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Sexe Amour Poésie Humour

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Miroir d'eau

Miroir d'eau   Flippe, flappe, flippe, flappe...   Les lumières de la ville scintillent Éclairant la route mouillée. Nous avançons dans le froid. Tu marches à mes côtés, Collée tout contre moi.   Les flaques d’eau gelées Se font beaux miroirs Ton corps s’y reflète, ta jolie silhouette. Tes jambes gainées de bas noirs J’avoue que mon regard coquin, Mate ce que les flaques me renvoient   Je m’amuse de ses belles images Comme un gosse émerveillé Tu n’es pas un mirage Mais bien une réalité. Je te serre dans mes bras tendrement, Je sens ton cœur palpiter, La de ton corps se dégager.   Je te couvre de baisers. passionnément enlacés Comme les amoureux de Peynet. Nous jouons à nous regarder Dans nos flaques d’eau Qui commencent à dégeler. Nous n’avions pas vu l'heure passer   Rentrons vite s’aimer au chaud ! Laissons aux autres nos flaques d’eau !   G.A le 08 décembre 2012  

codem

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Le loup, le renard et la belette.

Non, ce n'est pas la chanson ça ... c'est une autre histoire ! " Le loup, le renard et la belette."   Dans un bois une belette se promenait,   Quand Maitre Renard essaya de la charmer.   La petite belette toute joyeuse se laissa courtiser.   Mais le Loup, tout près,  ne voulut pas en rester là !   Donner une telle proie au renard ne lui plaisait pas.   La belette, sous le charme du renard, se laissa baratiner.   Alors, furieux le loup s'enfuit loin de celle qu’il aimait.   Et la pauvre belette ne les revit plus jamais!   Ni le loup, ni le renard, qu’elle admirait. Moralité : A faire la belle, elle perdra le loup, le renard et n’aura que des blaireaux !    

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La fille de mon propriétaire

La fille de mon propriétaire - 1ère partie   Elle s’appelait Maryse, c'était la fille de notre propriétaire de l'époque. Une petite haie nous séparait de leur maison. La chambre de Maryse se trouvait devant la baie vitrée de notre salon. Cette année là, mon épouse avait perdu sa mère. Son père, artisan, se retrouvait seul. Il habillait à 30 km de chez nous. Il partait tôt le matin et rentrait tard le soir. Elle allait régulièrement lui faire la paperasse, les courses, la lessive, le repassage, tout ce que sa mère faisait et que lui était incapable de faire.   Maryse me cherchait ouvertement depuis qu'on avait emménagé dans la maison près de chez ses parents. Elle manquait de discrétion et mon épouse l'avait remarqué, d'où son hostilité vis à vis d'elle.   En allant à la boite aux lettres, comme je le fais régulièrement, j'ai trouvé un jour,  un morceau de papier de cahier d'écolier, ou il y avait d'écrit : "Maryse t'aime!" J'avais pensé à des gamineries.   Le jour  où tout a basculé, il faisait très beau et très  chaud après un hiver long et rigoureux. Je me souviens de m'être installé sur la terrasse devant la baie vitrée du salon. Dix minutes à peine m' être allongé  sur ma chaise longue,  je m'aperçois que Maryse s'était installée, assise sur le rebord de la fenêtre de sa chambre. Elle avait plié ses jambes sur son ventre qu'elle entourait de ses bras,  les genoux se touchants mais les pieds écartés, donc je voyais nettement sa petite culotte. Elle jouait en croisant et décroisant sans arrêt ses belles gambettes. J'avoue qu'a ce moment je ne pouvais plus lire, tellement elle essayait d'attirer mon attention dans sa direction. Amusé, j'ai regardé un bon moment son petit manège, ensuite je me suis replongé dans ma lecture et quand j'ai relevé la tête, elle avait disparu. Pas pour longtemps! La voila qui se réinstalle sur le rebord de sa fenêtre avec sa même façon d'agir. Mais là, je m'aperçois qu'elle avait enlevé sa petite culotte. Je regarde avec insistance pour voir si je ne me trompais pas. Si ce n'était pas mon imagination qui me jouait des tours. Non! Je voyais bien.  Pas d'erreur, je pensais bien ... “Oh la petite coquine, quelle allumeuse!” Bien vite, mon sexe a réagit et déformé mon short. Cette vision  n'avait  excité  et malgré  mon envie de ne pas céder à la tentation pas pu freiner mes pulsions Elle m'avait  provoqué,  donc j'avais  décidé de la provoquer à mon tour.  J'ai baissé mon short et pris mon sexe dans ma main et j'ai commencé a m'exhibere puis a me masturber  lentement,  devant elle. Son  regard est des plus insistant comme un message  et elle  me répondait par des  gestes de provocation  en se caressant ouvertement devant moi, sans gêne.  Ses doigts glissaient sur sa fente en ayant soin de vérifier que je la regardais  bien!  Elle passait sa langue sur ses lèvres comme pour me faire comprendre son envie. Elle se mord la lèvre  inférieure. Trop loin pour entendre ses gémissements  que  je  devinais.  Je sens que notre petit jeu montait dans une grande excitation mutuelle.   J'ose lui faire signe de me rejoindre.   Elle saute de sa fenêtre et passe par le petit portail en bois qui sépare les deux propriétés. A peine à côté de moi,  je l'ai prise dans mes bras et l'ai assise sur mes genoux. Je l'ai serré très fort en commençant a frotter mon sexe  contre sa cuisse puis son ventre.  Je me souviens l'avoir prise par les cheveux en lui  disant : - Puisque tu veux du sexe, tu vas en avoir! Je devenais le maître du jeu. Elle semblait être consentante. Je lui ai demandé si elle avait déjà sucé un homme. Elle m'a répondu que non mais  savait que ça se faisait. - Eh bien ça va être une première pour toi ! J'ai pris entre mes mains, son visage que j'ai dirigé vers mon sexe fièrement dressé en la priant  de me prendre dans sa bouche. Je l'encourageais : - Vas-y ouvre ta bouche , fais comme si c'est une sucette ! Je lui expliquais comment faire. Pendant qu'elle s'appliquait a me sucer,  ma main s'égarait entre ses cuisses. Maryse  mouillait abondement. Mes doigts, pleins de sa cyprine,  passaient sur sa raie fessière,  massant son anus au passage. Mon majeur  s'enfonça  difficilement dans son anus étroit   Je la sentais très soumise. J'en profitais en lui  ordonnant de se mettre à quatre pattes. Je voulais la prendre en levrette. Pendant que mon sexe frottait sa fente, allant de son clito à son petit trou,  je lui claquais les fesses. Elle aimait ça visiblement ! Les doigts  laissaient des traces sur sa peau fine et blanche de jeune fille.  Peur de la mettre enceinte après quelques va-et-vient, j'ai essayé de la sodomiser. Quand je me suis enfoncé en elle, elle  poussa un cri de douleur et de sa petite voix m'a dit : -  c'est la première fois! Vas-y doucement , soit doux ...   Voila comment j'ai dépucelé ma jeune et coquine  voisine!   J'avoue que c'était un très bon souvenir. D'autres occasions ont suivi dés qu'elle savait que j' étais seul, elle me cherchait à chaque fois.   Un matin, elle a même débarqué chez moi dés qu' elle avait vu mon épouse partir.   Mais ça c'est une autre histoire   A suivre ...     La prochaine fois pense a sonner à la porte! - 2ème partie     Très occupé dans la salle de bain, je n'avais pas entendu arriver Maryse,   -  Maryse !!!  Que fais-tu là? Tu m'as fait sursauter,  je n'ai pas entendu sonner!   - Je n'ai pas sonner,  je voulais te surprendre. J'ai vu depuis ma chambre qu'il y avait de la lumière dans la salle de bain.   J'avais trouvé gonfler de rentrer chez les gens sans sonner! Ce n'était pas parce que cette maison lui était familière qu'elle devait faire comme chez elle.   J'étais complètement nu sous la douche, devant elle. La coquine savait très bien ce qu'elle faisait!   Elle est venue vers moi, à posé sa tête sur mon épaule et de sa main a caressé mon torse. Elle y déposa une série de petits baisers. Ma mains caresse sa chevelure, puis masse sa nuque, ses épaules. La main de Maryse glissa sur mon ventre pour descendre vers mon sexe. Elle plaqua sa main largement ouverte dessus et commence a me masser. Maryse n'est vêtue que d'un tee-shirt arrivant a mi-cuisses,  bien trop grand pour elle,  piqué sans doute à son grand frère. J'ai passé ma main sous son tee-shirt et palpa ses petites fesses, puis les caressa avec un grand plaisir.   Je lui dit :   - Tu mériterai une bonne fessée pour avoir osé rentrer dans la maison sans mon autorisation.   Elle murmura  un grand “hummm!” approbateur.   Je la prends au mot. Aussitôt, je m'installe sur la chaise de la salle de bain en tirant Maryse vers moi, je la bascule sur mon giron, les fesses à l'air. Ma main s’élève dans les airs et s'abat sur ses belles petites fesses blanches. Dans la salle de bain, les claques sur son petit cul résonnent. Malgré quelques ... “aïe ! salaud!”,  Maryse se laisse faire sans se débattre. Son cul sous mes yeux me fait bander. Elle doit le sentir sous son ventre! Elle gesticule. Je la ceinture du bras gauche et de l'autre main,  j'écarte bien ses fesses et commence à lui caresser son entre-jambes. Maryse est déjà toute excitée.   Mes doigts glissent facilement le long de ses lèvres intimes. Je commence à la caresser activement.  Deux doigts  s'enfoncent dans ses chairs, allant de sa rondelle brune à son clitoris. Je n'entends plus  Maryse.  Elle savoure cet instant. Ce ne sont plus que des gémissements qui sortent de sa bouche. Elle, si bavarde  normalement ! Ses fesses sont écarlates. Les traces de mes doigts sont encore bien visibles.   Maryse vient de jouir. Elle laisse pendre sa tête dans le vide et ne bouge plus.   Je la prends dans mes bras et l’entraîne sous la douche. J'ouvre le robinet. Le jet d'eau, pas encore tempéré, la fait revenir les pieds sur terre. Elle se colle à moi en frissonnant. Nous voila tous les deux sous la douche. Nous nous savonnons mutuellement. Je caresse ses seins recouvert de mousse. Je la retourne en la plaquant sur la paroi de la douche. Au bout de mon majeur, je place un bout de savon et titille sa rosette en l'enfonçant comme un suppositoire. Mon gland, prend le relai, frotte sa fente en insistant sur sa rondelle. Avec le savon, je sens facilement mon sexe glisser dans les profondeurs de ses chairs. Maryse s'abandonne, les bras en l'air, les mains plaquées contre la paroi de la douche, les jambes bien écartées. Mon sexe, va et vient, sortant pour aller faire un petit tour dans son vagin et replonger dans le tunnel de la belle Maryse. Instant  merveilleux, avec l'eau qui coule sur nos corps pendant qu'on fait l'amour. Je bois l'eau qui ruisselle le long de son corps.   Nous venons de jouir ensemble, restant enlacés un bon moment quand soudain le téléphone sonne pour nous ramener à la réalité. - Merde !!! Tant pis je laisse sonner!   Voila plus d'une heure que vous sommes sous la douche. Je décide d'en sortir pour rejoindre mes activités.   Maryse a du mal a me quitter. Je la sermonne pour la forme avec un petit sourire en lui disant :   La prochaine fois pense a sonner à la porte!   Elle dépose un baiser sur mes lèvres avant de me quitter   Je rajoute :   - Merci pour ta visite !   G.A

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Un printemps plein de surprise pour Cathy!

