contre mon dos et ta main caressant doucement mon sexe.

Mariveau

Mariveau

 

Un rêve

Nue sur la grève Je regarde tes seins qui se soulèvent Tu appelles en toi mon glaive Je te fais l'amour sans trêve Tes cris de jouissance s'élèvent Intense moment de rêve Lorsque en toi se répand ma sève Mes déjà le petit jour se lève Et à toi, il m'enlève Toi ma belle Eve

Mariveau

Mariveau

 

Mémoires de canapé

Mémoire de canapé Il est une mode actuellement venant des Etats Unis qui s’attache à réunir les anciens élèves de lycée. Eh bien pour ma part je n’y coupe pas. Mais pour moi ceci est un peu différent, avec mes condisciples nous nous réunissons régulièrement pour raconter nos aventures. Mais j’oublie toutes politesses, ne m’étant pas présenté à vous, moi je suis le canapé… Oui un meuble de salon, avec mes amis la douche, le transat, nous nous sommes rencontrés chez « Tous pour la maison et pas queue ». Nous avons eu la chance d’être devenus propriétés de superbes femmes aux vies érotiques très débridées. Nous avons donc décidé de nous réunir autant de fois que possible pour nous raconter nos vies. (Souvenir d’un transat, confidence d’une douche, les mémoires d’un tabouret) Donc c’est mon tour de raconter un épisode de ma vie de canapé de cuir. Ma propriétaire est une superbe femme, certain diront libertine, elle collectionne les aventures avec les femmes comme avec les hommes. Elle a un corps souple, des seins lourds et altiers aux larges aréoles sombres. Des hanches divines des fesses sublimes. Quel plaisir de les sentir se poser nues sur mon cuir. Oui mes lattes, mes ressorts, mon cuir bandent pour elle. Son corps sensuel est dédié au sexe. Je frissonne encore en pensant à sa dernière conquête, une charmante jeune femme d’une trentaine d’années, qui a passé un petit moi avec nous. Quel délice de sentir sur ma peau couler leurs cyprines mêlées lorsqu’elles unissaient leur sexe brûlant de désir. Mais revenons à la dernière aventure avec son nouvel amant. Elle s'installe sur le canapé, allongée sur le côté, tournée vers lui. Un coussin glissé entre son dos et l'accoudoir lui cale les reins. Elle a pris soin au préalable de retirer son string déjà tout humide à l'idée de ce qui l'attend. Il est vrai qu’elle a passé une bonne partie de l’après midi au téléphone avec lui, se masturbant et multipliant les orgasmes. Elle remonte lentement sa robe sur le haut de ses cuisses, ses genoux à demi repliés et ses jambes écartées laissent clairement voir son intimité, presque offerte. Son regard est taquin et malicieux, il est même prometteur, elle glisse doucement un doigt entre ses lèvres humides, elle le suce, le mouille bien et le dépose doucement mais fermement sur son bouton. Commence alors de douces caresses en regardant son amant droit dans les yeux. Il est assis en face d’elle dans le tiers restant du canapé. Il a posé sa main droite sur la cambrure excessive de son pied gauche, il le caresse doucement de bas en haut. Arrivé aux orteils, il remonte doucement et elle se cale sur son rythme pour ses caresses. Elle a maintenant deux doigts posés sur son sexe entièrement rasé, l'un titillant son petit clito affamé, l'autre se faisant tranquillement un chemin entre ses petites lèvres, doucement, calmement. Toujours le regard plongé dans celui de son amant, son autre main se fait un plaisir de venir sensuellement se saisir de son sein droit, c'est le plus sensible des deux. Cette main le maltraite un peu, mais il est déjà si dur et si tendu que c'est presque superflu, elle dessine quelques ronds autour de lui. Son corps se cambre sous ses propres caresses, sa main descend ensuite tout doucement, caressant ses côtes, toujours côté droit. Passant sur son ventre et sa taille pour enfin trouver, mais éviter, son sexe. Préférant aller se glisser à l'intérieur de sa cuisse, remontant doucement vers son genou. Complice par fourniture de moyen, moi son canapé, j'en frémis de plus en plus. Elle ressent tout un tas de sensations qu’elle semble à avoir du mal à gérer, elles sont si présentes toutes en même temps, c'est très grisant. Son pied, très agile, vient tout délicatement faire pression sur le jean de son amant. La main gauche de ma maitresse n'a pas oublié ce qu'elle faisait et elle continue à se caresser sensuellement le clitoris. L'autre, toujours à l'intérieur de sa cuisse remonte vers son sein. Je sens mes lattes fondre, chavirer et mes coussins frissonnent. Le désir et le plaisir monte de plus en plus, elle le sent au creux de son ventre. Elle aime cette attente qu’elle se fait subir. Cela l'excite d'attendre au maximum sous le regard affamé, de cet homme. Son premier orgasme en sera d'autant plus fort. Sa main sur son sein se fait de plus en plus pressante, ses doigts commencent à fouiller avec gourmandise son sexe trempé et palpitant d'attente. Elle ne tiendra sans doute plus très longtemps. Son pied qui n'a pas cessé de caresser le sexe viril ; Interdiction de toucher, pour le moment seulement... C'est elle qui décide et il n’a pas d'autres choix que celui de la détailler alors qu’elle se caresse avec volupté. J’aimerai être à la place de cet homme, la pénétrer avec force et douceur. J’aime quand elle se caresse le soir, seule. Je reconnais ce regard d’envie de désir. Si elle savait. Je m’imagine, la main agile qui la caresse le désir montant encore d'un cran, mes sens sont tous en alerte, la tête me tourne un peu. Mes pensées s'égarent un instant lorsque sa seconde main vient rejoindre la première au creux de son sexe humide. Sa main gauche commence un petit va-et-vient sur son petit bouton gonflé et y exerce une douce pression, son autre main et ses doigts se pressent sur l'entrée très humide de son sexe, doucement, très lentement ils se fraient un chemin. Chemin qui va la mener au plaisir, d'abord un... puis deux, puis c'est maintenant trois de ses doigts qui la pénètrent. Elle aime tant cela, ses doigts, tout petits doigts, trop petits doigts qui la branlent avec force et douceur, elle se connait par cœur. Les points les plus sensibles, les gestes les plus jouissifs sont pour elle si facile à atteindre. Le plaisir a une saveur, des saveurs si particulières en solitaire qu’elle aime découvrir, encore et toujours toutes les facettes de ses différents types d'orgasmes. Elle part à la découverte d’elle-même, à la découverte de ses plaisirs, chaque fois un peu nouveaux de part les sensations, sans cesse différents et toujours enivrants. Elle s'autorise toutes les pensées qu’elle veut quand elle seule ainsi, mais là, sous le regard gourmand et plein d'une impatience indécente, c'est lui qui attise le feu de son corps, ce sont ses yeux qui guident ses mains, ses envies qui lui donnent vie, c'est lui qui lui inspire tout cela. Hélas je ne suis que spectateur et pas auteur…… Elle l’autorise maintenant à la toucher, la caresser, elle partage son corps brûlant avec lui. Il décide de reprendre possession de ma maitresse. Elle se laisse emporter par ses va-et-vient, ils lui procurent un plaisir inouï, ils la chavirent. Ils ne font plus qu'un, fusion parfaite, son corps se cambre sous ses assauts, chacun de ses mouvements, chaque vibration de sa verge est ressenti par son corps tout entier. Elle gémit, presque en silence, son souffle se fait court, le plaisir monte. Elle ressent comme une douce tension, imaginaire certes mais si plaisante, le plaisir se répand en elle, son bas-ventre, ses lèvres ouvertes, offertes et pénétrées. Il descend entre ses fesses qui frissonnent, frustrées d'avoir été abandonnées... Le plaisir la chavire. Il n’y tient plus et pourtant il a encore bien d'autres envies à l'esprit, ne pas jouir déjà, mais la faire jouir. Il l'abandonne quelques secondes, laissant son corps se reprendre et se reposer l'espace d'un instant. Il la laisse désireuse, mais si peu de temps que sentir ses doigts à nouveau sur elle, en elle. Elle est indescriptible la sensation, Sa langue a décidé de protéger son clitoris gonflé du contact de ses petits doigts. Sa langue joue et l'aspire, de sa main gauche elle le caresse. Elle le sent déjà durcir à nouveau sous ses doigts agiles, elle prend mon temps, désirant maintenir la pression. Deux doigts gourmands la pénètrent, ils vont avoir raison d’elle... Le cerveau de ma maitresse se libère et savoure, sa main 'abandonne, une première vague de plaisir l'emporte, mon corps s'agite et suit les longues saccades de son plaisir. Les mouvements de son amant suivent son plaisir silencieux, fait de râles et de gémissements, elle se mord les lèvres, très fort, sans doute presque jusqu'au sang, Elle aime jouir en silence. Pourtant, là, ses gémissements sont sans doute en train de bercer le salon d'une complainte adorable, à rendre jaloux celui qui entend, son plaisir ne peut pas passer inaperçu, même si elle se croit silencieuse. Mais oui je l’entends et j’enrage ce soir je ne veux plus être un acteur silencieux, un voyeur, être son canapé pais être son amant. La langue de cet homme a quitté son clitoris et à présent il la regarde, ses doigts toujours en elle alors que les contractions de son vagin s'espacent. Il lui laisse quelques secondes de répit, sa respiration va reprendre son court normal. Le désir est toujours là, bien présent, elle a envie de s'occuper de lui, qu’il soit à elle, sa "chose" celle qui n'aura d'autre choix que de se plier à ses envies et subir ses doux supplices.... ...Il ne l'entend pas de la même façon et il la fait mettre à genoux devant lui, il promène sur sa hampe tendue entre ses lèvres trempées de son nectar. Il la pénètre d'un coup, jusqu'à la garde. Commencent alors de longs va-et-vient qui s'accélèrent de plus en plus ; elle sent sa hampe puissante prête à jouir en elle, son orgasme est proche. Elle s'abandonne entièrement, le plaisir la terrasse, elle est au bord de l'orgasme, sensation ô combien merveilleuse, pour elle. Ses muscles se contractent sous ses assauts. Son souffle se fait court, le plaisir monte et il fait tendrement durer ce supplice qu’elle adore, elle se sent prête à exploser. La tête lui tourne quelques instants, elle est ailleurs, moi aussi…. Ses pensées se bousculent, s'entrechoquent et se mêlent avec plaisir, un orgasme merveilleux la traverse toute entière, il jouit à son tour, son râle de plaisir la comble alors que sa semence se répand en elle. Leurs orgasmes furent violents, puissants, passionnés. Mes coussins en sont tous retournés, le tapis devant moi me regarde à la fois goguenard de me voir dans cet état, mais aussi jaloux. Par pour longtemps d’ailleurs car les voilà à nouveau enlacés sur lui reprenant leurs ébats érotiques. Voilà les amis, ce que je vis régulièrement. La douche, le tabouret et le transat applaudissent. Et d’entendre la petite voix coquine et libertine de la douche proposer…… « On se fait un plan à quatre quand les gars………. »

Mariveau

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Ton alphabet

A comme une si belle amante B comme ta beauté C comme les caresses que je te prodigue D car tu es ma déesse E comme enchanteresse F comme la force que tu as en toi G comme tu es gourmande de la vie H comme un petit hôtel d’Argentan I comme l’incendie que tu as déclenché dans mon cœur J comme Je t’aime K comme K.t L comme tu es libertine M comme tu es merveilleuse N comme j’ai quand tu es si belle quand quand tu te vêts de ta nudité O comme tes merveilleux orgasmes P comme le plaisir que tu me donnes Q comme quand je te ressens à chaque instant R comme ton romantisme S comme ta sensualité T comme Troublante est ta beauté U comme une nuit avec toi V comme la vie qui coule dans tes veines W comme le wagon lit qu’on occupera quand je t’amènerai dans l’Orient-Express X comme XXXL est mon amour pour toi Y comme j’aime me noyer dans tes yeux Z comme le zénith de ton soleil qui m’illumine

Mariveau

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Réveillon infidèle de la St Sylvestre 2002 au Sofitel de Vienne

