Trop Trop cool... j'ai essayé de poster précédemment, c'était bloqué (ou pas du coup...) Je suis contente de retrouver mon blog, et vous , les anciens les finautes, les copains.... :*
On est tout triste d'avoir assisté à la mort de notre cher Fofo
De mob côté, je me lance dans une nouvelle aventure. Promis je fais un effort pour la finir
(Je ne pense pas que les coms fonctionnent, spagrave)
Je vous bisouille, j’espère que vous faisez tous bien gaffe à vos fesses
Mg, pour vous servir ;)
?
Je les connais tes rendez-vous… Faut prendre le risque du bec dans l’eau avec toi, mon petit lapin…
Deux nuits, libres, à nous, avais tu dit… Difficile à croire !
Alors même si tu parais sûr de toi, je n’ose pas préparer mes affaires.
Heureuse à l’idée d’une escapade, j’ai bien fait qq emplettes, mais je ne m’emballe pas Je connais la chanson. J’attends de te voir dans l’encadrement de ma porte avant de faire quoi que ce soit .
Téléphone. C’est toi .
-‘Tes prête ? Tu descends quand j’arrive ?
-Nan, je t’attends
-Mais si, vas y, prépare toi un sac, tu descends quand j’arrive, dans 30minutes environ
-T’es en voiture ?
-oui, on part avec. Alors vas y, prépare toi un sac avec qq affaires j’arrive.
- ok, ok »
Ça m’amuse tjs quand tu me penses docile et disciplinée. Mais j’ai décidé de t’attendre. Sans te contrarier.
Je ne sais pas trop comment doit se dérouler ce weekend, ce que je sais, c’est que j’ai 30 minutes max pour prendre une douche, m’habiller et chercher un sac
Je me pose 1000 questions de filles. Je m’en veux de faire ma meuf au fond, mais c’est du sérieux, mon dressing m’attends là, juste dehors. Mais je kiffe l’eau chaude qui me croque le dos, je frissonne, je pense à mes mains toutes savonneuses, toutes parfumées sur ta peau. J’ai envie de toi. Je me demande quels plaisirs rempliront notre séjour.
Mais je n’ai pas le temps de rêvasser… un shampooing, vite, les aiguilles tournent
A peine rincée, je m’enroule dans une serviette, à l’assaut de mon armoire.
Avec ce confinement qui nous a tous cloué les ailes, aujourd’hui levé, j’ai envie de tout porter. J’y pense en me maquillant. Si mon liner est droit, ce sera un signe…
Gagné !
J’enfile une robe. Puis une autre….je l’aime bien, celle-ci. .. ça fait plaisir de se préparer ça s’est bien entassé quand tu sonnes.
Zut. J’ai oublié l’heure. Misère tu montes à toute vitesse. Mince ! le sac !! Vite, mon jean !!
Il est à peine fermé quand tu pousses la porte. Je suis là, à moitié habillée à l’entrée de ma chambre
-« Tu déconnes Mg, je t'ai appelé 100 fois, je t’attendais en bas !
-Allez allez … Râle pas. J’ai pas entendu….Fais moi un bisou et un sourire plutôt, bonjour !
- oui, bien sûr. Viens «
La chaleur de ta main sur ma peau, dans mon dos nu et tes lèvres qui se posent comme une plume dans mon cou. Je suis contente de te toucher. Je ne m’en veux pas de te faire attendre mon petit lapinou. Je traîne un peu contre toi
Et en enlevant ta veste, « -Allez, dépêche toi steuplait
-On va où ?
-T’as pas besoin de bcp de fringues
-Très drôle !
- Le champs des possibles Mg, rappelles-toi ! » me dis tu en t’installant dans le canapé.
Arf…mon propre piège….
Oui…mais moi, j’ai envie de savoir. Ça me brouille les idées, je ne suis pas efficace face à ce sac plein de vide. Je jette l’indispensable dedans , et viens te tourner autour….
« -Tu le connaissais déjà ce soutif ? Je l’aime bien…
-oui oui…comme tu dis mais s’il te plait prépare toi »
Je fais semblant de ne pas bouder, j’ai un objectif en tête. Si je l’atteins, plus personne ne boude
« -Attends attends , je te montre mieux !
