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Sexe Amour Poésie Humour
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Miroir d'eau
Le loup, le renard et la belette.
La fille de mon propriétaire
Un printemps plein de surprise pour Cathy!
En fin de matinée, un homme descend d'un 4x4 qu'il a stationné devant l'entrée de la propriété puis s’avance vers la maison, d'un pas décidé. Cathy l'aperçoit depuis la fenêtre de sa cuisine. - Sans doute un touriste ! S’interroge Cathy. Il se balade avec son appareil photo autour du cou ! Elle arrange vite ses cheveux avec ses mains devant le miroir du couloir puis, ouvre la porte pour accueillir le visiteur.
L'homme, souhaitait des renseignements pour les randonnées à faire aux alentours. Cathy a remarqué de suite le beau regard et le sourire séducteur du visiteur. Un bel homme, à l'allure sportive, d'une cinquantaine d'années, les cheveux grisonnants sur les tempes. La jeune femme est troublée par ce quinquagénaire qui la détaille avec son regard franc, charmeur et, quelque peu coquin. Il lui rappelait quelqu'un. Un artiste où une personne qu'elle avait peut-être croisé. Après avoir eu les renseignements, l’homme la salue avec son plus beau sourire et avant de s’éloigner, lui lance : - Vous êtes charmante Madame ! Et merci pour votre amabilité. Je reviendrai sûrement vous voir ! * 2ème partie - La rencontre. 14 h 15 … On sonne a la porte !
Cathy va ouvrir. Une femme très élégante se présente. - Je suis Marie, j’ai rendez-vous avec vous ! Cathy regarde la pendule, elle a un bon quart d’heure d’avance. Elle est admirative devant la beauté et l'élégance de sa visiteuse. Elle a un instant de panique, elle n’a pas eu le temps de quitter ses vêtements de travail. Cathy s’excuse pour sa tenue auprès de la visiteuse. - Pas eu le temps de me changer !
Elle l'installe dans le salon et file se changer de tenue.
De retour, toute pimpante, Cathy ne tarde pas à la questionner : - Alors que vouliez-vous me dire d’important ? Cathy peut à présent examiner l'inconnue en détail. Elle est ravissante, craquante, avec son visage d’ange qui respire la douceur et la gentillesse ! Une ombre de ressentiment passe sur le visage de Marie. Après un moment de silence, elle commence enfin : - C’est à propos de mon mari ! lance Marie - Expliquez-vous ! Je le connais ? - Oui ! J’ai trouvé des échanges amoureux entre vous deux. Je sais que vous êtes sa maîtresse ! J’ai trouvé votre n° de téléphone et vos coordonnées dans les affaires de mon mari ! - Mais je n’ai pas d’amant, je vous l’assure ! Je suis une femme fidèle, Marie ! Même si mon mari me délaisse souvent. Je ne connais sûrement pas votre mari ! S’insurge Cathy. - André ! Ce prénom vous dit quelque chose ? Balance Marie. Cathy a le cœur qui s’emballe subitement. Très troublée, ne sachant plus quoi répondre, elle bafouille: - André ? Il habite dans le Médoc ? - Oui ! Confirme Marie. - Mais je ne suis pas sa maîtresse ! C’est un ami avec qui j’ai eu des échanges sur une messagerie. Ça fait depuis bientôt un an que je ne corresponds plus avec lui ! Répond Cathy en essayant de se justifier. Marie a l’air énervé, son visage d'ange vient subitement de changer ! Elle ne semble pas la croire Cathy voit, l’espace d’un instant, une tigresse prête à bondir sur elle. Elle a peur quand Marie plonge sa main droite à l’intérieur de son sac à main. Son cerveau fonctionne à toute vitesse. " Peut-être que cette fille tient un revolver et va s’en servir pour me tuer ! " Pense-t-elle, paniquée. - Vous pourriez le décrire un peu ? demande Cathy, pour apaiser les choses. - Grand, sportif, cheveux grisonnants, les yeux verts noisettes. Précise Marie - Si vous me disiez ce que vous attendez de moi ? Vous êtes dans la région en ce moment? En vacances peut-être ? interroge Cathy, pour tenter de dissiper la tension qu'elle sentait d'installer. - Oui ! Avec lui ! Je sais qu’il cherchera à vous voir ! C’est pour cela qu’il a choisi cet endroit, près du Lac de Caillou.