Décembre 2002, Sarajevo Je suis convoqué à l’Etat-major de la Force de Police Internationale de l’ONU, le mandant prend fin le 31 décembre. Mon temps de service se termine, mais je dois rester plus longtemps pour faire le point avec la nouvelle mission européenne de police en Bosnie. Je suis déçu il me tardait de rentrer chez moi. Toutefois on m’accorde une permission à passer à Vienne, magnifique capitale de l’Autriche. Me voilà donc le 30 décembre 2002 à l’aéroport de Vienne, l’ONU fait bien les choses, une voiture me conduit à l’hôtel Sofitel où une chambre m’a été réservée. Pour me faire passer la pilule, on m’a accordé une semaine tous frais payés. Me voilà dans une chambre spacieuse, décorée délicieusement, mais après ce que j’ai vu là-bas et je que j’ai vécu dans mon esprit et ma chair, j’en ai cure. Durant le séjour j’ai entretenu une relation, avec une jeune médecin légiste américaine, ce n’était pas au début un désir de sexe, mais simplement un moyen à nous deux d’expulser les horreurs que nous avions partagées. Puis c’était devenu une envie de plaisirs partagés. Depuis quelques semaines nous nous étions plus vu, chacun de notre côté nous avions nos missions et je n’avais pas eu le temps de la prévenir avant mon départ. Je n’ai pas goût à sortir et je passe une partie de l’après-midi du 31 à me détendre dans le spa de l’hôtel, ne goûtant point mon plaisir à regarder de superbes femmes. En cette saison la nuit tombe vite et j’admire la capitale autrichienne sous la neige et les lumières de la nuit. Le matin j’ai fait les boutiques pour mes enfants et ma femme tout de même et pour moi pour être potable au restaurant de l’hôtel, vu la tronche de déterrée que j’avais. Je m’installe au bar, attendant de rejoindre le restaurant au sommet. Je sirote sans plaisir un Bourbon. Une femme entre, c’est Claudia. Elle me regarde avec un sourire malicieux. Je retrouve ma compagne de guerre et de plaisir. Elle a mis sa longue robe moulante qui dessine ses formes. Est-ce par hasard ? « Que fais-tu là » lui dis je « J’ai appris que tu étais à Vienne et avant de rentrer à Atlanta, j’ai fait un détour pour ne pas passer seul le réveillon » Rapidement je me colle à elle pendant que nous échangeons un long baiser. Je goutte ses lèvres. Nos langues se touchent timidement. C’est à chaque fois des sensations uniques ! Mes mains remontent sur ses fesses fermes, sur ses reins, et je ressens déjà mon sexe qui pointe, cherchant une place entre nos deux corps soudés. Mais cet avant-goût du plaisir s’interrompt rapidement car on nous regarde. Je commande pour elle une vodka martini, elle adore. Puis après avoir échangé des banalités nous nous dirigeons vers la salle de restaurant. Je ne cesse de l’admirer, de découvrir la forme de ses seins qui soulèvent le tissu de sa robe, et j’essaye de deviner la place de ses tétons aux petits renflements qui se dessinent sous le tissu. Le repas est délicieux, elle profite avec son pied déchaussé de jouer avec mon entrejambe, provoquant de sublimes raideurs. Sa langue roule sensuellement entre ses lèvres à chaque gorgée de champagne. Nous sommes grisés. Nous dansons une partie de la soirée, nos corps, nos lèvres s’effleurent, se touchent, nous frissonnons d’envies et de désirs. Nous rejoignons ma chambre, Claudia en arrivant ce soir c’est fait passer pour ma compagne et s’est installé pour la semaine. A peine entré, je l’attire sans attendre contre moi et défais délicatement la ceinture de sonde sa robe que je laisse glisser le long de son corps. Comme je le devinais elle ne porte rien en dessous. Aussitôt, j’aperçois son ventre plat, la naissance de ses seins et son pubis où se dessine une petite bande noire. J’ose une première caresse et découvre plus largement ses seins. Ils pointent déjà ! J’observe ses tétons qui se détachent clairement de ses aréoles brunes. Ils la trahissent toujours en passant rapidement d’une totale discrétion digne d’une jeune fille encore vierge à deux pointes tendues et arrogantes. Les effluves de son corps atteignent mes narines et je prends égoïstement une grande inspiration pour m’enivrer de cette odeur féminine. Je dégage totalement sa robe, Claudia est maintenant totalement nue sur le lit, offrant son corps à mon regard. Je me lance dans une série de baisers sur l’ensemble de son corps. Sa peau est délicieuse, chaude. Chaque partie de son anatomie a une douceur particulière sous mes lèvres. Dès que je me rapproche de ses seins, Claudia ne peut retenir ses premiers gémissements. Je passe ma langue sur ses aréoles puis je titille ses tétons. Enfin je tète ses petits bouts en les mordillant gentiment à la base. L’effet ne se fait pas attendre, elle commence à perdre le contrôle de son corps, son bassin se met à onduler, ses reins se creusent et ses gémissements de plus en plus forts traduisent son état d’excitation. Mon sexe se frotte sur sa cuisse et n’a pas besoin de plus de caresses pour atteindre sa tension maximale, les soupirs et autres cris de plaisir sont pour moi aussi excitants que toutes les caresses possibles. Ne nous précipitons pas, nous avons la nuit devant nous ! Soudain, Claudia écarte largement ses cuisses et m’offre sa chatte. Aujourd’hui ce n’est pas avec les doigts mais avec ma bouche et ma langue que je souhaite l’honorer. Je pars donc à sa découverte. Ma langue cherche le sillon qui la conduira à la pointe du clitoris en écartant les petites lèvres. Je remonte ainsi doucement entres ses lèvres en essayant de débusquer le petit bouton magique. Elle bascule légèrement ses reins, écarte ses lèvres et m’offre un tableau parfait de son sexe totalement ouvert prolongé par sa rosette. Je plonge mon visage dans cette caverne, mon nez fait office d’un sex-toy sur son clitoris, lui donnant de petits coups pendant que ma langue profite de la cyprine qui ne cesse de couler. Un petit moment de répit pour dévorer simplement avec les yeux une nouvelle fois son sexe, et je retourne profiter de son intimité qui s’offre à moi. Je viens lécher les bords de son vagin au plus profond de cet antre plus qu’humide. Je n’ai pas oublié sa rose , aussi je la retourne et décide de mordre à pleines dents ses belles fesses. Je suis étonné qu’elle supporte mes morsures sans m’ordonner d’arrêter immédiatement. Je me rapproche de son sillon et ma langue commence des va-et-vient à la naissance de ses deux globes. Mais je ne peux pas attendre plus longtemps et j’écarte franchement ses deux fesses pour découvrir son petit trou. Claudia pousse un « non » timide, semble s’offusquer de cette initiative mais me laisse me précipiter sur son trésor. Ma langue contourne sa rose puis se présente à la porte de Sodome. Je sens alors sa fleur se contracter puis s’ouvrir puis se contracter à nouveau comme si elle me faisait des baisers. J’essaye de rentrer ma langue au plus profond dans son antre elle est définitivement moins raide et moins longue que mon sexe et ma pénétration se limite sans doute à quelques millimètres, dommage. Je sens que sa jouissance se rapproche, son bassin s’agite et Claudia pousse de petits cris. Ces baisers osés ont aussi eu un effet très stimulant sur ma propre excitation et mon sexe se rapproche de l’orgasme. Nous voulons jouir ensemble, mon sexe au plus profond de son sexe dans cet acte de communion. Elle se met sur le dos et m’accueille entre ses cuisses. Elle dirige rapidement mon sexe à l’entrée de son vagin et je rentre doucement dans cet étui chaud. Je ne peux attendre longtemps immobile dans cette caverne d’Ali Baba et commence des va-et-vient, cherchant à chaque fois à rentrer encore plus profond ou bien juste à rester à l’orée de son sexe pour des aller-retour rapides, tout en faisant attention de ne pas sortir de cet étui chaud. Mon amour accompagne le rythme en appuyant sur mes fesses d’une main et en ondulant des hanches. Je masturbe son clitoris qui est devenu presque aussi dur qu’un noyau de cerise et roule sous mes doigts. Tout en continuant je lui demande de se caresser elle-même le clito, ses doigts rejoignent les miens. Ses soupirs s’accélèrent, ses gémissements s’intensifient. Je sens mon orgasme venir et à partir de ce moment-là, j’ai du mal à contrôler ce qui va se passer. Ce ne sont plus des gémissements que Nathalie pousse, mais des cris de jouissance, des cris puissants qui se répètent au rythme de mes poussées. De mon côté, je sens ma sève monter et le même orgasme m’envahir. Son orgasme atteint son paroxysme et se prolonge, elle me demande d’aller au plus profond d’elle-même. Je sens ma sève brûlante monter et se déverser dans son sexe. Quel délice ! Nous restons ainsi de longues minutes, l’un dans l’autre. Je me demande toujours comment elle peut rester ainsi avec tout mon poids sur elle, mais elle me demande de prolonger cette union. Combien de temps avons-nous passé ainsi, je ne saurais le dire. Mon sexe a repris une plus petite taille et ma sève commence à déborder de son vagin, Claudia s’échappe de mon emprise et trotte jusqu’à la salle de bain pour nettoyer le sperme qui coule de sa chatte. Je reste allongé sur le lit, rêveur écoutant le bruit de l’eau et percevant des gémissements, je la devine se caressant sous la douche. Elle revient ... Malgré le fait de bien la connaître, je suis comme un homme rencontrant pour la première fois une femme. Elle est belle. La simple vue de son corps dans la noirceur de la chambre embrase mon esprit. Nous semblons suspendus l’un à l’autre. Je fais le premier pas vers elle. Ma main vient à la rencontre de la sienne. Je la saisis doucement mais fermement, comme si j’avais peur de m’éloigner de nouveau d’elle alors que je viens à peine de la retrouver. Sa main est douce, mes doigts croisent les siens, c’est chaud et agréable. Elle semble faire passer toute sa sensualité dans ce croisement de doigts et je le ressens. Ma peau s’électrise et mes poils se hérissent. Ma deuxième main vient à la rencontre de son bras. Je le découvre nu, je te caresse la peau. Je retrouve ce contact si sensuel de sa peau. La chaleur qui s’échappe de sa peau m’invite à me rapprocher à nouveau d’elle. Mes doigts ont appris à connaître chaque recoin d’elle : cette peau douce est comme une route pour mes doigts, je retrouve ce joli grain de beauté qu’elle a en haut de son épaule gauche, cette même réaction quand je passe ma main sur le bord de son aisselle. Cela la chatouille mais elle se contient pour ne pas briser ce moment ô combien sensuel. Ses cheveux me semblent plus longs, les pointes touchent ses épaules. Je m’amuse à passer la main entre ses mèches. Une main s’échappe et vient couvrir son sein droit. Je ressens ton souffle qui semble s’accélérer. Son sein semble dessiné pour accueillir ma main. Ou peut-être est-ce le contraire. Sa peau se contracte en réponse à ce contact. Ma main se fait douce sur ce sein. J’aime passer mon pouce sur son téton. Je le sens grandir et durcir au fur et à mesure de mes tendres passages. Jaloux, son sein gauche appelle ma main gauche. Me voilà en train de lui caresser les seins. Je redécouvre cette partie de son corps que j’ai adorée dès notre première étreinte au combien puissant après cette épreuve là-bas. En même temps que je la caresse, je cherche son regard. Mais sa tête est baissée. Ses yeux sont rivés sur mes mains la caressant. Elle semble vivre ce moment aussi bien par le toucher que par la vue. Cela m’émeut. Vient enfin le moment tant attendu où mes lèvres se retrouvent inexorablement attirées par les siennes. Je n’en peux plus, j’ai besoin de l’embrasser, ça devient vital. Je me rapproche d’elle. Mes mains quittent à regret ses seins pour venir attraper sensuellement ses hanches. Je l’attire à moi comme ses mains sur ma nuque m’attirent à elle. La connexion entre nos bouches se fait et le feu d’artifice opère. Retrouver cette langue, ce contact excite tout mon corps et mon esprit. J’entends sa respiration accélérer, son souffle caresse mes joues, ses cheveux chatouillent sans le faire exprès mon cou. Je me rapproche d’elle. Mon sexe vient toucher son ventre. Sa main vient tout de suite à sa rencontre. Je suis tendu au maximum et de sentir Sa main sur mon sexe ne fait qu’augmenter mon excitation. Mes mains viennent retrouver ses fesses. Elle les as rebondies et très douces. Nos baisers reprennent mais avec plus de vigueur. Un côté bestial s’invite en nous. Elle commence à me masturber plus rapidement. Moi je viens embrasser tout son corps : son cou, ses épaules, ses oreilles, ses seins. Je suce ses tétons. Ils sont durs et ma langue s’amuse à les titiller. Ma main droite descend sur son corps. Je retrouve rapidement la route vers son intimité. Je devine quelques poils sur ton mont de Vénus. Plus je m’en rapproche, plus je ressens une chaleur qui se dégage d’elle. Mes doigts retrouvent là un sexe humide, ouvert encore empli de ma semence. Elle est excitée, mon index glisse sur ses lèvres. La sensation si particulière de caresser sa chatte me transporte. Je retrouve ce réflexe de passer mon doigt sur tout le long de son sexe, quasiment jusqu’à son petit trou, pour remonter directement vers son clitoris. Je m’amuse avec lui. Claudia est très excitée. Ses allers-retours sur mon sexe sont de plus en plus rapides et cela me procure un plaisir énorme. Mais je veux profiter de cette soirée le plus longtemps possible. Si je la laisse continuer, je vais jouir rapidement, trop rapidement. Alors je me retire du fourreau de sa main pour la prendre par les épaules. Je la recule vers le lit. Elle comprend ce que je recherche et elle s’y allonge. Elle sait ce que je veux et, toujours sans aucun mot, mais avec son regard dans le mien, elle écarte doucement les jambes. Elle m’offre une vue sur son intimité. Ses lèvres s’écartent, je devine l’excitation qui s’en dégage, des gouttes de ma semence s’écoulent entre. Je m’installe alors rapidement entre ses jambes pour que ma bouche vienne à la rencontre de sa chatte. Son goût, son odeur, je reconnais directement ces sensations. Cela m’enhardit et je redécouvre toute cette joie de lui donner ce plaisir buccal. Son clitoris, ses lèvres, la peau du haut de ses cuisses, aucun coin de son sexe n’est oublié. Pendant que ma langue retrouve son clitoris, mes doigts viennent l’aider pour redécouvrir son intimité la plus profonde. Chaque passage sur son sexe la fait se cambrer. Sa bouche laisse échapper des petits cris, elle ne peut plus les retenir. . Mes coups de langue et mes allers-retours dans son sexe semblent l’emmener vers le septième ciel. Mais comme moi, tout à l’heure, elle semble vouloir faire durer le plaisir. Aussi, elle m’invite à m’allonger sur elle. Ma bouche passe de son sexe à sa bouche pour un baiser torride qui en dit long sur nos envies respectives. Elle est maintenant allongée sur moi et elle nous invite à nous retourner. Me voilà à mon tour allongé sur le lit. Elle, elle va s’asseoir sur mes jambes. Sa main vient reprendre son doux travail de tout à l’heure : elle retrouve sa place sur mon sexe tendu et elle commence à me branler. Elle le fait des deux mains, et avec ses doigts elle s’amuse à passer sur mon gland, là où je suis le plus sensible. Puis, sa bouche descend vers mon sexe. Quelques coups de langue me rappellent combien elle est une experte dans cet art de la fellation. Elle vient accueillir la quasi-totalité de ma queue dans sa bouche et elle fait durer ce plaisir par de longs allers-retours. Ce traitement est tout simplement divin. Telle une vraie Amazone, elle retire mon sexe de sa bouche pour venir s’asseoir sur moi. Mon membre tendu se retrouve à l’entrée de sa chatte. Elle vient sur moi très délicatement. Je la pénètre de tout mon long. Je suis au paradis. Cette sensation est divine. Les allers-retours se font d’abord lents et sensuels, comme pour donner du temps à nos deux sexes de redécouvrir l’autre. Puis, passé ce moment de retrouvailles, nous nous enhardissons dans l’échange. Elle va et elle vient de plus en plus rapidement sur moi. Je viens contenir ses seins avec mes mains. Ils se balançaient devant moi et je ne pouvais pas ne pas les prendre en main. Ses petits cris reprennent et semblent même augmenter. Moi-même je deviens très expressif : je lâche de plus en plus de râle, comme pour bien lui montrer que j’apprécie autant que toi cet échange. Puis elle se retire. Elle vient s’allonger sur le lit. Elle allongée sur le ventre. Je comprends que nous allons reprendre nos ébats en position encore plus bestiale. Je vais pour la pénétrer de nouveau mais en levrette cette fois-ci. Pourtant, après quelques va-et-vient, sa main vient à la rencontre de mon sexe. Elle le retire de son sexe pour venir le placer à l’entrée de ton anus. Je prends alors mon sexe en main pour venir le passer sur son sexe. Je récupère ainsi toute son excitation pour venir humidifier son œillet. Puis je pousse délicatement sur mon sexe pour commencer à forcer doucement et pouvoir entrer le moins brutalement entre ses fesses. A nouveau mon gland entre en elle. Je commence très lentement les allers-retours. Au fur et à mesure, je viens en elle plus profondément. Elle crie maintenant son plaisir. D’être en elle comme ça, de savoir que nous prenons tous les deux du plaisir est une sensation indescriptible. Nous sommes comme en harmonie en ce moment. Mais je n’en puis plus et je sens monter en moi la jouissance. À regret, et en espérant que je pourrai connaître ça de nouveau, je quitte la chaleur de ses fesses pour la retourner. Je viens t’embrasser, dans son cou, sur ses seins, sur ses bras, je viens caresser sa langue avec la mienne. Mais le plaisir est à son paroxysme pour moi et je ne peux plus tenir très longtemps. Alors je commence à me masturber au-dessus de sa chatte. Je la regarde. Elle est belle là, entièrement nue. Je viens et commence à jouir elle. De longues giclées de mon sperme viennent s’étaler sur son corps, qu’elle étale lascivement de ses mains avant de porter ses doigts à sa bouche Ses mains viennent m’aider à me branler. Elle s’amuse à me faire tressauter le gland en le caressant. Ma jouissance vient comme peindre son corps. Nous retrouvons nos habitudes d’après-sexe. Je l’embrasse, encore chancelant après cette jouissance. Enfin, elle ouvre sa bouche pour me parler : « Bonne année. Merci pour ce tendre moment… ». Après ce moment merveilleux nous nous endormons soudés l’un à l’autre, ses seins contre mon dos et sa main caressant doucement mon sexe. Nous avons passés cinq jours intenses avant de se séparer. Nous avons suivi une correspondance internet avec des soirées "cam" assez chaudes, puis elle s’est mariée et nous avons cessé en commun accord de se contacter.

Mariveau

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Mélissa la femme de mon cousin (fin)

Nous quittâmes la résidence très vite, Mélissa était magnifique, portant un petit pantalon corsaire blanc moulant ses formes sensuelles, comme à son habitude, elle ne portait rien en dessous, tout comme sous son chemisier noué juste au-dessus de son joli nombril, laissant deviner sa poitrine fière et altière. Tout en décortiquant nos langoustes, nous parlions de nos vies, sa monotonie de vie avec mon cousin qu’elle pimentait avec ses voisins. Son besoin de plaisir sexuel, de tendresse aussi. Elle aimait son mari, lui aussi l’aimait à sa façon. Je lui racontais aussi que j’amais ma femme et mes enfants mais que mon envie profonde de recherche de plaisir, mon amour des femmes avait fait de moi un libertin. Aujourd’hui en cette fin d’année 2014, je reconnais avoir mené une vie dissolue, avoir trahi peut être ma femme, mais maintenant c’est bien trop tard, en juin nous serons divorcés. Je ferme ici la parenthèse des remords ou regrets. Après le dessert, Mélissa me dit « Demain tu pars, j’ai passé une merveilleuse semaine avec toi, et j’ai envie encore de partager un moment avec toi, je connais une petite plage isolée et déserte en cette saison, allons y vite » Après avoir suivi longtemps un chemin en 4X4, et une bonne demi-heure de marche, nous nous trouvions face à une langue de sable blanc corallien délimitant le bleu turquoise des flots et le vert émeraude d’une forêt tropicale, cocotiers, palétuviers, bananiers constituant comme une barrière impénétrable, pour protéger des amants. Je pris dans ses bras Mélissa qui frémit au contact de mes mains, elle ferma les yeux. Quant à moi je me délectais de son odeur de cannelle, de vanille. Nous marchâmes encore une autre demi-heure, le long du trait de côte et soudain je découvris l’Éden, une anse blotti entre deux hautes falaises, d’où une cascade d’eau fraiche dévalait avec fougue vers la plage pour s’abandonner nonchalamment dans les eaux chaudes de cette petite baie. J’étais subjuguée par cette vision, les cris des oiseaux donnaient un aspect encore plus irréel à la scène, tel un naufragé découvrant une ile paradisiaque au temps des pirates (je le concède j’ai été et je suis toujours aussi rêveur). Mélissa sans attendre retira le peu des vêtements qu’elle portait, et se précipita dans l’eau, et se mit à nager, elle se retourna me dit : "Viens me rejoindre, tu es ici dans mon Paradis, viens goûter aux délices divins des Caraïbes". Puis elle glissa avec sensualité dans l’onde. Je la rejoignis, elle nagea vers moi et sans détour, se plaqua contre moi, m’enserrant les hanches de ses cuisses. Elle m’embrassa avec fougue, je lui rendis son baiser avec une telle langueur qu’elle eut un orgasme merveilleux pour la première fois par un baiser, me dit-elle. Elle sentit mon envie se raidir, sa vulve brulait de désir et s’ouvrit lissant glisser entre ses lèvres gorgées de plaisirs mon membre. " Prends-moi, fais-moi l’amour, baise-moi". Je m’enfonçais en elle avec puissance lui arrachant un gémissement, je la soulevais et sortis de l’eau, je m’allongeais sur le sable m’enfonçant de plus bel en elle. Je posais mes mains puissantes sur les seins durs de Mélissa, allant et venant en elle avec douceur et force. "Oui baise moi, j’aime ta verge en moi, maitrise moi, rends moi folle". Je me retirais d’elle à son grand étonnement, et je plongeais mon visage entre ses cuisses et ma bouche s’empara de sa chatte humide au gout salée de l’océan. Depuis mon arrivée chez ma cousine, j’étais devenu à croc des saveurs subtiles de sa chatte et son suc. "hummmmm, lèches-moi, baise-moi de ta langue, bois-moi, branles- moi". Je jouais de mes lèvres, de mes doigts, glissant dans le sexe offert de Mélissa. Je me rassasiais de son nectar, agaçais du bout des lèvres son bourgeon gorgé de plaisir, je pinçais, mordillais, suçotais. " Ouiiiiiii, je jouis, continue, j’aime, je bande !!!!!!!!". Elle eut plusieurs orgasmes, inonda ma bouche de son jus d’amour, de son nectar intime. " Donne-moi ta verge, j’ai faim d’elle" Sa bouche la goba avec gourmandise. Ses mains allaient et venaient sur mon membre tendu, sa langue glissait le long du Priape gorgé de sang, tout en jouant avec le gland excité. Elle s’interrompit, se retourna et me présenta sa croupe. "Défonce moi, baise moi fort". Je glissais derrière elle, plaquant mes mains sur les hanches de Mélissa et la pénétrant d’un coup, mon sexe devint piston Elle criait son plaisir dérangeant la sérénité des lieux, les oiseaux criaient à l’unisson du plaisir de la belle. J’étais aussi excité qu’elle, elle eut un nouvel orgasme. Je me retirais, m’allongeais sur le dos, elle comprit. Elle vînt s’empaler d’abord face à moi offrant ses seins aux assauts de ma bouche. Mélissa avait un don, un don à rendre fou de plaisir un homme en dansant, ondulant sur ma verge durcie, me cambrant pour mieux la recevoir au plus profond de son vagin bouillant. Puis elle pivota m’offrant sa divine croupe. J’écartais les douces fesses, découvrant sa rose à chaque mouvement de piston de la belle accroupie. J’humectais mes doigts et jouais de sa rose. "hummmmmm, continue j’adore". Elle interrompit son mouvement et présentât sa rose à mon gland, elle appuya à peine et la porte céda. Elle aimait ce plaisir délicieux, centimètre par centimètre elle s’enfonça jusqu’à la garde mon épieu de chair et de vie. Elle reprit son mouvement de va et vient de plus en plus rapide m’arrachant des râles de plaisir. Elle hurla son plaisir. En un cri rauque je déchargeais ma semence dans son palais de Sodome. Épuisés nous nous affalâmes sur le sable. Il faisait chaud maintenant, et il nous fallut peu de temps pour se retrouver dans l’eau translucide. On joua, se frottant, ranimant notre désir, Mélissa vint contre moi, entourant mon cou de ses bras et tout en me donnant un baiser des plus passionné elle s’empala sur ma verge à nouveau raide, enserrant mes hanches de ses cuisses musclées. Nous étions comme en apesanteur dans l’eau. Je jouais avec les vagues pour accentuer mon va et vient en elle. Un orgasme commun nous prit, libérant le reste de ma semence en son vagin si chaud. Il était temps un jeune couple venait d’arriver, un couple infidèle, car la plage était réputée pour recevoir les amours illégitimes. Discrètement ils s’écartèrent, mais sans attendre la fin de notre étreinte, la femme fit glisser le bermuda de l’homme et à genou à même le sable commença à le sucer. Cela nous excita à nouveau, mais il se faisait tard, nous avions juste le temps de rentrer avant le retour de mon cousin. Le repas du soir fut étrange, Mélissa et moi-même avions des difficultés à dissimuler notre ressenti de cette semaine improbable. Je devais décoller vers midi, le lendemain Je restais sur le bord de la piscine en compagnie de Mélissa, mon cousin alla se coucher. Une dernière fois Mélissa me donna son corps dans l’eau chaude de la piscine sous le clair de l’une et au lieu de regagner sa chambre conjugal, m’accompagna dans ma chambre où nous fîmes l’amour une dernière fois. Au petit matin elle rejoignit son mari. Le lendemain Mélissa n’était pas là, elle était partie voir sa mère et sa sœur, c’est mon cousin qui m’accompagna à l’aéroport. Durant le vol, que d’images qui se bousculait dans ma tête. Cela faisait plusieurs mois que je n’avais pas vu ma femme, à cette époque ma femme était aussi vorace sexuellement que Mélissa l’était. Je ne suis plus dupe, elle avait dû me remplacer, et je le comprends. Mais je devais assurer et j’étais crevé. Je me souvins que mon cousin m’avait remis avant de partir un cadeau de sa femme. Je l’ouvrais, une petite lettre ..... « Merci pour ces moments, mais tu dois assurer avec ta femme, voilà un petit cadeau qui te donnera de la vigueur, c’est ma grand-mère qui le fabrique. » Un sac en papier et dedans de quoi faire des décoctions de bois bandé…… Sacrée Mélissa. L’ai-je revu, oui, un an après. Elle était toujours mariée à mon cousin et elle était devenue maman, un garçon et une fille des jumeaux C’était à la fin de l'été 2011 en septembre à Arcachon chez mon oncle. On put s’isoler, elle me raconta qu’après mon départ, elle avait encore partagé les plaisirs de ses voisins pendant six moix, jusqu’à la mort de Christian tombé du toit de son carbet. Puis elle partagea quelques temps des plaisirs saphiques avec Jacqueline, puis celle-ci regagna la métropole. Elle se rapprocha de son mari, et eut deux enfants. Elle était aussi belle, certes avec plus de formes, des fesses un peu plus rebondies mais avec les mêmes lignes, des seins plus lourds. Moi j’avais pris quelques rondeurs. « Tu sais Vincent je ne regrette pas les moments de plaisirs partagés avec toi » « Moi non plus Mélissa et je ne te cache pas, tu me fais le même effet » Elle me sourit : « Demain après-midi, débrouille toi pour laisser ta femme et rejoins moi à notre hôtel, mon mari amène les enfants au balade à la Dune ». Les retrouvailles furent divines, et je n’oublie pas sa divine croupe ondulant sur ma verge, ses seins lourds offert à mes lèvres. Sa bouche aussi gourmande à la langue si habile. Ses lèvres intimes un peu plus charnues même au même goût si délicieux. Deux heures de plaisirs intenses, sans limite, plus intenses encore que lors de cette semaine guadeloupéenne. Ce fut la dernière fois que je la revis, et depuis je n'ai plu eu de nouvelle Lorsque j’ai écrit ces lignes j’ai l’impression d’être à nouveau avec elle. Mélissa la femme de mon cousin.