* Un printemps plein de surprise pour Cathy!   * 1ère partie - L’étrange visiteuse   Cathy rentre dans son bureau, exténuée par sa longue matinée de travail. Elle s'était levé comme d'habitude à 5h30 pour s'occuper des chevaux. Elle s’effondre dans le fauteuil et appuie machinalement sur la touche de son répondeur pour consulter les messages. Sur son répondeur, une voix de femme qu'elle ne connaît pas, l'interpelle. Elle écoute une seconde fois son message. Intriguée, elle la rappelle. Cette inconnue souhaite un rendez-vous avec Cathy.  - J'ai des choses à me faire confirmer ! Affirme-t-elle.  - Rien de grave, mais c’est important, enfin important pour moi !  Ajouta-t-elle - Dites moi … ! Insiste Cathy. - Non ! Pas au téléphone ! Cathy consulte son agenda    - Et, … On s’accorde combien de temps pour notre entretien ?    - Euh ! ... Disons une petit heure ! Répond d'une voix timide,  l'inconnue    - Une heure ? C’est bon ! Confirme Cathy   " Je verrai bien ! " Pensa-t-elle.   L'inconnue semblait y tenir à ce rendez-vous ! Mais pas moyen d'en savoir plus ! Cathy accepta, surtout par curiosité. Elles conviennent d’une heure dans l'après-midi. C'est que Cathy a énormément de travail avec ses chevaux. Il faut tout préparer pour la saison. Les randonnées équestres commencent déjà.
En fin de matinée, un homme descend d'un 4x4  qu'il a stationné devant l'entrée de la propriété puis s’avance vers la maison, d'un pas décidé. Cathy l'aperçoit depuis la fenêtre de sa cuisine.   -  Sans doute un touriste ! S’interroge Cathy. Il se balade avec son appareil photo autour du cou ! Elle arrange vite ses cheveux avec ses mains devant le miroir du couloir puis, ouvre la porte pour accueillir le visiteur.
L'homme, souhaitait des renseignements pour les randonnées à faire aux alentours. Cathy a remarqué de suite le beau regard et le sourire séducteur du visiteur. Un bel homme, à l'allure sportive, d'une cinquantaine d'années, les cheveux grisonnants sur les tempes. La jeune femme est troublée par ce quinquagénaire qui la détaille avec son regard franc, charmeur et, quelque peu coquin. Il lui rappelait quelqu'un. Un artiste où une personne qu'elle avait peut-être croisé.  Après avoir eu les renseignements, l’homme la salue avec son plus beau sourire et avant de s’éloigner, lui lance :  - Vous êtes charmante Madame ! Et merci pour votre amabilité. Je reviendrai sûrement vous voir !   * 2ème partie - La rencontre.   14 h 15 … On sonne a la porte !
Cathy va ouvrir. Une femme très élégante se présente.    - Je suis Marie, j’ai rendez-vous avec vous !  Cathy regarde la pendule, elle a un bon quart d’heure d’avance.   Elle est admirative devant la beauté et l'élégance de sa visiteuse. Elle a un instant de panique, elle n’a pas eu le temps de quitter ses vêtements de travail. Cathy s’excuse pour sa tenue auprès de la visiteuse.   - Pas eu le temps de me changer !
Elle l'installe dans le salon et file se changer de tenue.
De retour, toute pimpante, Cathy ne tarde pas à la questionner :   - Alors que vouliez-vous me dire d’important ?   Cathy peut à présent examiner l'inconnue en détail. Elle est ravissante, craquante, avec son visage d’ange qui respire la douceur et la gentillesse ! Une ombre de ressentiment passe sur le visage de Marie. Après un moment de silence, elle commence enfin :      -   C’est à propos de mon mari ! lance Marie     -  Expliquez-vous ! Je le connais ?     -  Oui ! J’ai trouvé des échanges amoureux entre vous deux. Je sais que vous êtes sa maîtresse ! J’ai trouvé votre n° de téléphone et vos coordonnées dans les affaires de mon mari !    -   Mais je n’ai pas d’amant, je vous l’assure ! Je suis une femme fidèle, Marie ! Même si mon mari me délaisse souvent. Je ne connais sûrement pas votre mari ! S’insurge Cathy.   -   André ! Ce prénom vous dit quelque chose ? Balance Marie. Cathy a le cœur qui s’emballe subitement. Très troublée, ne sachant plus quoi répondre, elle bafouille:    - André ?  Il habite dans le Médoc ?    - Oui ! Confirme Marie.   -  Mais je ne suis pas sa maîtresse ! C’est un ami avec qui j’ai eu des échanges sur une messagerie. Ça fait depuis bientôt un an que je ne corresponds plus avec lui ! Répond Cathy en essayant de se justifier. Marie a l’air énervé, son visage d'ange vient subitement de changer ! Elle ne semble pas la croire Cathy voit, l’espace d’un instant, une tigresse prête à bondir sur elle. Elle a peur quand Marie plonge sa main droite à l’intérieur de son sac à main. Son cerveau fonctionne à toute vitesse.    "  Peut-être que cette fille tient un revolver et va s’en servir pour me tuer ! "  Pense-t-elle, paniquée.  -  Vous pourriez le décrire un peu ? demande Cathy, pour apaiser les choses.  -  Grand, sportif, cheveux grisonnants, les yeux verts noisettes. Précise Marie  -  Si vous me disiez ce que vous attendez de moi ? Vous êtes dans la région en ce moment? En vacances peut-être ? interroge Cathy, pour tenter de dissiper la tension qu'elle sentait d'installer.  -  Oui ! Avec lui ! Je sais qu’il cherchera à vous voir ! C’est pour cela qu’il a choisi cet endroit, près du Lac de Caillou.
Quelques larmes se mirent à couler sur les joues de Marie. Cathy se leva de son fauteuil et,  pris Marie dans ses bras pour l'apaiser.  -  Ne craignez rien, je vous jure que je n'ai aucun amant. Marie regarde tendrement Cathy : - Vous êtes charmante ! En disant ça, Marie fixe Cathy dans les yeux si intensément qu’elle en fut troublée. Marie ne put s’empêcher de se lever à son tour, pour l'embrasser sur la joue puis, un deuxième baiser s’ensuivit, frôlant de très près les lèvres de Cathy dont le corps se mit à trembler sous le coup de l'émotion que devait de faire naître Marie. Cathy était énormément troublée par cette femme.
Marie recule d'un pas et lui dis : -  Vous êtes charmante et tellement belle, Madame ! Je crois que si mon mari voulait faire l’amour avec vous, je ne lui dirai rien parce que je le comprendrais ! -  Je dois vous quitter ! Poursuivit-elle. -  J’aimerai qu’on se revoit avant de quitter la région ! -  Puis-je vous demander quelque chose ? Enchaîne Cathy. - Oui ! Bien sûr !!!         - Que cherchiez-vous dans votre sac tout à l’heure ?         - La photo d’André  ! - Je peux la voir ? En regardant la photo, Cathy fut tétanisée. Elle venait de reconnaître le beau séducteur de ce matin.
André avait été à deux pas d’elle. Elle ne l'avait pas reconnu. Elle, qui rêvait tant de se jeter dans ses bras !   Une fois l’émotion passée, Cathy proposa à Marie :      - J’aimerai vous inviter samedi midi ! Je serai seule, toute la famille s’absente pour le long week-end prochain. Comme ça nous pourrions parler et je serai tellement contente de rencontrer enfin André !
  * 3ème partie- L’invitation   Le soleil de midi tapait déjà fort,  quand le 4x4  de André rentrait dans la propriété de Cathy.  Celle-ci les attendait sur le pas de la porte, déjà élégamment vêtue pour l'occasion, d'une jupe ample et d'un petit chemisier transparent et très  décolleté.   André félicita Cathy pour son bon goût vestimentaire. Marie, rayonnante, avait elle aussi soigné sa tenue et son maquillage. Cathy l’embrassa, la pris par les mains et se recula  d’un pas pour mieux la contempler. - Vous êtes magnifique, Marie !  Lui déclara Cathy. - Je vous retourne le compliment, vous êtes également très belle ! répliqua Marie   Après ses échanges de compliments, Cathy les invita à entrer dans la maison,  où flottait les effluves d'un plat en train de mijoter. Cathy se souvenait que André était un fin gourmet.
Après le repas, qui se révéla délicieux et très raffiné, Cathy reçût des  compliments  de la part de ses invités. L’hôtesse leur proposa de passer au salon pour déguster un beau café.   La discussion tourna autour de la difficulté pour Cathy, de gérer presque seule, quelques d’hectares de vignes et le haras.
Cathy changea de conversation en s’intéressant à Marie. - Et vous Marie, vous avez une occupation ? Vous travaillez ? demanda Cathy. - Oui je travaille dans une parfumerie à temps partiel, ce qui me laisse du temps pour mes loisirs ! - Et que faites- vous de beau pendant vos loisirs, si je ne suis pas indiscrète ? - Je peins, mais des reproductions, et sans grand talent. C’est pour le plaisir. Je fais partie d’un club d’arts et loisirs et c’est agréable de se retrouver entre copines chaque semaine !
André était là n’intervenant pas dans leur conversation. Il observait Cathy qui dévorait  Marie des yeux. Après une petite heure de discussion dans le salon, André passa sa main sur la nuque de sa femme. Celle-ci poussa un petit gloussement de plaisir. - humm ! J’adore quand tu me fais ça ! - J’adore ça aussi ! répliqua Cathy - J’aime bien qu'on me caresse la nuque aussi et surtout le torse ! Surenchérit André. La conversation commence à être moins sérieuse que tout à l’heure où ils  parlaient  surtout boulot ou politique.   André commença à taquiner Marie devant Cathy.  Était-ce sous l’effet du Cognac de  vingt ans d'âge, vieilli dans les chais de la propriété, que Cathy venait de leur servir ? André devenait très joyeux et exubérant. -Sais-tu ce que m’a dit Marie ? lança subitement André à Cathy. Sans répondre, Cathy écarquilla ses beaux yeux verts d'un air interrogateur, pendant que  Marie baissait la tête d'un air confus. André poursuivit : - Elle m’a dit que tu l’avais troublée l'autre jour, et qu’elle pourrait facilement tomber amoureuse d’une femme comme toi ! - Moi aussi cette rencontre m’a émue, avoua Cathy ! Et détournant son regard vers Marie, elle ajouta : - je vous trouve très belle, Marie ! Mais l’idée d’aimer une femme me fait très peur ! C’est contre ma nature !   André se tourna vers sa femme et lui déposa un tendre baiser sur les lèvres. Sa main  glissa sous le chemisier  pour lui caresser un sein. Cathy ne disait rien. Elle observait ses invités. Elle regardait, étonnée, André défaire les  petits boutons du chemisier de sa femme pour découvrir la belle poitrine de Marie, tout en fixant Cathy droit dans les yeux.  Il se pencha sur les seins de sa femme pour y déposer de petits baisers. Cathy détourna un instant la tête, gênée. puis regarda intéressée. - Cathy, viens toucher la douceur de sa peau ! Invita André. Voyant que leur hôtesse n’osait pas bouger, André vint s’asseoir à coté d'elle et se mit  à jouer de son charme. Fixant Cathy droit dans les yeux, lui déposant un léger baiser  sur la bouche.  Elle en fut troublée, et gênée vis-à-vis de Marie qui pourtant ne bronchait pas.   André prit le bras de Cathy et la tira vers Marie. Il prit sa main dans la sienne et se remit à caresser les seins de Marie. Cathy se laissait guider par André. Marie fermait les yeux sous la douceur des caresses de André et de Cathy. Marie rouvrit les yeux et fixant Cathy, lui murmura : - Ta main est très douce, Cathy ! Comme pour la remercier,  elle embrassa Marie tendrement sur les lèvres.  Les deux femmes échangèrent un regard rempli  de désir. Remarquant cela, André lâcha la main de Cathy et alla s’installer sur un fauteuil un peu en retrait. Il aimait jouer au voyeur.   Les deux femmes ne cessaient pas de se dévisager intensément, comme fascinées l’une par l’autre. Marie se montra la plus entreprenante. Attrapant les épaules de Cathy pour la faire basculer  sur le canapé, puis  l'embrassa fougueusement. La vision de  ses deux femmes enlacées commençait à  exciter sérieusement André. Détachant la ceinture de son pantalon, il ouvrit lentement un à un les boutons puis le glissa a mi-cuisses. Sa main glissa à l’intérieur de son boxer, puis commença à se caresser en matant les deux femmes s’enlaçant passionnément. Leurs caresses devenaient de plus en plus sensuelles.   André avait maintenant sorti son sexe tendu qu'il massait avec infiniment de plaisir, en suivant avec attention les ébats des ravissantes femmes qui s'étreignaient  sur le canapé, semblant avoir oublié sa présence.  La situation devenait de plus en plus excitante pour lui.   Marie s'était couchée sur Cathy et la caressait lascivement de la pointe de ses tétons durcis jusqu'à ses jolies fesses .  Leurs jambes s'entremêlaient.  Leurs corps chauds, sublimaient les senteurs de leurs parfums avec lesquelles elles s'étaient imprégnées.  Leurs effluves enivraient les deux femmes amoureuses, chatouillant délicieusement les narines d'André, l'excitant encore plus.
Cathy caressait maintenant les seins de Marie, et ses lèvres s'emparèrent de ses tétons.  Elle se mit à les sucer, les lécher, les mordiller. Cathy passa ses bras autour du cou de Marie pour l’attirer plus près d’elle, l’embrassant partout sur le visage, dans le cou. Son excitation  devenait extrême, sa respiration haletante. Les deux femmes semblaient être seules.
André matait les jolies fesses relevées de sa femme. Il se leva, et se plaçant derrière elle et, présenta son sexe entre ses cuisses. Il aimait la prendre comme ça, en levrette.  Il posa une main sur sa taille, l’autre tenant sa queue qu’il frotta le long de la raie fessière de Marie. Les deux femmes continuèrent de s'embrasser avec passion, tandis que André  pénétrait sa femme. Elles frottaient leurs chattes brûlantes , l’une contre l’autre ce qui donnait du mouvement à la pénétration de André qui n’avait presque pas besoin de bouger.   André sorti son sexe trempé de la chatte  de Marie et se dirigea vers Cathy qui pris dans sa main le membre tendu de son amant. Elle le caressa quelques instants avant de le prendre dans sa bouche comme une gourmandise,  goûtant ainsi les saveurs de Marie, qui continuait de la caresser, sans oublier d’embrasser tendrement son mari. - Tu m’as fait un beau cadeau, là, chéri ! murmura  Marie. - Tu as eu une bonne idée de m’offrir ta femme, André ! renchérit Cathy. -Vous êtes adorables toutes les deux ! leur répondait André d'une voix étranglée, tout ému. - Chéri je voudrais de voir faire l’amour avec Cathy ! Réclama soudain Marie. - Toi !!! ... Si jalouse ! Tu m’autorises à faire l’amour devant toi à Cathy ? Lança André, étonné ! - Oui, prend moi, André ! Là tout de suite ! J’ai tellement envie de toi, de tes bras, de ta queue ! lui cria Cathy, la crinière en bataille. Marie se leva et  s’installa sur le fauteuil  laissé vide par son  mari,  pour  ne perdre aucune miette de leurs ébats. André s’allongea sur le dos,  Cathy le  chevaucha,  telle une cavalière sur son étalon, désireuse de prendre le contrôle de son plaisir. Elle s’empala avec un soupir de bonheur, non dissimulé, sur cette tige dressée  et se mit à onduler savamment des hanches, le buste penché en avant, les yeux rivés dans ceux de André, épiant ses réactions. André ferma ses paupières, pour mieux savourer  l'intense sensation de sentir coulisser cette femme sur sa verge. Ouvrant les yeux il se mit à caresser les seins, les fesses de Cathy, puis il se mit habilement à  lui titiller le clito, avec son gland,  lui arrachant de bruyants soupirs. Ils se fixaient  intensément  dans les yeux, comme fascinés  l'un par l'autre.
Marie se caressait tranquillement dans son fauteuil, impudique et superbe, en regardant le couple d'amants, devant elle, attentive de ressentir leur plaisir monter lentement. Des gémissements sortaient du plus profond de la gorge de Cathy, puis un long râle s'ensuivit,
La belle cavalière venait de jouir en même tant que André dans un cri rauque, libérant sa semence . Cathy s'affala sur le corps de son amant, et posa ses lèvres sur les siennes pour un baiser ardent, comme pour le remercier du plaisir qu’elle venait d'avoir.
A son tour Marie poussa de son petit cri, seule dans son coin, annonciateur de sa jouissance.
Les trois amants n’avaient pas vu passer le temps. Ils se dirigèrent vers la douche qu'ils prirent  ensemble, riant et chahutant comme des gamins, heureux de prolonger le bonheur du moment. Puis chacun rajusta ses vêtements.   André se chargea de ragrafer les soutiens- gorge et les robes de ces dames, accompagnant cet acte de baisers et chatouillis dans le cou, faisant rire Marie et Cathy aux éclats comme des collégiennes.
L’hôtesse proposa une collation. Ils mangèrent avec appétit, faisant honneur au vin des vignes de Cathy. Avant de se quitter, André proposa à Cathy : - Passe nous voir quand tu veux pour prendre le café !   Marie et André embrassèrent tendrement Cathy , et la remercièrent pour cette invitation et cette journée très particulière.
FIN G.A 20 Mai 2008 Revu et corrigé 28 novembre 2017
 
 
 

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Le guerrier et la sauvageonne

KIGA , fière et beau guerrier,  a une connaissance parfaite de la forêt. Il est habitué à parcourir cette jungle de long en large.   Il s’y enfonce, à la recherche de nourriture pour sa tribu, les « Médulis ».   Ils se nourrissent de baies, de racines, de plantes comestibles et toutes sortes de gibiers à plumes et à poils. Il marche déjà depuis plus d'une heure. La chaleur est étouffante dans cette cathédrale de végétation. Aucune trace de gibier, principale nourriture de la tribu.
Les chasses et les cueillettes  durent parfois  deux ou trois jours,  hors  du camp des Méduliens. Rien en vue! Pourtant le guerrier sent une présence , comme si quelqu’un l’observait, dernière cet épais rideau vert. Il scrute les environs d'un œil de fin chasseur, mais pas âme qui vive. Il entend un bruissement de feuillage et de craquements de branchages. Peut-être un félin qui rode. Méfiant, KIGA bande son arc, place une flèche, prêt à décocher. Il regarde dans tous les sens. Soudain une silhouette féminine, semble-t-il, avec une longue chevelure blonde, se sauve en sautant tous les obstacles devant elle. KIGA se met à sa poursuite.
La sauvageonne court aussi vite qu’une gazelle. Il accélère sa course. La belle sort du bois et se dirige vers la rivière. Cette jeune fille veut sans doute rejoindre sa tribu, les « Franchis » qui se trouvent de l’autre côté de la rive. La sauvageonne commence à ralentir sa course, essoufflée, elle trébuche dans les hautes herbes.
Le beau guerrier arrive prés d'elle et plonge sur la sauvageonne pour la neutraliser. Elle se débat, le griffe, le mord. Ils roulent, dans les grandes herbes. La diablesse a encore de la force pour se défendre. Mais le jeune guerrier arrive quand même à la maîtriser en lui plaquant les bras au dessus de la tête et, coinçant avec son genou sur le ventre, de la belle diablesse. Elle semble se calmer malgré son regard hostile. Sous les yeux du vaillant guerrier, la sauvageonne reste allongée dans l'herbe, presque nue, sans ne plus oser bouger, ses vêtements déchirés, pendant la violente lutte qui les avait confronté.   le Médulien, de son beau regard vif, la contemple, admiratif et fière de sa prise. Elle est très belle, avec sa tignasse blonde et ses grands yeux verts de biche. Il l’embrasse fougueusement, très sauvagement, renouvelant ses baisers, plusieurs fois. Elle lui mord, rageusement les lèvres à chaque baiser volé. Il insiste en lui donnant un autre baiser, cette fois-ci, plus tendrement. La rebelle semble accepter et lui rend, timidement, son baiser. Il lâche prise, mais reste méfiant, malgré l'abandon de toute résistance. Cette sauvageonne semble rusée. Les bras maintenant libérés, elle entoure le cou du beau guerrier. Ses baisers sont moins timides et deviennent de plus en plus sensuelles.
La belle sauvageonne cherche-elle un fiancé ou l’aventure d'un jour ?
Elle devait l'observer déjà depuis longtemps. Pendant les dernières chasses, KIGA avait déjà eu l'impression d'être épié.
Tous les deux allongés dans les hautes herbes, ne se quittent plus des yeux. Les mains de KIGA parcourent le corps sublime de cette sauvageonne, la couvrant de mille baisers, palpant ses beaux petits seins bien fermes. Ses tétons pointent déjà, durcis par l'excitation des caresses. KIGA les prend dans sa bouche, les mordille délicatement, puis les suce, les lèche avec beaucoup de plaisir. Sa main continue d'explorer le corps de sa belle proie. Il continue les  caresses vers son ventre. Sa main glisse entre les cuisses de la jeune femme. Deux doigts longent sa fente déjà humide. Il découvre sa  perle dans son écrin, qu'il titille doucement. Ses doigts se promènent délicieusement sur  sa raie  fessière, des caresses toujours bien dosées.
Son visage avance  entre les cuisses de la sauvageonne. Sa langue lèche la fente de  sa prisonnière, passant et repassant  autour du  bourgeon de sa belle blonde qui  se laisse faire, totalement soumise.   Elle ferme les yeux, bien docile, sous les multiples caresses de son beau mâle dominateur. La sauvageonne est maintenant apprivoisée.
KIGA, sent son excitation monter, sa verge se gonfle, se tend, prête pour honorer sa belle conquête. L'homme tend  son sexe  vers la bouche de la jeune femme. Elle  le prend dans sa bouche  et commence a le sucer tout naturellement. KIGA  retire  son membre des lèvres de son amante. La sauvageonne l'attire contre son corps, l’embrasse avec passion et le serre fort contre sa poitrine. KIGA, d'un coup de reins brusque, pénètre la jeune sauvageonne qui pousse un petit cri de douleur. La fille était sans  doute vierge ! Des oiseaux, cachaient dans les hautes herbes, s'envolent ... Il s'en suit des gémissements dans  le silence de la plaine. KIGA s'active et accélère ses va-et-vient. D'autres petits cris suivies d'un long gémissement, font comprendre que la belle, vient de jouir. La jouissance du beau guerrier arrive aussitôt, avec autant d'intensité. Les amants restent enlacés un long moment et s'endorment dans les hautes herbes, jusqu’au petit matin. KIGA ouvre les yeux et voit au loin, sa conquête, courir vers la rivière en lui envoyant de grands baisers avec sa main. Il ne connaît même pas son prénom. Il décida donc de l’appeler « Ma belle sauvageonne » et se promet de lui apporter en cachette quelques présents dans la cabane, de l'autre côté de la rivière, pour lui montrer son amour.
KIGA doit maintenant penser à reprendre sa chasse.  Ce serait un déshonneur pour lui de rentrer bredouille. G A Codem Mars 2008 revu et corrigé

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La punition d’Ophélia la rebelle