Quelques larmes se mirent à couler sur les joues de Marie. Cathy se leva de son fauteuil et, pris Marie dans ses bras pour l'apaiser. - Ne craignez rien, je vous jure que je n'ai aucun amant. Marie regarde tendrement Cathy : - Vous êtes charmante ! En disant ça, Marie fixe Cathy dans les yeux si intensément qu’elle en fut troublée. Marie ne put s’empêcher de se lever à son tour, pour l'embrasser sur la joue puis, un deuxième baiser s’ensuivit, frôlant de très près les lèvres de Cathy dont le corps se mit à trembler sous le coup de l'émotion que devait de faire naître Marie. Cathy était énormément troublée par cette femme.
Marie recule d'un pas et lui dis : - Vous êtes charmante et tellement belle, Madame ! Je crois que si mon mari voulait faire l’amour avec vous, je ne lui dirai rien parce que je le comprendrais ! - Je dois vous quitter ! Poursuivit-elle. - J’aimerai qu’on se revoit avant de quitter la région ! - Puis-je vous demander quelque chose ? Enchaîne Cathy. - Oui ! Bien sûr !!! - Que cherchiez-vous dans votre sac tout à l’heure ? - La photo d’André ! - Je peux la voir ? En regardant la photo, Cathy fut tétanisée. Elle venait de reconnaître le beau séducteur de ce matin.
André avait été à deux pas d’elle. Elle ne l'avait pas reconnu. Elle, qui rêvait tant de se jeter dans ses bras ! Une fois l’émotion passée, Cathy proposa à Marie : - J’aimerai vous inviter samedi midi ! Je serai seule, toute la famille s’absente pour le long week-end prochain. Comme ça nous pourrions parler et je serai tellement contente de rencontrer enfin André !
* 3ème partie- L’invitation Le soleil de midi tapait déjà fort, quand le 4x4 de André rentrait dans la propriété de Cathy. Celle-ci les attendait sur le pas de la porte, déjà élégamment vêtue pour l'occasion, d'une jupe ample et d'un petit chemisier transparent et très décolleté. André félicita Cathy pour son bon goût vestimentaire. Marie, rayonnante, avait elle aussi soigné sa tenue et son maquillage. Cathy l’embrassa, la pris par les mains et se recula d’un pas pour mieux la contempler. - Vous êtes magnifique, Marie ! Lui déclara Cathy. - Je vous retourne le compliment, vous êtes également très belle ! répliqua Marie Après ses échanges de compliments, Cathy les invita à entrer dans la maison, où flottait les effluves d'un plat en train de mijoter. Cathy se souvenait que André était un fin gourmet.
Après le repas, qui se révéla délicieux et très raffiné, Cathy reçût des compliments de la part de ses invités. L’hôtesse leur proposa de passer au salon pour déguster un beau café. La discussion tourna autour de la difficulté pour Cathy, de gérer presque seule, quelques d’hectares de vignes et le haras.
Cathy changea de conversation en s’intéressant à Marie. - Et vous Marie, vous avez une occupation ? Vous travaillez ? demanda Cathy. - Oui je travaille dans une parfumerie à temps partiel, ce qui me laisse du temps pour mes loisirs ! - Et que faites- vous de beau pendant vos loisirs, si je ne suis pas indiscrète ? - Je peins, mais des reproductions, et sans grand talent. C’est pour le plaisir. Je fais partie d’un club d’arts et loisirs et c’est agréable de se retrouver entre copines chaque semaine !