Mariveau

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Mélissa la femme de mon cousin (7)

Ma nuit fut certes courtes mais emplie de sensations, l’intrusion de Mélissa dans ma chambre m’avait troublé. Je fus réveillé par le claquement de la porte d’entrée, mon cousin partait à son travail. Je musardais au lit, l’après-midi qu’avait prévu la charmante voisine allée être rude. Mélissa semblait dormir alors je décidais de prendre un jus de fruits sur le bord de la piscine. Je passais devant la chambre conjugale, la porte était restée ouverte, je ne pus m’empêcher de glisser un regard furtif, mais quelle vue. (Je bascule maintenant mon récit au présent pour mieux faire ressentir ces instants inoubliables) Je rentre tout doucement pour ne pas la réveiller, et je m’assoie au bord du lit. Mes yeux parcourent son corps et s’attardent sur certaines zones que la chaleur t’a poussé à dénuder. J’observe ses seins, dont les pointes sont dressées, et je me plais à imaginer qu’elle est en plein rêve érotique, à la façon dont elle respire, et surtout à entendre les petits soupirs qui s’échappent de ses lèvres par moments. Je découvre la beauté lisse de son sexe. Cela me procure une vive sensation, et je dois me retenir pour ne pas l’effleurer. Je me relève pour me déshabiller, puis je vais prendre une douche. En sortant de la cabine, je constate qu’elle n’est même pas réveillée, mais qu’elle est maintenant sur le ventre, et que ses jambes sont un peu écartées, révélant discrètement les lèvres de son sexe. Je m’essuie brièvement puis viens me rasseoir près d’elle. Cette fois, je laisse aller ma main sur ses jambes : je caresse l’intérieur de ses cuisses, je les effleure, avant de m’aventurer plus haut pour caresser ses lèvres. Sa réaction immédiate me surprend un peu : elle écarte un peu plus les cuisses, comme si elle voulait consciemment me laisser l’accès à nouveau à son trésor, pour lui donner plus de plaisir. Je suis son invitation, et glisse un de mes doigts entre ses lèvres, et constate avec malice qu’elles sont humides et glissantes. Je fais aller et venir mon doigt quelques instants, avant de remonter de façon plus prononcée sur son clitoris. L’effet est immédiat, elle gémit en relevant une de ses cuisses, ce qui accentue sa cambrure et me laisse un large accès à sa chatte maintenant très mouillée. Je suis très excité par la situation, et mon sexe est droit et très dur. Je le saisis de ma main gauche, et tandis que je continue à faire aller et venir mes doigts entre ses lèvres, je commence à me caresser doucement. J’observe son corps offert, la courbe de ses hanches et de ses fesses. Presque malgré moi, j’accélère les mouvements de mes deux mains, ce qui m’arrache un soupir de plaisir et provoque une ondulation de ses fesses. Je masse son clitoris faisant des petits cercles, puis je redescends vers son vagin, avant d’introduire délicatement un doigt à l’intérieur. Je voie alors qu’elle est complètement trempée, et je prends plaisir à porter mon doigt à ma bouche, goûtant son excitation. Je glisse à nouveau mes doigts à l’intérieur de son sexe, et je continue à aller et venir encore plus vite sur ma queue toute gonflée de désir et de plaisir. J’abandonne ma caresse pour venir glisser ma tête près de son sexe. Elle est tellement cambrée que ma bouche peut l’atteindre, et je ne m’en prive pas. Je commence à la lécher, et je suis vite trempé par ton excitation qui coule littéralement de sa chatte. Je lèche tout avidement, faisant tournoyer ma langue autour de son clitoris, aspirant ses lèvres, avalant son sexe. Elle bouge au-dessus de moi, je trésaille de plaisir à chaque fois que je passe sur son clito. Je glisse un doigt dans sa chatte tout en continuant le mouvement de ma langue et je la sens se cambrer et se tortiller sur moi. Je sens son orgasme venir très vite, mais je ne veux pas qu’elle jouisse si vite. Pas encore. J’ai dû mal à croire qu’elle dort encore, alors j’arrête mes caresses et je retire ma tête. Elle ne bouge pas, elle fait semblant de dormir. Je sais qu’elle ne dort pas, je décide d’entrer dans son jeu. Je la retourne doucement, feignant de croire qu’elle dort, et elle se retrouve sur le dos, les seins tout gonflés, l’intérieur des cuisses est trempé par son sexe et par ma salive. J’écarte ses cuisses, et j’observe avec plaisir son sexe mouillé s’ouvrir devant moi. Très excité, je plonge à nouveau ma tête entre ses jambes et je donne de petits coups de langue sur son clito, qui est dur et gonflé lui aussi. Mélissa fait toujours semblant de dormir, alors je décide de la prendre à ton propre jeu : je m’agenouille à côté d’elle, de façon à approcher ma verge de sa bouche. Tout en continuant à la caresser, je frotte doucement le bout de mon sexe sur ses lèvres entrouvertes. Je vois un sourire de malice passer rapidement sur son visage, mais elle ne bouge pas et elle se laisse faire. De main droite qui la caresse, je concentre mes mouvements d’un seul coup sur son clito, ce qui la fait pousser un soupir et entrouvrir sa bouche. J’en profite pour glisser le bout de mon sexe à l’intérieur. Elle ne bouge toujours pas, sa bouche refermée sur mon membre dur et gonflé. J’abandonne alors sa chatte quelques instant pour caresser ses seins et commencer à aller et venir à l’entrée de sa bouche. Elle ne dit toujours rien alors j’accentue un peu les mouvements en pénétrant plus profond. Mon plaisir grandit vite, tellement la situation est excitante ! Je sais pertinemment qu’elle est veillée, mais je trouve la situation super jouissive ! Tout en allant et venant dans sa bouche chaude et humide, je recommence mes caresses avec ma main droite ; je ne m’étais pas trompé : elle est encore plus mouillée que tout à l’heure, et elle réagit à chacun des passages de mes doigts sur son clito en gémissant de plus en plus fort. Je sens qu’elle ne va pas tarder à jouir, sous l’effet de l’originalité de la situation et de mes caresses conjuguées. Je modifie alors les mouvements de ma main, qui se font plus précis et plus rapides. Elle gémit tellement fort qu’à un moment mon sexe s’échappe de sa bouche. Je l’introduis à nouveau et je sens ses lèvres se refermer discrètement dessus, ce qui m’excite d’avantage ! Mon bassin fait des mouvements de plus en plus rapides à mesure que ma main accélère et que ses gémissements s’intensifient. D’un seul coup ton orgasme arrive, dévastateur, et je ne peux résister plus longtemps : je sens mon sexe se gonfler et se tendre et j’ai l’impression qu’il va exploser dans sa bouche ; je sens le premier jet de sperme jaillir, et je recule e un peu pour sortir de sa bouche. Elle garde sa bouche ouverte pour hurler son plaisir, le mien est à son paroxysme et je crie alors que mon sperme jaillit en inondant sa bouche, ses lèvres, et sa joue. Je continue doucement le mouvement de ma main pour poursuivre son orgasme, et je réintroduis mon sexe dans sa bouche pour prolonger le mien. Et là Mélissa ouvrit les yeux avec un grand sourire malicieux. « Hummmm quel réveil, Vincent, je mouille encore, dis si nous faussions compagnie à nos amis pour cet après-midi, pour ton dernier jour ici, on pourrait s’éclater encore tous les deux. » « Je ne vois aucun problème » Elle prit le téléphone appela Jacqueline s’excusant et faignant d’être alitée. Je descendis à l’office préparant café, jus de fruits. « Viens vite monte !!!!! » J’arrive dans la chambre avec le plateau ses mains se baladent sur son corps. Ses mains insistent sur ses seins. J'aime beaucoup ses seins, leur fermeté, leur taille délicate et ses mamelons, assez larges, foncés, et qui adorent pointer. Étendue sur le dos, se donnant des caresses mammaires, les yeux clos. Elle se titille les tétons et en retirant un plaisir tout doux. Au bas de son ventre, sa chatte s'humidifie et commence à frétiller de jalousie. Je pose le plateau sur une commande, et m’assoie dans un fauteuil face à elle. Elle écarte les jambes, genoux repliés vers l'extérieur sa chatte complétement ouverte. Une de Ses mains descend sur Son ventre, puis sur Ses grandes lèvres toutes douces, qu’elle flatte doucement, allant jusqu'à l'intérieur d'une cuisse pour remonter sur son pubis et redescendre vers l'intérieur de l'autre cuisse. Elle frissonne de plaisir. Son index vient tout doucement à la limite du haut de Sa fente, elle écarte encore plus les jambes, puis ce doigt vient se poser sur son bouton durci de désir... et des ondes électriques traversent son corps. Sa chatte est trempée de Son jus, elle s’'attarde sur son clito, le faisant rouler, entre le pouce et l'index, au même rythme que son autre pouce et index sur son téton. Je ne tiens plus, j’approche à nouveau mon sexe de sa bouche. Alors elle l’ouvre à nouveau toute grande... et je viens y déposer mon vît. Elle referme doucement sa bouche toute chaude sur mon membre. Elle ne bouge que légèrement la langue sur ma queue qui commence à prendre de l'ampleur. Je suis debout à côté du lit où je suis étendue... je le suce... to. Elle me suce avec envie tout en me masturbant. Ma queue est maintenant bien dure dans sa bouche. Elle se retire, et laisse ressortir ma queue... pour l'admirer Sa main qui était sur Son sein vient caresser mon sexe pendant que son autre main s'active toujours dans sa chatte, qui est maintenant inondée de mouille. Elle me fait écarter un peu les jambes, car elle aime s'amuser avec mes bourses, et en plus bien rasées. Elle caresse doucement mes testicules en les faisant balancer dans le vide. Son autre main quitte son clito, mais elle est vite remplacée par la mienne. Elle positionne ses mains de chaque côté de ma queue, et fait rouler ma verge entre ses paumes. Elle roule tout en montant et descendant le long de ma queue... Mon gland devient luisant de mon suc. Qu’elle suce tout en continuant de rouler ma bite. Mes doigts masturbent Son clito. De mon pouce et de mon index, je lui branle le bouton en le roulant. Elle roule encore et encore. Nos gémissements... nos encouragements... sont de plus en plus forts... Nous nous appliquons à accélérer et intensifier nos mouvements. Nous voilà maintenant tête-bêche, elle au-dessus de moi. Elle atteint alors un orgasme merveilleux inondant ma bouche de sa cyprine. Nous restons ainsi en 69 un moment, Je la lèche et aspire toute sa chatte, la nettoie entièrement. Je continue à la lécher. Puis mes doigts viennent accompagner ce cunni. Je lui fouille la chatte. Je la fouille et re-fouille, lèche le produit de mes fouilles. Elle gémit de plaisir et me suce entièrement en me massant les couilles un peu plus suggestivement. J’ai maintenant trois doigts qui s'agitent dans sa chatte. Elle me pompe de plus en plus, car un de mes doigts chatouille son petit œillet, tout en continuant la fouille de sa chatte de mon autre main. Ma bouche lèche encore, puis... lorsque je commence à lui sucer le clito doucement, et que mon doigt est maintenant dans son cul, à le pénétrer de tout son long... Ma queue tressaute dans Sa bouche, Elle la gobe maintenant voracement. Mes mains et ma bouche font des mouvements plus intenses et rapides... Je délivre la première giclée au fond de la gorge. Elle jouit, elle gémit, se tortille s’arque et elle jouit...je jouis... Une bonne douche, puis elle revient à la chambre. Je suis nu, étendu sur le lit. Elle vient déposer un baiser sur ma bouche. Je la serre, elle se blottit dans mes bras. Elle s'étend près de lui. Mes mains lui caressent doucement le corps ... Elle me masse les épaules, et m’embrasse dans le cou. Nous recommençons à nous. Mes mains enrobent Ses seins, les massent et les admirent. Mes pouces sont sur ses tétons, qui durcissent rapidement. Ma bouche vient les aspirer tour à tour. Je les mordille doucement. Elle remouille rapidement, et je suis redevenu au garde à vous. Nos mains s'activent sur nos corps et un baiser fougueux, rempli de désir, nous chauffe encore plus. Je la positionne rapidement à quatre pattes. Mélissa ouvre le tiroir de la table de nuit, et s'empare d’un olisbos en ivoire sculptée et me le tend. Je lui écarte la chatte, et pose l’objet de tout son long entre ses lèvres. Je m’active, elle aime. Je le promène partout, insistant sur son clito. Elle mouille, et j’adore... J’aime sa chatte qui se remplit de jus...que j’adore lécher. Je continue ce petit manège...Je lui insère deux doigts dans sa chatte, et continue de promener l’olisbos, venant quelques fois lubrifier son petit trou. Ellt gémis... j'aime... Mes doigts fouilleurs dans sa chatte. Ma queue vient remplacer mes doigts dans sa chatte, et mes longs va et vient débutent. Je ressors entièrement pour ré-entrer plus profondément, pendant que l’objet phallique commence son entrée dans mon cul... Je lui pistonne les deux trous, et elle crie son plaisir. Je gémis aussi... Mes mouvements s'accélèrent... Je la prends avec animalité... ses seins rebondissent à chaque assaut. Puis je sors de sa chatte, retire l’objet, et ma queue est engloutie, aspirée par son cul. Elle hurle son plaisir, je la prends avec puissance ... Elle crie combien elle aime... Mes mains sur ses hanches, et mes coups rapides... son orgasme fut tellement intense et long et le mien aussi... Je remplis son antre de Sodome de mon foutre... J’y reste quelques instants, puis me retire. Je lui demande de garder la position quelques instants, car j’admire son cul débordant de sperme, et son trou béant ouvert, se refermer tout doucement. Sa mouille de jouissance qui s'écoule entre Ses cuisses...quel tableau... magique... Nous tombons épuisés et l’un contre l’autre nous nous endormons. Il est midi quand nous nous réveillons. Nous passons ensemble sous la douche sans oublier de nous caresser et s’embrasser. Nous partons en ville déjeuner, puis nous gagnons une petite crique discrète pour finir mon séjour en Guadeloupe. (à suivre pour le dernier épisode)

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Mélissa la femme de mon cousin (6)

Effectivement j’attendais avec impatience mon cousin, un peu de repos me ferait du bien. Je ne supportais plus rien sur mon sexe, mes bourses étaient plus que douloureuses, dures comme du béton. Les douches successives n’avaient que très pu atténuer la douleur, mais quel pied cette journée. Et maintenant le lendemain allait apparemment être chaud pour notre petit quatuor, Mélissa, Brigitte, Christian et moi-même. Mélissa ne semblait pas encore épuisée, mais son attention se portait sur son mari, j’en étais satisfait. Je me retirais dès la fin du repas laissant le couple seul. J’eau beaucoup de mal à m’endormir, la douleur s’estompa mais les images de la journée tournoyaient dans ma tête. J’entendis un peu de bruit provenant de la chambre conjugale, puis Morphée eut raison de moi. Combien de temps avais-je dormi, je devais rêver à mes ébats, car j’avais la sensation de bander. J’ouvrais les yeux, je sentis un corps chaud contre moi, et une main caressant doucement ma queue. Mélissa allongée, le corps nu contre ma peau. Elle me regardait dormir tout en caressant ma verge. Elle posa son doigt sur mes lèvres tout en s’allongeant sur moi et déposant ses lèvres sur les miennes en un baiser passionné et sensuel sans fin. Je sentais son pubis se frotter de plus en plus avec force sur ma verge, ses lèvres intimes étaient de plus en plus humides et s’écartaient à chaque passage. Elle abandonna ma bouche pour embrasser mes seins. Puis délicatement elle s’empala sur mon sexe. La douceur de la pénétration oblitéra ma douleur. Tout en ondulant son bassin pour mieux ressentir en elle ma verge, elle se penchant vers moi. « Fais-moi simplement l’amour tendrement, Pierre n’a pas été capable de me faire jouir, il dort » Nos lèvres se soudèrent alors comme nos sexes l’étaient. Je sentais la douceur et la chaleur de son vagin qui allait et venait sur mon membre. Sa cyprine coulait le long de ma hampe. Nos gémissements étaient étouffés. Nous restâmes dans cette position longuement, maintenant elle était cambrée offrant ses seins à mes mains. Puis je me redressais et tout en restant empalée, elle enserrant mon bassin de ses jambes. On s’embrassait, nos langues se cherchaient, se trouvaient. Je soulevais alors Mélissa et la déposais sur le dos. Elle tenait ses bras autour du cou. J’étais toujours en elle, je déposais encore mes lèvres sur les siennes. Elle gémit à nouveau lorsque j’entrepris à mon tour d’aller et venir en sa matrice. Ses cuisses me serraient fortement et je sentais ses muscles vaginaux se contracter sur mon sexe comme pour le garder emprisonné. Dans la peine ombre je voyais ses yeux briller, puis se fermer à chaque sensation de plaisir qu’elle ressentait. Je sentais sa jouissance monter crescendo comme la mienne d’ailleurs. Ce n’était pas une partie de baise, nous ne libérions pas notre érotisme animal des autres jours. « Vincent inonde moi » A ces mots je libérais mon écume intime dans un long jet, tout en râlant ma jouissance. Puis nous restâmes ainsi soudés, bouche contre bouche quelques minutes pour savourer cet instant intime. Puis elle se leva et regagna sa chambre en se retournant, je découvris un sourire merveilleux. « Merci Vincent » Elle referma la porte. Je restais longtemps éveillé, mais la fatigue l’emporta et demain……… (à suivre)