La punition d’Ophélia la rebelle Dans un pays imaginaire au XIIème siècle   Akim n'était pas content, mais pas content du tout ! Une des favorites de son harem avait eu des vues sur un autre homme que lui. Il ne s'était rien passé, mais il avait remarqué des regards qui ne trompaient personne, surtout pas lui ! Il allait devoir punir sévèrement cette Ophélia, belle esclave venu d’Europe. Ce n'était pas parce qu'il l'avait dans la peau, qu'il fallait qu'elle se croie tout permis. Il était le maître du harem et s'il voulait offrir une de ses femmes à un autre, c'est lui et toujours lui qui déciderait.   Il l'a fit ramener par deux de ces eunuques dans la cave de son palais. Elle était vêtue d'une longue tunique en voile couleur safran, ouverte sur la cuisse droite jusqu'à l'aine, nue dessous. Il voyait par transparence ce corps qui le rendait fou de désir à chaque fois qu'il posait les yeux sur elle. Il demanda aux eunuques de lui attacher les bras avec les cordes au dessus de sa tête. Se mouvement fit ressortir ses seins, et il vit les tétons se coller au voile léger, Sa bouche devint sèche et il senti sa queue se gonfler légèrement. Puis les eunuques lui entravèrent les pieds largement écartés, ce qui dévoila par l'échancrure de la tunique, sa petite chatte bombée et imberbe.   - Maître, qu'ai-je fais pour que tu me fasses attacher ainsi ?   Il attrapa le fouet et s'en battit la cuisse pour s'empêcher de bander plus fort.   - Je t'ai vu regarder un autre homme que moi, sans ma permission petite allumeuse ! Tu mérites une punition et elle sera sévère crois moi. Je vais te passer l'envie de regarder d'autres hommes. Quand j'en aurai fini avec toi, tu me supplieras de te laisser tranquille Je ne le ferai que quand je l'aurai décidé. Prépare-toi, tu vas gouter mon fouet.   Il vint lui mettre un bâillon avec une boule de tissu entre les dents pour qu'elle puisse la mordre si la douleur était trop cuisante; ça aurait aussi l'avantage d'assourdir ses cris. Il abaissa son fouet sur les cuisses ouvertes d'Ophélia. Il la vit tressaillir à chaque coup, mais aucune plainte ne sorti de sa bouche, le regard fier, elle ne cilla pas. Il fouetta ses hanches, ses fesses, ses seins, vingt fois le fouet s'abattit sur elle, mais il ne l'a fit pas plier. Il ne voulait pas frapper trop fort et risquer d’abîmer cette peau de soie qu'il aimait tant toucher du bout des doigts. Mais il allait bien falloir qu'il trouve le moyen de lui rabattre sa superbe !   Il poussa devant lui une table roulante sur laquelle était posés tout un tas d'objets pour la torturer. Des chaînes, une laisse de chien, des godes de toutes les tailles et toutes les formes, dont un particulièrement monstrueux et des pinces à tétons réunies par une petite chaîne.   Akim adorait ces petites pinces, il les avait choisies recouvertes de caoutchouc pour ne pas blesser sa victime. Il aimait l'idée de la faire souffrir, mais ne voulait pas blesser ses beaux tétons. Il allait les voir gonfler et s'allonger démesurément quand il tirerait sur la chaînette. Elle gémirait de douleur et de plaisir mêlés. Il savait qu'il allait bander comme un fou à la voir se tortiller de cette façon. Il en avait déjà l'eau à la bouche.   Ophélia commençait à avoir peur, mais pour rien au monde elle ne lui aurait avoué. Elle avait mérité cette punition et l’avait même cherché, se montrant fort peu discrète lors de ses tentatives de séduction.   La raison de tout cela était que son maître la délaissait depuis plus d'une semaine pour s'occuper de Malika, une jeune esclave qu'il venait d'acquérir. Elle entendait les gémissements toutes les nuits depuis sa chambre qui était à coté de celle son maître. Elle savait quel plaisir Malika devait prendre. Elle connaissait le pouvoir d’Akim quand il faisait l'amour. Aucune torture ne serait plus cruelle que la jalousie qui la tenaillait depuis que cette jeunette était arrivée au palais. Elle voulait bien souffrir encore plus, mais de sa main à lui, elle accepterait n'importe quel supplice du moment qu'il était avec elle, qu'il s'occupait d'elle, sans sa chaleur, ses regards, elle se fanerait bientôt, il lui manquait tant !   Elle le vit s'approcher d'elle, d'une main sauvage, il déchira le léger voile qui la couvrait, la mettant à nu. Il lui retira le bâillon et lui mordilla la bouche tout en empaumant ses seins. Il effleura ensuite ses mamelons du bout des doigts, lui fit dresser les tétons avec le bout de sa langue, s'amusant à les agacer avec ses dents. Ophélia senti son ventre entrer en ébullition.   Le diable soit cet homme !   Elle ne pourrait jamais lui résister, son pouvoir sur elle était immense, il était sa drogue, il l'excitait comme aucun autre encore ne l'avait fait. Il alla prendre les petites pinces et lui expliqua ce qu'il allait faire avec.   - Je vais te les mettre sur les tétons, ça va te faire un petit peu mal au début, mais je suis sur que tu vas finir par aimer ça. Quand tu commenceras à aimer vraiment ça, je tirerais sur la chaînette pour te faire encore plus souffrir et t'entendre me demander pardon d'avoir désobéi. Tu vas voir tes tétons grossir et s'allonger, ça va déclencher dans ton bas ventre des traînées de lave, te faire mouiller pour te préparer à la suite des événements... Tous les godes que tu vois là, y compris le très gros te seront introduit dans tous tes trous! Ça t’apprendra à allumer d’autres hommes. Je vais t'ouvrir en deux de plaisir, tu vas tellement aimer ça que plus aucun homme ne pourra t’en donner autant que je vais t’en donner, je serai le seul à jamais pour toi. Mais avant le plaisir, tu devras accepter la souffrance, tu pourras tout arrêter, il te suffira de me demander pardon à genou et me promettre de ne jamais plus regarder un autre homme que moi sans ma permission.   Elle releva la tête et lui cracha au visage. Demandait-il pardon, lui, pour toutes ses nuits à s'occuper d'une tendre jeunette ? Il s'essuya son visage en riant devant l’esprit rebelle de la belle Ophélia. Elle sentit alors une brûlure terrible sur un téton, elle se mordit les lèvres pour ne pas hurler puis se fut au tour de l'autre. Quel drôle de sensation. Douleur ou extase ? Les pinces seraient plus fortes que les doigts de son maître. Elle gigotait dans tous les sens dans l'espoir fou de les faire tomber, mais elles restaient en place. Akim la voyait se tordre sous ses yeux, il voyait ses seins bouger en cadence, sa peau se couvrir d'un léger voile de sueur. Il se mit à bander comme un étalon. Ophélia se calma d'un coup, un plaisir foudroyant avait fait place à la douleur. Elle sentait son ventre bouillonner et sa chatte se couvrir de son jus d'amour. Akim tira alors doucement sur la chaînette, elle se mit à gémir à nouveau et à gigoter de plus belle, elle voyait les pinces, tirer sur ses bouts, les faisant jaillir encore plus durs, plus tendus, plus appétissants. Ses seins se mirent à danser et à bondir en cadence avec la chaînette qu'il manipulait avidement avec cette perversité qui la faisait mouiller encore plus.   Il ne pouvait détacher son regard de sa poitrine qui ondulait à un rythme endiablé. Il l'embrassa à pleine bouche, la faisant gémir. Sa main se posa sur son sexe, la ressortit trempée, puis s'agenouilla entre ses cuisses, regarda effaré la fontaine qui coulait entre ses lèvres intimes. Jamais il n’avait vu son clitoris aussi gros, aussi gorgé d'envie. Lorsqu'il voulu le pincer légèrement, il roula sous ses doigts tant il était couvert de cyprine. Cette femme le rendait fou, il n'avait encore jamais trouvé de maîtresse qui acceptait tout de lui à ce point là. Il se sentait fort et viril avec elle, sauvage même, ça lui faisait peur parfois cette violence sexuelle qu'elle lui faisait ressentir au plus profond de lui. Il se mit à boire le nectar qui coulait abondamment. Il entendait Ophélia émettre des râles de plus en plus rauques et son bassin s'activait sous sa langue. Mais il ne voulait pas lui donner trop de plaisir si vite, il voulait doser subtilement, souffrance et plaisir, pour la rendre hystérique, pour que jamais plus son regard ne se détournerait de lui, la rendant complètement dépendante de lui, qu’elle ne puisse plus jamais éprouver du plaisir sans lui.   Ophélia commençait à aimer ces petites pinces, elle avait l'impression que son maître avait en permanence ses doigts sur ses tétons et qu'il les lui titillait. Elle avait vu son regard fiévreux quand elle gigotait pour échapper à la douleur, et se mit à en jouer bien que la souffrance ait disparu depuis longtemps pour céder la place à une excitation intense. Pour sentir encore son regard brûlant sur elle, dès qu'il tirait sur la chaînette, elle faisait bouger ses seins pour qu'il regarde danser la petite chaîne de métal et pour que les pinces lui agacent encore ses bouts devenus énormes et gonflés de désir. Il ôta une pince, tirant sur la chaînette pour que l'autre sente toujours la douce morsure, et se mit à téter goulûment le téton libre qui lui emplissait la bouche tant il était long, il libéra le deuxième et lui fit endurer le même sort, déclenchant des cris d'extase chez Ophélia qui mourrait d'envie qu'il la viole debout sans aucun égard tant il l'a chauffait à blanc. Il attrapa un gode et l'introduisit sans difficulté au cœur de son intimité. Sa petite chienne mouillait tellement qu'il n'avait aucun effort à faire. Alors il en prit un plus gros et entreprit de la branler avec. Ophélia sentait la jouissance arriver. Le corps tendu à se briser, elle n'était plus que petits cris sauvages, dieu que c'était bon, mais au moment où elle allait jouir, il arrêta de la besogner, et la laissa là, au bord de la félicité.   Il l'a détacha et l'installa le dos sur un banc, les jambes bien écartées de chaque coté. Il ôta sa djellaba et elle découvrit sa queue si tendue qu'elle en formait un arc de cercle. Il vint se placer au dessus de sa tête et s'amusa à lui caresser le visage avec son gland, et ses couilles qu'il déposait sur ses lèvres pour qu'elle lui lèche savamment. Il s'empara de ses deux seins qu'il caressa tendrement, passant sa main bien à plat, il lui flattait le ventre qu'il sentait se creuser sous la force de son désir. Il résista à l'envie de la doigter, s'arrêtant juste au bord de sa petite fente brillante de mouille, elle était au bord de la jouissance, il voulait que l'attente la rende folle, la faire languir. Il se plaça à coté de sa tête et se branla sous ses yeux très lentement, très sensuellement, remontant ses bourses à pleine main, laissant s'échapper quelques gémissements de bonheur, se réjouissant du regard implorant qu'elle lui lançait, il la voyait darder sa langue, ouvrir la bouche pour qu'il lui donne sa queue à sucer, il en mourrait d'envie, lui aussi, mais il savait se contrôler mieux qu'elle, et puis ce n'est pas ce qu'il avait prévu pour la punir.     Il frappa dans ses mains et les deux eunuques réapparurent accompagnés de Malika. Ophélia se senti devenir verte de rage, elle se mit à ruer sur son banc, mais elle y était solidement attachée et impuissante. Elle vit la jeune fille, venir au devant de son maître. Elle vit Akim lui effleurer les seins au travers de sa tunique. La jalousie l'aveugla un instant. Il fit glisser la tunique de la jeune esclave, jusqu'à ses pieds, la dénudant complètement, il lui flatta les fesses, insinuant sa main entre ses cuisses, la couvrant de petits baisers, la faisant gémir doucement sous ses doigts. Puis il la força à se mettre à genou, et lui tendit sa queue qu'elle enfourna avec précipitation, les yeux plantés dans ceux de son maître, tandis qu'il lui caressait d’une main un sein et de l’autre ses longs cheveux noirs, grognant de satisfaction.   - Tu vois ça, ma petite garce ! Quand on est une gentille fille bien obéissante, on a le droit de me sucer, et cette petite le fait vraiment très bien tu sais, regarde là, elle aime ça, on dirait la coquine !     Ophélia avait des larmes de rage au bord des yeux, la douleur était si forte de le voir ainsi devant elle avec une autre qu'elle cru, qu'elle allait mourir de chagrin là sur son banc. Elle ferma les yeux pour ne plus voir leurs visages crispés par le plaisir, mais malheureusement, elle ne pouvait pas se boucher les oreilles, ses mains étaient liées, et entendait les gémissements qui emplissaient la pièce, la mettant encore plus au supplice. Les bruits de succions devenaient de plus en plus obscènes et rapides, elle entendit Akim grogner et jouir bruyamment, en donnant l'ordre à la belle brune de ne pas avaler et de tout garder en bouche. Ophélia les vit se rapprocher de son banc. Akim lui demanda d'ouvrir la bouche pour que la belle esclave lui donne toute la semence qu’elle avait en bouche. Elle refusa. Alors son maître lui pinça le nez et elle fut bien obligée d'ouvrir sa bouche et accepta le baiser de Malika pour recueillir la semence qu'elle avait eu l'honneur de récolter.   - Tu n'aimes vraiment pas les femmes ! Tu préfères faire de l'œil aux hommes ! Que cette punition va me sembler douce alors ...   Il attrapa Malika avec rudesse et la plaça entre les cuisses d’Ophélia qui ne pouvait pas trop bouger, attachée sur son banc. Avec un haut le cœur, elle senti la langue de cette belle esclave, venir agacer son clitoris et suivre les plis de ses lèvres intimes. En voulant fuir à coup de bassin, elle ne faisait que rendre plus précise la caresse et bien qu'elle s'en défende, une réaction physique naturelle commençait à lui donner des vapeurs. Elle vit son maître se positionner à quatre pattes derrière les fesses de la belle brune, et su avec précision ce qu'il devait lui faire en entendant sa rivale émettre des petits cris de satisfaction. La caresse devait être à ce point sublime que parfois, elle sentait la langue de Malika cesser de s'activer sur sa fente, pour exhaler un long gémissement. A nouveau elle sentit la jouissance lui brûler les entrailles, que cette torture finisse au non du ciel, elle allait devenir folle, mais encore une fois son maître la priva de son plaisir, et elle se prit à regretter la douceur de la langue féminine qui l'avait mené si près de l'explosion libératrice. Akim continuait quant à lui de sucer la raie fessière de sa jeune esclave avec des petits bruits de succion qui avait l'air de la rendre folle de contentement. Il lançait à Ophélia de temps à autre un regard de braise qui la laissait pantelante d'envie. Elle vit tout à coup sa rivale se crisper et l'entendit crier. Cette salope venait de jouir sous la bouche de son maître. Quand arriverait son tour ? Sans plus de cérémonie, il demanda aux eunuques de ramener la jeune fille dans le quartier des femmes.   - Humm, délicieuse cette petite, mais elle n'est qu'une petite douceur, alors que toi tu es mon plat de résistance, et je prends vraiment très mal le fait que tu veuilles en faire les honneurs à un autre, crois moi... Cela n'a rien à voir avec la jalousie, je t'ai payé à prix fort au marché des esclaves, tu es ma propriété, et j'ai le droit d'abuser de toi comme bon il me semble.   Puis il attrapa le gode monstrueux et vint lui murmurer à l'oreille ce qu'il comptait en faire. Je vais y aller progressivement, je ne veux pas te blesser j'aime trop ta petite chatte, mais vois-tu j'ai un fantasme torride et je ne veux le partager qu'avec toi. Je vais faire venir Négus, tu as bien entendu, le seul de mes esclaves qui n’est pas eunuque dans ce palais. Il aurait été dommage de le mutiler ! Je vais le voir te prendre sous mes yeux. Donc ce gode est pour bien te préparer à la présence de ce montre.   - Non mon maître, pas ça, pas Négus, je vous promets je ne regarderais plus jamais un autre homme, vous ferrez de moi ce que vous voudrez, mais pas lui, non par pitié !!!   - Chuuuuuuut ! C'est trop tard, j'en ai vraiment trop envie, j'en rêve depuis des nuits de te voir écartelée par le monstrueux Négus. Quand je vais en avoir fini avec toi et ce gode, tu me supplieras de t'offrir à Négus pour qu'il te donne du plaisir, car moi je ne te toucherais pas. Tu vas devenir tellement chaude et hystérique que tu auras envie de sucer se montre et qu'il te prenne sauvagement. Je vais te regarder et ça va m'exciter comme un fou. Je sens déjà mon plaisir monter.   Il rehaussa ses fesses sur le banc pour faire jaillir son mont de venus bien en avant, avec délicatesse il la lécha sans oublier un seul petit coin, il la pénétra avec sa langue la faisant frétiller à l'intérieur de son intimité lui arrachant de petits cris de plaisir ininterrompus, puis il s'empara du gros gode et força doucement le passage. Ophélia se mit à hurler de douleur, alors il le retira et recommença à l'infini jusqu'à ce qu'il entende à nouveau sa suppliciée râler de plaisir. Il regardait sa petite chatte qui était grande ouverte à présent, ce spectacle le faisait à nouveau bander très fort, il en avait mal, il souffrait lui aussi, mais c'était si bon !   - Regarde dans quel état tu me mets ! N'es tu pas fière de me faire bander aussi fort, alors qu'une autre vient de me soulager ? J’ai envie de te prendre là tout de suite tellement tu me mets le feu, mais tu vas m'offrir un fantasme le plus cochon dont j'ai jamais rêvé, tu es à moi, ma petite pute soumise et si excitante, tu brûles mon âme aussi fort que tu brûles mon ventre.   Le claquement d’une porte se fit entendre et des bruits de pas se rapprochèrent de la cave. Ophélia était terrorisée, elle reconnaissait les pas lourds du géant Négus. C'était un vrai monstre fougueux, bestial, poilu et laid. Akim recommença à la torturer avec le gode, il faisait à présent de grands va et vient brutaux, la besognant comme un fou, la sueur au front, lui disant des mots crus qui la faisait grimper encore d'un cran dans l'excitation. Elle n'en pouvait plus, il fallait que ça s'arrête, elle voulait jouir, se détendre, son cœur n'allait jamais résister à pareille attente. Mais tout s'arrêta à nouveau et cette fois elle ne pu s'empêcher de supplier son maître qu'il en termine.   Il lui détacha les mains et lui passa la chaîne du chien autour du cou, puis demanda à Négus de venir s’occuper d’elle. Ophélia vit le membre monstrueux du géant, balancer devant elle et malgré cette turgescence impressionnante, Ophélia mouillait toujours abondamment. Elle ressenti un désir sauvage de prendre ce membre à pleine main et de le caresser. Qu’importe l’homme, l'excitation était trop forte !   - Je veux que tu le suces comme si c'était moi, n'essaie pas de t'enfuir, je tiens la chaîne fermement. Suce-le devant moi, avale-le bien petite vicieuse.   Elle se releva doucement et avec une petite hésitation, pointa sa langue sur le gland de Négus. Elle le sentit frémir et cela l'excita au plus haut point. Le goût était fort, la peau très douce, alors elle commença à le branler doucement en essayant d'avaler le membre aussi loin qu'elle le pouvait. Sa bouche était si pleine qu’elle crue s’étouffer. Akim était hypnotisé devant un tel spectacle, Il lui caressait les seins en regardant faire son esclave, mouillant son index avec sa salive pour en agacer les pointes.   - Tu aimes ? Tu prends du plaisir ma petite cochonne ? J'adore te voir faire ça, tu m'excites terriblement, je deviens fou à te regarder prendre tant de plaisir ...   Ophélia était merveilleusement bien maintenant, elle avait le regard de son amant planté dans ses yeux, elle rayonnait de bonheur, de lui faire ce plaisir qu'elle n'aurait jamais osé imaginer. Elle saisit dans sa main la queue de Négus, qu’elle caressa sur son clitoris, avec insistance , puis le frotta sur toute la longueur de sa fente. Elle eut l’envie d’avoir ce sexe monstrueux en elle. Ophélia écarta les cuisses au maximum, et fit pénétrer d’abord le gland à l'entrée de sa grotte dégoulinante, Le montre donna un coup de rein puissant qu’elle se sentie envahie par le puissant membre. Ophélia se recula pour mieux se faire reprendre ; elle adorait la sensation que lui procurer cette pénétration particulière. Tenant le sexe à deux mains, elle le faisait coulisser en elle, de plus en plus profondément, quand il coulissa de lui même, elle laissa Négus la besogner de toute sa longueur, il était étonnamment doux, et le plaisir déferlait de plus en plus fort. Elle se caressait les seins, inutile de toucher son clito, le sexe énorme le frôlait à chaque passage, ajoutant à la folie bestiale qui la faisait hurler de délice. Akim ne la quittait plus des yeux, il voyait le bassin de sa belle favorite se soulever en cadence, elle prenait un plaisir démoniaque à se faire prendre ainsi sous ses yeux ; il n'avait jamais rien vu d'aussi torride, d'aussi pervers, elle était couverte de sueur, elle était magnifique... Il l'entendit alors crier son nom et su en voyant son corps tétanisé qu'elle venait de jouir avec une grande violence. Il vit le foutre de Négus l’inonder, débordant entre ses cuisses. Il lui étala la semence sur tout le corps, insistant sur son petit trou, n'y tenant plus, il prit la place de Négus et, s'introduisit sans effort dans sa rosette que le plaisir extrême avait bien détendu. A grands coups de reins, sauvages, il lui offrait une levrette sodomite d'une intensité bestiale, lui cambrant la croupe au maximum en tirant ses longs cheveux en arrière, claquant ses fesses, lui mordillant le cou comme un étalon le ferait à ses pouliches. Accrochait à ses hanches, il accéléra encore la cadence, faisant claquer son bas ventre contre les fesses tendues et ouvertes de sa maîtresse favorite. Salope tu es trop bonne, j'adore t'enculer, dis moi que je suis le seul, que tu es toute à moi. - Hummmmmm … je vais gicler, oui, oui ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii … ouffffffffffffffff tu me rends dingue...   Il s'écroula sur le corps d’ Ophélia, la serrant fébrilement dans ses bras, tremblant encore de tant de plaisir. Elle se tourna vers lui, et il vit dans son regard une tendresse infinie, elle était à nouveau pure et innocente, jamais à la voir on ne pourrait imaginer ce qu'elle venait de vivre avec lui. Elle était son orgueil, la plus belle fleur de son royaume, son joyau, elle avait encore gagné, c'était lui l'esclave, car se passer d'elle, il ne pouvait même pas y penser !   Derrière la vitre sans tain, un homme vivait un véritable supplice... L'homme qui avait osé soutenir le regard d'Ophélia au lieu de détourner la tête comme la loi du palais l'y obligeait ! Il était attaché nu sur un tabouret, sans pouvoir se soulager.      