André était là n’intervenant pas dans leur conversation. Il observait Cathy qui dévorait Marie des yeux. Après une petite heure de discussion dans le salon, André passa sa main sur la nuque de sa femme. Celle-ci poussa un petit gloussement de plaisir. - humm ! J’adore quand tu me fais ça ! - J’adore ça aussi ! répliqua Cathy - J’aime bien qu'on me caresse la nuque aussi et surtout le torse ! Surenchérit André. La conversation commence à être moins sérieuse que tout à l’heure où ils parlaient surtout boulot ou politique. André commença à taquiner Marie devant Cathy. Était-ce sous l’effet du Cognac de vingt ans d'âge, vieilli dans les chais de la propriété, que Cathy venait de leur servir ? André devenait très joyeux et exubérant. -Sais-tu ce que m’a dit Marie ? lança subitement André à Cathy. Sans répondre, Cathy écarquilla ses beaux yeux verts d'un air interrogateur, pendant que Marie baissait la tête d'un air confus. André poursuivit : - Elle m’a dit que tu l’avais troublée l'autre jour, et qu’elle pourrait facilement tomber amoureuse d’une femme comme toi ! - Moi aussi cette rencontre m’a émue, avoua Cathy ! Et détournant son regard vers Marie, elle ajouta : - je vous trouve très belle, Marie ! Mais l’idée d’aimer une femme me fait très peur ! C’est contre ma nature ! André se tourna vers sa femme et lui déposa un tendre baiser sur les lèvres. Sa main glissa sous le chemisier pour lui caresser un sein. Cathy ne disait rien. Elle observait ses invités. Elle regardait, étonnée, André défaire les petits boutons du chemisier de sa femme pour découvrir la belle poitrine de Marie, tout en fixant Cathy droit dans les yeux. Il se pencha sur les seins de sa femme pour y déposer de petits baisers. Cathy détourna un instant la tête, gênée. puis regarda intéressée. - Cathy, viens toucher la douceur de sa peau ! Invita André. Voyant que leur hôtesse n’osait pas bouger, André vint s’asseoir à coté d'elle et se mit à jouer de son charme. Fixant Cathy droit dans les yeux, lui déposant un léger baiser sur la bouche. Elle en fut troublée, et gênée vis-à-vis de Marie qui pourtant ne bronchait pas. André prit le bras de Cathy et la tira vers Marie. Il prit sa main dans la sienne et se remit à caresser les seins de Marie. Cathy se laissait guider par André. Marie fermait les yeux sous la douceur des caresses de André et de Cathy. Marie rouvrit les yeux et fixant Cathy, lui murmura : - Ta main est très douce, Cathy ! Comme pour la remercier, elle embrassa Marie tendrement sur les lèvres. Les deux femmes échangèrent un regard rempli de désir. Remarquant cela, André lâcha la main de Cathy et alla s’installer sur un fauteuil un peu en retrait. Il aimait jouer au voyeur. Les deux femmes ne cessaient pas de se dévisager intensément, comme fascinées l’une par l’autre. Marie se montra la plus entreprenante. Attrapant les épaules de Cathy pour la faire basculer sur le canapé, puis l'embrassa fougueusement. La vision de ses deux femmes enlacées commençait à exciter sérieusement André. Détachant la ceinture de son pantalon, il ouvrit lentement un à un les boutons puis le glissa a mi-cuisses. Sa main glissa à l’intérieur de son boxer, puis commença à se caresser en matant les deux femmes s’enlaçant passionnément. Leurs caresses devenaient de plus en plus sensuelles. André avait maintenant sorti son sexe tendu qu'il massait avec infiniment de plaisir, en suivant avec attention les ébats des ravissantes femmes qui s'étreignaient sur le canapé, semblant avoir oublié sa présence. La situation devenait de plus en plus excitante pour lui. Marie s'était couchée sur Cathy et la caressait lascivement de la pointe de ses tétons durcis jusqu'à ses jolies fesses . Leurs jambes s'entremêlaient. Leurs corps chauds, sublimaient les senteurs de leurs parfums avec lesquelles elles s'étaient imprégnées. Leurs effluves enivraient les deux femmes amoureuses, chatouillant délicieusement les narines d'André, l'excitant encore plus.
Cathy caressait maintenant les seins de Marie, et ses lèvres s'emparèrent de ses tétons. Elle se mit à les sucer, les lécher, les mordiller. Cathy passa ses bras autour du cou de Marie pour l’attirer plus près d’elle, l’embrassant partout sur le visage, dans le cou. Son excitation devenait extrême, sa respiration haletante. Les deux femmes semblaient être seules.