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Mélissa la femme de mon cousin (5)

Brigitte est une femme de cinquante-deux ans, très sympathique et rigolote, elle est bien ronde, aussi bien son visage que la totalité de son corps, les rides du fait de sa rondeur sans doute n'ont aucune prise sur elle Brigitte et Mélissa se remirent à se lécher longuement, se mangeant littéralement leurs sexes en mordillant leurs clitoris, elles étaient comme deux furies lubriques. Alors Mélissa léchait la vulve de Brigitte, j’enfonçais ma verge dans l'orifice grand ouvert de Brigitte. Mélissa pouvait voir mon mandrin entrer et sortir de la chatte de mon amie à quelques centimètres de ses lèvres. La langue de Mélissa léchait ma tige et mes bourses. Brigitte hurlait sa joie d'être comblée pareillement, vibrant sous des orgasmes successifs incroyables. Je lui fis l’amour très longtemps et lorsque je me suis enfoncé pour la dernière fois en restant immobile dans la fente comblée de Brigitte, mon sperme a dégorgé de sa fente bavant jusqu'à la bouche de Mélissa qui léchait cette liqueur comme une diablesse. Je glissais mes doigts entre les cuisses de Brigitte, atteignant son pubis libre de toute entrave. Ma main s'enfonce dans une excavation juteuse et grasse lui arrachant des gémissements voluptueux. La main de Mélissa ne cesse de malaxer ma verge elle prend mon pénis entre ses doigts qu'elle serre fortement. Brigitte enlaça Mélissa tout en la couvrant de baisers et en lui caressant les seins, puis elle chuchota à son oreille. « A Vincent de remplir ta petite chatte adorable avec son pénis. » Brigitte écarta les cuisses de Mélissa et les tint fermement alors que mon membre durci envahissait le Minou de ma « cousine », Ma verge qui glissait dans cette chatte, avec délice. Elle fondit littéralement sous ma poussée brutale et elle ne put s'empêcher de crier sa joie et son bonheur d'être aussi bien remplie. Je pilonnais pendant presque une demi-heure Mélissa, tandis que Brigitte lui suçait la pointe des seins. Mélissa Je projetait son ventre contre mon membre qui labourait son vagin. J'avais enfoui presque tous les doigts dans la moule de Brigitte. Aussi, elle commence à délirer de la jouissance qu'elle ressent en même temps que ma main lui force la chatte grande ouverte qui bave de la mouille qu'elle produit sans discontinuer. Mélissa cède sa place et s’empare de ma pine qui n'a jamais été aussi rigide. Puis, elle prend mon vit entre ses lèvres et elle me suce avec adresse, titillant mon méat avec la pointe de sa langue, raclant la membrane avec ses dents serrées et pompant mon gland jusqu'au moment où, ne pouvant plus me retenir, je laisse gicler ma semence jusqu'au fond de sa gorge ; elle avale tout mon foutre, léchant la hampe dégoulinante jusqu'aux couilles qu'elle mordille même délicatement, me faisant jouir comme jamais en absorbant mon sperme. J’embrasse Brigitte en mélangeant ma salive à mon foutre qui coule encore de ses lèvres. Je viens présenter mon vît entre les fesses dodues devant les yeux de Mélissa, qui, surexcitée, les écarte avec ses deux mains dans une invite muette à pénétrer son amie. Je n'hésite pas une seconde et je m'enfonce avec bonheur dans la chatte qui s'ouvre sous ma poussée . « Hummmm , j’espère qu'après m'avoir ravagé la moule, tu vas aussi la contenter. Allez viens, bourre-moi la chatte encore , j'en ai trop envie. Oh ! Que c'est bon ma chérie, ton cousin me baise divinement. Plonge ton pieu dans ma grotte, défonce-moi le con mon chéri. Ah ! Ah ! Je jouis, je jouis, je jouis. Oh ! Quel bonheur. Oui ! Oui ! Oui ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii....... » Je me répands dans le vagin de Brigitte que je viens de prendre en levrette pendant que Mélissa en dessous me lèche les couilles. Quel pied mes aïeux. J'ai pris les globes mammaires de Brigitte dans les mains et je les malaxe, alors qu'elle crie encore sa joie lubrique, surtout que Mélissa lui suce aussi son clitoris en alternance avec mes bourses. Bientôt ma bite se rétrécit et se dégage du vagin que je viens d'honorer. Sans hésiter, Mélissa se laissant aller dans la plus pure dépravation, aspire mon pénis recroquevillé et suce encore le foutre que j'ai éjaculé dans le pertuis de son amie. Épuisé par la chevauchée que je viens d'effectuer sur sa plantureuse amie, je me retourne sur le lit alors que les deux femmes s'embrassent de nouveau, insatiables dans leurs turpitudes. Elles sont l'une sur l'autre, bouche contre bouche, seins contre seins, sexe contre sexe, se frottant furieusement la vulve pour jouir encore et encore. Je ne me lasse du spectacle qu'elles me donnent, c'est beaucoup plus bandant qu'un film porno. À ma grande surprise, je sens ma verge qui reprend de la vigueur. Ce n'est pas possible, je crois rêver. Cette après-midi mémorable me redonne une virilité très rapidement alors que d'habitude, il me faut presque une heure pour récupérer. Brigitte s'est rendu compte que ma tige s'est redressée, aussi elle se retourne vers moi, puis prenant délicatement la membrane de ma verge, elle la fait coulisser lentement, imprimant à sa main un doux va-et-vient, puis, elle engloutit le bâton noueux entre ses lèvres, suçant avec une dextérité diabolique mon sexe qui n'a jamais connu une pareille habileté. Enfin, elle se redresse et vient mêler sa langue à la mienne, puis elle me glisse dans l'oreille. « - Maintenant mon chéri, tu vas copuler avec ta petite cousine, elle ne demande que ça. » Brigitte m'astique toujours mon organe génital avec ses doigts. Enfin, elle dispose Mélissa qui délire encore de la volupté qu'elle vient de connaître, les cuisses complètement écartées devant moi, tout en me soufflant de la baiser tout de suite. À genoux, je suis devant la chatte béante de ma cousine alors que son amie attire ma tige vers la fente qui m'attend. Je m'enfonce dans l'ouverture que je connais si bien maintenant. Brigitte s'est disposée derrière moi et je sens sa langue qui lèche l'intérieur de mes fesses, de la raie culière aux bourses qu'elle grignote parfois. Je bande comme un taureau et m'enfonce le plus profondément possible dans la cavité accueillante de Mélissa .Soudain, je sens un doigt qui perce mon sphincter et creuse dans le conduit de mon anus, m'arrachant un râle de jouissance. Ma verge est raide à en éclater et je m'agite avec violence dans la gaine vaginale, arrachant à ma cousine des cris de plaisir et de bonheur inouïs. Brigitte continue à m'enculer de son index auquel elle a joint maintenant le majeur. Celle-là, je me ferais bien aussi son joli popotin, quel délice de pouvoir s'enfoncer entre les globes charnus de ses fesses. Tout en fantasmant sur le cul de Brigitte, je creuse toujours dans les chairs intimes de ma chère et tendre, cousine lui procurant orgasme sur orgasme, comme jamais elle n'en a eu auparavant, elle bave, elle se démène dans tous les sens, projetant son ventre contre le mien, criant son bonheur et sa jouissance sans aucune retenue. Elle pleure, elle rit, elle supplie, disant qu'elle n'en peut plus, mais elle en veut encore, toujours plus. D'un seul coup, je me répands en elle, lâchant mon foutre qui gicle à flot dans sa matrice martyrisée. Je me laisse glisser sur elle alors que Brigitte fouille encore mon fondement avec ses doigts fureteurs. Je suis out pour le compte et je m'endors comme une souche, vaincu par ces deux femelles en chaleur. Je ne sais plus combien de temps ai-je pu dormir, je me réveille avec une drôle de sensation. En effet, je suis au milieu du lit conjugal alors que Mélissa à ma gauche est blottie contre moi alors que son amie Brigitte à ma droite, est à plat ventre, à moitié couchée sur moi, un sein s'écrasant sur ma poitrine et une jambe et une cuisse recouvrant l'une des miennes. Les deux femmes dorment encore alors que je vois mon sexe se dresser verticalement entre mes couilles, à la pensée de ce qui s'est passé tout à l’heure et surtout en sentant la chaleur des deux corps féminins qui sont étroitement emboîtés sur le mien. Je n'ose bouger lorsque toutes les deux, presque en même temps, ouvrent un œil et s'aperçoivent de mon état. Sans se concerter, elles avancent chacune une main prenant délicatement mon vit entre leurs doigts, caressant imperceptiblement la membrane de mon prépuce. Puis elles approchent leur tête de mon gland et à tour de rôle elles le sucent délicatement, leur langue se mélangeant parfois me donnant une vision lubrique de ces deux femelles qui me pompent tout en se gouinant. Je ne peux résister longtemps et, à mon grand regret, je sens ma semence monter dans l'urètre et jaillir de mon gland dans la bouche des deux femmes qui se barbouillent avec délices de mon foutre gluant. Puis elles s'allongent toutes les deux sur moi, m'enduisant les lèvres du sperme qu'elles viennent de lécher, nos bouches s'embrassant alternativement dans une pure communion de tous nos sens émoustillés. Je récupère dans un état second, me proposant, lorsque j'aurais repris des forces, de fouiller le popotin de la plantureuse amie . Je songe à la manière dont je vais pouvoir m'y prendre lorsque je pense qu'il faut tout de même que je goûte à sa cramouille avec ma langue. Me redressant, je profite de sa position alanguie pour me glisser entre ses cuisses, la léchant dans ce qu'elle a de plus tendre et approchant ma tête de son pubis. Elle a étonnamment un tout petit sexe à peine entrouvert avec autour un très léger duvet blond. Ses lèvres sont finement ourlées, sa vulve ressemblant à celui d'une jeune fille. Brigitte devant la sollicitation de mes lèvres ouvre complètement ses cuisses qui vibrent sous mes caresses linguales. Je fais le tour de son aine, glissant ma langue dans ses plis la faisant frémir de tout son corps. Mélissa qui voit bien mon entreprise, suce délicatement un mamelon de son amie, en agaçant l'autre téton de ses deux doigts réunis. Le ventre de Brigitte ondule voluptueusement sous mes attouchements libidineux. Alors je glisse ma langue tout au bord de sa vulve, écartant délicatement les grandes lèvres, pointant le bout dans la chair rose qui s'humidifie sous ma caresse linguale. Le bassin féminin se soulève et vient à la rencontre de ma bouche, sollicitant une pénétration plus profonde. Je plonge dans la fente qui se disjoint, puis je glisse un doigt à l'intérieur du vagin, mes lèvres aspirant avec précaution le clitoris qui pointe orgueilleusement au-dehors du capuchon. Brigitte commence à gémir de plaisir, ondulant sous les caresses qui affolent ses sens. Je suce son bourgeon, le mordillant de temps en temps tout en actionnant deux doigts dans sa fente maintenant largement écartée. Je profite de sa disposition pour enduire un doigt de mon autre main de ma salive, puis avec le bout de celui-ci, je caresse la rosace plissée de son anus, déclenchant chez la femme des contractions très fortes de son derrière charnu et la faisant murmurer. - Oui. Continue. J'aime. Entre ton doigt, mon chéri n'hésite pas. Oh ! Oui comme ça ! Que c'est bon ! Ahhhhhh....... Tout en continuant à lui bouffer sa chatte et son clito, j'ai poussé mon doigt dans l'anneau du sphincter et traversé la membrane étroite et contractée pour racler son conduit anal lui arrachant un gémissement avide. Puis j'ai joint un second doigt dans sa gaine rectale que j'agite de plus en plus vite. Elle râle maintenant sa jouissance prenant un plaisir rare à mes doigts qui se glissent dans ses deux cavités en même temps. Mélissa a pris sa bouche, les deux femelles s'embrassant furieusement alors que je sens mon sexe durcir et s'allonger démesurément. Je me dispose à genoux, puis disposant mes mains sous les fesses que je soulève, je viens perforer l'œillet encore étroit de la Junon qui à mon grand étonnement pousse son cul au-devant de mon vit qui lui transperce d'un seul coup l'orifice anal pour s'engouffrer au fond de la muqueuse rectale. Elle pousse tout de même un cri à cette pénétration brutale. « Oh ! Mon salaud, doucement, tu vas me déchirer. Mais ma chérie ton cousin m'encule. Oui, j'aime ça ! Allez ! Bourre-moi le cul salaud. Oh ! Oh ! Oh ! Oui ! Oui ! Oh ! Oui ! Ahhhhrrrrrrrrrrr............. » Alors que je défonce furieusement le postérieur de Brigitte, Mélissa s'est allongée sous le ventre de son amie et elle a repris ma succion préalable, absorbant le clitoris enflammé, sa tête se trouvant à quelques centimètres de ma queue qui entre et sort de l'anneau entièrement dilaté par mes coups de boutoir. Je vois les yeux exorbités de Mélissa à la vue de ma verge qui creuse un sillon dans cette croupe volumineuse, alors que sa complice crie de plus en plus sa joie à se faire labourer son canal anal pendant que son bourgeon si sensible est aspiré entre les lèvres amies. Je suis très surpris de pouvoir retenir mon éjaculation, prenant un pied terrible à enculer l'amie de la femme de mon cousin devant elle. C'est une situation jubilatoire certainement très rare et je me rassasie de voir son étonnement devant ce qui se réalise sous ses yeux. Enfin ma verge tressaute soudain dans le rectum de notre amie commune, aspergeant à gros jets son fondement, alors qu'elle délire de la jouissance incroyable que nous venons tous deux de lui procurer. L’après-midi se termine, nous reprenons tous les trois notre souffle. Brigitte va nous quitter, et dit à Mélissa. « Dommage que ton cousin parte demain on se serait bien amusés avec Christian » « A au fait Mélissa, ça ne te dérange pas si je reste jusqu’à vendredi, j’ai reculé mon départ ce matin chez Air France » Mélissa et Brigitte me sourient, me roulent une pelle d’enfer. Brigitte dit alors : « Demain c’est vous qui venez chez nous, j’appelle ton mari Mélissa et j’ai l’envoyer visiter quelques agences » C’est ainsi que j’appris que Brigitte était la patronne de mon cousin. Etonnant non……. Heureusement qu'avant de rentrer de l'aéroport ce matin là, j'étais passé par une petite boutique locale aux produits naturels qui m'ont bien rendu service avec ces deux furies. Mais j'avais la verge et les bourses douloureuses et le retour de mon cousin arriva à point, du moins c 'est ce que je croyais. A suivre

Mariveau

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Mélissa la femme de mon cousin (4)