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La forêt de l'invisible

La forêt de l'invisible   1ère partie   Marina & La forêt de l’invisible   Un groupe de jeunes gens, filles et garçons, installèrent leur campement dans une prairie entourée par une forêt, non loin du littoral aquitain.   A quelques centaines de mètres, un chemin rejoignait les dunes. La mer n’était pas loin. L'emplacement était idéal, bien que le camping sauvage soit interdit à cette saison.   Ce lieu se nommait « la forêt de l’invisible » à cause d’une légende que l’on raconte encore aujourd’hui. Le Chevalier Hugues d’ Arzac se serait pendu dans ce bois par désespoir après la mort tragique de sa dulcinée qu’il aimait à la folie. Des témoignages prétendent qu’il hanterait encore ce lieu.   Le lendemain, les jeunes partirent avec leurs planches de surf sous le bras, profiter de ce beau matin du mois de juillet.   Marina était restée seule, au campement. Elle ne se sentait pas très en forme à cause d'un cauchemar qui lui avait gâché sa nuit. Elle avait décidé de récupérer un peu de sommeil. Elle s’allongea sur son matelas avec l’intention de pouvoir se reposer un instant avant que la bande de copains ne revienne de leur baignade. L’attention de Marina fut attirée par un bruit de craquements de branches sèches. Il semblait venir du bois proche du campement. Elle sortit la tête de sa tente. Un coup d’œil à droite, puis à gauche. Le bruit semblait se rapprocher mais elle ne voyait toujours rien.   Peut-être un chien errant ? Pensa-t-elle.   Marina sentait pourtant une présence humaine. Elle percevait même une odeur très caractéristique de certains hommes. La peur s'installait progressivement. Les battements de son cœur s’accéléraient. Soudain elle sentit une chose passer dans ses cheveux. Ce qui provoqua chez elle, un frisson dans tout son corps. Peut-être le vent ? Pourtant les branches des arbres ne frissonnaient pas.  Il n’y avait pas un brin de vent dehors. Elle ne voyait toujours rien aux alentours du campement. Es-ce le manque de sommeil et la fatigue  qui lui jouaient quelques mauvais tours ?   Cette caresse dans les cheveux s’accentuait. Ce n’était plus le vent, elle venait de rentrer sous sa tente. C’était bien la sensation d’une main chaude qu’elle sentait descendre sur sa nuque. Comme des mains qui lui massaient les épaules puis descendaient vers sa poitrine.   Marina se parlait à elle-même : - Je suis vraiment très fatiguée,  j’ai besoin d’un bon repos !   La nuit précédente, elle avait fait la fête avec des amis dans son village et s’était couchée, très tard, au lever du jour.   Cette sensation d’être caressée devenait de plus en plus évidente et la peur, curieusement, s’atténuait. Elle semblait accepter maintenant ce climat étrange qui régnait sous sa tente. Pourquoi avoir peur, elle ne sentait aucune menace.   Marina commençait même à trouver cette situation excitante. Elle enleva le peu de vêtement qu’elle avait sur elle et se retrouva presque nue sur son matelas. Elle n’avait gardé que le bas de son maillot de bain. Cet invisible la faisait fantasmer, elle se sentait toute bizarre, comme une envie irrésistible de faire l’amour. Un souffle chaud dans son cou suivit de baisers et de petites morsures bien agréables ne faisait plus de doute, Marina avait même l’impression de sentir une bouche lui prodiguer des succions sur sa poitrine. Elle se laissait aller au plaisir que lui procurait cette  étrange créature invisible.   - Et si c'était le Chevalier Hugues d’ Arzac ?   Habitant le village voisin, elle connaissait la légende de cette tragédie. Ce Chevalier n’était pas cruel mais un homme bon d'après ce qu’il se racontait.   Marina enleva la culotte de son maillot puis instinctivement passa sa main entre ses cuisses et constata qu’elle était toute mouillée. La main de  l’invisible se posa sur la sienne et la guida dans ses caresses intimes. L’autre main lui caressait ses petits seins au bout déjà bien pointus. Elle n’avait jamais ressentit de si douces caresses. Marina n’en pouvait plus. Son plaisir montait de plus en plus, intensément, comme si un petit démon s’était réveillé en elle et avait pris le contrôle de son corps. Elle voulait sentir ce sexe invisible.  Comme s’il lisait dans ses pensées, Hugues lui prit sa main et la posa sur son membre. Elle se sentait soumise par cette force incontrôlable. Marina avait vraiment l’impression d’avoir un énorme sexe, en érection, tout chaud dans sa main. La hampe de son  beau Chevalier, palpitait contre la paume de sa petite menotte. Elle commença à le branler puis très vite sa petite bouche toute arrondie, s’approcha de cette tige invisible. Elle sentait cette chose si bonne entre ses lèvres charnues. La coquine prenait un réel plaisir. Marina savourait cet instant et n’en pouvait plus, elle avait trop envie du mystérieux Chevalier. Elle se mit à quatre pattes pour s’offrir en levrette à  Hugues …   Elle aurait bien fait rire sa bande de copains, si elle l'avait surprise dans cette position, seule sous sa tente. Ses potes n’auraient surement rien compris.   Elle sentait, vraiment, la bite de Hugues s’enfoncer lentement en elle. Ses mouvements étaient doux. Marina gémissait à chaque coup de reins.  Le bel invisible  accélérait ses va-et-vient.  Elle parlait maintenant à son « love ghost » comme elle l’aurait fait avec son amant...   Des rires et des cris réveillèrent Marina qui s’était assoupie.  Julie pénétra sous la tente qu’elle partageait avec sa copine Marina.   Elle s’inquiéta de sa santé. - Comment vas-tu Marina ? tu as pu te reposer un peu ?   - Oui, je me suis endormie dès votre départ. J’ai même fait un drôle de rêve que je te raconterai !   Julie insista pour qu’elle lui raconte de suite son rêve puis s’exclama :   - Qu’es-ce que c’est cette marque que tu as au-dessus de ton sein ?   Marina pencha sa tête vers sa poitrine et découvrit un suçon.   Elle pensa tout haut devant sa copine :   - Mais je n’ai donc pas rêvé ?   A suivre   2ème partie   Marina & Julie     Elle pensa tout haut devant sa copine : - Mais je n’ai donc pas rêvé ! ...   - Tu veux dire quoi, Marina  « je n’ai pas rêvé ... » ? demanda Julie   Marina n’osa pas répondre. Elle ne voulait pas que Julie se moque d’elle. Devant le silence de Marina, Julie revient à la charge :   - Alors tu me le racontes ton rêve !!!   - Écoute Julie,  je ne sais plus si j’ai rêvé ou si la chose c’est bien passée. Tu vas me prendre pour une folle.   Marina allait commencer son histoire quand Laurent, Maxime et Kevin rentrèrent dans la tente des filles.   – Vous venez avec nous les filles on va jusqu’au village faire quelques courses pour ce soir ! Cria  Kevin.   Julie répondit : - Non je suis trop fatiguée pour vous suivre et puis je vous connais, vous allez traîner au café faire un baby-foot. Avec vous il n’y a jamais d’horaire   - Et toi Marina tu nous suis ? demande Maxime.   - Non, je reste avec Julie ! On va préparer de quoi manger.   Ne vous inquiétez pas pour nous, nous casseront la croûte à « la baraque de Nino ». Lança Laurent.   A peine les garçons partis, Julie se retourne vers Marina :   - Alors, raconte-moi vite ton rêve.   Marina ne savait pas trop comment lui raconter son histoire à sa copine.   – Promet moi que tu ne te moqueras pas de moi, Julie !   – Mais pourquoi me moquerais-je de toi ?   – Parce que ce que j’ai cru avoir rêvé  n’était peut-être pas un rêve.   – Explique-toi, enfin, Marina ! Tu as l’air toute bizarre ! Que s’est-il passé ? Raconte !   Julie s’allongea à côté de Marina pour écouter son rêve.   – Tu connais la légende du Chevalier d’Hugues d’ Arzac ?   – Oui,  j’en ai entendu parler . Le Chevalier qui se serait pendu dans cette forêt par désespoir après la mort tragique de sa bien-aimé.   - Pourquoi me parles-tu de cette légende ?   - Il se serait pendu dans cette forêt ! expliqua Marina.   - Ce matin, alors que je m’étais allongé sur mon matelas avec l’intention de dormir un peu, après ma mauvaise nuit passée, j’ai senti une présence dans la tente. C’était Hugues, sans doute!  Il a commencé a me caresser partout….   Julie éclata de rire.   - Tu as trop bu cette nuit à la fête du village ?   - Tu vois, je savais que tu te moquerais de moi !   – Excuse-moi, Marina ! Je t’écoute !   Marina continua son histoire. Julie l’écoutait maintenant très attentivement.   – Hummm ... ton histoire m’excite ! ... Et il t’a fait quoi le beau Hugues d’ Arzac ?   Julie commençait à se tortiller discrètement sur le matelas. Elle appuya machinalement, sa main entre ses cuisses.   Marina devinait que son récit faisait de l’effet à sa copine.   – Mon histoire te fait mouiller ma coquine ! s’exclama Marina.   – Oui, c’est de ta faute, chipie ! Tu inventes cette histoire pour m’exciter !   Le visage de Julie se figea subitement. Elle ne parlait plus.   – Marina, il est là ! Murmura Julie ...   Elle regarda sa copine et vit les cheveux de Julie, ondulaient sous une caresse invisible. Quelques instant après, une bretelle de son débardeur glissa le long de son épaule.   – Marina, j’ai peur ! Il me caresse le sein. Qu’es-ce que je fais, dis moi Marina !   - Laisse toi faire ma chérie, tu vas aimer ses douces caresses comme j’ai aimé !   Marina regarda sa copine fermait les yeux. Elle savait le plaisir qu’elle ressentait a cet instant. Le même qu'elle avait ressentit ce matin.   La deuxième bretelle ne tarda pas a glisser aussi. Julie avait maintenant les seins nus. Marina matait la belle poitrine de son amie.   Julie était une très jolie fille des Antilles avec une peau bien dorée, de longs cheveux noirs et un regard de braise.   Au Lycée, elle avait un succès fou auprès des garçons et même auprès de certaines filles. Son charme ne laissait pas indifférente, la douce Marina, . De la regarder prendre du plaisir avec Hugues, l'excitait maintenant. Elle s' approcha de Julie et osa caresser ses cheveux puis ses caresses s’égarèrent sur le corps bronzé de l'Antillaise. Sa main un peu tremblante avança vers les seins de sa  copine. Julie se laissait faire. Elle appréciait l'intervention de sa copine. Marina sentit le souffle de Hugues, dans son cou. Il lui déposa de doux baisers bien chauds. Hugues n'était plus auprès de Marina. Elle aida , l’invisible a faire glisser la culotte de Julie en bas des chevilles. D’un coup de jambes la culotte valsa dans un coin de la tente. Marina avait trop envie de profiter de la situation. Ses lèvres se posèrent sur la belle bouche de l’Antillaise. Julie rendrait le baiser, encore  plus fougueux, à sa copine.  Leurs baisers devenaient ardents, sensuels. Leurs langues s’entremêlaient. Julie avait l’air d’apprécier les caresses de sa copine. C'était une première découverte pour toutes les deux, dans cette aventure saphique .   Julie eu un cri : - Hummm, Marina, je sens la langue d’Hugues me lécher entre les cuisses ! C’est doux, c’est chaud, Il passe et repasse sur mon clito ! C’est trop bon !!!   Un drôle de trio s’était formé maintenant. Les filles gémissaient. Comme si Julie obéissait aux désirs de Hugues, elle se mit à 4 pattes comme il l’avait aussi demandé à Marina.   La douce Marina ne put s’empêcher d’aller tâter l’invisible à la recherche de sa bite. Voilà, elle la sentait bien dans sa main, toujours aussi puissante et chaude. Elle se mit à frotter sa copine avec ce sexe invisible. Nul doute que Julie le sentait. Cela devait lui plaire terriblement, elle n’arrêtait pas de pousser de petits cris et ses gémissements n'en finissaient plus.…   Marina se coucha sur l' Antillaise en position de 69. C’était maintenant sa langue qui léchait sa copine. Julie ne tarda pas a faire de même. Les corps s'enchevêtraient. Sous la tente ce n'était plus qu'un concert de gémissements et de cris. Heureusement que l'endroit était isolé. De multiples d'orgasmes qui s'en suivirent. Les filles en avaient oublié Hugues. Avait-il disparu où, matait-il les deux superbes jeunes filles que la providence avait mise sur son chemin.   Surement que le Chevalier Hugues d’ Arzac avait maintenant soulagé sa peine et que son âme sera désormais en paix !   Nos deux coquines campeuses  reviendront bien l'année prochaine, lui faire de petites visites, histoire de s’amuser un peu !   G.A revu et corrigé le 19 Juin 2015  

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Exhibition romantique

Nue ... exhibe ton corps légèrement voilé, Tes courbes harmonieuses, pleines de volupté, Hante le cœur de cette silencieuse forêt. Encore chaude en cette fin d'été Déjà sur le sol, un tapis de feuilles séchées Donne cette belle couleur cuivrée, En ce lieu, Femme, tendrement,  je t'aimerai

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Belle dans son bain

Son corps, à peine visible sous une mousse odorante, débordant de la baignoire, elle est là qui se prélasse.   Je l'observe depuis un bon moment. Elle est belle dans son bain. Les yeux fermés, elle profite au maximum de cet instant privilégié.   L'eau s'écoule sur ses longs cheveux blonds , ruisselle sur son visage, lui procurant un certain plaisir.   Sa main glisse sur son corps, caresse ses seins, disparait sous la mousse pour descendre entre ses cuisses.   Elle joue avec le jet de la douche, qui semble lui procurer beaucoup de plaisir.   Elle s'abandonne à ses rêveries, ses fantasmes, ses envies.   Sans doute, sous ses caresses, pense-t-elle à un prince charmant qui l'emmènerait loin dans un pays imaginaire, n'aimant qu'elle !   Elle se laisse transporter dans ses doux songes.   Elle semble s'être endormie.   Son bain, presque froid, la ramène à la réalité.   Elle voudrait bien rester encore, plongée dans ce doux cocon et continuer de faire son plein de fantasmes. Sur le forum intime : http://www.forum-intime.com/topic/22697-belle-dans-son-bain/

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Un si joli petit patio.