André matait les jolies fesses relevées de sa femme. Il se leva, et se plaçant derrière elle et, présenta son sexe entre ses cuisses. Il aimait la prendre comme ça, en levrette. Il posa une main sur sa taille, l’autre tenant sa queue qu’il frotta le long de la raie fessière de Marie. Les deux femmes continuèrent de s'embrasser avec passion, tandis que André pénétrait sa femme. Elles frottaient leurs chattes brûlantes , l’une contre l’autre ce qui donnait du mouvement à la pénétration de André qui n’avait presque pas besoin de bouger. André sorti son sexe trempé de la chatte de Marie et se dirigea vers Cathy qui pris dans sa main le membre tendu de son amant. Elle le caressa quelques instants avant de le prendre dans sa bouche comme une gourmandise, goûtant ainsi les saveurs de Marie, qui continuait de la caresser, sans oublier d’embrasser tendrement son mari. - Tu m’as fait un beau cadeau, là, chéri ! murmura Marie. - Tu as eu une bonne idée de m’offrir ta femme, André ! renchérit Cathy. -Vous êtes adorables toutes les deux ! leur répondait André d'une voix étranglée, tout ému. - Chéri je voudrais de voir faire l’amour avec Cathy ! Réclama soudain Marie. - Toi !!! ... Si jalouse ! Tu m’autorises à faire l’amour devant toi à Cathy ? Lança André, étonné ! - Oui, prend moi, André ! Là tout de suite ! J’ai tellement envie de toi, de tes bras, de ta queue ! lui cria Cathy, la crinière en bataille. Marie se leva et s’installa sur le fauteuil laissé vide par son mari, pour ne perdre aucune miette de leurs ébats. André s’allongea sur le dos, Cathy le chevaucha, telle une cavalière sur son étalon, désireuse de prendre le contrôle de son plaisir. Elle s’empala avec un soupir de bonheur, non dissimulé, sur cette tige dressée et se mit à onduler savamment des hanches, le buste penché en avant, les yeux rivés dans ceux de André, épiant ses réactions. André ferma ses paupières, pour mieux savourer l'intense sensation de sentir coulisser cette femme sur sa verge. Ouvrant les yeux il se mit à caresser les seins, les fesses de Cathy, puis il se mit habilement à lui titiller le clito, avec son gland, lui arrachant de bruyants soupirs. Ils se fixaient intensément dans les yeux, comme fascinés l'un par l'autre.
Marie se caressait tranquillement dans son fauteuil, impudique et superbe, en regardant le couple d'amants, devant elle, attentive de ressentir leur plaisir monter lentement. Des gémissements sortaient du plus profond de la gorge de Cathy, puis un long râle s'ensuivit,
La belle cavalière venait de jouir en même tant que André dans un cri rauque, libérant sa semence . Cathy s'affala sur le corps de son amant, et posa ses lèvres sur les siennes pour un baiser ardent, comme pour le remercier du plaisir qu’elle venait d'avoir.
A son tour Marie poussa de son petit cri, seule dans son coin, annonciateur de sa jouissance.
Les trois amants n’avaient pas vu passer le temps. Ils se dirigèrent vers la douche qu'ils prirent ensemble, riant et chahutant comme des gamins, heureux de prolonger le bonheur du moment. Puis chacun rajusta ses vêtements. André se chargea de ragrafer les soutiens- gorge et les robes de ces dames, accompagnant cet acte de baisers et chatouillis dans le cou, faisant rire Marie et Cathy aux éclats comme des collégiennes.
L’hôtesse proposa une collation. Ils mangèrent avec appétit, faisant honneur au vin des vignes de Cathy. Avant de se quitter, André proposa à Cathy : - Passe nous voir quand tu veux pour prendre le café ! Marie et André embrassèrent tendrement Cathy , et la remercièrent pour cette invitation et cette journée très particulière.
FIN G.A 20 Mai 2008 Revu et corrigé 28 novembre 2017
Le guerrier et la sauvageonne
Les chasses et les cueillettes durent parfois deux ou trois jours, hors du camp des Méduliens. Rien en vue! Pourtant le guerrier sent une présence , comme si quelqu’un l’observait, dernière cet épais rideau vert. Il scrute les environs d'un œil de fin chasseur, mais pas âme qui vive. Il entend un bruissement de feuillage et de craquements de branchages. Peut-être un félin qui rode. Méfiant, KIGA bande son arc, place une flèche, prêt à décocher. Il regarde dans tous les sens. Soudain une silhouette féminine, semble-t-il, avec une longue chevelure blonde, se sauve en sautant tous les obstacles devant elle. KIGA se met à sa poursuite.
La sauvageonne court aussi vite qu’une gazelle. Il accélère sa course. La belle sort du bois et se dirige vers la rivière. Cette jeune fille veut sans doute rejoindre sa tribu, les « Franchis » qui se trouvent de l’autre côté de la rive. La sauvageonne commence à ralentir sa course, essoufflée, elle trébuche dans les hautes herbes.