Mélissa reprit vite ses esprits, du moins en partie, les séances des derniers jours l’avaient un peu éreinté, elle regagna sa chambre titubant un peu. L’intérieur de ses cuisses luisait à la lumière matinale de mon sperme mêlé à sa cyprine. Elle se retourna et dit : « C’est bien dommage que tu partes demain, tu m’as éreinté je vais me recoucher » Cette phrase m’électrisa, et ne fit qu’un tour dans ma tête. Je pris une douche rapide enfilait un jean et un tee-shirt. J’empruntais la voiture de Mélissa est direction l’aéroport pour retarder mon retour vers la métropole de d’une petit semaine. J’échafaudais un alibi pour mon épouse, de toute façon je ne m’inquiétais pas Mélissa avait des ressources. Je pris mon temps pour rentrer, au bout de deux heures je me retrouvais à la villa. Dès que je fus à l’intérieur je perçus venant de la chambre de Mélissa des gémissements. Eh bien me dis-je, elle m’a vite remplacé. J’avançais dans le couloir m’approchais de la porte complétement ouverte…….. Mélissa était allongée sur le lit, le dos cambré, la tête en arrière, la bouche ouverte. Une femme européenne d’âge mûr, totalement nue, offrait à ma vue un merveilleux cul de callipyges. Cette dernière plongeait sa tête entre les cuisses de Mélissa et lui bouffait carrément la chatte. Je restais silencieux regardant le spectacle de ces deux femmes, les seins de l’amante de Mélissa étaient lourds. Elle avait les cheveux aussi courts que Mélissa les avait longs. Je ne restais pas de marbre, et je dégrafais mon jean et commençais à me masturber. Mélissa me vit. « Eh bien Vincent, au lieu de faire çà seul, rejoins nous, c’est Brigitte la femme de Christian, elle n’attend que çà de te connaitre depuis que Christian lui a dit comment tu baisais » Devant une telle invitation j’entrais dans la chambre, je m’installais sur un fauteuil en rotin et je me mis à apprécier ce spectacle lesbien, tel une partie de « Dames » en noir et blanc. Je passe au présent pour vous raconter ce moment, tellement j’ai encore ces images en moi. Brigitte s’est carrément jetée sur Mélissa comme une furie. Ravie, Mélissa se retrouve coincée sur le lit, écartelée, offerte… Un moment, elles se contemplent, les yeux dans les yeux, et le regard chaviré de Mélissa lui fait comprendre combien elle est soumise et consentante. Il n’en faut pas plus pour Brigitte pour continuer, avec l’envie de donner plus de plaisir, un plaisir inouï, au-delà de toute raison. Elle se laisse glisser le long de son corps, descendant en une caresse à fleur de peau, piquetant de légers baisers la progression sur le ventre lisse, concave, puis contournant le nombril. Du bout de la langue, elle lèche délicatement le ventre jusqu’à la naissance du pubis, glisse sur l’aine. Mélissa se cambre d’un coup en un arc tendu quand elle enfouit à nouveau la tête entre ses jambes. Sa bouche s’introduit enfin dans une secrète moiteur, frôlant la chair sensible du clitoris, ce qui la fait trembler de tout son corps. Ses dents mordillent sa toison brune avec un raffinement si exquis que, comme dans un rêve, elle l’entend crier avec volupté. Excitée de la savoir si ouverte et réceptive, Brigitte s’attaque sérieusement au sensible bourgeon qui se gonfle à la commissure de sa féminité éclose. Mélissa, avec un râle surpris, enfonce sauvagement ses ongles dans les épaules nues. Brigitte commence à gémir, emportée elle aussi par cette frénésie contagieuse. Ma main droite va est vient le long de ma verge, savourant ce spectacle saphique Brigitte délaisse un instant le clitoris et glisse dans le sillon mouillé, aussi loin que possible. Elle n’existe plus que par le mouvement de sa langue qui se fraie un passage, explorant, tournoyant, perçant, agaçant avec cet art et cette connaissance innée que seules les femmes semblent posséder pour allumer le désir d’une autre femme. Mélissa vibre à en perdre l’âme. Sans aucun contrôle sur elle-même, sa croupe accentue les profonds mouvements de houle qui l’agitent. Elle en vient à se contorsionner comme une perdue, battant follement des bras avant de saisir la tête qu’elle essaie de repousser, comme si elle avait peur d’une jouissance trop violente, redoutant les effets d’un orgasme redoutable qui la damnerait pour l’éternité. Tout son corps frémit malgré ses efforts pour repousser son plaisir. Elle se crispe soudain, et Brigitte devine vite qu’elle ne résistera pas longtemps. Elle accélère la pression de sa bouche et la vibration de sa langue avec plus de vivacité. Mélissa lui empoigne à pleines mains les cheveux, y enfonce ses doigts, puis plaque davantage son bas-ventre contre la bouche active. Et c’est l’explosion fulgurante, une tornade ravageuse qui la bouscule avec une force fabuleuse, l’ébranle toute entière. Mélissa est incapable de contenir les spasmes qui ne cessent de l’anéantir, se vidant sans retenue sur la bouche gourmande qui, ayant perçue les contractions annonciatrices de l’orgasme, a redoublé d’efforts pour laper jusqu’à la dernière goutte le calice capiteux dont elle se désaltère avidement. Brigitte tire à pleins doigts la peau de chaque côté du sexe en feu, s’enfonçant plus en amont. Mélissa doit avoir l’impression d’être bue jusqu’au cœur, s’accrochant toujours à sa partenaire, accompagnant les mouvements de la tête pendant que son bassin ondule. Brigitte prolonge l’orgasme, ainsi que le deuxième qui se déclenche aussitôt après, aussi longtemps qu’elle le peut. Brigitte ne cesse de me regarder me branler. Mélissa finit par retomber mollement sur le lit, le corps secoué des derniers spasmes. Elle attire à elle sa complice, déposant avec tendresse un baiser sur ses lèvres. Éperdue de reconnaissance, elle enfonce ensuite dans sa bouche une langue frétillante, y recueillant sa propre saveur secrète. Brigitte s’écarte, lui laissant une minute de répit, laissant à cette bourrasque fougueuse le temps de s’apaiser. Elle tremble encore, avec sur son visage tout le bonheur du monde, un sourire enfantin qui irradie et sublime la perfection de ses traits. Bouleversée par sa beauté, Brigitte lui sourit, puis pose sa tête plus bas, entre la tiédeur réconfortante de ses seins. Elle a le ventre en feu, les sens en ébullition, torturée par une fièvre indescriptible. Elle tourne la tête, saisissant entre ses lèvres le téton du sein gauche qu’elle se met à sucer avec gourmandise. En même temps, elle se frotte langoureusement contre elle, de souples mouvements du bassin, puis finit par l’embrasser dans le cou pour remonter jusqu’à sa bouche. Mélissa a récupéré ses forces et, déjà échauffée, répond à ses appels, répond à son baiser. Mélissa de change de position, la bascule sur elle, l’obligeant à se présenter de dos, fesses offertes. En transe, elle plonge sa langue dans la raie des fesses, lèche de bas en haut. Cette caresse fait l’effet d’une bombe à Brigitte. Elle hurle son plaisir. La supplie de continuer. Mélissa ne se fait pas prier et sa langue écarte la fente, la fouille, s’insinuant dans tous les coins. Secouée par l’orgasme, Brigitte se soulève et se trémousse. La langue de Mélissa reprend son mouvement de bas en haut, mais avec plus de force, de vigueur, lui dévorant allègrement l’anus. Brigitte relève encore plus sa croupe, offrant ses fesses à son amie. Encouragée, Mélissa lubrifie son majeur avec la cyprine dégoulinante de son amante et présente son doigt à l’entrée de l’anus . Elle appuie légèrement et le trou se détend, s’écarte. Mélissa geint à son tour quand elle constate l’effet procuré. Brigitte entame un long mouvement avec ses fesses qui aspire le doigt tout entier vers l’intérieur. Sadique, elle le ressort pour le replonger aussitôt, plus loin. Puis, accentuant son mouvement de va et vient, glisse son autre main à l’entrée du pubis trempé, introduisant par surprise deux doigts dans le sexe en feu. Une double pénétration qui arrache à Brigitte un cri de bête terrassée. Mélissa l’achève en se contorsionnant, se glissant sous elle pour lui butiner le sexe à pleine bouche. Je ne manque aucune image, Mélissa m’a fait approcher, je suis prêt à exploser. Brigitte prend en bouche ma verge excité et d’un va et vient de sa main, elle me délivre de cette jouissance contenue. Je décharge mon suc dans sa bouche en longues giclées tiède. L’orgasme prend fin dans un concert de cris et de gémissements. Puis, sans force, Brigitte se laisse tomber dans les bras de son amante. Mélissa est à nouveau déchainée. « Baise-là, baise- moi, baise-nous! » Oh mon dieu comment je vais tenir, mais Brigitte à une position des plus éloquente, ma queue se rigidifie. Mélissa s'en empare...... A suivre

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Mélissa la femme de mon cousin (3)

Ma nuit avait été agitée, après la journée chaude que nous avions passé, et la promesse de Mélissa, je m’étais demandé si j’allais être à la hauteur de ses attentes érotiques. A deux hommes nous avions eu du mal à la rassasier. Il était 6 heures quand je me levais, je croisais mon cousin qui partait déjà à son bureau. Pas un bruit dans la villa, Mélissa dormait. J’en étais sur car en passant devant la chambre conjugale, je poussais la porte entrouverte. Quelle magnifique image de voir ce corps nu couleur d’ébène aux reflets acajous. Elle était allongée lascivement sur le ventre, offrant à ma vue son divin cul, au délicieuses courbes. J’hésitais à entrer, mais je me retins, préférant pour l’instant faire mon footing matinal sur la plage suivi de quelques longueurs. Une heure et demie plus tard, je rentrais à la villa et me glissais sous la douche. Je n’ai pas entendu entrer Mélissa, elle se glisse derrière moi pose les mains sur mes yeux, et susurre à mon oreille : « Laisse-toi faire » Elle plaque son bassin contre mes fesses et les seins sur le haut de mon dos. Je ne bouge pas . Elle fait rouler la pointe de ses seins sur mes omoplates encore et encore. Je la surprends à gémir de ses lèvres entrouvertes. Sa bouche vient lécher la racine de mon cou, puis mordre mes muscles des trapèzes. « Ton cul me fait bander, Vincent, j'aime frotter ma chatte dessus. Ta queue doit être bien dure, j’ai envie de gouter à ton suc. Elle descend lentement la courbe de son dos jusqu'aux creux de mes reins. Mes fesses de offrent leur arrondi à la paume de ses mains, à son visage de ses cheveux qui les effleurent. « J'aime ton odeur, je me sens femelle » Me dit-elle. Elle s'empare de mon membre tendu, elle enfourne dans sa bouche mes bourses ; comme un bonbon elle les suce. Elle plonge alors dans les délices de ma verge qui envahit sa bouche. Le gland doux et lisse ému du contact inattendu des dents de ma belle perle noire. Une larme coule au fond de sa gorge . Elle l'avale sans empressement, se délectant de chaque mouvement comme s'il était le dernier. Mon ventre spasme. Elle garde juste le bout de ma tige, à la pointe de ses lèvres. Elle l'embrasse, l'enveloppe du moelleux de sa langue, joue avec la peau tirée du frein, la poigne arrimée à la racine de ma virilité. Çà vibre comme une corde, je tressaille à chaque mouvement d'archet. La langue coquine de Mélissa longe le trait jusqu'en bas, du dessous du gland jusqu'à ses bourses tendues. Là j’en peux plus je l’empoigne. Elle adore que je perde le contrôle et elle feint de capituler en riant. Je la retourne brusquement et fourre ma tête dans le buisson de Mélissa. Mes mains écartent les jambes de ma « cousine » et les placent de part et d’autre de ma nuque. Nous sommes maintenant allongés sur sol, l'eau tiède coule sur nos corps, une vapeur d'eau couvre la salle de bain comme un brouillard matinal après une pluie tropicale de la nuit. Je lui ouvre ses chairs de mes deux mains, dévoilant le rougeoiement brillant du sexe de Mélissa si humide. Ma respiration devient folle débridée, haletante. Je lui lèche son clitoris d'une langue puissante et ferme et bois sa liqueur à sa source. Elle est folle de plaisir ce nectar coule le long de ma bouche. Elle, elle sent qu'elle va exploser d'un moment à l'autre. Je calme alors le jeu, me rehaussant à la hauteur de son ventre pour l'embrasser, sucer le bout durci de ses seins, et de les dévorer avec gourmandise. Elle arque son dos pour mieux faire saillir ses seins. Son minou miaule d'une souffrance lancinante, elle tente de calmer ses ardeurs en se frottant à mes abdominaux. « Baise mon, ma bête en rut, prends moi fort, bien profond, j'en crève » dit-elle. Je me lâchais entendant ses mots « Tu veux que je te baise ma petite salope de cousine?, tu veux sentir ma verge te labourer de l'intérieur. » « Je veux sentir le chaud quand elle rentre et puis râler quand elle vient se blottir contre la peau d'en haut. Je veux gueuler comme enragée quand tu viendras t'enfoncer tout au fond et me buriner encore et encore. » « Je vais m'enfoncer comme tu aimes, ma coquine, tout doucement, et puis comme une bête, je vais te défoncer jusqu'à te faire hurler en giclant tout mon foutre au fond de toi ». Je pèse de tout son poids, sur Mélissa. Elle remonte ses genoux sous ses aisselles, écartant bien large les cuisses pour me laisser la remplir le plus possible. Lentement, presque imperceptiblement, j’entre en elle. Chaque millimètre gagné lui donne un peu plus le vertige, sa tête bascule en arrière. Plus rien d'autre n'existe pour Mélissa lorsque mon bélier l'investit lui arrachant des soupirs lascifs. Elle cambre les reins, creuse le haut du dos. « Défonces moi maintenant, fais-moi exploser . Je n'en peux plus. » « Ah non, tu es trop sage, trop contenue encore. Je veux t’entendre gueuler, implorer gémir baver délirer. Je veux te voir tremblante à l'agonie, les crocs acérés, prête à ruer pour jouir ». Mes mots cuisent sa peau là voilà prise d'une furie incontrôlable. Ses dents laissent une trace sur mon épaule et sa bouche vient rafraichir la morsure à coup de langue. Elle lèche ma peau partout, sur mon cou, mon torse, sa langue farfouillant et mouillant tout sur son passage. Le délire s'empare à nouveau d'elle. Elle ne sait plus où elle est, ni qui elle est, elle est une bête affamée, trempée de sueur de salive, de jus. Ses doigts de la belle s'agrippent à mes cheveux et sa bouche se colle vorace à la mienne. Elle aspire ma langue, elle boit ma salive. Mes mains s'arriment aux siennes. Mes yeux se plante dans ceux de Mélissa et je m'enfonce au plus profond d’elle, si fort qu'elle laisse échapper un cri. Une sauvagerie sans nom nous gagne. Mes mains puissantes pétrissent sa croupe, ma bouche gobe ses seins rougis et gonflés, elle griffe mon dos, nos langues se mêlent encore et encore. Je l'emmène plus qu'elle n'avait jamais été et elle râle d'une voix grave m'appelant à jouir avec elle. Décadence sublime et obstinée, elle sent mon foutre gicler dans son ventre et mon explosion de mâle l'emporte dans les tourments du plaisir. L'eau tiède coule toujours sur nos coprs. Elle halète et me dit : « J’'ai envie de te sucer, envie de te lécher la queue luisante de ton sperme, velouté de mon nectar intime, mielleuse de nos jus. J'ai faim donnes moi à manger ». Je me relève, elle s'agenouille. Mon sexe lui semble onctueux sous sa langue. Elle fait de sa bouche un nid tout chaud, elle l'aspire, le suce, le fait palpiter. Elle le lèche de tout son long, elle la sent grossir entre langue et palais. De nouveau la voilà fière. Je l'observe le regard fou de voir ma verge rentrer et sortir entre ses lèvres les joues creusées pour mieux le pomper. « Jouis sur mon ventre, je veux enduire mes seins ma chatte de ton foutre et me branler avec. Regarde, pendant que je distille mes caresses au corps que tu as enflammé. » Je n'en peux plus et je hurle, en m'épanchant sur son ventre, elle sent se liquide chaud sur son ventre, elle s'en caresse les seins, la chatte, joue avec son clitoris, le laisse couler sur son œillet. Elle se retourne s'arque boute contre les parois de la douche saisis les poignets offrant sa croupe » « Prends moi au plus profond de mon intimité" Je m’avance précédé de mon désir brulant, présente mon gland à l’entrée. Je n’ai pas besoin de faire céder la porte et s'enfonçant en elle. Lentement je fais glisser toute ma longueur en elle et je m’immobilise pour qu’elle puisse savourer ce plaisir. La tenant fermement par les hanches, j’entreprends alors de remuer doucement en elle, mon pieu. Puis j’accélère . « Défonce moi le cul, fais de moi ce que tu veux » Alors mes mouvement deviennent plus rapide et plus précis, par moment je déculais complètement ma verge et la re-rentrais d’un coup. Sensation au demeurant enivrante de plaisir et dans son étroit fourreau je ne mis pas longtemps à lâcher une nouvelle fois ma semence qui lui arracha pour sa part un cri de surprise et de gémissement à la fois. Elle s’écroula sur le ventre et je pouvais voir mon sperme sortir progressivement de son œillet pour couler le long de ses cuisses . L'eau tiède coulait toujours, la vapeur d'eau était toujours là. La journée commençait à peine ; à ce rythme, je me demandais comment j’allais tenir (à suivre)

Mariveau

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Mélissa la femme de mon cousin (2)