Un si joli petit patio.   Le couple qui m'employait à l' époque, me logeait dans un studio annexe de mon lieu de travail.   La femme de ménage qui travaillait aussi chez eux avait sa chambre en face de la mienne. Juste un petit patio de 20 m² nous séparait.   Cette nuit là,  je n'arrivais pas a m'endormir, tellement il faisait particulièrement chaud cet été là.  Je m'installais, comme souvent, dans ce petit patio, assis sur le rebord de ma petite terrasse,  regardant le ciel,  et profitant de cette belle nuit étoilée pour rêvasser. J'étais torse nu avec juste un petit short.   J'aimais passer de longs moments au clair de lune. Je mettais souvent un fond musical dans le séjour pour ne pas me sentir trop seul dans le silence de la nuit.   En face, de l'autre côté du patio, je voyais depuis un petit moment, ma voisine,  aller et venir,  en petite tenue derrière sa baie vitrée. Sa silhouette attira mon attention. Une faible lumière accentuée les courbes harmonieuses de son corps.   Je ne regardais plus les étoiles. J'avais  de plus en plus envie d'aller lui parler. Je ne détachais plus  mes yeux de son superbe corps.   Je ne la connaissais qu'avec sa grande blouse blanche, trop grande pour elle, son balai, son chiffon, son aspirateur et ses cheveux cachés sous un foulard.   Je n'avais qu'une image triste de cette  femme qui me paraissait  bien plus âgée qu'en réalité . Elle ne  souriait pas souvent  pendant son travail. Quand on se croisait s'était un sourire forcé et un bonjour timide. Elle ne cherchait pas à sympathiser.   Patricia fit coulisser la porte fenêtre de sa baie vitrée pour sortir sur sa terrasse, vêtue d'un débardeur  et d' un short blanc. Elle me salua timidement d'un signe de tête et alluma une cigarette.   J'ai essayé d'entamer la conversation avec quelques mots sans grandes importances. - Il fait un peu meilleur que cet après midi ...  J'espère que demain  il fera moins chaud !   J'ai enfin entendu le son de sa voix. - Je supporte très mal  les fortes chaleurs surtout si  je n'ai  pas l'occasion de me plonger dans une piscine pour me rafraîchir.   Nous n'avions jamais eu l'occasion de papoter ensemble pour faire connaissance.   Depuis un mois que je logeais ici, c'était la première fois que je parlais aussi longtemps avec elle. Le courant semblait bien  passer entre nous deux.  Finalement je la trouvais plutôt sympa malgré son air méfiante. Elle était  plus âgé que moi. J'ai osé m’asseoir à côté d'elle, sur son bout de terrasse pour continuer notre conversation. Elle me proposa une bière  que j'ai accepté  avec plaisir. Son offre semblait être une ouverte pour continuer de parler un peu plus ensemble.   Elle s'ouvrit un Coca  pour elle.   Elle devint subitement plus bavarde. Patricia me confia qu'elle était divorcé d'un mari violent et alcoolique  et qu'elle avait préféré quitter son village pour ne plus le croiser.   Notre conversation  dura si longtemps qu'on avait pas vu passer le temps.   Elle m'a dit d'une voix douce : - Il faut que j'aille me coucher demain je dois me lever plus tôt   Elle  rajouta : - Pourtant j'aimerais rester encore un peu ! je suis bien là avec toi. Ça m'a  fait du bien de parler !   Je lui ai répondu sans trop réfléchir, avec un petit sourire coquin. : - On peut ne pas se quitter  ce soir , si tu veux!      Elle me regarda d'un air bizarre , interrogateur. A son regard,  je pensais qu'elle ne serait pas contre.   J'ai posé ma main sur son épaule.  Puis j'ai commencé à jouer avec ses cheveux, tournant mon doigt dans une mèche de ses cheveux comme pour faire une boucle. Elle semblait apprécier cette caresse. Je devenais plus entreprenant puisqu'elle semblait accepter ce petit jeu. Quand ma main  glissa sur ses petits seins, elle posa sa main sur la mienne comme pour me retenir  de ne pas aller plus loin. Je ne sentais pas trop de résistance. C'était  juste  pour la forme. Je l'ai fixé dans les yeux en avançant ma main sur son sein avec plus de volonté.  Elle s'abandonna me laissant  facilement  la caresser . Je devinais son plaisir qui était visible. Depuis quand n'avait-elle pas reçu de caresses ? Elle m'apporta, elle même la réponse... Elle craignait les hommes  depuis  son échec avec son ex. Ne sentant plus aucune réticence, mes mains  s'activaient sur son corps que je découvrait avec beaucoup de plaisir. Ma bouche cherchait ses lèvres. Elle  cherchait mes baisers. Nos langues se sont entremêlées. Nous étions bien,  là sous le clair de lune, enfermés dans ce joli petit patio, où personne ne pouvait nous voir. Nous avions oublié la chaleur lourde de cette soirée.   Le  jasmin embaumait cet endroit merveilleux. Ça me rappelait les senteurs de mon pays natal. Quelques grillons rompaient le silence de la nuit. Sous mes doigts,  je sentais ses petits tétons  bien  pointus, à travers son débardeur. L'autre main lui soulevait sa chevelure noire pour lui déposer  des baisers dans son cou. J'ai soulevé son débardeur pour savourer  son corps,  à la  recherche de ses seins, pour lécher ses tétons. Mes doigts jouaient autour du mamelon, effleurant ses bouts de la pointe de ma langue.   Je  découvrais ce corps magnifique que j'étais loin d'imaginer quand je la croisais dans les couloirs de notre lieu de travail. Ma bouche avançait   lentement sur son ventre lui donnant mille baisers en progressant vers son pubis. Je continuais mon exploration érotique. Je m'aventurais entre ses cuisses.  J'ai retiré son short  à  mi-jambes. Elle m'aida par un habille  jeu de jambes en l'expédiant dans un coin du patio. Bien vite elle se trouva nue devant moi. Ma langue lécha ses lèvres intimes cherchant la perle dans son écrin. De la pointe de ma langue, je titillais son clito, le suçant comme un délicieux bonbon.   Patricia ne disait plus rien. Elle se laissa faire, les yeux perdus dans les étoiles avec quelques gémissements se mêlant aux chants des grillons. Elle était très excitée sous mes coups de langue et mes sucions.   Après un moment de silence,  j'ai entendu dans la nuit, de ta douce voix, me dire :   - Viens ! On va dans ma chambre !   Elle n'a pas eu besoin de le répéter  deux fois ! J'avais moi aussi très envie de passer la nuit avec elle. J'étais très excité aussi.   Nous avions fait l'amour comme des fous une grande partie de la nuit.   J'ai découvert une superbe femme, tendre , très sexy, sans tabous et plein d'humour alors qu'elle n'avait jamais attirait mon attention auparavant.   On se croisait au travail et là je ne la voyait plus comme une femme sans intérêt. Nos regards étaient intenses  à chaque fois qu'on se croisait . Dés qu'il était possible on se faisait des petits câlins dans la réserve  J'ai même eu droit a une fellation pendant mon boulot.   J'ai gardé un très bon souvenir de cette aventure. J'ai quitté la région quelques mois après. Je n'ai jamais eu de nouvelles d'elle par la suite, regrettant d'avoir perdu sa trace, et ne plus me souvenir de son nom.  

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Villa à louer: " Weekend à Arcachon " - 3 - Suite et FIN

Location saisonnière 3ème partie   Les femmes avaient soif.   Leurs caresses reprirent quand Marc descendit chercher des rafraîchissements.
  La main de Katy s’enhardissait, descendant sur le bas-ventre de Nina. Ses doigts jouaient avec le clitoris de la jeune fille puis s’enfonçaient avec douceur entre ses lèvres intimes. Elles avaient presque oublié Marc quand soudain Katy aperçu une ombre sur le mur de la chambre.
  Marc était planté là, devant la porte, son plateau à la main, nu, excité et souriant, en observant les deux femmes. Il posa le plateau, s’approcha du lit. Il embrassa Katy puis s'installa près d'elles. Son visage se glissa entre les cuisses de Nina. Marc commença un cunnilingus. Katy observait les réactions de sa petite protégée. Nina fermait les yeux et lâchait de petits soupirs de satisfaction. Katy encourageait Marc a continuer en lui disant que tout cela était terriblement excitant.   La jeune fille gémissait de plaisir.   Katy ordonna à Marc d'un ton autoritaire : - Vas-y Marc, baise moi cette coquine en chaleur ! Elle n'attend que ça... Regarde comme elle se tortille de plaisir sous ta langue !   Marc souleva les jambes de Nina pour adopter  la  position du Kamasutra  « le bateau ivre »     Le sexe de Marc s'enfonça facilement, tellement Nina était excitée. Katy se caressait en les regardant attentivement. Elle s'approcha du couple et déposa un long baiser sur les lèvres de Nina, puis un baiser d'encouragement à Marc.
 Katy s'allongea à coté d'eux sur le lit. Elle en profitait pour caresser les petits seins de Nina. Elle fixait, curieusement, la bite raide de Marc, rentrant et sortant à un rythme régulier de la chatte de Nina. Cette situation l'excitait terriblement. Marc s'activait à petit coup de reins avec quelques accélérations sur sa jolie partenaire. La belle brune n'arrêtait pas de gémir. Elle avait deux merveilleux amants pour la servir. Elle était vraiment comblée. Katy ne restait pas inactive, elle léchait les tétons pointus de Nina. Très excitée Katy offrit sa chatte devant la bouche de la brunette qui ne se fit pas prier.
 Le trio formait un triangle parfait. Katy profitait d'un cunnilingus de la part de la brunette, Marc baisait avec ardeur Nina, et lui bécotait en même temps Katy.   Marc accéléra ses coups de reins et devenait de plus en plus bruyant ! Il ne pouvait plus tenir encore longtemps. Des phrases, à peine audible, sortaient de sa bouche : - Hum, tu es trop bonne Nina, je vais jouir, je n'en peux plus ...
  Les gémissements de Nina aussi étaient plus rapides. Elle allait jouir, elle aussi et encourageait Marc a gicler en elle :  - Vas-y Marc, vide toi, prends ton plaisir avec moi ... je vais jouiiiiiir !   Katy, avait déjà joui sous la langue de Nina. Elle s'était éloignée, laissant les amoureux jouir ensemble.   Notre trio semblait épuisés. Maintenant c'était l'heure de détente!   Il n'était pas encore trop tard pour trouver un bon restaurant !
   

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Villa à louer " Week-end à Arcachon" - 2

Location saisonnière 2ème partie   Ce dernier week-end de juin s’annonçait chaud. Le thermomètre affichait déjà un 30 ° à l’ombre à 10h.  Nina ne supportait pas trop cette chaleur étouffante et pour la deuxième fois de la journée vers 15h, elle retourna sous la douche. Nina descendit à la cuisine, se servir une deuxième bière fraîche en attendant l'arrivée de Katy.  Elle lui avait proposé de venir passer le week-end à la villa.   Des locataires venant d'Angleterre, n'arriveraient que lundi après midi.Nina avait promis de venir préparer le logement avec Katy.   Un coup d’œil sur l’horloge, Katy n'était toujours pas là.   Nina s'était assoupie sur le canapé du salon après avoir bien nettoyé la villa. La chaleur de cette fin de journée l'avait plongée dans une douce torpeur. Peut-être est-ce les deux bières qu'elle venait de se siffler?   Un bruit la fit sursauter. Katy était devant elle, accompagnée de Marc ! Nina,troublée et étonnée de voir Marc. Elle réalisa rapidement qu'elle n'avait pas remis sa culotte après la douche et que sa mini jupe était bien relevée juste au dessus de ses cuisses. Malgré son geste pour tirer sa petite jupe vers le bas, elle avait compris qu'il était déjà trop tard.     Marc et Katy s'étaient surement déjà rincé l’œil pendant qu'elle somnolait !Elle ne pensait pas que Marc serait présent.   Katy et Marc embrassèrent la jolie brune. Marc ironisa sur ce qu'il venait de voir.   - Bonsoir ma mignonne, toujours aussi belle avec ton  ravissant sourire, ta belle poitrine et ton joli abricot tout lisse  que j'ai pu apprécier!    Nina, rougissante, s'écria :     - je monte mettre une robe plus correcte et me reculotter !    Katy se rapprocha de l'oreille de Nina et lui murmura :   - Reste comme ça ! Je sais tout ! Marc m'a raconté ce qu'il s'est passé entre vous deux !    Nina trouvait gênant de se promener à moitié nue devant Marc en présence de Katy.   Marc et Katy semblaient amoureux.   La brunette ne pouvait pas s’empêcher de les observer. La main de Marc se promenait sur le dos de Katy et ses caresses, insistantes, finissaient toujours sur les fesses bien rebondies de Katy. Le visage illuminé de l'élégante blonde montrait qu'elle en était ravie.   Mais à quoi rimait cette démonstration de caresses devant Nina ? Ils semblaient bien en jouer tous les deux !   Ils devaient avoir une idée derrière la tête ...  pensa-t-elle !   - Bon, qu’avez-vous prévu pour la soirée? Lança Nina.   Katy expliqua :   - Marc est libre pour le week-end, sa femme est partie pour la semaine rejoindre ses parents, Sa mère est hospitalisée et elle doit s'occuper de son père.    Il était déjà 18h, Katy sortit du frigo, une bouteille de champagne, qu'elle tendit à Marc pour l'ouvrir. Marc donna un verre à Katy puis l'autre à Nina puis s'adressant à elle:   - Katy m'a proposé de me joindre à vous pour le week-end. J'en suis ravi, deux femmes pour moi tout seul !   Katy confirma en rajoutant :   - Je lui ai proposé de dormir à la maison ce soir. Nous pourrions nous faire un petit resto, non ? -  J’appellerai pour réserver, c'est plus prudent à cette période ! Allons sur la terrasse pour finir la bouteille de Champagne !   Marc était drôle et sympa. Les femmes aimaient sa compagnie. La soirée commençait bien. Les femmes rigolaient sans arrêt des bêtises de Marc.    Katy s'adressa à Nina :   - Il faudra que tu me racontes comment a fait Marc pour te séduire, Nina !  - Il ne m'a pas tout dit, le coquin, j'en suis sûre ! Je veux des détails ! - Il n'a pas du se contenter de quelques baisers ou quelques caresses coquines comme il me l'a dit, je le connais trop le lascar !   La main de Marc se promenait sur les jambes fines de l'élégante blonde. Sa robe courte, laissait apercevoir sa culotte de dentelle rouge. Katy ne retenait pas la main de son beau Marc qui continuait de monter en haut de ses cuisses.   Nina surveillait du coin de l’œil, les caresses de Marc. Elle aurait tellement aimé être à la place de Katy.   Elle se sentait frustrée.   Sacrées hormones ! Nina avait envie de faire l’amour. Cette envie devenait de plus en plus forte. Elle serrait très fort ses cuisses. Une douce sensation se faisait sentir au bas de son ventre.   - Il ne faudra pas oublier la réservation pour le restaurant ! cria Nina.   Il est temps d’y aller avant qu'elle craque pour le beau Marc ou la belle blonde.   Nina monta à l'étage pour se changer. Katy lui emboîta le pas. Aussitôt à l'étage elle plaqua Nina contre le mur du palier et l'embrassa avec fougue.   Elle lâcha :   - J'en avais très envie depuis mon arrivée, ma chérie !    Nina dit :   - Sois prudente ! Marc risque de se douter.   - Ne t’inquiète pas pour Marc, il en a vu d'autres ! Répliqua Katy   Elle attira Nina vers sa chambre puis referma la porte derrière elle. Elle poussa Nina sur le lit. Une effusion de tendresse s'ensuivit. Les lèvres de Katy butiner la peau déjà bronzée de sa belle jeune fille. Elle lui murmura qu’elle souhaiterait voir Marc lui faire l'amour devant elle. Tout en continuant de parler, Katy l'embrassait avec passion, partout, dans le cou, la naissance de ses seins...   Nina ne savait plus si c’était le Champagne, les caresses, ou encore le sourire enjôleur de cette jolie blonde couchée sur elle. Elle se sentait de plus en plus excitée. La porte de la chambre s'ouvrit. Dans l'encadrement, Marc était là, regardant les deux femmes enlacées.Il s'approcha du lit. Ses mains se posèrent sur les hanches de Katy, sa robe remonta inévitablement sur ses reins pour admirer son beau cul dans sa jolie culotte de dentelle rouge.   Il était sous le charme devant ces deux beautés, allongées et enlacées sur le lit. Marc prit dans ses mains les seins fermes et chauds de Katy. Il titilla ses tétons, glissa difficilement sa main sur son ventre, tellement les femmes étaient collées l'une à l'autre. La main s'inséra entre les sexes des amoureuses. Marc s'allongea sur les fesses de Katy.   Il ne tarda pas à bander. Katy sentit la bite chaude et dure de son amant entre ses cuisses. Il réussit a se faufiler entre les femmes.   Les regarder se caresser ne le laissait pas de marbre.   Katy abandonna la bouche de Nina pour embrasser Marc. Nina, jalouse d'être délaissée par son amante, glissa sa main sur le sexe bandé de Marc. Elle commença à le branler avec application. Marc continuait de bécoter sa maîtresse.   Marc et Katy était encore vêtus, alors que Nina était déjà nue.   Katy retira son débardeur ce qui laissa apparaître sa superbe poitrine avec ses petits tétons pointus.    Le beau mâle finit par se déshabiller entièrement. Voila nos trois coquins à poil sur le grand lit.    Il semblerait bien que le resto soit partie remise.                    

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Villa à louer: Location saisonnière-1

Location saisonnière 1ère partie Nina, une belle jeune fille brune de 19 ans, était logée à Bordeaux chez Katy, une veuve de 44 ans et amie de la famille.. La jeune fille poursuivait ses études de secrétaire commerciale.   Katy était une très belle femme, très bon chic, bon genre. Grande blonde, mince, un air très autoritaire. Sans doute le fait de diriger des employés,   La présence de Nina égayait pleinement les soirées de Katy. La solitude était dure a supporter depuis qu'elle avait perdu son mari Olivier, il y a déjà 3 ans. C'était un homme toujours joyeux et bon vivant. Elle était follement amoureuse de son coquin de mari.   Katy avait une villa à Arcachon qu'elle voulait embellir en vue d'une location saisonnière. Elle avait ouvert à cette époque une boutique à la frontière Franco-espagnole qui lui procurait beaucoup trop d'occupations en plus de sa boutique à Bordeaux.  Elle ne pouvait plus profiter pleinement de cette villa aux beaux jours.   Katy demanda à Nina, si elle pouvait l'aider a rendre sa villa plus accueillante. Elle savait qu'elle était très attirée par tout ce qui concernait la décoration.  Sans hésitation, Nina accepta la proposition. Elle devait bien ce petit service à Katy qui l'hébergeait gracieusement pendant ses études. C'était bientôt les vacances de Pâques, Nina allait donc être disponible une quinzaine de jour. C'est la période qu'elle avait choisi pour aller à Arcachon.   Marc, 47 ans, le beau-frère de Katy, s'était proposé pour repeindre la maison et faire quelques travaux de bricolage et de jardinage.   Katy ne pourrait les rejoindre qu'en fin de semaine.   Il fallait bien un bon mois pour rafraîchir la villa, y compris le jardin qui avait été un peu négligé, faute de temps.  Elle proposa à Nina de rester sur place plutôt que de faire la navette tous les jours, surtout qu'en mars, il faisait encore froid à cette époque.  Marc, lui, faisait la route tous les jours pour venir bricoler après son travail. Il installa les tringles aux murs pour les nouveaux rideaux que Nina avait décidé d'installer.    Pas trop sûre d'elle sur le grand escabeau, Marc a préféré lui venir en aide. 