Le beau guerrier arrive prés d'elle et plonge sur la sauvageonne pour la neutraliser. Elle se débat, le griffe, le mord. Ils roulent, dans les grandes herbes. La diablesse a encore de la force pour se défendre. Mais le jeune guerrier arrive quand même à la maîtriser en lui plaquant les bras au dessus de la tête et, coinçant avec son genou sur le ventre, de la belle diablesse. Elle semble se calmer malgré son regard hostile. Sous les yeux du vaillant guerrier, la sauvageonne reste allongée dans l'herbe, presque nue, sans ne plus oser bouger, ses vêtements déchirés, pendant la violente lutte qui les avait confronté. le Médulien, de son beau regard vif, la contemple, admiratif et fière de sa prise. Elle est très belle, avec sa tignasse blonde et ses grands yeux verts de biche. Il l’embrasse fougueusement, très sauvagement, renouvelant ses baisers, plusieurs fois. Elle lui mord, rageusement les lèvres à chaque baiser volé. Il insiste en lui donnant un autre baiser, cette fois-ci, plus tendrement. La rebelle semble accepter et lui rend, timidement, son baiser. Il lâche prise, mais reste méfiant, malgré l'abandon de toute résistance. Cette sauvageonne semble rusée. Les bras maintenant libérés, elle entoure le cou du beau guerrier. Ses baisers sont moins timides et deviennent de plus en plus sensuelles.
La belle sauvageonne cherche-elle un fiancé ou l’aventure d'un jour ?
Elle devait l'observer déjà depuis longtemps. Pendant les dernières chasses, KIGA avait déjà eu l'impression d'être épié.
Tous les deux allongés dans les hautes herbes, ne se quittent plus des yeux. Les mains de KIGA parcourent le corps sublime de cette sauvageonne, la couvrant de mille baisers, palpant ses beaux petits seins bien fermes. Ses tétons pointent déjà, durcis par l'excitation des caresses. KIGA les prend dans sa bouche, les mordille délicatement, puis les suce, les lèche avec beaucoup de plaisir. Sa main continue d'explorer le corps de sa belle proie. Il continue les caresses vers son ventre. Sa main glisse entre les cuisses de la jeune femme. Deux doigts longent sa fente déjà humide. Il découvre sa perle dans son écrin, qu'il titille doucement. Ses doigts se promènent délicieusement sur sa raie fessière, des caresses toujours bien dosées.
Son visage avance entre les cuisses de la sauvageonne. Sa langue lèche la fente de sa prisonnière, passant et repassant autour du bourgeon de sa belle blonde qui se laisse faire, totalement soumise. Elle ferme les yeux, bien docile, sous les multiples caresses de son beau mâle dominateur. La sauvageonne est maintenant apprivoisée.
KIGA, sent son excitation monter, sa verge se gonfle, se tend, prête pour honorer sa belle conquête. L'homme tend son sexe vers la bouche de la jeune femme. Elle le prend dans sa bouche et commence a le sucer tout naturellement. KIGA retire son membre des lèvres de son amante. La sauvageonne l'attire contre son corps, l’embrasse avec passion et le serre fort contre sa poitrine. KIGA, d'un coup de reins brusque, pénètre la jeune sauvageonne qui pousse un petit cri de douleur. La fille était sans doute vierge ! Des oiseaux, cachaient dans les hautes herbes, s'envolent ... Il s'en suit des gémissements dans le silence de la plaine. KIGA s'active et accélère ses va-et-vient. D'autres petits cris suivies d'un long gémissement, font comprendre que la belle, vient de jouir. La jouissance du beau guerrier arrive aussitôt, avec autant d'intensité. Les amants restent enlacés un long moment et s'endorment dans les hautes herbes, jusqu’au petit matin. KIGA ouvre les yeux et voit au loin, sa conquête, courir vers la rivière en lui envoyant de grands baisers avec sa main. Il ne connaît même pas son prénom. Il décida donc de l’appeler « Ma belle sauvageonne » et se promet de lui apporter en cachette quelques présents dans la cabane, de l'autre côté de la rivière, pour lui montrer son amour.
KIGA doit maintenant penser à reprendre sa chasse. Ce serait un déshonneur pour lui de rentrer bredouille. G A Codem Mars 2008 revu et corrigé
La punition d’Ophélia la rebelle
La forêt de l'invisible
Exhibition romantique
Belle dans son bain
Un si joli petit patio.
Villa à louer: " Weekend à Arcachon " - 3 - Suite et FIN
La main de Katy s’enhardissait, descendant sur le bas-ventre de Nina. Ses doigts jouaient avec le clitoris de la jeune fille puis s’enfonçaient avec douceur entre ses lèvres intimes. Elles avaient presque oublié Marc quand soudain Katy aperçu une ombre sur le mur de la chambre.