Alors que nous retournions vers la ville, Melissa appela Christian son amant pour lui proposer une petite après-midi coquine, ce qu’il accepta avec joie vu le sourire radio de ma charmante cousine. Arrivés à la villa, Mélissa s’isola dans sa chambre, moi je profitais de la fraicheur de la piscine. Une heure plus tard, on sonna, Mélissa cria « Ce doit être Christian, va ouvrir Vincent, offre lui un verre et faites connaissance » Christian était un homme dans la soixantaine, assez affable, nous sympathisâmes de suite. Il était retraité de l’armée, moi en activité et apparemment nous avions le même profil, coureur de filles, de femmes. Je lui racontai comment j’avais assisté à leurs ébats et notre mâtiné. Après le deuxième verre de punch, nous échangions sur nos frasques masculines et nous rirent de bon cœur. C’est à ce moment-là que Mélissa entra en scène. Et quelle entrée en scène, totalement nue, ne portant que des talons hauts. Elle posa une chaine hifi portable sur la table en tek et sur une musique lancinante elle se mit à danser avec une sensualité et un érotisme d’une intensité. Elle tournait sur elle, virevoltait, et se caressait, jouant de ses doigts sur les pointes de ses seins dardées à l’extrême, immisçant ses doigts entre ses cuisses, pour les enfoncer entre ses lèvres intimes, puis les conduisant à sa bouche. Elle suçait ses doigts avec indécence. Allongés sur les transats, Christian et moi-même ressentîmes vite les effets de ce ballet érotique. Nos verges ne restèrent pas inactives se dressant dans nos shorts. Mélissa s’approcha de son amant, s’agenouilla, offrant à mon regard sa divine croupe. Prenant la tête de son amant entre ses mains, elle posa délicatement sa bouche contre sa bouche, les lèvres de Christian s’entrouvrirent, sa langue vint forcer la bouche de sa maitresse et plongea à la rencontre de sa langue. Ils échangèrent alors un baiser profond, sensuel, fougueux. Sans lâcher Christian, elle se tourna et m’offrit sa bouche pour un baiser aussi érotique. Nos doigts et nos bouches s’emparèrent de son corps Nous choisissons ce moment-là pour la soulever puis l’étendre sur des coussins au bord de la piscine. Nous nous allongeâmes à côté d’elle, contre elle, la regardant intensément, posant nos mains sur ses cuisses et sur ses seins. Christian se pencha sur elle et l’embrassa de nouveau. Ses baisers étaient impératifs, profonds, pénétrants. Alors elle lui rendit ses baisers, cherchant sa langue, profondément, les mains accrochées à ses cheveux pour le garder contre elle. Je glissais alors à ses pieds, lui caresse le ventre, ma main descendit le long de ses cuisses, les écartant doucement, j’avançais mes doigts vers son sexe épilé, approchais de ses lèvres, les écartant délicatement puis plongeais ma tête vers mon minou et de ma langue j’attaquais son clito, le fit vibrer, le frôla, le titilla, l’aspira, puis je plongeais ma langue entre ses lèvres, la rentrais dans son sexe, le lécha, goûta son parfum, remontais à son clito. De mon autre main, je plongeais un doigt dans son sexe, elle adorait ; tout de suite après, je pénétrais le deuxième. Elle se cambra sous la caresse, l’index et le majeur explorant son vagin, elle m’offrait son intimité comme elle offrait sa bouche à son amant. Il continuait à fouiller sa bouche, elle était toute offerte, écartelée, sans pudeur et sans résistance, elle voulait partager son excitation, nous donner son corps ; elle tendit la main dans la direction du sexe tendu de son amant. Elle l’attrapa, le serra, il était raide et gonflé entre ses doigts. Elle saisit gland le masturba lentement et fermement. Elle releva les cuisses et les passa autour de mon cou, il semblait qu’elle voulait me garder prisonnier contre son sexe. « Vincent, bouffe-moi la chatte ! » Ce que je fis avec passion, les doigts toujours dans son vagin me pistonnent, elle gémit sans retenue, ses soupirs nous excitaient encore plus, et elle aussi ça l’excitait de nous faire partager sa jouissance. De mes doigts libres, je cherchais le chemin de son petit cul, trouvais sa rondelle délicate et avec douceur la força doucement. Toujours accrochée au membre dressé de Christian, elle quitta ses baisers et se pencha pour emboucher son gland congestionné. Elle engloutit sa tête douce et soyeuse, la fit glisser sur sa langue, elle envahissait toute sa bouche. On aurait dit un olisbos chinois en ivoire ou en marbre lisse. Elle le téta, le suça, l’aspira, le masturbant de sa main libre. Il gonfla un peu plus à chaque succion, à chaque va-et-vient dans sa bouche, lui aussi laissa échapper des soupirs déchirants, Elle saisit ses testicules et les caressa, les malaxa doucement, l’effet fut immédiat, son membre dans sa bouche augmente encore de volume. « Prenez-moi, venez en moi, possédez-moi, baisez-moi fort. » Je lâchais alors son sexe déjà endolori de toutes nos caresses et je laissais la place à son son amant qui, s’agenouillant entre ses cuisses, attrapa son membre, le positionna entre ses lèvres et doucement força en avant. Elle se redressa pour le regarder la pénétrer, avancer en elle. Elle le sentait qui progressait, qui écartait ses lèvres, prenant toute la place. Elle était envahie, elle aimait ça. Elle accrocha ses mains à ses hanches et le guida, lui indiqua le rythme à suivre, la pression dans son sexe. Et il venait et il reculait et revenait encore plus fort. Elle l’encourageait « Oui, plus fort, encore, j’aime ça, je me régale, tu me régales. » Je suis excité, je remontais vers sa tête, et à mon tour je pris sa bouche. « Oui, Vincent baise moi fort aussi » Mes mains saisirent ses seins, pincèrent ses tétons, jouant avec eux ; je les suçais, les agaçais avec la langue, puis me redressant un peu, je venais les caresser avec mon membre, plus large mais plus court que celui de son amant. Mon gland frottait ses tétons. Christian quant à lui continuait à pistonner Mélissa, violemment, il lui replia les jambes, la maintenait pliée, appuyé sur ses bras, il lança son ventre contre le sien, Elle sentait ses couilles battre contre son derrière, ça l’excitait encore plus ; après un long moment à ce rythme, il s’arrêta, sortit son membre du sexe de Mélissa et le posa délicatement à l’entrée de son derrière. Dans un réflexe, elle lui souffle : « Oh ouiiiiiii encule moi mon amour » Il se positionna contre son œillet rose et, se guidant avec la main, poussa délicatement. Elle cira de jouissance quand son gland franchit sa rondelle, lentement, chaudement, envahie par sa présence. « Chris encule-moi profond, donne-moi tout, je veux te sentir couler en moi, fais-moi jouir… Me sentant un peu mit de côté, Mélissa me fit signe d’approcher, je vins donc chevaucher son buste et je plantais mon sexe dans sa bouche. Elle ne fut pas longue à s’activer sur ma queue excitée Elle ne pouvait plus parler, mais elle soupirait et se déchaîna, sentant qu’elle n’allait pas tenir longtemps à cette cadence. Nos rugissements étaient si violents, elle était totalement offerte, nous étions tellement excités. Enfin, nous nous, arc-boutâmes, de nos gorges sortirent deux râles de bête, nos mains se crispèrent sur elle. Nous nous tendirent, serrèrent les mâchoires et explosèrent en elle en de longs jets brûlants, Christian dans son cul, moi dans sa gorge. Elle avala tout mon sperme avec une gourmandise…….. Enfin nous relâchâmes notre étreinte et nous nous écroulâmes dans les coussins J’ai la tête dans un nuage, je suis très partagée, m’être donnée ainsi est insensé, c’est Après quelques minutes de récupération bien méritée, nous plongeons dans la piscine pour nous laver, surtout elle qui coulait de partout. Christian et moi-même, très attentionnés, nous la frottions sur tout le corps, s’attardant sur ses seins, glissant nos doigts sur son ventre plat, s’insinuant dans son sexe et son petit derrière encore endoloris par le délicieux traitement subi. Sur un signe de moi, nous retournâmes à l’eau. Nous nous collâmes contre elle. Nous nous enlaçâmes tous les trois. Nos mains glissèrent sur elle, sur ses fesses, sur ses seins, sur son ventre, sur ses cuisses. Elle aussi, caressait nos fesses fermes et musclées. La transparence de l’eau ne cachait pas nos vigueurs qui remontaient à la surface. Elle nous attrapa nos sexse, un dans chaque main, et les caressa doucement. Nous fermâmes quelques instants les yeux en ondulant du bassin. Mélissa aimait sentir son pouvoir sur notre excitation. Rouvrant les yeux, Christian la regarda avec tendresse, prit son visage entre ses mains et l’attira contre sa bouche. Elle se laissa faire, et lui rendit ses baisers, le saisissant au cou et comme tout à l’heure, elle grimpa s’accrochant à sa taille avec les jambes. Dans cette position, son membre vint naturellement entre ses cuisses, à l’entrée de son sexe. Sans qu’il n’ait rien à faire, elle glissa lentement, guidant d’un simple mouvement de hanche son membre entre ses lèvres, et se laissa descendre jusqu’à ce qu’il fut planté en elle jusqu’à la garde. Leurs bouches délicieusement unies, leurs langues dansaient frénétiquement, les fesses de Mélissa ondulaient dans l’eau, son ventre occupé par son sexe ressuscité. Je m’approchais par-derrière, mes mains s’accrochèrent à ses délicieux seins délicats aux tétons raidis. Dans son dos, elle sentait mon excitation qui frottait contre mes reins. Je me collais à elle, l’embrassait dans le cou, puis je lâchais ses tétons, glissais mes doigts le long de son corps, franchit les hanches, empaumais ses fesses et les caressais fermement. Une dans chaque main, je les pétris sous l’eau tout en continuant de frotter mon sexe contre elle. Maintenant ses fesses écartées, je fis glisser mon membre dans le sillon et me positionnais là où son amant l’avait tout à l’heure. Se retournant vers moi, elle me souffla : « Tu peux venir en moi . J’ai envie de vous sentir tous les deux en moi, dans mon ventre. Prenez votre temps, possédez-moi, tendrement, profondément, c’est un régal. Je vous veux ensemble, je veux sentir vos deux sexes m’envahir, me désirer, me baiser. » Elle était maintenant totalement envahie, nous étions en elle, elle serrait son vagin sur le pieu de Christian pour mieux ressentir sa présence, l’idée d’être possédée ainsi lui plaisait, elle était une vraie femme accomplie, désirable et désirée. Nous restâmes longtemps à bouger en elle, lentement notre plaisir montait, puis notre tempo s’accéléra jusqu’à devenir effréné, J’avais reposé mes mains sur ses hanches et la força à suivre mon tempo crescendo. Elle jouit plusieurs fois en silence puis elle laissa éclater son plaisir jusqu’à ce que moi-même d’abord, et tout de suite après Christian, explosâmes à nouveau en elle en de longs jets chauds. Elle était toute étourdie. Les jambes flageolantes. Christian et moi-même reprîmes notre souffle. L’après-midi était bien avancé, et mon cousin allait rentrer, Christian prit congé, à la prochaine me dit-il. Mélissa rejoignis sa chambre, moi la mienne, puis nous préparâmes le repas. Après le repas alors que je savourais un scotch avec mon cousin, Mélissa prit congé, prétextant que notre promenade l’avait épuisé. Alors qu’elle se penchait pour m’embrasser, elle me souffla à l’oreille. « Pour ton dernier jour ici, je suis à toi toute la journée, tu as intérêt à assurer , Richard travaille encore toute la journée» Ainsi je ne tardais pas à rejoindre ma chambre pour me reposer, mais ma nuit fut envahie d’image érotique avec cette charmante cousine « Pourvu que je sois à la hauteur demain » à suivre

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Mélissa la femme de mon cousin (1)

Décembre 2010, j’ai achevé une mission en Guyane et je dois rentrer en métropole, mais je décide de faire une petite escale de quelques jours en Guadeloupe à l’invitation de mon cousin Richard. Richard à dix ans de moins que moi, trente-cinq ans. A cette époque-là, il dirigeait plusieurs agences bancaires. Il résidait avec sa femme Mélissa dans une villa près de St François, une magnifique villa à piscine à débordement donnant sur la baie. J’atterrissais à Pointe à Pître tard le soir avec le dernier avion venant de Cayenne. Ce fut Mélissa qui vint me chercher, mon cousin ayant une énième réunion pour son boulot, me confia en soupirant sa charmante épouse. Je ne la connaissais qu’à partir d’une photo de mariage chez ma tante. En effet mon cousin s’était marié sur un coup de tête sans prévenir la famille il y avait un peu plus d’un an. De toute façon nous étions peu à descendre de l’avion et c’était la seule femme de son âge qui attendait. Mélissa avec 28 ans, une superbe femme grande, 1m70, des cheveux longs descendant jusqu’au départ de sa chute de rein et quelle chute……. Une peau de la plus pure ébène. Un visage très fin, des lèvres fines. Elle portait de petite lunette de vue qui lui donnait à la fois l’air sérieux, mais aussi mutin. Je devais m’en rappeler plus tard mes soyez patient. Un corps de rêve, j’ai connu des femmes dans mes escapades libertines, de très belles femmes, mais là je restais scotché. Elle portait un pantalon corsaire blanc moulant à l’indécence, mettant en valeur de longues jambes sculptées, des fesses sublimes, oui dans ma tête je me disais en pur macho« Putain quel divin cul, mon cousin ne doit pas s’ennuyait ». Pas besoin de deviner quelle ne portait rien sous le tissu, comme d’ailleurs sous son chemisier blanc, bien ouvert laissant apparaitre des seins de taille moyenne, fermes, altier. Six semaines en jungle, pour lutter contre l’orpaillage m’avait fatigué et mes pensées s’arrêtèrent là. J’avais une mine défaire et je ne pensais qu’à dormir. Arrivé à la villa, Richard venait de rentrer, il m’attendait avant d’aller se coucher devant se lever tôt pour son foutu boulot. Moi aussi je tombais de sommeil, mais j’acceptais la proposition de Melissa de me plonger dans la piscine. Elle me rejoignit après s’être changer, elle portait un maillot une pièce qui laissait découvrir sa fameuse chute de rein, de longues cuisses musclées, et des seins vraiment magnifique. Alors que nous faisions des longueurs, son corps me frôla, réanimant une partie de moi-même sans équivoque. Alors qu’elle sortait de l’eau, j’y restais encore une dizaine de minutes le temps de ma raideur s’assagisse. Le lendemain matin, vers 6 ou 7 heures, je décidais avant de me gaver de fruits au petit déjeuner de faire un petit footing et une ou deux longueurs dans l’océan face à la maison. Je rentrais vers 9 heures, approchant de la villa, j’entendis du bruit venant de la piscine. Un bruit bien particulier. Tiens me dis-je le cousin fait l’école buissonnière, le veinard. Pour rejoindre ma chambre je devais passer au plus près de la piscine. Prenant la méthode commando je me glissais entre les buissons sans faire de bruit pour rejoindre ma chambre. Mais je ne pus m’empêcher de regarder ma cousine par alliance dit-on je crois. Là je restais immobile car si j’avais une vue magnifique sur le cul de Mélissa chevauchant une queue bien raide, ce n’était pas celle de mon cousin. En effet l’homme qui recevait les assauts de la jeune femme était un homme mûr, plus âgés que moi, il devait avoir la soixantaine. Bien fait, bien membré et Mélissa semblait apprécier le traitement. Halètements, gémissements, l’homme lui mordillait les seins dont les pointes étaient des lances dressées vers une proie. La verge de l’homme entrait et sortait de sa chatte toute rosée, luisant de sa cyprine qui coulait abondamment entre ses deux hémisphères culiers d’ébène. J’étais fasciné et ne pouvait m’empêcher de regarder, de jouer le voyeur. En plus cela avait pour effet de me faire bander. Mon sexe se sentant seul, ma main droite vint le rejoindre. Mélissa abandonna sa chevauché pour s’agenouiller devant son amant et prit en bouche sa queue luisant de son jus. Sa bouche allait et venait sur la tige raide de cette homme, elle s’attardait sur son gland en le titillant de sa langue ou l’enserrant de ses lèvres, tout en lui massant les bourses de son autre main non occupée à le branler. Ce que je faisais aussi dans mon coin en ne perdant aucun moment. Puis le couple se positionna de façon à entreprendre un 69. Je ne voyais plus la bouche de Mélissa, mais sa chatte entreprise par la langue avide de cet homme. Les gémissements de Mélissa étaient maintenant étouffés mais je pouvais voir qu’elle jouissait avec force vue la brillance de ses cuisses humidifiés par son liquide intime. Puis l’homme se mit à genou derrière elle la prenant en levrette. Je percevais le bruit du bas ventre de l’homme claquant sur les fesses de Mélissa. Elle criait lui allant de plus en plus vite. Je devinais qu’il allait partir, il se retira. Mélissa le remit en bouche, le suçant de plus en plus vite le branlant avec force. Dans un râle, l’homme ne pouvant se retenir, éjacula en longs jets saccadés sur le visage de Mélissa qui s’empressa de le nettoyer avec minutie et délectation. Mélissa passa sa langue sur ses lèvres et dégusta le nectar de cet homme. Je ne fus pas long à éjaculer aussi. Le téléphone sonna, Mélissa rentra dans la maison pour répondre, l’homme quitta les lieux, c’était son voisin, il passa par la plage pour rentrer chez lui. Ainsi avais-je la vois libre pour regagner ma chambre. Je pris une bonne douche avec des images libertines en tête. « Vincent tu es réveillé ?, viens j’ai préparé un petit lunch » J’arrivais sur le bord de la piscine, elle était radieux, elle ne portait qu’un paréo pour tout simple vêtement. « Bien dormi ? » « Tu sais je suis levé depuis 5 heures, et j’ai déjà fait mon footing, ma nage et je suis rentré il y a déjà un petit moment » Oui je l’avoue, je voulais voir sa réaction et je fus servi. Je sentis son trouble. Elle bafouilla la voix tremblante. « Tu, tu, tu as donc tout vu » « Oui et j’ai pratiquement rien manqué, mais ne t’inquiète pas je ne dirai rien à Richard, tu même la vie que tu veux, je fais pareil et je trompe ma femme, je ne peux pas m’en empêcher c’est dans ma nature j’aime les femmes. » Mes mots la rassurèrent et on passa un bon moment à parler de nos vies sexuelles comparant nos expérience, cela devenait chaud, très chaud. Mais le bruit du moteur de la voiture de Richard ne remis dans le droit chemin……… Le reste de la journée fut tranquille, balade en mer avec le couple, repas le soir avec des amis. Mais avec Mélissa nous passâmes le temps à échanger des regards qui n’étaient point équivoques. Au repas Richard dit à Melissa tu devrais amener Vincent en balade dans la montagne demain. Mélissa tourna son regard vers moi avec un large sourire. J’avais compris. Le lendemain nous partîmes très tôt, et gagnâmes une distillerie en ruine, je ne sais plus où. A peine descendue du 4X4, elle me dit: « J’ai vu hier que tu avais envie de me baiser, j’aime les hommes matures et j’ai envie que tu me baises » Elle se dirigea vers une grange, à l’intérieur, s’asseyant sur une banquette en pierre, elle retira son tee-shirt offrant ma mon regard ses seins aux pointes marrons déjà dressées, aux aréoles sombres et larges. Elle portait un short serré en jean qu’elle dégrafa, m’offrant son sexe. « Bouffe- moi la chatte » Je ne me fis pas prier. Je lui arrachais presque son short et écartant avec vigueur ses cuisses je plongeais ma bouche sur sa chatte, elle mouillait déjà, quel délicieux goût. Ma langue s’enfonça entre ses lèvres, lui déclenchant un cri de plaisir et un jet de cyprine dans ma bouche. Cela accentua mon excitation, j’avais maintenant mon sexe à l’étroit dans mon short. Mes caresses se firent de plus en plus précises me redressant je frôlais maintenant le haut de ces seins gonflés, ils étaient vraiment superbes fermes. Progressivement j'arrivais à ces tétons tendus à l'extrême je les caressais avec la paume de mes mains puis les prenais à pleine main, sa respiration se fit plus rapide. Je plaçais maintenant mes lèvres dans son cou pour aspirer sa sueur qui perlait sur sa peau quelques frissons lui parcoururent le corps tout en lui malaxant les seins je promenais désormais ma langue dans tout son dos, elle se mit à gémir doucement. Je n’avais envie de la pénétrer j'aime faire jouir les femmes avec mes mains, mes doigts et ma langue. Je descendais maintenant mes mains sur son ventre en faisant des cercles autour de son nombril puis je la plaquais contre moi afin qu'elle sente l'érection qu'elle me provoquais, je l'attrapais par les hanches et frottais mon sexe contre son cul. Elle ne restait pas inactive et accompagnait mes mouvements. Je remontais mes mains le long de ces cuisses douces et musclées pour arriver à nouveau à son sexe. Ses cuisses toujours écartées je lui massais doucement sa chatte elle continuait à dandiner et à gémir. Avec mon pousse je lui titillais le clitoris puis sans ménagement je lui introduisis entre deux doigts dans le vagin elle se cambra un peu plus .Je tournais maintenant mes doigts dans son vagin puis par moment effectuait de lent va et viens sa chatte chaude et inondée après quelques instants elle me chuchota : " Lèches-moi encore ! Je veux exploser dans ta bouche ! " Même si ce n'était pas trop confortable je m'allongeais à même le sol, elle se mit debout, je me plaçais sous elle d'où j'avais une vue imprenable sur son sexe bien bandé ces lèvres toutes noires je trouvais ça très excitant je lui ordonnais de descendre afin qu'elle plaça sa chatte contre ma bouche elle s'accroupit lentement, je pouvais à nouveau sentir l'odeur de sa chatte et je commençais à lui sucer son petit bouton rose elle était aux anges de temps en temps je lui rentrais au maximum ma langue dans son vagin elle faisait elle-même les mouvements de bassin j'avais l'impression que ma langue n'était plus qu'un instrument sur lequel elle se branlait elle se lâchait d'une main pour ce pincer les tétons puis elle se cabrait et jouissait en déversant un flot abondant de cyprine: " Hum c'est bon ! Tu sais t'occuper d'une femme toi ! Voyons si je sais m'occuper de toi ". Elle se tourna pour se placer en position 69 commença à m'embrasser le nombril descendit jusqu'à l'intérieur de mes cuisses. Je pouvais sentir sa poitrine sur mon ventre pendant ce temps je recommençais à la sucer. Tout en commençant à me branler doucement elle lécha et goae mes bourses, quelle habileté, quel délice. Elle commença à sucer mon gland tout en continuant de me branler pour ma part j'avais introduit deux doigts dans son vagin et c'est elle-même qui venait s'empaler dessus à son rythme. Elle engloutit totalement mon dard dans sa bouche et accéléra sa fellation, ces mouvements de bassin furent plus denses sur mes doigts et on ne tarda pas à exploser pratiquement en même temps elle avala sans broncher tout mon sperme pour ensuite me nettoyer les dernières gouttes avec sa langue. Puis sans ménagement s'empala sur mon sexe, elle ne fit pas tout de suite des vas et viens mais dandina du cul avec ma bite bien profond en elle s’était divin moi je lui attrapais les seins que je serais dans mes mains et dans les secondes qui suivirent elle me baisa littéralement elle s'empala avec violence sur mon sexe elle prenait une de mes mains et la plaça dans sa bouche afin d'étouffer ces cris. Puis sans que je m'y attendis elle se cambra et eu un nouvel orgasme moi je ne résistais pas longtemps et je jouis à grand flot en elle. Je restais ainsi en elle quelques instants en lui caressant ces seins. Nous reprîmes vite nos esprits car un bus de touristes arrivait. « Dis si nous rentrions à la maison, et si je demandais à Christian de nous rejoindre, Richard ne rentre que demain de St Martin » « Pourquoi pas, rentrons vite » A suivre