  Elle n'avait pas prévu ça. Si elle avait su , elle aurait mis un jean. Surtout que Marc semblait intéressé par les fesses de la belle jeune fille, vu les coups d’œil qu'il lançait à chaque fois que Nina passait devant lui.  Et oui, elle avait gardé sa petite jupe et on pouvait voir facilement sa petite culotte. Ce qui réjouissait bien sûr Marc, chahuteur et coquin comme son frère Olivier. Il ne se gênait pas pour mater les fesses de la jeune fille, en lui faisant remarquer que la vue était très agréable et, de ne surtout pas se presser pour installer les rideaux ! Occupée a attacher les crochets, elle sentit la main de Marc, effleurer ses cuisses. Elle laissait faire Marc, trop occupée a vouloir finir vite fait d'accrocher les rideaux. La demoiselle semblait apprécier la douceur des caresses du coquin qui tenait l'escabeau que d'une main. Elle lui avait dit, pour la forme, d'arrêter. Elle espérait au fond d'elle même qu'il continue ses attouchements si agréables. Marc était un bel homme, un séducteur, qui ne laissait pas Nina indifférente.   Elle n'avait pas d'amoureux. Elle se contentait de ses caresses solitaires à la recherche du plaisir. Il avait compris que la brunette aimait ses caresses.
Marc avait une réputation de coureur de jupons ! Nina se laissa séduire. Elle avait entendu quelques histoires de la bouche de sa famille concernant les deux frères Olivier et Marc.   Des hommes séduisants qui plaisaient beaucoup aux femmes. Elle commença donc a fantasmer sur ce qu'il pourrait lui arriver. 

Quand Nina descendit de l'escabeau, Marc murmura :    - Tu m'as fait bander! Tu as un cul magnifique Nina !   Puis tout en continuant  de parler, Marc la ceintura par derrière et empauma ses seins avec fermeté puis se mit a les caresser avec douceur. La jeune fille semblait gênée mais cachait son plaisir. Les mains de Marc étaient fermes et chaudes. Nina sentait son sexe chaud et dur dans le bas de son dos.   Le séducteur était de plus en plus entreprenant. Nina espérait a ce moment qu'il aille encore  plus loin. L'excitation montait. Nina ne voulait pas qu'il s'arrête, elle avait de plus en plus envie.   L'avait-il deviné ? Une  main passa entre les jambes de la belle brune et commença a caresser sa chatte avec douceur.   Il lui dit :   - Hum, la coquine mouille ! Aurait-elle des envies ?   - Hummm ...! fut sa réponse !   Il avait compris qu'il avait toutes ses chances avec Nina. Il la bascula sur le canapé encore couvert de son drap de protection. Sa main se plaqua sur sa chatte et commença à la branler avec douceur, par dessus le tissu de sa petite culotte en dentelle.   Il fit glisser la culotte de Nina a ses pieds et, découvrir sa petite chatte toute lisse. Il  ne tarda pas a enlever son pantalon.   Elle avait vite compris pourquoi il avait un tel succès ! Son sexe était magnifique. Elle pensait à toutes ses femmes qu'il avait du faire jouir.   Les doigts de Marc pénétrait l'intimité de la jeune fille, en écartant ses lèvres intimes pour découvrir son clitoris. On entendait, sous ses caresses, le clapotis que faisait la cyprine de Nina. Ce petit bruit si excitant ! Les caresses continuèrent avec plus de vigueur, un bon moment. Elle ferma les yeux comme pour mieux apprécier ce moment de pur plaisir.   Son bonheur fut encore plus grand quand elle senti le sexe de Marc la posséder. Les va-et-vient étaient tantôt doux, tantôt plus brusque, avec des coups de reins plus brutaux. Nina suivait avec harmonie les mouvements du corps de Marc. Nina avait comprit que c'était un virtuose du sexe, C'était un amant formidable.   Elle senti un premier orgasme arriver. Il lui donna tout le plaisir qu'une femme peut espérer. Elle ne pouvait pas oublié cette première fois, il venait de la dépuceler.   Et oui bien sûr, on n'oublie jamais une première fois surtout si elle a été une bonne expérience. Bien sûr, pendant leur séjour, il y a eu d'autres fois !   Les travaux de décoration et d’aménagement étaient maintenant terminés. Un bon nettoyage et tout sera parfait !   Katy était contente du travail que son beau-frère et Nina avaient réalisé !   Il faut reconnaître que malgré quelques pauses coquines, ils n'avaient pas chômé.   Pour fêter ça, Katy ouvrit un bon millésime de Champagne. Après un premier verre, Marc quitta la villa, il devait rejoindre son épouse qui l'attendait, impatiente.   Katy buvait verre après verre et devenait de plus en plus joyeuse. Elle ouvrit une deuxième bouteille. Nina avait déjà bu 3 ou 4 verres. Elle savait pourtant qu'elle ne supportait l'alcool.   Les deux femmes éclatèrent de rire pour un rien. L'alcool aidant, Katy se mit a raconter des bêtises sur les hommes et, parla de son mari Olivier puis de Marc.   Elle questionna Nina, avec insistance, pour savoir si Marc avait été raisonnable avec elle . Nina ne savait pas pourquoi Katy se montrait si curieuse et posait tant de questions. Elle se garda bien de raconter son aventure avec Marc qui avait entrepris d'initier l'innocente et qui n'en demandait pas plus.   Katy semblait très bien connaître son beau-frère!  Puis la révélation tomba. Katy avoua être la maîtresse de Marc depuis un an ! Nina ne sourcilla pas face a cette révélation. L'ambiance restait malgré tout, plutôt sympa.   Elle avait mit de la musique antillaise et avait commencé a se déhancher sur les rythmes tropicaux. Après avoir fait les folles, une bonne demi-heure, un peu fatiguée peut-être, Katy avait mis un CD de slows, et attrapa la main de Nina pour l’entraîner au milieu de la pièce pour danser.    Katy, sous l'effet de l'alcool, sans doute, commença a caresser le dos et les épaules de Nina puis s'amusa avec ses longs cheveux noirs qu'elle enroulait au bout de ses doigts. Elle se collait de plus en plus contre Nina. Son corps était tout chaud, ses seins s'écrasaient contre la poitrine de la jeune fille. Une jambe entre celles de Nina. Son genou frottait avec précision l’intimité de la brunette. Nina ne savait plus quelle attitude avoir. A cet instant, elle se sentait tellement bien qu'elle se laissait emporter dans se tourbillon de bien-être et de plaisir.   Katy commença a l'embrasser dans le cou. Elle aimait bien donner ses petits baisers, puis passa ensuite sa main sur sa nuque pour attirer son visage angélique vers le sien.  Nina fut surprise quand Katy lui donna un long baiser, très sensuel, sur la bouche. Sa langue cherchait celle de Nina. Le champagne avait du la rendre amoureuse.    Katy était silencieuse, ce qui était rare chez elle. Les slows défilèrent. Elle s'appliquait a plaire à la jeune fille qu'elle serrait de plus en plus fort dans ses bras. Nina se laissait faire, incapable de la repousser. Katy en profitait pour exciter la jeune fille par des caresses de plus en plus osées et très sensuelles. Katy savait comment lui donner envie. Sa main s'égarait entre les jambes de Nina. Elle savait qu'elle allait trouver sa petite culotte humide. Elle devenait la proie de sa logeuse qui voulait assouvir ses désirs sexuels. Pendant que la chaîne Hi Fi diffusait « Unchained Mélody » Katy entraîna Nina au fond de la pièce.   En passant devant le canapé, elle renversa la brunette dessus. Nina se retrouva sur le dos. Katy, aussitôt, s'allongea sur elle et, très sûr d'elle, commença a défaire ses vêtements en les éparpillant sur le tapis, devant la cheminée. Elle aimait les pressions de la paume de la main de Katy sur son pubis et la douceur de ses doigts, effleurant mon intimité. Sa bouche jouait avec ses jolis petits seins. Elle suçait, léchait, aspirait les tétons de Nina.Trop exquis, cet instant qu'elles semblaient être dans un rêve ! Nina restait passive devant tant de douceur. Elle ne pouvait que laisser faire, cette femme qui avait su la séduire et prendre son corps.

Nina pensait que Katy devait avoir l'habitude de faire l'amour avec des femmes. Elle était trop à l'aise pour qu'elle soit sa première partenaire féminine. La jeune fille s'abandonna totalement dans les bras de sa nouvelle maîtresse et ne cherchait plus a savoir ce qu'il lui arrivait.
  Elles se mirent en position de "69" et, commencèrent un délicieux cunnilingus. Nina était très d'excitation sous les coups de langue très habile de Katy, ce qui lui déclencha assez vite, un premier orgasme, alors inconnu de cette façon là pour Nina !
Elle encourageait Nina a en faire autant mais elle était novice dans ce domaine. Katy guidait sa jeune protégée et, l'encourageait.
Nina était fière d'elle quand elle a entendu pousser un petit cri de plaisir dans la bouche de Katy. Elle venait de faire jouir son initiatrice.
 
Une heure du matin, elles n'avaient même pas pris le temps de manger. Après avoir grignoté un peu, elles ont rejoint la chambre de Katy. Nina s'était blottit dans les bras de sa maîtresse. Le matin, elle fut réveillé en douceur par de délicieuses caresses et de tendres baisers de la part de Katy. Elle ouvrit le tiroir de sa table de chevet et, en a sortie un gode noir et commença a caresser de la pointe du joujou, le clitoris de Nina puis s'amusa à la pénétrer avec cette bite artificielle. Elle demanda a Nina si elle aimait la sodomie. Ne voulant pas passer pour une gourde, comme elle n'avait jamais pratiqué, elle répondit  "envie d'essayer" ! Elle sortit sa panoplie de "mec", positionna comme il faut sa ceinture-gode et demanda à sa jeune amante de se mettre devant elle à quatre pattes sur le lit. La coquine, n'en avait pas encore assez. Leurs ébats, leurs procurèrent encore plusieurs orgasmes. Nina devait de découvrir en quelques jours tous les plaisirs du sexe ! Et ce n'est pas tout, Katy lui avait parler de vouloir lui faire découvrir le trio et insista pour l'impliquer dans cette relation. Nina, fantasmait au fond d'elle même  " Si Katy pensait à Marc comme troisième partenaire, j'aimerais tenter cette aventure ? "    Il était tant de se quitter, Nina devait rejoindre ses parents qu'elle n'avait pas vu depuis plus de quinze jours.   Chaque fois que Nina passait devant cette villa à Arcachon, très souvent occupée par des vacanciers, elle repensait à tout ces moments si agréables de sa vie. Peut-être que l'an prochain, quelques travaux seront nécessaire.   Nina ne souhaitait qu'une chose maintenant c'est de réaliser ce trio avec Katy et Marc. A suivre ....      

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Corps de femme : Les délices d’un gourmet

Corps de femme : Les délices d’un gourmet   Tu es belle comme une fleur sous le soleil   Que les rayons illuminent de tous ses éclats.   Mes mains caressent ta poitrine qui m’émerveille   Ton corps nu, dont je ne me lasse pas.   Magnifique, délicieux ! Tu me donnes faim...   Ma bouche gourmande, butine tendrement tes seins.   Je prends entre mes doigts taquins, tes petits tétons   J’aime ça ! Ils sont tellement bons !   Que je lèche avec un immense plaisir partagé.   Je descends lentement vers tes cuisses, avec malice   Et beaucoup d’amour, pour déguster, goûter...   Ma langue savoure ce palais des délices.   Comme un fruit que tu m’offres en guise de dessert   Pour un festin de Roi avec sa Reine, dans un royaume de douceur.   G.A