-Putain, t’es chiante ! me dis tu en riant, je vous voulais partir vite! »
C’est trop tard, je suis à cheval sur toi, mes mains se frayent déjà un chemin sous tes milliers de tshirts, et je remonte le long de ton cou du bout de mon nez. J’entends ton souffle dans mon oreille. Ça m’excite. Je pause. Je saisis l’instant. Je vole un baiser. Puis deux. Puis trois
Je sens mes reins se creuser, la chaleur dans mon ventre. Et mes hanches, spontanément, instinctivement, qui commencent à rouler sur toi
Et tout doucement, dans ton oreille
« -ça me fait plaisir de te voir, c’était vachement long
-oui, à moi aussi. Alors viens, on perd pas de temps
-Nan, ne perdons pas de temps tu as raison
Nos bouches rejoignent, nos langues s’emmêlent, la chaleur de tes doigts sur ma peau nue, frissonnante à ton contact…grisant. Déjà, j’ai envie de lâcher prise. Dans ce feu, je comprends immédiatement à quel point nos coquineries m’avaient manqué.
Mon sourire répond au tien quand je prends du recul. Je me régale de la scène un instant avant d’ouvrir ton pantalon. Mes yeux plantés dans les tiens , je décroche ta ceinture doucement. Effrontément pê un peu. Mais tu me laisses faire. Tes mots me disent une chose, et ton corps son contraire. Je n’écoute que lui en dégrafant ton pantalon. Ma langue retrouve la tienne, avide. Mes doigts glissent sur ton ventre, sous ton boxer, inexorablement attirés. Quand enfin, sous mes doigts explorateurs, chaude, raide, offerte, ta queue.
Frissons.
Ta main sur ma nuque m’attire contre tes lèvres. Très résolument, mes doigts remontent ta longueur comme pour mieux l’apprécier avant de les refermer sur ton axe d’une douce pression dans laquelle, déjà, tu peux lire tout mon désir. Nos bouches se cherchent, se trouvent, se dévorent. Ma main glisse, coulisse sur toi… sensations, impressions, fantasmes. Ta tête bascule en arrière. Je te tiens.
Je me lève, te tire par la main, jusqu’à ma chambre. Tu quittes ton pantalon sur le chemin
« -C’est quoi ce Bronx ? me demandes tu en riant
-je ne savais pas quoi mettre… laisses, viens… »
Le temps que tu me rejoignes, j’ai fait voler mon jean à l’autre bout du lit.
Sitôt je sens ta chaleur contre moi, ton souffle dans mon cou que déjà, ma danse animale reprend. Ponctuée de baisers torrides. Tes mains sur mes fesses me tiennent contre toi, nos jambes se mélangent
Mes mains reprennent leur danse sur ta peau, mais je sais que déjà ma patience est à bout. Le feu s’embrase entre mes reins dés que j’ attrape ta queue. On ne branle jamais bien un homme je crois, c’est très égoïste comme plaisir, pourtant, je m’attarde, perdue dans mes fantasmes.
Puis La Gourmande, puis ma langue…. Pointue d’abord, comme pour apprécier ta longueur, juste un instant, tout en serrant l’étreinte de ma main… tu es dans ma main et je balade ma langue en te caressant… avant de t’avaler goulûment
Gourmandises. Frissons. Plaisir.
Tes mains cherchent mon sexe. Mon antre. Ma chatte déjà trempée et affamée de toi.
Je m’éloigne. Des semaines que je ne fais rien, c’est sur ta queue que je veux m’ouvrir. J’attrape une capote. Te demande de l’ouvrir pendant que ma langue court une dernière fois sur toi. Je savoure de ces derniers instants ….. te glissant au plus loin de ma gorge pour me remplir, me régaler de toi. Je déroule la capote sur ta queue toute pleine de mes baisers, de ma salive en me projetant déjà dans l’après.
Le plaisir d’après…
Elle est cool cette complicité qui s'est crée au fil de nous. Tu sais déjà que le plaisir d’après sera à califourchon sur toi. Ça se lit dans nos sourires.
Et c'est tout à fait vrai, je ne tarde pas à t'enjamber.
Je kiffe le frisson qui me parcourt le dos en sentant ta chaleur, là entre mes jambes .... Grrrrr !!!!
Doucement, je m'approche, comme d'un feu brûlant... Et enfin, le contact...ouch... Je me sens fondre sur toi, c'est délicieusement grisant.
Je glisse sur ta queue, ton gland posé sur mon clito...soupir, c'est magique. Je m'installe qq instants dans ce va et vient, mes yeux plantés dans les tiens.
Je maîtrise mon sourire. J'ai le contrôle. Kiffance.