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Danses érotiques

Danse érotique Lui : Tu as revêtu ta plus jolie robe, longue et noire. Elle épouse ton corps, laissant deviner tes courbes. Un dos nu offre une vue de ta chute de reins vertigineuses et un décolleté offre au regard la courbe naissante de tes seins. Il n’y a pas de doute tu es nue dessous, le frottement de la soie excitant la pointe de seins. Les yeux clos tu t’imagines ailleurs. Ton corps s’imprègne des sons qui ruissellent sur ta peau, comme autant de baisers mouillés. Tu ondules, seul sur la piste, esquissant quelques pas, bras levés. Ma main capture ta taille, l’autre enserrant ta main. Tu te laisses guider, ma main plaquée contre ta taille, nos corps s’unisse s’absorbe, corps emboités, souffles mêlés, corps qui virevoltent. Rumba : Pas qui s’accélèrent, tu tourbillonnes dans mes bras. Onde furtive qui te traverse le corps. Grésillement d’une petite flamme qui sillonne tes membres, ton ventre. Douces palpitations. Tu te sens vivante. Danseuse pétillante et mutine qui remue les hanches, rythmes malicieux, va et vient lascifs, ton sexe contre mon sexe. Emotion. Ton esprit s’envole. ELLE : « fais-moi l'amour, j'ai envie de toi ,de sentir la chaleur, de ton corps contre moi ,fais-moi l'amour j'ai besoin de tes caresses dessinant mes contours en manque de tendresse » « Assouvis ma faim et jusqu’à la fin de cette danse, sors les armes, baise-moi de ton charme oublie tes démons et fais-moi perdre la raison" LUI Salsa : Je t’embrase, sur un rythme endiablé. Tu me rejettes, me tentes, me captives, m’attires à toi, t’agrippes à mes hanches, effleures, frottes ton sexe sur ma cuisse robuste. Nos corps se frôlent. Des gouttes dévorantes perlent dans ton dos, fesses contre bas-ventre, dos cambré. Tu t’éloignes de moi, soulèves ta robe et entres dans une danse effrénée d’une sensualité indécente. Tu es Maryline, cheveux relevés, inspirée provocante. Toutes les femmes qui sommeillent en toi s’animent pour te séduire. ELLE : « Aime moi sans retenu, fais de moi ta déesse, entre tes bras, nue pour toi, comble moi de tes prouesses » « Dévore ma peau avec de tendres et passionnés baisers, dit moi tout bas, tes plus folles pensées » « Emmène-moi au paradis de l'amour et du désir donne-moi de la magie de la passion et du plaisir » LUI: Rythmes africains : Tu t’accroupis à même le sol, relèves ta jupe et avance féline et sauvage vers ta proie, un feulement s’échappe de tes lèvres. Tu souffles dans mon cou, griffes légèrement mon torse, chemise dégrafée. Tu me chevauches, bloques mes deux mains au-dessus de ma tête, lionne en chaleur galvanisée par le son du tam-tam, la transe pulvérise tes derniers interdits ; Femme liane, tu voles un baiser vorace, aspires ma lèvres, me mords légèrement. Un soubresaut, Je te serre contre toi, lèvres humides. Nos corps roulent sur le parquet dans un simulacre d’accouplement farouchement mystérieux. ELLE: « Prends-moi et tu verras ton sexe glisser en moi » « Tes va-et-vient sont vigoureux mais pleins d'une énergique douceur. Préliminaires brefs, n'attends pas comme ça, laboure-moi. » « Acharne-toi, donne des coups de reins vigoureux, achève-moi de ta virilité, souille-moi de ta semence lactée, je t'en supplie et enfoutre à nouveau mon pubis rasé. » LUI: Tango : Lentement nous reculons, l’un vers l’autre par cette musique sensuelle qui déchire le cœur. Au tempo, retour brutal face à face, une main posée sur mon épaule, l’autre dans la mienne, le temps semble suspendu à la puissance de la fièvre qui transcende nos ébats. Nos pas s’enchainent, comme autant de caresses, fouettés, jambe enroulée sur mes reins. Excitation. Fente qui déchire ton corps, fente de ton intimité, humide et chaude. Troublant. Je te raine au sol, danseuse, exsangue de plaisir. Le corps enclavé nos sens s’échauffent, se repoussant et s’attirant à n’en plus finir. Les mains moites glissent, la peau ruisselle front contre front, le souffle court nos lèvres se cherchent pendant que nos jambes s’enlacent. Suivre le tempo tout en couvant l’incendie qui irradie le ventre, les blocs de lave que charrient nos veines. Tu glisses le long de mon torse, une jambe repliée, l’autre tendue vers l’arrière, tes mains accrochées à mes hanche, le visage posé sur mon sexe gonflé, désir lancinant, de le prendre là dans ta bouche. Je te relève brusquement, te retourne pour te basculer sur ma cuisse, la tête en arrière. J’effleure d’une main caressante l’espace entre tes seins, jusqu’à ton bas ventre. Tu frémis, prunelle de braise, souffle ténu. L’instant semble si fragile soumis à l’arrêt de la séquence musicale. Tu enroules tes bras autour de mon cou, je recule pas à pas lentement. Ton corps s’étire. Le tempo du tango nous rappelle à l’ordre, lent, lent, rapide, rapide, lent, un battement de cœur, un va-et-vient, un retour, une pulsation orgasmique. L’extase monte en toi, le plaisir se diffuse partout dans ton corps et ta tête. Vibrations lentes et profondes, vêtements mouillés, peau humide, nos doigts se crispent. Lent, lent, rapide, rapide, lent, nos corps s’enroulent, se déroulent, se cherchent, se repoussent, s’aspirent, jambes écartées, relevées, mains fébriles. Pas frénétiques, sensuels, gestes saccadés, tu t’agrippes à mes fesses. Je plie ta nuque, ma bouche aspire ta langue. Envolée lyrique des sens, pause entre le ciel et la terre, lent, lent, rapide, rapide, lent, souffles mouillés, spasmes, onde de choc, l’orgasme nous terrasse en plein vol. Exaltation. ELLE: « Viens dans mon paradis interdit, mon Eden, brûlant de désir. Je t'offre tous mes interdits pour toi, jusqu'au sommet du plaisir » NOUS : Déjà les corps en fusion s'abandonnent, la chaleur se diffuse. Les cris remplissent les lieux, l'odeur du foutre envahit les sens. Petite mort, défaillance de la chair, épuisement puis reprise des souffles...jusqu'à la prochaine danse, le prochain orgasme.

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Gourmandise

Tes intimes lèvres au goût de miel Pour m’entraîner dans ta ruche au septième ciel A ta fontaine coule un délicieux nectar Quand je le bois je m’égare Ton sexe d’où s’écoule une douce liqueur Lorsque je le sors de sa torpeur Débordant de ton calice Je la bois avec délice Tantôt sucrée, tantôt salée J’étanche mon désir assoiffé Tes délicieuses fesses chaloupent Quand ma langue s’immisce en ta coupe Bourgeon près à éclore Qu’avec fougue je dévore Tes reins mouillés de transpiration Cet arôme qui me fait perdre la raison Rose épanouie Que je baise avec envie Humide de ton intime rosée Sur ton œillet mes lèvres sont apposées Ma langue vagabonde Ma bouche tu inondes Tes jambes indécemment ouvertes Tu t’offres à ma langue experte Buccales caresses Qui te conduisent à l’ivresse Mon plaisir est immense Quand tu délivre ton humide jouissance C’est comme cela que tu te fais désirer C’est comme cela que j’aime te dévorer

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Calypso

Une salle de danse, au milieu toi qui m’enflamme seulement habillée d'un halo de lumière Dans ton regard je devine ton âme Corps sublime et fier Tes yeux plongés dans mes siens Debout, les mains sur tes hanches Tu ondules langoureusement des reins Nous sommes seuls au monde dans cette nuit blanche Sur une musique sensuelle Tu ondoies, et danse pour moi Lentement tu défais ton caraco de dentelle Tu veux me séduire jusqu'au bout de la nuit Je te dévore et déshabille des yeux Ton regard voilé de désir Ton corps est délicieux Mon vît est gonflé de plaisir Tu t’avances vers moi, féline Tu me provoques, ta langue parcours tes lèvres Ton corps contre le mien, tu de fais câline Tes gestes sensuels me donnent la fièvre Ton parfum, tes effluves me transportent Autant que tes sensuelles caresses Dans cette dans le désir nous emporte De toi je veux boire jusqu’à l’ivresse Envoûtante musique Tes hanches chaloupent avec indécence Danse au combien érotique Qui excite mes sens Bouche à bouche amoureux Langues et mains vagabondent Instant merveilleux Lorsque ma main recueille ton onde Nous nous allongeons sur le parquet En toi tu recueilles mon membre tendu Au rythme de ce calypso endiablé Ma verge en toi entreprend une course éperdue Sensuelles ondulations Intense ballet Tu me chevauches avec passion Plaisirs révélés Tu cries ton orgasme Divine délivrance Lorsqu’en un puissant spasme Je répands en toi ma semence Nous consumons notre passion Dans un corps à corps endiablé Jusqu'à en perdre la raison S'aimer, s'aimer et encore s'aimer

Mariveau

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Variation sur un cours de danse

Nous avons décidé de jouer avec le feu, toi ma maitresse, moi ton amant nous avons décidé d’arriver avec une bonne une et demi d’avance à la salle de danse avant notre cours. Nous sommes partenaire de danse, partenaires de plaisir, nous nous aimons. A peine arrivés nous nous embrassons avec cette passion qui nous amine. Nous oublions nos petites vies, pour nous adonner à notre passion infidèle. Je mets en marche la chaine stéréo, ce sont des musiques Africaines, antillaises Je te prends dans mes bras et nous commençons à tourner dans un sens, dans l’autre, je te berce la tête en bas, en haut, au rythme de la musique qui est assez lancinante. Tu es très belle, grande et assez fine vêtue d’une jupe noire et d’un chemisier très sexy. Je te porte donc dans mes bras en te faisant tourner un peu plus vite avec des bercements plus accentués en espérant secrètement arriver à découvrir une partie de ton anatomie. Ton chemisier est largement entrouvert sur ton soutien-gorge qui n’arrive pratiquement plus à remplir son rôle, et ta jupe tellement remontée que ta petite culotte s’offre partiellement en spectacle à mes yeux. Je glisse mon bras droit sous ta jupe qui pend et je la bloque au niveau des épaules avec mon bras. L’autre bras étant au niveau de tes genoux. Tu as la jupe retroussée complètement, le chemisier entrouvert, ton sein droit prêt à se sauver et surtout le gauche déjà partiellement sorti et offert à mes yeux qui se régalent du spectacle. La musique était de plus en plus rapide et nous tournons à la limite de la chute. Je suis grisé par la musique et la vue excitante, terriblement excitante, dans l’espoir de faire sortir complètement le deuxième sein mais en vain malheureusement. La jupe par contre est remontée sur le ventre laissant admirer ton string noir très mignon. La musique s’arrête là malheureusement et je te repose et tu te blottis aussitôt contre moi pour te réajuster, tous sourires tu me murmures dans l’oreille : « coquin tu en as profité ! ». L’atmosphère dans la salle est chaude . Danser avec toi m’excite au plus haut point. La musique reprend, c’est une biguine Puis nous reprenons la danse , je me rapproche de moi , tu te retrouves les fesses en arrière et je viens te coller contre moi , il fait chaud , tu déboutonnes ma chemise et la retire tout en ondulant contre moi et me voilà torse nu , je suis en sueur et elle aussi , dans l’euphorie de la danse , je retire ton chemisier , tout en gardant ton soutien-gorge et tes escarpins bleus . Nous continuons à danser comme envoûter par ces rythmes antillais. Je me colle à toi et tu sens une bosse dans mon pantalon, je te redresse pour attraper tes seins, tu te retournes, mes lèvres se collent aux tiennes, tout en t’embrassant, je continue à onduler à se trémousser, en frottant mon sexe contre tes fesses. Tu es très excité et tu descends le long de mon corps, tu déboutonnes ma braguette et sort ma verge. Ta bouche arrivant à la hauteur de mon membre, tu le prends en main et te mets à le branler. Puis tu le prends en ta bouche le suçant avec gourmandise. Ta bouche me rend fou, d’une main j’accompagne ton mouvement de va et vient. Tu l’avale presque tout entier. De mon autre main j’ai remonté bien haut ta jupe pour découvrir tes délicieuses fesses. Ma main pétrit les doux hémisphères de ton divin cul et cela t’excite. Je retire maintenant ta jupe, ton soutien-gorge et ton string, tu retires mon pantalon mon boxer. Je plonge ma main entre tes jambes, tu es si humide, tu es trempée comme j’aime avec toi. La musique reprend, tu danse devant moi me tournant le dos, remuant tes hancheS offrant ton cul à mon regard. Tu viens te le frotter contre ma bite tendue comme un étendard au vent. Tu te plante là écartant les jambes toujours en te frottant contre ma queue, mais maintenant dans un mouvement vertical. Tes mains maintenant prennent appui sur la barre le long du mur. Nous nous regardons à travers le miroir devant nous. Tes seins sont si tendus. Ton regard brille comme ta mouille qui coule entre tes les lèvres fiévreuses de ton sexe rasée et qui glisse le long de tes cuisses. « Viens » Je me colle contre toi mes mains prennent tes hanches tout en gardant le rythme de la musique et mon gland te pénètre, s’enfonçant au plus profond de la chatte inondée de ta cyprine. Tu gémis, de plus en plus fort l’orque mon mandrin accélère la cadence au tempo de la musique Nous sommes dans un état second, tu montes et tu descends comme sur mon vît et tu exploses littéralement, jouis, c’est intense, je sens ton sexe se contracter sur ma queue, j’arrête le va et vient, tu restes empalée sur mon sexe. La musique continue, nous ne faisons qu’un mes mains écrasant maintenant tes seins. Je m’écroule en arrière, je sens ses deux énormes mains m’écraser les seins. Tu te cambres, ma verge toujours dans ta chatte rentre et sort avec puissance, mes bourses viennent te fesser. Tout en baisant, je glisse un de mes doigts dans ta chatte, pour recueillir ta liqueur. Tu sais ce que je veux, puisque c’est ce que tu aimes. Avec mon doigt, je lubrifie ton bouton de rose, déjà bien humide et qui n’attends que cet instant. Je présente mon gland à l’entrée de ton palais. Je rentre doucement et progressivement, je sens ton anus se dilater, je ressors et je rentre à nouveau et commence mon va et vient de plus en plus loin à l’intérieur de toi. Tu cries ton plaisir, ta jouissance je n’en peux plus aussi. Je me retire, tu te retournes et je délivre mon sperme entre tes seins, tu l’étale de tes mains gardant quelques gouttes que tu portes à la bouche. « J’aime ton goût » La musique s’achève, on entend du bruit au rez de chaussée, nous avons juste le temps de rejoindre nos vestiaires respectifs, pour se rhabiller pour la leçon de danses latines. Hummm demain sera encore chaud.....