Marc était planté là, devant la porte, son plateau à la main, nu, excité et souriant, en observant les deux femmes. Il posa le plateau, s’approcha du lit. Il embrassa Katy puis s'installa près d'elles. Son visage se glissa entre les cuisses de Nina. Marc commença un cunnilingus. Katy observait les réactions de sa petite protégée. Nina fermait les yeux et lâchait de petits soupirs de satisfaction. Katy encourageait Marc a continuer en lui disant que tout cela était terriblement excitant. La jeune fille gémissait de plaisir. Katy ordonna à Marc d'un ton autoritaire : - Vas-y Marc, baise moi cette coquine en chaleur ! Elle n'attend que ça... Regarde comme elle se tortille de plaisir sous ta langue ! Marc souleva les jambes de Nina pour adopter la position du Kamasutra « le bateau ivre » Le sexe de Marc s'enfonça facilement, tellement Nina était excitée. Katy se caressait en les regardant attentivement. Elle s'approcha du couple et déposa un long baiser sur les lèvres de Nina, puis un baiser d'encouragement à Marc.
Katy s'allongea à coté d'eux sur le lit. Elle en profitait pour caresser les petits seins de Nina. Elle fixait, curieusement, la bite raide de Marc, rentrant et sortant à un rythme régulier de la chatte de Nina. Cette situation l'excitait terriblement. Marc s'activait à petit coup de reins avec quelques accélérations sur sa jolie partenaire. La belle brune n'arrêtait pas de gémir. Elle avait deux merveilleux amants pour la servir. Elle était vraiment comblée. Katy ne restait pas inactive, elle léchait les tétons pointus de Nina. Très excitée Katy offrit sa chatte devant la bouche de la brunette qui ne se fit pas prier.
Le trio formait un triangle parfait. Katy profitait d'un cunnilingus de la part de la brunette, Marc baisait avec ardeur Nina, et lui bécotait en même temps Katy. Marc accéléra ses coups de reins et devenait de plus en plus bruyant ! Il ne pouvait plus tenir encore longtemps. Des phrases, à peine audible, sortaient de sa bouche : - Hum, tu es trop bonne Nina, je vais jouir, je n'en peux plus ...
Les gémissements de Nina aussi étaient plus rapides. Elle allait jouir, elle aussi et encourageait Marc a gicler en elle : - Vas-y Marc, vide toi, prends ton plaisir avec moi ... je vais jouiiiiiir ! Katy, avait déjà joui sous la langue de Nina. Elle s'était éloignée, laissant les amoureux jouir ensemble. Notre trio semblait épuisés. Maintenant c'était l'heure de détente! Il n'était pas encore trop tard pour trouver un bon restaurant !
Villa à louer " Week-end à Arcachon" - 2
Villa à louer: Location saisonnière-1
Elle n'avait pas prévu ça. Si elle avait su , elle aurait mis un jean. Surtout que Marc semblait intéressé par les fesses de la belle jeune fille, vu les coups d’œil qu'il lançait à chaque fois que Nina passait devant lui. Et oui, elle avait gardé sa petite jupe et on pouvait voir facilement sa petite culotte. Ce qui réjouissait bien sûr Marc, chahuteur et coquin comme son frère Olivier. Il ne se gênait pas pour mater les fesses de la jeune fille, en lui faisant remarquer que la vue était très agréable et, de ne surtout pas se presser pour installer les rideaux ! Occupée a attacher les crochets, elle sentit la main de Marc, effleurer ses cuisses. Elle laissait faire Marc, trop occupée a vouloir finir vite fait d'accrocher les rideaux. La demoiselle semblait apprécier la douceur des caresses du coquin qui tenait l'escabeau que d'une main. Elle lui avait dit, pour la forme, d'arrêter. Elle espérait au fond d'elle même qu'il continue ses attouchements si agréables. Marc était un bel homme, un séducteur, qui ne laissait pas Nina indifférente. Elle n'avait pas d'amoureux. Elle se contentait de ses caresses solitaires à la recherche du plaisir. Il avait compris que la brunette aimait ses caresses.
Marc avait une réputation de coureur de jupons ! Nina se laissa séduire. Elle avait entendu quelques histoires de la bouche de sa famille concernant les deux frères Olivier et Marc. Des hommes séduisants qui plaisaient beaucoup aux femmes. Elle commença donc a fantasmer sur ce qu'il pourrait lui arriver.