Mes lèvres s'ouvrent doucement sur toi; je te sens dur, fort, brûlant, mes hanches roulent naturellement, tes mains les accompagnent. J'aime retrouver cet état de désir. Ardent, instinctif.
J'accentue ma cambrure pour te cueillir. Enfin, je te sens là, à l'entrée de ma grotte*, un mouvement et tu m'auras complètement pénétré. Tu ne bouges pas, tu m'attends, j'aime.
Je descend doucement sur ton axe, épais, offert. Je m'enfonce sur toi doucement, toute serrée sur ta queue. Et j'aime m'ouvrir sur toi comme ça.....
Ta main, dans mes cheveux me rapproche près de ton visage.Dans un sourire, je te souffle :"- Hey... Salut Toi, c'est de bon de te retrouver enfin"
Pour toute réponse, tes lèvres, ta langue et ton premier mouvement. Ta queue plantée tout au fond de moi, je n'étais pas prête. Fulgurant.
Je pose mes pieds sur tes jambes comme pour te retenir, je me relève sur toi. Le changement d'axe, nos corps se suivent, ma chatte avalant ta queue toute entière. Je sens une boule d'énergie prendre forme dans mon ventre...Oh oui...tu m'as manqué. Je pose mes mains sur ton torse, mes hanches se balancent naturellement, résolument. J'adore te sentir me remplir comme ça.
Je ne perds pas une miette de l'instant, je glisse sur toi, m'enfonçant tjs plus profondément..... Grrrrr, c'est trop bon.
je soulève mon bassin pour te goûter sur toute ta longueur, toute serrée sur toi encore...jusqu'à senti ton gland, épais, me retenir. C'est mon signal.
Je m'installe dans la transe,
Tes mains m'accompagnent, tes yeux aussi. Je glisse. Je vais , je viens. On est deux savourer le moment.
Les mouvements, les respirations s'emballent, j'adore entendre ton souffle dans mon oreille. Nos corps se mélangent, nos ventres se rejoignent, tu me gardes contre toi
J'imagine la vue qui t'est offerte. Ma croupe dansant sur toi, de haut en bas.... Ta main, sur mes reins, suit la danse. Nous nous retrouvons dans un baiser.
je me relève, j'ai envie de sentir tout au fond de moi encore... Tes doigts glissent sur ma nuque, mes bras...jusqu'à tes mains qui viennent englober mes seins. Mon bassin oscille inexorablement sur toi.
Plaisir
Tu me rejoints, j'adore pouvoir m'accrocher à toi comme ça. Mes mouvements deviennent, plus profonds. Je te veux..
Tu grommelles qqchose que je suis incapable de comprendre. Je n'y entends qu'une invitation. Et ma danse s'amplifie
Je me remplis de toi, je te vampirise, jusqu'à sentir te sentir te crisper...
"Attends, attends!"
Non.... je n'attendrai pas.... je vais te cueillir, là, maintenant.
Nos corps tombent, repus de nos ardeurs passées. je te regarde en souriant.
Et avec un petit bisou sur la joue...
"-Fanfaronne pas, notre week end ne fait que commencer.... Tas fait ton sac?
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* vous noterez qu'il n'y a pas de mots jolis pour parler d'une chatte, d'un vagin...bon là, je choisis ça ...
en tous cas, je "sèche" sur le cas. ce qui est dommage, avouons ?
Il y a tellement longtemps que je n'ai rien poster sur ce blog… Des lustres! Mais cette histoire ci est un si joli souvenir que je me dois de la graver ici. Alors je me lance une playlist qui va sonner comme ça et je vous raconte…
Il y a un sauna que je fréquente régulièrement. Je m'y sens à mon aise, plongée dans ma bulle de sensualité. J'y vis pleinement mes envies, sans filtre ou presque, sans masque, sans fard. La même que celle que vous lisiez ici, il y a longtemps pour certains… ( des ? tout doux lesZamis ).
Un hammam, un jacuzzi, un sauna, une équipe sympa, une clientèle cool, de bonnes notes sur mon TripAdvisor du cul, dés le début, cet endroit avait tout pour me plaire. Non, je ne partage pas l'adresse
Bref, j'ai trouvé ma bulle. Et ce moment, je lai vécu là-bas.
J'avais rencontré ce garçon à ma première visite.
Remarque, il était difficile de passer à coté. Comme un pacha, il occupait tout l'espace. J'ai eu l'impression de le croiser partout, de l'entendre partout, il était partout comme chez lui, omniprésent… Un gamin, un minot, dans toute la beauté et l'énergie de sa jeunesse… Débordant!