Mariveau

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Le phare de la Coubre

La plage… Peu de touristes… très peu même… Normal, à cette période de l’année. Septembre sur les bords de l’estuaire de la Gironde. Nous avons marché longtemps depuis l’hôtel de la Baie de Bonne Anse à la Seudre, traversant les dunes couvertes d’oyats. Nous ne sommes malgré tout pas seuls et quelques personnes sont installées aux alentours : serviettes, parasols, bikinis. Le soleil brille de mille feux ; la chaleur n’est pas accablante mais supportable, juste de quoi dorer un peu nos peaux qui reluisent et sentent l’huile solaire. Nous avisons un creux de dune pratiquement au pied du phare de la Coubre, balisant l’entrée nord de l’estuaire. Au loin on peut apercevoir le magnifique phare de Cordouan. J’ai chaud… des perles de sueur glissent sur mon corps… je me lève de la serviette pour aller me rafraîchir dans l’eau. Quelques minutes plus tard, je reviens m’allonger à côté de toi. Comme par hasard, c’est ton tour de te lever… Je t’observe sur la plage dans ce petit bikini qui te va à merveille. Et une idée me vient en tête. Tu reviens entièrement mouillée, de la pointe des orteils jusqu’à la pointe des cheveux ; l’eau ruisselle sur ton corps et j’avoue que cette vision ne me laisse pas indifférent. Tu t’allonges sur la serviette chauffée par le soleil, tout contre moi, et nous nous endormons. Il faut dire que la soirée et la nuit de la veille ont été agitées. Donc nous voilà endormis… enfin presque… En effet, après quelques minutes, je me réveille, incapable de fermer les paupières et de me laisser aller dans les bras de Morphée. Je tourne la tête pour voir où tu en es et m’aperçois que tu as rejoint le royaume des rêves. Je me demande d’ailleurs quelles idées te traversent l’esprit à ce moment présent. Enfin bref, je te contemple ; tu es sublime. Allongée sur le ventre, les bras croisés sous la tête, ton dos nu, tes fesses simplement recouvertes par un petit morceau de tissu, tes jambes douces complètement relâchées. Tu es sublime. Je n’arrive alors pas à m’empêcher de poser ma main sur ton dos, doucement, pour ne pas te réveiller. Ta peau est chaude… brûlante même… et douce… C’est agréable. Je m’amuse alors à parcourir ton dos avec légèreté pour ne pas te réveiller. Quelques spasmes me surprennent de temps en temps, et je me demande si ce sont mes caresses ou tes rêves qui les provoquent. Je m’arrête alors de peur de te réveiller. Et je reprends agilement mon action quand tu retrouves le calme. Ta respiration est profonde et tu sembles imperturbable. J’ose alors hasarder ma main sur tes fesses, en survolant le bout de tissu qui les recouvre. Et avec toujours autant de légèreté, je les fais glisser soigneusement sur tes cuisses. Tu ne bouges toujours pas… je remonte mes mains sur tes fesses… puis sur ton dos… quand brusquement tu te retournes. J’enlève immédiatement ma main et te regarde. Tu dors toujours et ton sommeil semble agité autant qu’il est imperturbable. Enfin, mes caresses ne t’ont pas réveillée. Car je tiens à ce que tu restes endormie à ce moment-là. Je te contemple à nouveau. Ton visage si doux, si calme, si reposé. Tu es magnifique : tes fines lèvres sur lesquelles j’ai envie de déposer de tendres baisers, tes seins emprisonnés sous le haut de ton bikini, ton ventre dont je ressens la chaleur sous ma main que je viens de poser, le bas de ton maillot de bain recouvrant ton intimité que je meurs d’envie d’aller explorer. Oui, ça y est : je suis excité et je sens bien mon sexe se tendre petit à petit sous mon maillot. Mais je suis tourné sur le ventre ; personne ne me verra. Un petit coup d’œil aux alentours pour me rendre compte que personne ne semble nous observer. Et après tout, même si quelqu’un se doutait de mon petit manège, je ne fais de mal à personne, bien au contraire… Après avoir vérifié que tu dormais bien profondément, ma main glisse petit à petit, lentement mais sûrement, vers le bas de ton ventre. Elle s’immisce toujours aussi lentement sous ton bikini. Je m’efforce alors à être le plus délicat possible, ne voulant pas te réveiller. Mais tu restes immobile à mon plus grand plaisir. Ma main vient se poser entièrement sur ton sexe. Il est chaud… très chaud ! Je m’amuse alors à exercer quelques pressions, tantôt de la paume sur ton mont de Vénus, tantôt de l’un de mes doigts, puis d’un autre, comme si je pianotais. Subtilement, en faisant attention que tu ne sortes pas de tes songes. Après quelques minutes de ce petit jeu, j’ai envie d’aller plus loin. Je regarde une nouvelle fois aux alentours, mais personne ne semble faire attention à nous. Tant mieux… Je m’active alors avec mon majeur à écarter un peu les lèvres de ton sexe. Et il ne me faut pas longtemps pour y parvenir ; je découvre avec surprise que tu es toute excitée. Avec bonheur et le plaisir grandissant en moi avec cette découverte, je me demande alors si ce sont mes caresses ou tes rêves… si tu dors ou si tu fais semblant. Mais je continue en voyant que tu ne réagis pas à mon activité. Je caresse alors délicatement ton sexe, superficiellement, très lentement… minutieusement, au point qu’on ne devine pas que ma main bouge sous ton bikini. Mes caresses sur ton sexe sont furtives, légères. Et je te sens mouiller de plus en plus. Je ne résiste alors pas à glisser mon majeur en toi, toujours avec la même subtilité, avec toujours autant d’attention pour que tu ne te réveilles pas. Ta respiration est profonde, tu as l’air détendue… tu es belle ! Mon doigt arrivant au plus profond de toi-même, je m’amuse alors à explorer les moindres recoins de ton intimité. J’exerce par endroits de petites pressions avec précision. Encore et encore… Mon majeur en toi, je n’hésite pas non plus à exercer des pressions autour de ton clitoris à l’aide de mes autres doigts. Les mouvements de ta respiration sont de plus en plus amples, trahissant que tu prends du plaisir. Mais ton corps est relâché, tes yeux toujours fermés. Je me doute que tu vas te réveiller d’ici quelques secondes mais je continue. La chaleur de ton sexe envahit mon doigt et me parcourt jusque sous mon maillot. Cette fois, mon sexe est complètement gonflé et il me faudra un moment avant de retrouver le calme. Mon doigt poursuit son exploration toujours aussi attentivement, puis je le fais glisser pour le ressortir… et entrer à nouveau. Les minutes passent alors que mon doigt va-et-vient en toi… avec une lenteur qui me démange. Il glisse de plus en plus seconde après seconde… millimètre par millimètre. Ton sexe est maintenant trempé et facilite mon exercice. À chaque fois que mon doigt se retrouve au plus profond de toi, il exerce une pression à l’intérieur de ton intimité avant d’en ressortir. Puis y retourner ! Ta respiration est maintenant plus pressante. Alors, avec délicatesse, je me retire de ton sexe, non sans regret, et pose à nouveau ma main bien à plat sur ton sexe débordant de plaisir, exerçant au passage quelques dernières pressions sur lui. Puis je retire ma main de sous ta culotte et je me rallonge en fermant les yeux. Quelques secondes après, tu te réveilles, souriante. Tu te redresses sur ta serviette et te rends compte que la plage s’est bien vidée. Un coup d’œil à l’heure… une dernière trempette et tu reviens vers moi. Tu me lances un : « On y va ? » ; « OK… » J’ai eu le temps de décompresser sous mon maillot. Nous reprenons nos affaires et rentrons au studio. À peine arrivés, tu viens te coller à moi, tu m’embrasses et me chuchotes à l’oreille que tu as envie de moi. Excité par l’épisode de la plage, il ne me faut pas longtemps pour te faire l’amour. Nous rentrons à l’hôtel à travers le chemin côtier laissant derrière le phare dominant la côte de ses 300 marches. Nous sommes dans la chambre. « Si nous prenions une douche mon cœur ? » j’acquiesce. Tu laisses tomber ton paréo, retire ton bikini et pénètre dans la douche, je te suis J’aime son dos, ta chute de reins, tes fesses aux courbes accueillantes, tes seins magnifiques aux aréoles délicates et aux pointes dardées per l’envie de faire l’amour à nouveau avec ton amant. J’aime tes pieds, l'arrière de tes genoux, toutes les parties de ton corps qui frissonnent de joie d'être touchées par un regard, par une main qui frôle. On y pose les yeux et l'émoi s'esquisse déjà en surface de peau au grain si fin comme une vague sur une plage de sable fin A peine dans la douche, tu plaques ton bassin contre mon fessier et les seins sur le haut de mon dos. Je ne bouge pas. Tu fais rouler la pointe de tes seins sur mes omoplates encore et encore. Je te surprends à gémir de tes lèvres entrouvertes. Ta bouche vient lécher la racine de mon cou, puis mordre mes muscles des trapèzes. Tu as toujours réussi à me surprendre. Tu me dis: « Tes fesses me font bander, mon amour, j'aime frotter ma chatte contre. Ton membre doit être bien dur, j’ ai envie de gouter à ton suc ». Tu descends lentement la courbe de mon dos jusqu'aux creux de mes reins. Mes fesses offrent leur arrondi à la paume de tes mains . « J'aime ton odeur dit-elle, je me sens femelle ». Tu t'empares de ce membre tendu, tu enfournes dans ta bouche mes bourses comme un bonbon. Tu les tètes. Puis je te vois téter son pouce quand tu te caresses sous l'eau avec la paume de la douche. Tu plonges alors dans les délices de ma verge qui envahit ta bouche. Le gland doux et lisse ému du contact inattendu de tes dents, perle une larme salée au fond de ta gorge. Tu l'avales sans empressement, te délectant de chaque mouvement comme s'il était le dernier. Mon ventre est pris de spasmes. Tu gardes juste le bout de ma tige, à la pointe de tes lèvres. Tu l'embrasses, l'enveloppes du moelleux de ta langue, joues avec la peau tirée du frein, la poigne arrimée à la racine de ma virilité. çà vibre comme une corde, je tressaille à chaque mouvement d'archet. Ta langue coquine longe le trait jusqu'en bas du dessous du gland jusqu'à mes bourses tendues. Là je n’en peux plus je l’empoigne. Tu adores quand je perds le contrôle et tu feins de capituler en riant. Je te retourne brusquement et fourre ma tête entre tes lèvres brillantes de plaisir. Mes mains écartent tes jambes et les placent de part et d’autre de ma nuque. Nous sommes allongés sur le sol, l'eau tiède coule sur nos corps, une vapeur d'eau couvre la salle de bain comme un brouillard matinal après une pluie tropicale de la nuit. Je t’ ouvre tes chairs de mes deux mains, dévoilant le rougeoiement brillant du sexe de ma maitresse si humide. Ma respiration devient folle débridée, haletante. Je te lèche ton clitoris d'une langue puissante et ferme et bois ta liqueur à sa source. Tu es folle de plaisir ce nectar coule le long de ma bouche. Toi tu sens que tu vas exploser d'un moment à l'autre. Je calme alors le jeu, me rehaussant à la hauteur de ton ventre pour t'embrasser, sucer le bout durci de tes seins, et de les dévorer avec gourmandise. Tu arques ton dos pour mieux faire saillir tes seins. Ton minou miaule d'une souffrance lancinante et tu tentes de calmer mes ardeurs. « Baise moi, ma bête en rut, prends moi fort, bien profond, j'en crève » « Tu veux que je te prenne ?, tu veux sentir ma verge te labourer de l'intérieur » « Je veux sentir sa raideur quand elle rentre et puis râler quand elle vient se blottir contre la peau d'en haut. Je veux crier comme enragée quand tu viendras t'enfoncer tout au fond et me buriner encore et encore ». « Je vais m'enfoncer comme tu aimes, ma folle amoureuse, tout doucement, et puis comme une bête, je vais te prendre jusqu'à hurler ton nom en giclant tout mon foutre au fond de toi ». Je pèse sur ton corps de tout mon poids. Tu remontes tes genoux sous tes aisselles, écartant bien large les cuisses pour me laisser te remplir le plus possible. Lentement, presque imperceptiblement, j’entre en toi. Chaque millimètre gagné te donne un peu plus le vertige, ta tête bascule en arrière. Plus rien d'autre n'existe pour toi lorsque mon bélier t'investit et t’arrache des soupirs lascifs. Tu cambres les reins, creusant le haut du dos. « Prends moi maintenant, fais-moi exploser. Je n'en peux plus ». « Ah non, tu es trop sage, trop contenue encore. Je veux te t’entendre crier, implorer gémir, baver, délirer. Je veux te voir tremblante à l'agonie, les crocs acérés, prête à ruer pour jouir ». Mes mots cuisent ta peau te voilà prise d'une furie incontrôlable. Tes dents laissent une trace sur mon épaule et ta bouche vient rafraichir la morsure à coup de langue. Tu lèches ma peau partout, sur mon cou mon torse, ta langue farfouillant et mouillant tout sur son passage. Le délire s'empare à nouveau de toi. Tu ne sais plus où tu es , ni qui tu es , tu es une lionne affamée, trempée de sueur, de salive, de jus. Tes doigts s'agrippent à mes cheveux et ta bouche se colle vorace à la sienne. Tu aspires ma langue, tu bois ma salive. Mes mains s'arriment aux tiennes. Mes yeux se plantent dans les tiens et je m'enfonce au plus profond de toi, si fort que tu laisses échapper un cri. Une sauvagerie sans nom nous gagne. Mes mains puissantes pétrissent ta croupe, ma bouche gobe tes seins rougis et gonflés, tu griffes mon dos , nos langues se mêlent encore et encore. Je t'emmène plus que tu n’as jamais été et tu râles d'une voix grave m’appelant à jouir avec toi. Décadence sublime et obstinée, tu sens mon foutre gicler dans ton ventre et mon explosion de même t'emporte dans les tourments du plaisir. L'eau tiède coule toujours sur nos corps. Tu halètes et me dit que tu as envie de me sucer, envie de me lécher ma verge luisante de nos sucs mêlés, velouté de mon nectar intime, mielleuse de nos jus d'amour. « J'ai faim donnes moi à manger ». Je me relève, tu t'agenouilles. Mon sexe te semble onctueux sous ta langue. Tu fais de ta bouche un nid tout chaud, tu l'aspires, le suces, le fait palpiter. Tu me lèches de tout mon long, tu le sens grossir entre langue et palais. De nouveau la voilà fière. Je t’observe le regard fou de voir ma verge rentrer et sortir entre tes lèvres les joues creusées pour mieux le pomper. « Jouis sur mon ventre , je veux l'enduire les seins la chatte de ton foutre et me branler avec. Regarde, pendant que je distille mes caresses au corps que tu as enflammé ». Je n'en peux plus et j’ hurle, en s'épanchant sur ton ventre, tu sens ce liquide chaud sur ton ventre, tu t’en badigeonne les seins, la chatte, joues avec son clitoris, le laisse couler sur ton œillet. Tu te retournes, t'arque boutes contre les parois de la douche m’offrant ta croupe, elle lui dit dans un cri ; « Prends-moi au plus profond de mon intimité » Je m’avance précédé de mon désir brulant, présente mon gland à l'entrée. Je n’ai pas besoin de faire céder la porte et je m'enfonce en toi, tu me cries ton plaisir, tu cries ta jouissance. Je suis en toi, plaquant mon pubis sur tes hémisphères fessiers et restant au plus profond de toi, mes mains malaxant ta croupe offerte. Puis tu te cambres comme pour engloutir en toi ma verge large que tu aimes tant. Tu adores ce plaisir. Tu aimes sentir ma langue pénétrer ta rose, mes doigts s’immiscer en toi. « Prends-moi ». J’accélère mon va et vient, l’orage s’annonce, tu cries ta jouissance quand dans un râle, je délivre ma semence en ton palais de Sodome. Affalés sur le sol de la douche, nous restons soudés. L'eau tiède coule toujours, la vapeur d'eau était toujours là.

Mariveau

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Conjugaison et adultère : variation sur un verbe du 1° groupe

Je la trompe Je le trompe Je l’ai trompée Je l’ai trompé Tu me trompes Tu me trompes ? Tu m’as trompé Tu m’as trompée Il la trompe Il l’a trompée Il la trompera L’a-t-il trompé ? Elle le trompe Elle l’a trompé Elle le trompera La t-elle trompée ? Nous nous trompons Nous nous sommes trompés Nous nous tromperons Vous me trompez! Vous me trompez ? Vous vous trompez Vous vous tromperez Vous tromperez vous ? Vous vous êtes trompés Ils se trompent Ils se sont trompés Ils se tromperont Se tromperont-ils ?

Mariveau

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Après-midi à l'hôtel avec toi

Voilà plusieurs semaines que j’ai réservé cette chambre dans ce petit hôtel du bocage pour abriter notre amour cette nuit. Tu m’attends, le cœur battant. Plusieurs semaines sans nos parfums, nos peaux. J’ouvre la porte, tu es là ma douce maitresse que j’aime. Ton regard est sans équivoque, tu ressens au fond de toi le même désir que moi. Je pose mon sac dans un coin de la pièce et te serre contre moi. Rapidement nous ne pouvons plus attendre, nos lèvres se rejoignent en un baiser langoureux et humide. Sentir ma langue jouer avec la tienne achève de te faire fondre et je te sens désormais très excitée… Je prends tes seins à pleines mains, ils sont durs. Je ne te sens pas assez j’ai envie de ta peau contre la mienne, nous ne savons pas comment, mais sans que nos bouches ne se séparent nous atterrissons sur le lit, toi dans les sous-vêtements que tu préfères moi en boxer. Je te regarde quelques instants avec tendresse et désir, puis la valse lente des corps s’enclenche. Ma bouche descend de tes lèvres à ton cou, je te mordille l’épaule, tu frissonnes, et enfin ma bouche fonce sur tes seins. Mes lèvres sur le bout de tes seins, ma langue jouant avec tes tétons dressés vers le ciel. Je sais que tu aimes lorsque je les fais rouler entre mes lèvres charnues. J’aimerais avoir cent bouches, cent mains, que je te caresse et t’embrasses partout à la fois. Mes caresses te font perdre dans le dédale des sens. Ariane ne déploie pas ton fil, tu aimes te perdre dans le labyrinthe du plaisir avec moi… Sous mes doigts, ton corps ne devient plus qu’une immense zone érogène que j’effleure, empoigne, griffe et caresse à la fois… Tu ne peux t’empêcher de gémir malgré tes dents plantées dans tes lèvres. Ton sexe me réclame, mais tu ne me laisses pas y accéder, tu asi peur de ne pas maîtriser ton plaisir or tu as envie que cela dure, dure, dure…. Dure ou dur, comme l’état de mon sexe lorsque tu poses ta main sur lui. Tu retires mon boxer presqu’avec dévotion. Il est là. Ton deuxième amour se dresse fièrement, il est gonflé de désir, tendu comme un arc et une bouffée d’émotion et d’excitation t’envahit jusqu’au fond du ventre. Plus tu le regardes et plus il grandit et tu lis dans mon regard ta fierté. Tu refermes tes doigts sur lui et le caresse doucement… tout doucement… Tu prends ton temps, tu savoures cet instant, tu retardes le moment où tu l’engouffreras dans ta bouche et pourtant tu en as si envie. Tu as faim et soif de moi comme je ne pourrais jamais l’imaginer. Tu caresses le bout de mon sexe tendrement et ta deuxième main rejoint la première, me caressant autour de mon sexe…. Le haut de mes cuisses tout d’abord, puis mon pubis, et enfin tu atteins la terre promise, mes boules d’amour dont le contact te fait frissonner à chaque fois. Elles sont douces et duveteuses, tu n’as pas envie de t’en éloigner, tu veux encore les sentir durcir lorsque mon plaisir accourt comme un cheval au galop… Ta bouche abandonne mes lèvres pour déposer sur mon torse et mon ventre de petits baisers qui n’ont qu’une finalité : descendre, descendre… Enfin tu as mon sexe près de ton visage, quelques gouttes de plaisir suintent déjà, que tu t’empresses de lécher avant de m’embrasser… doucement, de haut en bas, de bas en haut, tu redécouvres ma verge avec ta bouche et ta langue. C’est si bon ! Tu rejoins tes doigts qui me caressent toujours le bout du sexe. Ça y est, tu écartes légèrement tes lèvres et mon sexe dressé glisse dans ta bouche. Je retiens un petit « ah » de plaisir, j’aime te sentir me prendre en bouche, je sais que tu prends autant de plaisir que toi… Tu m’aspires, me lèches, me goûtes, me suces, m’embrasse. Il est si délicieux d’aller et venir entre tes lèvres,. Je devine ton désir tremper désormais le haut de tes cuisses. Je gémis à mesure que tu accélères, et que tes doigts continuent leur exploration… Ils s’aventurent entre mes cuisses, se faufilent agilement jusqu’à mes fesses, et restent là, sans bouger. Tu commences à bouger légèrement en massant l’entrée de m petite grotte. Mon sexe est toujours dans ta bouche. Sans que tu forces vraiment, je me détends et un doigt glisse à l’intérieur… je ne tiens plus, je m’enlève de ta bouche, te retourne d’un geste. Tu es sur le dos, mes mains sur tes poignets, mon visage près du tien, nous avons tous les deux le souffle court. Deviner mon sexe tendu à l’extrême près du tien finit de te rendre animale. Tu te cambres pour essayer de m’atteindre, mais je ne te laisse pas faire, je te retourne une fois encore et ce sont désormais tes fesses qui me sont offertes… Tu n’essaies même pas de te débattre, tu as trop envie de moi… Tu sens mon sexe titiller l’entrée de ton palais d’amour soumis. « Viens, s’il te plaît, viens en moi, glisse, VIENS ». Plongeant mes yeux dans ton regard je lis tes pensées. J’entre, puis m’enfoncer en toi comme dans du beurre salé. Je suis très excité et je fais des va-et-vient d’abord lents, puis je m’enfonce de plus en plus fort, et de plus en plus vite. « oh oui encore, encore, ENCORE. » Tu voudrais que ça ne s’arrête pas, mais le plaisir te surprend sans crier gare, ton ventre se soulève et un orgasme venu de loin te submerge. Gémir ne te suffit plus, il faut que tu cries ton plaisir, que tu exprimes le bien que tu sens. La petite mort est foudroyante. Tu n’as pas le temps de te remettre de tes émotions que mon sexe dégoulinant de miel oscille de ton coquillage à tes fesses. Tu voudrais me dire non, attends, mais je suis déjà au creux de tes reins. Tu ne peux plus parler, ta bouche ne fait que gémir, pousser de petits cris, tu es emportée dans la jouissance. Je gémis, moi aussi, je me dis que tu aimes ça et cela augmente encore mon excitation. Tes fesses coulent le même miel que de ton sexe, je glisse si facilement. Je me sens légèrement serré et oui j’aime ça. Je sens tes doigts près de mon sexe, tu te caresses en même temps que je te prends les fesses, mon dieu que c’est bon. J’empoigne alors tes hanches sauvagement. Tu me susurres : « Tu n’es pas gentil, tu sais que cela va m’envoyer au septième ciel dans les trente secondes ». Je pousse un râle et de sentir mon sexe exploser en toi te fait jouir à nouveau. Nos plaisirs sont longs et nos sexes mettent du temps à se séparer… Je m’allonge à côté de toi. Tu te loves contre moi, nous partons dans des rêves lointains… Je t’aime

Mariveau

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