Quand Nina descendit de l'escabeau, Marc murmura : - Tu m'as fait bander! Tu as un cul magnifique Nina ! Puis tout en continuant de parler, Marc la ceintura par derrière et empauma ses seins avec fermeté puis se mit a les caresser avec douceur. La jeune fille semblait gênée mais cachait son plaisir. Les mains de Marc étaient fermes et chaudes. Nina sentait son sexe chaud et dur dans le bas de son dos. Le séducteur était de plus en plus entreprenant. Nina espérait a ce moment qu'il aille encore plus loin. L'excitation montait. Nina ne voulait pas qu'il s'arrête, elle avait de plus en plus envie. L'avait-il deviné ? Une main passa entre les jambes de la belle brune et commença a caresser sa chatte avec douceur. Il lui dit : - Hum, la coquine mouille ! Aurait-elle des envies ? - Hummm ...! fut sa réponse ! Il avait compris qu'il avait toutes ses chances avec Nina. Il la bascula sur le canapé encore couvert de son drap de protection. Sa main se plaqua sur sa chatte et commença à la branler avec douceur, par dessus le tissu de sa petite culotte en dentelle. Il fit glisser la culotte de Nina a ses pieds et, découvrir sa petite chatte toute lisse. Il ne tarda pas a enlever son pantalon. Elle avait vite compris pourquoi il avait un tel succès ! Son sexe était magnifique. Elle pensait à toutes ses femmes qu'il avait du faire jouir. Les doigts de Marc pénétrait l'intimité de la jeune fille, en écartant ses lèvres intimes pour découvrir son clitoris. On entendait, sous ses caresses, le clapotis que faisait la cyprine de Nina. Ce petit bruit si excitant ! Les caresses continuèrent avec plus de vigueur, un bon moment. Elle ferma les yeux comme pour mieux apprécier ce moment de pur plaisir. Son bonheur fut encore plus grand quand elle senti le sexe de Marc la posséder. Les va-et-vient étaient tantôt doux, tantôt plus brusque, avec des coups de reins plus brutaux. Nina suivait avec harmonie les mouvements du corps de Marc. Nina avait comprit que c'était un virtuose du sexe, C'était un amant formidable. Elle senti un premier orgasme arriver. Il lui donna tout le plaisir qu'une femme peut espérer. Elle ne pouvait pas oublié cette première fois, il venait de la dépuceler. Et oui bien sûr, on n'oublie jamais une première fois surtout si elle a été une bonne expérience. Bien sûr, pendant leur séjour, il y a eu d'autres fois ! Les travaux de décoration et d’aménagement étaient maintenant terminés. Un bon nettoyage et tout sera parfait ! Katy était contente du travail que son beau-frère et Nina avaient réalisé ! Il faut reconnaître que malgré quelques pauses coquines, ils n'avaient pas chômé. Pour fêter ça, Katy ouvrit un bon millésime de Champagne. Après un premier verre, Marc quitta la villa, il devait rejoindre son épouse qui l'attendait, impatiente. Katy buvait verre après verre et devenait de plus en plus joyeuse. Elle ouvrit une deuxième bouteille. Nina avait déjà bu 3 ou 4 verres. Elle savait pourtant qu'elle ne supportait l'alcool. Les deux femmes éclatèrent de rire pour un rien. L'alcool aidant, Katy se mit a raconter des bêtises sur les hommes et, parla de son mari Olivier puis de Marc. Elle questionna Nina, avec insistance, pour savoir si Marc avait été raisonnable avec elle . Nina ne savait pas pourquoi Katy se montrait si curieuse et posait tant de questions. Elle se garda bien de raconter son aventure avec Marc qui avait entrepris d'initier l'innocente et qui n'en demandait pas plus. Katy semblait très bien connaître son beau-frère! Puis la révélation tomba. Katy avoua être la maîtresse de Marc depuis un an ! Nina ne sourcilla pas face a cette révélation. L'ambiance restait malgré tout, plutôt sympa. Elle avait mit de la musique antillaise et avait commencé a se déhancher sur les rythmes tropicaux. Après avoir fait les folles, une bonne demi-heure, un peu fatiguée peut-être, Katy avait mis un CD de slows, et attrapa la main de Nina pour l’entraîner au milieu de la pièce pour danser. Katy, sous l'effet de l'alcool, sans doute, commença a caresser le dos et les épaules de Nina puis s'amusa avec ses longs cheveux noirs qu'elle enroulait au bout de ses doigts. Elle se collait de plus en plus contre Nina. Son corps était tout chaud, ses seins s'écrasaient contre la poitrine de la jeune fille. Une jambe entre celles de Nina. Son genou frottait avec précision