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Un 14 juillet à Royan

Un 14 juillet à Royan   1ère partie   Marie était partie en vacances à Royan pour quelques semaines. Ses parents lui avaient dit que le feu d'artifice du 14 juillet était magnifique, et c'était vrai. Tiré au dessus de la plage, la musique faisait jaillir les fusées colorées avec une orchestration parfaite. Il était donné un bal après le spectacle, et comme bon nombre de vacanciers, elle se dirigea vers le chapiteau avec son parquet flottant qui accueillait déjà une foule bigarrée... Elle était vêtue d'un petit corsaire moulant blanc, mettant en valeur ses hanches fines et sa cambrure de reins et d'un petit top à fines bretelles turquoise, lui laissant le ventre nu. Comme bien souvent avec ces vêtement d'été, aucun soutien gorge n'était envisageable, ses seins nus appréciaient cette liberté estivale.   Elle était assise à coté de son mari, et son pied battait la mesure quand soudain, un homme vint près d'eux et lui tendit une main pour l'inviter à danser. Relevant la tète, elle découvrit G.A , un contact MSN avec qui elle avait des discussions torrides et des fantasmes merveilleux. Ne voulant pas éveiller les soupçons de son mari, elle fit semblant de ne pas le reconnaitre, saisi la main qu'il lui tendait, et avec un sourire d'excuse à son mari qui acquiesça d'un signe de tête, elle le suivi sur la piste de danse. Ils laissèrent la foule se refermer sur eux, leur offrant un parfait écrin pour leur première étreinte. Elle senti sa main chaude venir effleurer sa taille et passer dans son dos pour la ramener fermement contre son corps. Elle n'osait pas encore le regarder, elle tremblait de peur et d'excitation. Son cœur s'emballait, son ventre se contractait, elle sentait contre son pubis une raideur qui l'affolait, la mettait au supplice, comme elle avait envie de se frotter encore et encore contre ce sexe ferme qui devenait de plus en plus volumineux. Elle était incapable de savoir quelle musique elle écoutait tant son cœur faisait du bruit, alors elle se laissa guidée par cet homme en qui elle avait entièrement confiance, son maitre, son saint, son amant virtuel. La main de G.A revint sur sa taille et passa sous le petit top, de son index il lui effleura l'aisselle, puis le coté du mamelon, Elle lui griffa le dos tant le geste déclencha chez elle une réaction brûlante, son bassin se colla plus étroitement contre le bas ventre de G.A et un long soupir de plaisir s'échappa de ses lèvres. Il posa son autre main sur ses fesses, et se mit à onduler contre sa vulve, ils se massaient tous les deux avec ferveur, de son autre main, il empauma discrètement un sein, et lui malaxa fermement, provoquant chez Marie, une coulée de cyprine qui inonda sa chatte. Il pinça tendrement son téton lui arrachant un gémissement rauque et sauvage.   - Si je le pouvais je te prendrais là, debout au milieu de la foule, mais ton mari pourrait nous voir, et ma femme aussi.   - Oh, G.A tu me rends folle, j'ai tellement envie de toi, trouve une solution je t'en supplie.   - Si la danse dure assez longtemps je vais te faire jouir avec ma queue bien dure sur ton minou. J'aimerai tant te faire jouir ma petite salope d'amour.   Il passa une jambe entre ses cuisses, la plaqua encore plus fort contre sa virilité, et se mit à la masturber fermement en se frottant à elle de plus en plus rapidement. Elle haletait, la jouissance était proche, il lui mordilla le cou, titillant son téton avec frénésie, elle suffoquait de plaisir.   - Tu dois obéir à ton maitre, n'oublie pas... Tu es ma petite esclave, ma cochonne, ma petite pute de rêve, jouis maintenant, je te l'ordonne.   Transportée par sa voix, et les mots que lui seul osait lui prononcer, elle sentit une boule de feu lui cisailler le ventre, elle se serait mise à hurler s'il ne l'avait pas à cet instant précis embrasser avec fougue, mêlant leur souffles, leur langue dans une danse primitive qui fini de les consumer tous les deux. Pantelante, perdue, elle reprenait doucement ses esprits...   - Mais toi ? Tu n'as pas pu jouir !   - Je sais, ma queue me fait si mal que je ne peux même plus la toucher.   - Vas sur la plage, attends moi, j'arrive.   De retour à sa place, elle chercha son mari des yeux. Marie le vit à la buvette avec des amis, elle se dirigea vers lui en cherchant fébrilement une excuse pour s'absenter quelques instants.   - Ah ma chérie, je te cherchais, il y a un stand de tir, je peux te laisser une petite demie heure pour aller faire quelques cartons ?   Le ciel soit béni !   - Bien sur, pas de problème, je vais aller faire quelques pas sur la plage en attendant !   - Merci, tu es un ange.   Sa culpabilité fut de courte durée, G.A lui était destiné, ils avaient résisté, n'avaient jamais envisagé de se rencontrer, s'en remettant au destin si un jour leur route se croisait. C'était aujourd'hui, elle ne refuserait pas ce petit coup du sort.   2ème partie   Marie se mit à courir en direction de la plage, il ne pourrait pas faire l'amour, ils n'en auraient pas le temps, mais elle allait enfin le prendre dans sa bouche, elle allait le sucer comme jamais elle n'avait osé le faire à son propre mari. G.A était allongé sur le sable les mains derrière la tête, il regardait les étoiles, la nuit les protégeaient des regards indiscrets. Elle déboutonna sa chemise, et fit tomber une pluie de baisers humides sur son torse. Elle trouva les tétons qu'elle lécha avec douceur, aimant les sentir durcir sous sa langue. G.A ne disait rien, ne bougeait pas, mais sa poitrine se soulevait plus vite et son ventre se creusait de désir. Elle défit le ceinturon de son pantalon avec empressement, ouvrit la fermeture éclaire, et mit à jour la hampe dressée dont elle rêvait depuis si longtemps. De son index, elle en suivit la courbe, du bout du gland jusqu'à la limite de ses bourses. Il souleva son bassin pour qu'elle puisse ôter son pantalon. Elle défit son chignon et lui caressa le bas ventre avec la masse soyeuse et tiède de ses cheveux. G.A ondulait du bassin de plus en plus fort, cherchant un contact plus précis. Elle se saisit alors de son sexe, et se caressa le visage avec, le respirant, l'embrassant. Avec lenteur elle passa sa langue sur le gland mis à nu, elle en fit le tour avec gourmandise tout en le branlant lentement de bas en haut d'une main légère mais ferme.   - Hummmmmm! Oui suce moi bien ma petite vicieuse, j'en rêvais depuis si longtemps de te la mettre dans ta bouche.   Elle referma alors ses lèvres doucement et commença à l'aspirer lentement, salivant de plus en plus à mesure qu'elle le faisait coulisser plus profondément dans sa bouche. Elle reprenait un peu sa respiration en le relâchant, mais retournait bien vite à son met de choix. D'une main elle lui branlait la base du sexe, tandis que de l'autre elle lui massait les couilles avec douceur. G.A gémissait à présent, sa queue gonflait encore obligeant Marie à ouvrir sa bouche de plus en plus grande pour pouvoir l'avaler entièrement. Elle sentit les mains de G.A se poser sur sa tête et la forcer à descendre encore plus loin, sentant sa gorge se défendre contre cette intrusion, mais au moment ou elle pensait ne plus pouvoir le supporter, G.A relâchait la pression, la laissait reprendre son souffle, et recommençait à s'enfoncer en soulevant le bassin et en lui maintenant la tête fermement, appuyant par à coup sur sa nuque pour s'enfoncer plus loin. Marie l'avait à présent bien au fond de la gorge, sentant sa trachée se refermer sur le gland. G.A poussait des râles de contentements.   - Lèche-moi les couilles aussi, ordonna –t-il !   Elle ne se fit pas prier, elle les goba les mettant bien au chaud dans sa bouche une par une, dardant une langue pointue elle les séparait puis agaçait leur rondeur de la pointe de sa langue qu'elle faisait doucement vibrer. Marie s'aventura sur le périnée, roulant la pointe de sa langue dessus comme s'il c'était agit d'un petit clitoris. Marie senti son mâle se cambrer de plaisir. Alors le branlant d'une main, elle continua à lui lécher le périnée, revenant avaler son membre en cadence. Sa langue s'aventura plus bas, sur son anus, elle le vit replier les jambes et les écarter comme elle le ferait pour qu'il la sodomise, elle se plaça alors entre ses cuisses, cracha sur son index, et tout en l'avalant au fond de sa gorge, elle appuya le bout de son index sur le petit œillet qui se mit à s'ouvrir lentement. Elle retira son doigt, cracha à nouveau abondamment dessus, et recommença en appuyant plus fort, sa première phalange le pénétra, lentement elle le doigta, s'enfonçant de plus en plus jusqu'à avoir son index fermement planté dans son petit trou. G.A ne parlait plus, il gémissait sans discontinuer, sa queue tremblait dans sa bouche, son index le limait de plus en plus vite tournant dans son anus maintenant assez ouvert pour qu'elle puisse y glisser aussi son majeur.   - Hummmmmm salope j'adore ça, continue ne t'arrête pas, à ton tour de me prendre, j'ai envie que tu me sodomises.   Il écarta encore plus les jambes, Marie salivait abonnement avec cette énorme bite au fond de la gorge, sa salive coulait sur ses couilles, son périnée, son anus pour en faciliter la pénétration. Elle écartait ses doigts, les faisaient tourner lentement, puis faisait des va-et-vient puissants, n'y tenant plus elle commença à se caresser au travers de son pantalon, tout en le pompant goulument, elle senti l'anus se refermer sur ses doigts et elle reçu le premier jet de semence d'une violence incroyable au fond de sa gorge, elle remonta sa bouche sur le bout de sa queue pour avaler cette liqueur dont elle avait rêvé de goûter mainte et mainte fois. Elle prit plusieurs jets puissants, avalant toujours tout ne voulant en perdre aucune goutte. Alors que G.A avait le corps arqué prêt à se rompre tant la jouissance était violente, Marie se senti partir, elle aussi et le rejoignit dans un dernier cri avant de venir le couvrir de son corps, se blottissant dans ses bras redoutant le moment de la séparation.   - Demain ma femme s'en va faire des courses avec des amis, j'ai loué un voilier, trouve le moyen de m'y rejoindre pour passer un moment en mer. Je dirais à ma femme que je parts à la pêche. Je veux t'aimer toute une journée.   - Je trouverais une solution, moi non plus ça ne me suffit pas, je veux te sentir en moi comme dans nos dials. Embrasse-moi, je dois retourner au bal rejoindre mon mari.   Faire l'amour sur un voilier, Hummmmmm, le roulis, le tangage, et tous ces bouts, ces poulies pour l'attacher, l'écarteler, la faire souffrir de plaisir... Elle en rêvait déjà...   3ème partie Royan le15 juillet   G.A s'installa à la terrasse de la Brasserie Amarys sur le Front de mer qui est juste en face du port de plaisance. Il commanda un café crème et 2 croissants. Il était à peine 8h. Peu de monde circulait sur l'esplanade, un type promenant son chien, un cycliste allant et venant tranquillement dans les allées de l'esplanade, une jeune femme faisant du roller sur la piste cyclable, quelques joggeurs... G.A scrutait le ciel. Le temps s’annonçait favorable pour une sortie en mer. Mais es-ce que Marie pourra s'échapper? G.A regardait sans arrêt son téléphone, surveillant les SMS. Toujours rien. Marie lui avait laissé entendre qu'elle s’échapperait le matin en prétextant qu'elle irait faire un tour sur le marché de Royan. Son mari était un mordu de VTT et tous les matins il partait plusieurs heures faire une randonnée à travers les pistes forestières.   Enfin son portable vibra! G.A trouva le message tant attendu :   « J'arrive dans un quart d'heure bisous mon amour. »   G.A ne put s'empêcher d'avoir un petit sourire qui trahissait sa pensée :   « Un quart d'heure, cela veut dire une bonne demi-heure a attendre la belle! »     Il répondit de suite :   « Je t'attends devant la cabane de location de Mario »   G.A file vite confirmer qu'il gardera le petit voilier qu'il avait retenu la veille. Après les formalités pour la location, Mario le conduisit au bateau avec quelques recommandations. Le loueur répéta encore une fois :   « Et surtout retour à midi au plus tard ! J'ai promis ce voilier à un autre client. »   Comme convenu, Marie se rendit au port de plaisance de Royan, cherchant des yeux G.A et la cabane de Mario. Il l'avait déjà vu arrivé et se mit a faire de grand geste de la main pour signaler sa présence. Elle ne tarda pas à le repérer, avec sa casquette blanche a longue visière et ses Ray-ban. Il avait tout l'allure d'un plaisancier avec son polo et son short blanc. Marie arriva devant la passerelle ou se tenait le voilier. Elle hésita, piétinant nerveusement. Que se passait-il dans sa petite tête? G.A s'avança vers Marie, ses lunettes sur la casquette. Elle se précipita dans ses bras qu'il lui tentait. Lui tenant la main, G.A l'accompagna devant le voilier, tout rutilant, dansant doucement sur les flots. Marie dévisageait son loup de mer qui, avec son grand sourire et ses yeux verts perçants, l'a troublé passionnément. Marie était rassurée. Elle se rendit vite compte que G.A était un habitué des bateaux. Il s'affairait à mettre tout en place après maintes vérifications. Il sortit les gilets de sauvetage.   Voilà tout était près. Le voilier quitta lentement le port     G.A avait décidé d'aller naviguer sur l'Estuaire de la Gironde. Toutes voiles dehors, le voilier filait à bonne allure vers l'embouchure de la Gironde. Il longea la côte Charentaise, Meschers , Talmont , Mortagne, les carrelets, les cabanes de pêcheurs...       Ce n'était pas par hasard que G.A avait décidé de passer par là. Il avait sa petite idée, rejoindre une petite ile inoccupée et très agréable.   Dans la cabine de pilotage, G.A attira Marie contre lui, posant un sobre et sage baiser sur sa joue, puis enfouit son visage, dans la masse de ses cheveux qui volaient au vent, cherchant son cou, le parsemant de petits bisous qui la firent frissonner. Ses doigts filèrent dans sa chevelure qu'il caressa avec beaucoup de plaisir. Marie se laissa faire, sa tête posée sur son torse nu et puissant, respirant sa bonne odeur d’homme qui sentait un mélange de transpiration, d'Ambre solaire et d'after-shave. Marie est grisée par toutes ses odeurs de mâle. Ses mains effleurent légèrement son corps. Marie ôta son tee shirt et son petit short, se trouvant nue. Elle s'allongea sur le devant du bateau pour bronzer un peu. Elle s’aperçut que G.A manœuvrait le voilier pour accoster sur une petite ile déserte.     Le bateau, une fois amarrée au petit ponton, G.A pris Marie dans ses bras et la transporta jusque sur le sable blanc de la petite île. Il l'allongea sur la plage.   G.A dévorait Marie des yeux, admirant son superbe corps. Ses mains empaumaient ses beaux seins en forme de poire, bien fermes, les caressant, s'amusant avec ses tétons, jouant du bout de ses doigts avec eux en tournant autour les mamelons. G.A se mit a les sucer et les lécher, Ses tétons était déjà en érection. Sa langue tournait autour des pointes de Marie, toute gémissante, fermant les yeux de plaisir. Il descendit sur son ventre pour continuer son exploration érotique. Pas une seule parcelle de son corps ne sera oublié. Là, entre ses cuisses qu'il avait tendrement écarté, il glissa son visage et d'une langue gourmande et habile, lui lécha la fente humide de la belle Marie. Titillant, du bout de sa langue, son petit bourgeon bien gonflé. Elle n'en pouvait plus, elle voulait le sentir en elle. N'y tenant plus, sa main alla directement dans son short , où elle en sorti un membre déjà bien tendu. Elle se mit en position de 69 pour prendre ce membre dans sa bouche. Elle se mit à le pomper avec application pendant que G.A s'occupait amoureusement de son minou. Nos amants étaient seuls au monde. Leurs gémissements couvraient le chant des oiseaux. Marie se leva et s'installa sur G.A en position de l'Andromaque. Elle prit son sexe et s’empala dessus. Une danse érotique sur le ventre de G.A commença! Marie se tordait dans tous les sens, remuait de haut en bas, tournant son bassin, poussant de petits cries qui faisaient comprendre à G.A que Marie allait jouir. La jouissance fut à l'unisson, lui aussi, poussa un râle en même temps que Marie. G.A s'assoupit un moment, Marie collait à lui. Le bruit d'un bateau à moteur les ramenèrent à la réalité. Il était temps de rentrer.   Arrivés sur le bateau, Ils s’installèrent dans la cabine sur la banquette intérieur du voilier. G.A ouvrit le petit frigo et en sortit 2 bières bien fraiches. Ils se regardèrent un peu tristement parce qu'ils savaient tous les deux qu'ils allaient se quitter pour un long moment. Se reverront-ils avant le prochain feu d'artifice de Royan.   G.A avait décidé de mettre le moteur pour accélérer le retour. Ils avaient pris beaucoup de retard mais ne le regrettaient pas bien sûr. Marie resta collé contre G.A tout le long du retour comme si elle ne voulait pas qu'ils se quittent. Ils se séparèrent sur les quais du Port avec d'interminables « au revoir »,   Marie partie presque en courant sans se retourner. G.A attendu de ne plus la voir pour quitter le Port.

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J'ai regardé deux blondes faire l'amour.

J’ouvre les volets de ma chambre,  je m’étire devant la fenêtre et scrute le ciel. Une belle journée s’annonce. Depuis quelques jours, je profite au maximum de la plage, d’où ma bonne humeur actuelle ! Dés que j'ai l'occasion d'y aller, je ne la rate pas ... Comme d’habitude, je charge ma planche de surf sur le porte-bagage et range mon sac dans le coffre du 4 X 4.   Sur la route, en direction de l'océan,  je double souvent de nombreux autostoppeurs, ce qui est courant en début de période estivale. Je ne m’arrête pas toujours. Je suis  très sélectif ! Avec moi,  les filles  ont plus de chance d'être embarquées   Justement  ce jour là, je n’ai pas hésité une seconde pour m’arrêter. C’était fin juin vers 11 heures, j'ai pris deux filles en stop. Deux jolies blondes. Des allemandes qui devaient être  dans un des nombreux camping à l'entrée de la petite ville balnéaire que je fréquente habituellement, renommée pour ses plages naturistes. Moi-même je suis adepte du nudisme, mais je n’aime pas  les centres hélio-marins ,je suis  plutôt pour le naturisme sauvage, J'aime être retiré des plages centrales surveillées.   Les filles parlaient très bien le français avec un léger accent Allemand qui s’ajoutait à leur charme. Elles rigolaient beaucoup pendant le trajet. Je jetais un œil coquin dans le rétroviseur central que  j'avais pris soin d'ajuster. Je ne comprenais pas ce qu’elles disaient,  elles parlaient Allemands, entre elles bien sûr. Je les trouvais très sympa en plus d'être jolies.   Déjà quelques voitures ... Je gare le 4 X 4 à l’ombre sous un arbre au bord de la  route.  Nous faisons  les quelques mètres ensembles vers la mer, mon attirail   avec moi.   Je me dirige à l’écart de la plage centrale où il y avait déjà quelques gens qui étaient là pour profiter des premiers rayons de soleil de l’été. Les deux filles m'ont suivi tout naturellement et se sont assises à quelques mètres de moi. L’endroit était,  presque désert.  Elles se sont étendues sur leurs nattes  et, comme moi, se sont mises nues. J’étais ravie d’avoir, à côté de moi, ces deux belles blondes avec leur corps superbes. La plus petite des deux avait une chute de reins comme j’aime avec des fesses bien arrondies, des seins généreux avec des mamelons bien marqués. La plus grande était beaucoup plus mince, plus longiligne, ses seins plus petits avec des tétons bien pointus, des fesses moins rebondies. Toutes les deux avaient de beaux visages angéliques avec leurs longs cheveux blonds.   Des filles qu’on remarque de suite sur  une plage !.   Elles se sont mutuellement enduites de crème solaire. J’avais l'impression qu'elles se caressaient plutôt que de se tartiner. Je les observais discrètement. J'avais remarqué quelque chose de bizarre dans la façon de se toucher. Il y avait quelque chose de sensuelle dans leur jeu de mains. Leur attitude, leur façon de se regarder. Cela m’intrigua et attisa ma curiosité .   Une fois bien installées, côte à côte, la plus petite, Renata, posa sa main sur le ventre de Katia. Toujours du coin de l’œil, j'observais les belles créatures. Je ne me trompais pas, la main de Renata caressait, maintenant  les seins de sa copine. J'étais légèrement avancé par rapport à elles donc, elles pouvaient penser que je ne voyais rien. Je sentais dans mon dos qu’il se passait quelque chose. Je ne les entendais plus rire. Je n'ai pas pu résister de  tourner la tête, sans trop de  discrétion. Je les ai surprises, s'embrassant à pleine bouche. Je les voyais jouer avec leurs langues. Je ne pouvais pas détourner mon regard de cette scène sensuelle. Tellement occupées a  ce faire plaisir,  elles n'avaient même pas remarqué que je les observais, ou bien elles s’en foutaient totalement !   Je leur ai crié : - vous êtes adorables ! Je vais vous prendre en photo!   Elles m'ont regardé et, se sont misent à rire.   Renata m'a répondu : - Katia, c'est ma chérie ! Avec son accent germanique.   Je lui ai répondu qu'elle avait bon goût et qu'elle aussi était très jolie. - Vous formez un beau couple !   Après avoir bien plaisanté, nous sommes allés, tous les trois, nous baigner. Dans d'eau, elles restaient enlacées et continuaient à s'embrasser. Je pensais : " Elles sont vraiment amoureuses ses deux là !"   J’étais là, témoin de leurs effusions de tendresse.   De retour sur les nattes, c’est là que tout a commencé. Les filles ne se retenaient plus. Sans doute s'étaient-elles excitées dans l'eau. Toujours de plus en plus entreprenante, Renata caressait maintenant Katia, sans retenue. Sa main se promenait entre les cuisses de sa copine. Leurs caresses étaient plus appuyées, plus franches. Je prenais beaucoup de plaisir à les regarder faire. Je ne me gênais plus pour les mater et ça n'avait pas l'air de leur déplaire. Bien au contraire ça devait les exciter, qu'un voyeur  les mate !. Je ne pouvais plus rester inactif. J’étais dans un état d’excitation, difficile à contrôler. Je me régalais de les voir se donner du plaisir! Mon sexe, devant tant d'excitation s'était dressé, inéluctablement. Cette situation devait excitait encore plus les filles. Je suis resté voyeur jusqu'au bout. Seul consolation, je me suis masturbé devant elles pendant leurs effusions amoureuses, ce qui devait  pimenter leur petit jeu coquin.   Katia a eu des gémissements suivit d'un cri assez bruyant au moment de son orgasme. J’ai trouvé ça beau et très excitant de voir  son plaisir  s'exprimer de la sorte. Ce qui a intensifié mon plaisir et ma  jouissance.   Après un bon bain de soleil, je les ai déposé devant leur camping. Nous nous sommes fait la bise en nous promettant de nous revoir. Ma planche de surf n'a pas été utile cette journée là!   Je les ai croisé plusieurs fois sur cette plage mais je n'étais pas seul, dommage ! Elles ne se mettaient jamais trop loin de l’endroit ou j’étais installé, comme pour attirer mon attention. Renata , en me rejoignant au bord de l'eau, m'avait proposé de venir manger avec elles, au camping,  le samedi soir suivant. J'ai regretté de n’avoir pas pu me libérer à cause d'un contretemps. J'ai raté là, une superbe soirée, sans aucun doute.   Voilà un autre souvenir de plage.   Revu  et corrigé le 25 juin 2015 G.A

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La fille de l'étang.