Je cherche mes mots pour vous parler de lui, mais son âge courtcircuite mon vocabulaire; la jeunesse a tjs été un gros barrage pour moi. A cause de ça, 1000 fois je l'ai repoussé. Mais il restait aimable et affable. Cool. Sa manière sympa d'accepter mes refus crée un pont entre lui et moi.
Nous étions posés sur un canapé, lui, nous, d'autres et toi L, la première a m'avoir accueilli, quand il est arrivé. Elle s'est jetée à son cou, ravi de le retrouver, je ne l'avais jamais croisé… Mais Woh!, ce type est un canon! Un caramel au piment, qui éveille aussitôt la gourmande en moi.
Quinze piges de moins. Au bas mot. Ouch. Inenvisageable...
Je ne sais plus comment, pourquoi nous nous sommes retrouvés dans le jacuzzi. Mais je me rappelle me raisonner pour ne pas le dévorer des yeux. Je sais combien mon visage peut être lisible, j'essaie de maitriser. (Je ne sais pas si j'ai réussi.. ^^) Je m'enfonce dans l'eau chaude. Penser à autre chose. Penser à autre chose.
Quinze ans. Au moins. Non. C'est mal.
Alors oui, je sais, c'est paradoxal de s'interdire des trucs dans un endroit aussi privé et open que celui-ci. Puis des vieilles qui croquent des ptits jeunes, c'est courant. Les soirées cougars fleurissent un peu partout. Mais ce n'est pas pour moi... Parce que je ne suis pas vieille, d'abord^^, puis parce que j'associe la virilité a une certaine maturité. Vieux shéma un peu réac qui exit les jeunes dés le départ
Quinze ans? Plus peut-être même...
Mais les courbes de ses épaules, de sa nuque, croquées par la lumière douce et chaude du jacuzzi appellent mon regard irrépressiblement. Je dévore les ombres crées par ses mouvements dans l'eau. Dans ce fichu rai de lumière qui appelle mes yeux sans cesse. En l'écrivant, je suis sûre que j'en rougis encore. Au secours…. Pas la main dans les cheveux, non!
Ohlala… trop jeune, je le sais...
Et à ce moment de la narration, j'ai deux choix. Soit je vous raconte la façon dont nous nous sommes trouvés à trois dans cette cabine, soit je vous dis la vérité: je ne sais plus… Ma raison m'avait quitté, c'est sûr. Abandonnée même. Alors j'ai marché sur un fil qq minutes et j'ai franchi mes derniers barrages.
Comment nos corps se sont emmêlés d'abord, je ne sais plus. Il y a de grands vides dans mes souvenirs. Tout est mélangé. Comme leurs mains sur mon corps, leurs bouches, ici, là… dans un flou délicieusement érotique et sensuel.
De cette soirée, je garde surtout de très belles images. Mais je vous raconte plus tard...faut que j'aille au tabac d'abord petite musique d'attente
----- Je venais d'enfiler mes chaussures pour sortir quand… DING! Je vous raconte après, truc de ouf, mais du coup, je reprends ce récit plus vite que prévu -----
Ce récit était sur le fofo... Je l'avais oublié
ous le savez, je suis amoureuse de ma baignoire. Non seulement de m'y laver, je m'y détend, répond aux mails, tchatte....
Je n'ai pas le temps de m'y ennuyer.
Plongée dans l'eau chaude et parfumée, j'étais justement en train d'écrire quand il est arrivé dans la salle de bain.
Pour discuter. D'abord.
Le sujet du jour? Les finitions de mon Tatoo.
Je lui montre mon dos en lui expliquant mes nouvelles idées.
Ses doigts courent entre mes omoplates...
D'une main ferme sur mon épaule, il me donne la position: me voilà à quatre pattes dans ma baignoire....
Il caresse mon dos pendant que son autre main passe sous mon ventre à la recherche de mon intimité.
Elle me trouve déjà toute chaude et glissante. Accueillante.
Il empoigne mes cheveux, me force à une cambrure exagérée quand sa main me quitte pour une claque sonore sur mes fesses....
Brûlant.
Mes seins, mes fesses, mon sexe... Ses mains sont partout.
Toujours à quatre pattes dans l'eau chaude, il m'offre son sexe à disposition. Tout près de ma bouche.
Une invitation à laquelle je ne saurai résister! Et me voici léchant sa longueur, ses bourses, aspirant, suçotant...