l’intimité de la brunette. Nina ne savait plus quelle attitude avoir. A cet instant, elle se sentait tellement bien qu'elle se laissait emporter dans se tourbillon de bien-être et de plaisir. Katy commença a l'embrasser dans le cou. Elle aimait bien donner ses petits baisers, puis passa ensuite sa main sur sa nuque pour attirer son visage angélique vers le sien. Nina fut surprise quand Katy lui donna un long baiser, très sensuel, sur la bouche. Sa langue cherchait celle de Nina. Le champagne avait du la rendre amoureuse. Katy était silencieuse, ce qui était rare chez elle. Les slows défilèrent. Elle s'appliquait a plaire à la jeune fille qu'elle serrait de plus en plus fort dans ses bras. Nina se laissait faire, incapable de la repousser. Katy en profitait pour exciter la jeune fille par des caresses de plus en plus osées et très sensuelles. Katy savait comment lui donner envie. Sa main s'égarait entre les jambes de Nina. Elle savait qu'elle allait trouver sa petite culotte humide. Elle devenait la proie de sa logeuse qui voulait assouvir ses désirs sexuels. Pendant que la chaîne Hi Fi diffusait « Unchained Mélody » Katy entraîna Nina au fond de la pièce. En passant devant le canapé, elle renversa la brunette dessus. Nina se retrouva sur le dos. Katy, aussitôt, s'allongea sur elle et, très sûr d'elle, commença a défaire ses vêtements en les éparpillant sur le tapis, devant la cheminée. Elle aimait les pressions de la paume de la main de Katy sur son pubis et la douceur de ses doigts, effleurant mon intimité. Sa bouche jouait avec ses jolis petits seins. Elle suçait, léchait, aspirait les tétons de Nina.Trop exquis, cet instant qu'elles semblaient être dans un rêve ! Nina restait passive devant tant de douceur. Elle ne pouvait que laisser faire, cette femme qui avait su la séduire et prendre son corps.
Nina pensait que Katy devait avoir l'habitude de faire l'amour avec des femmes. Elle était trop à l'aise pour qu'elle soit sa première partenaire féminine. La jeune fille s'abandonna totalement dans les bras de sa nouvelle maîtresse et ne cherchait plus a savoir ce qu'il lui arrivait.
Elles se mirent en position de "69" et, commencèrent un délicieux cunnilingus. Nina était très d'excitation sous les coups de langue très habile de Katy, ce qui lui déclencha assez vite, un premier orgasme, alors inconnu de cette façon là pour Nina !
Elle encourageait Nina a en faire autant mais elle était novice dans ce domaine. Katy guidait sa jeune protégée et, l'encourageait.
Nina était fière d'elle quand elle a entendu pousser un petit cri de plaisir dans la bouche de Katy. Elle venait de faire jouir son initiatrice.
Une heure du matin, elles n'avaient même pas pris le temps de manger. Après avoir grignoté un peu, elles ont rejoint la chambre de Katy. Nina s'était blottit dans les bras de sa maîtresse. Le matin, elle fut réveillé en douceur par de délicieuses caresses et de tendres baisers de la part de Katy. Elle ouvrit le tiroir de sa table de chevet et, en a sortie un gode noir et commença a caresser de la pointe du joujou, le clitoris de Nina puis s'amusa à la pénétrer avec cette bite artificielle. Elle demanda a Nina si elle aimait la sodomie. Ne voulant pas passer pour une gourde, comme elle n'avait jamais pratiqué, elle répondit "envie d'essayer" ! Elle sortit sa panoplie de "mec", positionna comme il faut sa ceinture-gode et demanda à sa jeune amante de se mettre devant elle à quatre pattes sur le lit. La coquine, n'en avait pas encore assez. Leurs ébats, leurs procurèrent encore plusieurs orgasmes. Nina devait de découvrir en quelques jours tous les plaisirs du sexe ! Et ce n'est pas tout, Katy lui avait parler de vouloir lui faire découvrir le trio et insista pour l'impliquer dans cette relation. Nina, fantasmait au fond d'elle même " Si Katy pensait à Marc comme troisième partenaire, j'aimerais tenter cette aventure ? " Il était tant de se quitter, Nina devait rejoindre ses parents qu'elle n'avait pas vu depuis plus de quinze jours. Chaque fois que Nina passait devant cette villa à Arcachon, très souvent occupée par des vacanciers, elle repensait à tout ces moments si agréables de sa vie. Peut-être que l'an prochain, quelques travaux seront nécessaire. Nina ne souhaitait qu'une chose maintenant c'est de réaliser ce trio avec Katy et Marc. A suivre ....