La fille de l'étang. Au mariage de ma cousine, j'avais remarqué une jeune fille âgée, peut-être de 23, 24 ans, qui était une invitée du marié. Elle gesticulait beaucoup et riait aux éclats. Tout pour se faire remarquer. Pourtant elle avait un doux visage qui me laissait penser a une jeune fille plutôt sage. Cette fille avait un corps superbe et elle devait le savoir pour en jouer de la sorte. Je la matais depuis déjà pas mal de temps quand elle s’en aperçue. La jeune fille me provoqua en exagérant son attitude. C'est comme si un jeu s’installait entre elle et moi. Je la voyais passer sa main sur un sein ou bien se caresser le nombril ou encore ses doigts peignant ses cheveux, tout en s'assurant que je la regardais. Ce manège a duré pendant une bonne heure, puis subitement s’arrêta de faire son intéressante. Quelques instants après, elle passa devant moi, me regardant avec insistance, en m’adressant un beau sourire tout en continuant de se diriger vers la sortie de la salle du banquet après avoir jeté un pull sur ses épaules. Une invitation peut-être ? J'ai eu a cet instant une envie folle de lui parler. Je me couvrais aussi, le temps était encore frais, en ce début du mois de mai. A mon tour j'avais quitté les mariés. Elle était là, seule, en train de fumer une cigarette, un bras entourant sa taille. Je m'avançais vers elle et lui adressa un bonsoir amical : - Tu vas avoir froid comme ça avec ton pull sur les épaules, il fait très frais ce soir La jeune fille me répondit - j'ai besoin de me dégriser, j'ai trop bu, je n’ai pas l’habitude, et je ne suis pas bien dans ma tête . Je lui propose : -Tu veux qu'on marche un peu ? - C'est quoi ton prénom ? - Julie ! Me répondit-elle ! - Moi, c'est Georges Après un hochement de tête, nous prenons un petit sentier qui mène vers l'étang, éclairé par la nouvelle lune . L’endroit était reposant et magnifique. Au bout de quelques minutes de marche, elle s'arrête pour s’asseoir sur un banc. Je m’installe près d’elle. Le lampadaire éclairait mal à cet endroit. Avait-elle choisi volontairement ce lieu pour faire une pause? Elle me regardait avec insistance et me dit : - Je te trouve beau ! ... - Et sympa ! Puis rajouta : - Ce n'est pas comme l'autre con ! Je la remerciais et lui retournais le compliment : - Toi aussi, je te trouve sympa, très sensuelle et très belle. J’ai bien aimé ton petit jeu coquin de tout à l'heure. - C'est qui « ce con » ? Il s’en suivit un long silence. Elle ne voulait pas me répondre. Je n'insista pas, j'avais compris qu'elle avait un chagrin d'amour. Je m’en suis hardi en lui déposant un petit baiser sur sa joue puis sur ses lèvres charnues et sucrées. Elle semblait docile et accepter mes avances. Je l’entoura de mes bras en l’attirant vers moi, comme pour la réchauffer. Elle se laissa faire comme si elle attendait ça. Se blottissant bien dans le creux de mon épaule. Nos corps étaient enlacés, se serrant de plus en plus fort l’un contre l’autre. La passion avaient prit le pas sur la séduction et tendresse. Nos corps perdaient petit à petit, tout contrôle. Nous avions l’impression de ne plus savoir ce que nous faisions. Nous risquions d'être surpris a tout moment. Le désir s’était installé, nos gestes étaient devenues torrides. Mes mains exploraient fougueusement son corps. Je caressais ses petits seins de jeune fille avec un réel plaisir. Ils étaient si tendres et appétissants. Mes doigts roulaient sur ses aréoles. Ma langue en dégustait ses tétons. Je prenais autant de plaisir qu’elle, de l’entendre gémir. Ma main n’avait pas tardé a glisser entre ses cuisses à la recherche de sa perle dans son écrin. Cette situation était devenue très chaude, difficilement incontrôlable, sentant l'humidité intime de son excitation aux bouts de mes doigts, à travers le tissu de sa petite culotte. Cela m’avait émoustillé. Julie s’abandonna totalement dans mes bras. Elle avait senti ma verge tendue. La coquine avait défait, habillement, les boutons de ma braguette. Mon sexe entre ses mains était devenu son jouet. Elle commença a me sucer avec application. Sa langue tournait autour de mon gland. Elle engloutissait ma verge et fit des va-et-vient entre ses lèvres bien serrées. C'était si bon et tellement jouissif que j'ai du la stopper, ne voulant pas finir trop tôt, nos préliminaires. Elle se positionna, assise sur mes genoux, face à face … Et là un long jeu de séduction commença entre nous, les yeux dans les yeux … A celui qui fera craquer l'autre le premier. Nous avions craqué ensemble dans une jouissance extraordinaire et intense. Notre acte d’amour fut divin. Cela semblait l'avoir apaisée. Nous sommes restés sur le banc un long moment pour bavarder et encore mieux se connaître. Elle me dit qu’elle voyageait beaucoup parce qu’elle était hôtesse de l’air et que son fantasme serait de faire l’amour dans une cabine de l'A380. Je lui ai promis que je prendrai un vol sur l'A380, lorsqu’elle sera de service pour s’envoyer en l’air tous les deux pour qu’elle réalise son fantasme. Nous avions rejoins les convives qui, apparemment, n'avaient même pas remarqué notre longue absence. Ce fut une nuit merveilleuse ! G.A Autres textes : Histoires érotiques (15)

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Quand humour rime avec culture

Quand humour rime avec culture ... c'est du miel ! De bonnes répliques !!!! En voila quelques unes pour commencer **** Le Prince de Conti était fort laid. Aussi sa femme le trompait sans vergogne. Un jour, en partant, il lui dit : « Madame, je vous recommande de ne pas me tromper pendant mon absence. » Réplique de sa femme : «Monsieur, vous pouvez partir tranquille, je n’ai envie de vous tromper que lorsque je vous vois.» **** Sacha Guitry et Yvonne Printemps, son épouse du moment, se promènent dans un cimetière. « Lorsque vous serez là, on pourra écrire sur la pierre : Enfin froide ! » déclare galamment le spirituel Sacha. Réplique de Yvonne Printemps : « Et quand vous y serez, sur la vôtre on pourra écrire : Enfin raide ! » **** Je ne sais plus quel animateur de télé pose cette question fondamentale à Michel Blanc : « Être chauve, est-ce un handicap ? » Réplique de Michel Blanc « Je suis chauve, mais j'ai une queue de cheval ! » **** Lady Astor apostropha un jour Winston Churchill : « Monsieur Churchill, vous êtes ivre ! » Réplique de Churchill : « Et vous, Madame, vous êtes laide... Mais moi, demain, je serai sobre ! » **** Lors d'une visite du palais de Blenheim (maison ancestrale de la famille Churchill ), Lady Astor, l'icône féministe, se retrouva à discuter des droits des femmes avec Winston Churchill, qui n'était pas réputé pour son affection pour le sujet. Au sommet de leur désaccord, Lady Astor s'écria : « Winston, Si j’étais votre épouse, je mettrais du poison dans votre verre ! » Réplique du tac au tac de Churchill : « Eh bien moi, Nancy, si j’étais votre mari, je le boirais ! » **** A la fin d'un dîner organisé par Winston Churchill, le maître d’hôtel du héros de la guerre présente la cave à cigares aux invités. L’un d’entre eux, sans le moindre scrupule, en prend cinq, les met dans sa poche et déclare : "C’est pour la route. » « Merci d’être venu d’aussi loin, lui lance Churchill. » Sur le forum "Vos Blagues Intimes " :

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La fête des femmes... c'est tous les jours

La fête des femmes ... c'est tous les jours Quelques citations sur les femmes : Le cœur de la femme est aussi instable qu'une goutte d'eau sur une fleur de lotus. Confucius Une femme qui a un amant est un ange, une femme qui a deux amants est un monstre, une femme qui a trois amants est une femme. Victor Hugo Tous les raisonnements des hommes ne valent pas un sentiment de femme. Voltaire On ne naît pas femme ! On le devient. Simone de Beauvoir La femme la plus aventurée sent en elle une voix qui lui dit : Sois belle si tu peux, sage si tu veux, mais sois considérée ! Beaumarchais Être belle et aimée, ce n'est être que femme. Etre laide et savoir se faire aimer, c'est être princesse. d'Aurevilly Barbey Dans sa première passion, la femme aime son amant, et dans toutes les autres, tout ce qu'elle aime est l'amour. George Byron Mon dieu que l'homme est compliqué quand c'est une femme. Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski Quand une femme a donné la clef de son coeur, il est bien rare qu'elle ne fasse pas changer la serrure. Charles-Augustin Sainte-Beuve L'homme est principalement une puissance d'action, la femme une puissance de fascination. Pierre Joseph Proudhon Adressez-vous plutôt aux passions qu'aux vertus quand vous voudrez persuader une femme. Marquis de Sade Laissons ses secrets à l'amour et ses mystères à la femme ! Joseph Autran C'est le miroir qui se mire dans la Femme. Xavier Forneret L'homme jouit du bonheur qu'il ressent, et la femme de celui qu'elle procure. Pierre Choderlos de Laclos Quand vous dites quelque chose à un homme, ça entre dans une oreille et ça sort par l'autre. Quand vous dites quelque chose à une femme, ça entre dans une oreille et ça ressort par la bouche ! Henry Millon de Montherlant Une belle femme est le paradis des yeux, l'enfer de l'âme et le purgatoire de la bourse. Bernard Le Bovier de Fontenelle En politique, si vous voulez des discours, demandez à un homme, si vous voulez des actes, demandez à une femme. Margaret Thatcher Faire l'amour à une femme triste, c'est lui redonner goût au bonheur. Karine Tuil Sur le forum "Tout et Rien" :

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Le printemps, un banc, un jardin

Le printemps, un banc, un jardin   Sur ce banc de bois, défraîchi par l'hiver, près du vieux chêne, je m'y assois pour profiter de cette belle journée de printemps. Tu es déjà là, les yeux fermés, le visage tourné vers le ciel. Les rayons du soleil éclairent ta silhouette. Tu es belle et semble jouir de cette douce chaleur sur ton corps, Un vent doux mais encore frais, caresse ta frimousse. Je découvre ta poitrine pour y déposer mes lèvres, Ta peau est déjà chaude. Elle a un gout de miel. Je te savoure avec beaucoup de plaisir. Tu t'abandonnes à mes caresses ... Je ne regarde plus les jonquilles, ni les tulipes qui ornent le jardin. Le mimosa a fini de fleurir, les pâquerettes couvrent abondamment la pelouse. Les senteurs de ton corps se mêlent à celles de ce magnifique espace vert Ma main caresse ta chevelure blonde que le soleil rend éclatante. Viens dans mes bras et aimons nous pour célébrer ce beau jour plein de promesses.   Sur le forum intime :

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Descente vers le plaisir

Il y a bien longtemps déjà que cette situation m' est arrivée et je m'en souviens encore comme si c'était hier.   A cette époque j'habitais un charmant petit village de l'Allier. J'avais 20 ans, (le bel âge , je confirme !)   Un matin, du mois de juin, je décide de faire un peu de vélo pour maintenir ma forme. Les routes de la région sont très agréables dans cette campagne très verdoyante. Pas trop de côte sur cette petite route étroite que je viens d' emprunter. Un vrai plaisir pour moi. Elle longe la "Majieure", petite rivière, très poissonneuse où il m'arrive d'aller pêcher quelques fois.   Me voila devant la seule montée pénible qui se présente à moi.   " Ouf, enfin en haut de la côte! "   Je stoppe un moment et souffle un bon coup. Je m'éponge le front.   La récompense, c'est maintenant dans la descente. C'est avec un grain de folie que je me lance à tout allure sur cette route sinueuse. C'est enivrant de filer à toute vitesse après tant d'effort. Je chante à tue-tête, les pieds en l'air loin des pédales. (Oui , je sais encore un vrai gamin à cet âge là) Mon euphorie cesse subitement à cause de coups de klaxon insistant, d'une voiture qui essaye de me doubler. Je m'écarte un peu trop brusquement à droite et là, catastrophe !!! Ma roue dérape sur du gravier, en bord de route. Je passe par dessus mon vélo. Heureusement la rivière est un peu plus loin.   L'automobiliste freine et vient à mon secours. Dans la chute j'ai pris le guidon dans le bas du ventre. (Oui, ça fait mal!) Je pose mes mains sur mon sexe en poussant quelques cris étouffés. La personne s'approche de moi et là, je reconnais Corinne, l'infirmière du village, que je côtoie dans le milieu professionnel.   Corinne est une belle jeune femme, une trentaine d'année, très brune avec de longs cheveux dans le dos, espiègle et souriante. Elle passe auprès des habitants du village comme une sacrée coquine. L'étiquette de l'infirmière sans doute.   Elle me demande si j'ai mal. Je lui réponds que ça va aller. Elle insiste et me dit d'une voix un peu autoritaire :   - Montre moi ça !   Un peu hésitant, je défais ma ceinture, ouvre mon pantalon et baisse mon slip. Ma bite est à l'air libre.   Je sens sa main chaude se poser dessus.  ( Wouahhhh! Faut pas me faire ça!)   Mon sexe ne tarde pas a prendre du volume devant cette situation. L'infirmière me dit, avec un petit sourire coquin :   - Bon , je vois qu'il n'y a rien de grave.   Avec autant de malice, je lui réponds :   - si, si ... j'ai encore mal, ... là !     Elle rigole et d'un geste décontracté, m’attrape la bite à pleine main et commence à faire comme si elle voulait me masturber.   - Et là, j'en suis sûr que tu vas mieux! Me dit-elle.   Je murmure :   - Encoreeee ! Ça ira mieux!   - Hummm , oui, ça fait du bien !   Corinne prenait ce petit jeu avec un certain plaisir. Là, elle ne faisait plus semblant de me branler.   Au bout d'un moment, nous étions chauds tous les deux, elle me dit :   - Viens dans la voiture! Ne restons pas là, on ne sait jamais même si cette route est peu fréquentée.     A cet instant, plein d'images défilées dans ma tête. J'espérais réaliser un jour, un rêve qui hante quelques unes de mes nuits. Celui de faire l'amour avec Corinne,   Nous voilà installé dans le break; Corinne a rabattu les sièges en couchette.   Les jambes en l'air, elle me demande d' une voix douce :   - Retire-moi mon string ...   je réplique aussitôt :   - Vous êtes une vraie diablesse !   Je fais glisser son string le long de ses magnifiques jambes, en commentant :   - Vous êtes splendide... J'adore vos jambes!     - Tu peux me tutoyer, Georges !     Elle soulève ses jambes pour finir de retirer son string et en profite pour se placer à califourchon sur moi.   Elle m’embrasse tout en frottant son entrejambe contre ma cuisse, puis se redresse, m'obligeant a rester allongé. Elle a la situation bien en main.   Corinne me regarde droit dans les yeux et me lance avec une voix suave :   - Fais-moi du bien.   Sur ces mots , elle fait glisser son corps pour se positionner au dessus de mon visage, sa petite fente luisante à quelques centimètres de ma bouche.   A cet instant j'ai compris le message. Corinne avait envie d'une petite pause bien sympa.   Je me jette, assoiffé, sur sa petite chatte, près à la dévorer. Ma langue s'agite, venant titiller son petit clito. Elle me caresse les cheveux en m'encourageant. Les premiers gémissement de plaisir commence a résonner dans la voiture. Une de ses mains s’aventure à la recherche de mon sexe. Je bande! Je n'en peux plus...   Elle empoigne ma queue et lance :   - Wouahhhh ! … Très prometteur ça.   D’une main elle caresse et branle ma bite, de l' autre elle caresse mes cheveux en poussant encore plus ma tête contre sa chatte.   Elle gémit de plus en plus fort ondulant fortement son bassin. Elle me stoppe net.   - Tu es très doué pour ton âge. Prend moi là, maintenant, tout de suite....   (Il est vrai que j'avais à cette époque une maîtresse qui m' initiait très bien.) *   - J’adore les filles qui savent ce qu’elles veulent !   Tu me fais fantasmer déjà depuis pas mal de mois et là, j’ai trop envie de toi.   A ses mots, Corinne s’allonge sur le dos. Bien offerte, les jambes délicieusement écartées. Je change ma position pour venir me placer au dessus d'elle, dirigeant mon pieu tendu vers sa chatte trempée. Dans cette position, je profite de ses magnifiques seins, mordillant ses tétons, les pinçant du bout de mes lèvres. Lentement, mon sexe la pénètre,  tout en continuant de l’embrasser dans le cou, sur son épaule, cherchant ses lèvres ... Nos langues s'entremêlent, nos corps fusionnent.   Corinne s'abandonne totalement maintenant.   Je commence mes va-et-vient. D'abord lentement, puis le rythme devient plus rapide, plus soutenu, poussant  la belle à gémir.   Elle croise ses jambes sur mon dos, comme si elle voulait m’empêcher de sortir.   Elle pousse des petits cries  qu' elle essaye d'étouffer, pendant que je m'active sur son corps. Corinne  subit mes grands coups de reins, de plus en plus forts, au plus profonds d'elle. Elle  me rend fou. Je suis dur, la  conséquence de mon excitation pour elle. Je ne pense plus a ma douleur.   Mais je sens  ses ongles s'enfoncer  dans mon dos. L’orgasme de Corinne est proche. Je la sens proche d' un immense plaisir. Je continue de la limer de plus belle, la regardant jouir avec une satisfaction non dissimulée. Mon orgasme me fit pousser un cri bestial, inondant Corinne de ma semence. Nous avons jouis  en même temps.  Je m'écroule sur elle, essayant de reprendre ma respiration.   Corinne semble très heureuse de cette petite pause imprévue.   - Je dois filer, j'ai plein de rendez-vous. J'espère qu'on se reverra. Passe me voir si tu veux !   -  J'y compte bien Corinne ... A très bientôt.   Je reste là un moment, près de mon vélo, encore à terre. Ne réalisant pas très bien ce que je viens de vivre. Moi qui ai tant fantasmé sur la belle Corinne.   *  

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Virtuellement vôtre

« Virtuellement vôtre » V ivre dans un monde à part I maginer le meilleur, jamais le pire ! R éfléchir ? Pourquoi faire ? T u as aussi en tête les mêmes choses que moi... U ne fois... d'avoir envie de réel ... E lle et Lui L ui et Elle L es deux à l'unisson E t puis, qui sait... pour un bout de chemin ensemble! M ain dans la main, demain, après demain... ou sans lendemain ! E spèrer, c'est la meilleure façon de vivre sa vie ! N e jamais être négatif... T u garderas l'espoir au fond de toi ... V oila tout est dit O ui, l'essentiel, je pense ! T u es comme moi, tu es comme beaucoup d'entre nous... R éfléchis à mes mots... E t c'est ce que je souhaite à tous les ami(e)s Finautes !

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Acrostiches Saint Valentin

S ais-tu ma chérie que mon plus beau trésor, c'est toi ! A ujourd'hui, j'ai donc décidé de te faire une surprise. I nstalle toi sur ce divan. Ferme les yeux un instant. N e triche pas ! T u seras surement ravie par ce qui va suivre. V oila tu peux ouvrir les yeux ! A aaah !!!! Magnifique mon amour ! L à, devant moi , faisant un striptease E ndiablé, torride, j'adore te voir N u , m'excitant en t'exhibant de la sorte ! T entateur ! tu réveilles mes sens,tu me fais mouiller. I rrésistible ! Viens ! Fais moi l'amour de suite et toute la N uit ! Ça sera notre nouvelle lune de miel.

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