Il empoigne mon visage de ses mains viriles et prend littéralement ma bouche dans un long et puissant coup de rein. Et il reste là. Puissamment enfoncé dans ma bouche... J'ai cru défaillir! D'asphyxie, certes, et d'excitation aussi.
Il tient l'arrière de ma tête pour m'empêcher de bouger et sa main rejoint mon entre jambe toujours offert. Il me caresse un peu, puis attrappe le pommeau de la douche. Il se baisse et me susurre à l'oreille de ne pas bouger...
Et je reste là, docile, sa queue plantée dans ma gorge.
La température et le débit du jet réglés, c'est avec la douche qu'il décide de jouer avec moi.
Excitée comme une folle, je commence à glisser goulûment sur sa hampe gonflée et vigoureuse.
Il dirige alors l'eau sur mon visage, m'empêchant de respirer en me rappelant qu'il ne m'en a pas donné l'autorisation de bouger...
Hautement vibrant que l'autorité cet homme qui fait de moi son jouet....et j'obéis.
Il me félicite de ma docilité en glissant mes boules de geisha, qu'il avait dans la poche de son peignoir. Chaude, ouverte, glissante, mon sexe les aspire en une fraction de seconde...il s'amuse à tirer sur l'attache pour les faire bouger à l'intérieur de moi, et commence à coulisser dans ma bouche...
Je crois alors que je vais exploser.
Il lâche le morceau de silicone rose qui dépasse entre mes jambes, se baisse pour glisser sa langue entre mes fesses...forcément, j'en perd la superbe queue qui était tjs planté dans ma bouche. Et je crève d'envie qu'il me la rende...
Sa langue se crée un passage alors que ces doigts pincent, froissent mon clitoris. Je suis comme folle.
Il pose ses mains bien à play sur mes fesses pour les écarter et m'ordonne de me caresser.
Pour une fois, j'obéis sans broncher.
Pas le temps de finir maintenant, mais je voulais commencer de vous raconter alors que je suis encore un peu "partie"...
Promis, je vous écrirai très vite comment il s'est retrouvé sous moi
Puis derrière moi
Puis face à moi...
Un plaisir intense
Depuis que j'avais goutté sa bouche, l'envie de me régaler de lui ne m'avait pas quitté.
Nous nous sommes retrouvés à deux pas de la chambre qui allait nous abriter...
Il est là, souriant, masquant la crainte de l'interdit.
Un gentil baiser, et nous montons à l'étage. Dans l'escalier, mes idées s'affolent.
Je le sais directif et déterminé. J'ai le trac en m'imaginant moi, la gourmande impulsive, lâchant prise, acceptant son emprise virile.
Saurais-je faire taire ma tête, mon caractère, mes repères aussi pour profiter du plaisir ?
Prise entre l’envie de vibrer sous ses assauts et celle de le laisser à ma merci.
Le fantasme absolu étant de réunir les deux…schizophrène.
À chaque marche, mes idées s'embrouillent plus encore.
La porte, le code. Il est juste derrière moi. Certainement, lui aussi fait le tri de ses pensées, mais il n'en laisse rien paraître...
La chambre minuscule est dans l'obscurité. En deux pas, je suis à la fenêtre pour prendre ma dose, ou pour rassembler mes idées. Un peu des deux peut-être... Ses mains dans mon dos, chaudes, rassurantes.
Je le rejoins sur le lit.
Nos lèvres se cherchent, nos corps s'appréhendent, s'emmêlent. Entre caresses aventurières et baisers embrasés, je ne pense plus. Je profite juste de ce qui m'est offert. Je goûte, je me repais de lui, et j'adore ça...
Ce mec est un paradoxe. Des yeux à tomber par terre, un corps délicieux, la délicatesse enjôlante de sa peau s'opposent à ses caresses fermes et résolues, à ses baisers ravageurs, et aux douces morsures qui les accompagnent...
Je vibre, je fonds, je ne réfléchis plus. Sauf à l’idée de le déshabiller.
Je me souviens du plaisir lorsque ma peau a pu se nourrir de la sienne. Chaque contact me transporte. J'aime sentir mes seins nus écrasés sur son torse. J'aime sa peau chaude. Emportée par le plaisir et l'envie, je glisse....
Débarrassés de nos fringues, nos corps se trouvent. Je sais, je sens qu'il est prêt à laisser mon naturel prendre le dessus, prêt à subir mes assauts. Peut-être pour mieux me posséder ensuite....Il doit certainement se faire violence pour me laisser champ libre, j'apprécie l'effort et ne laisse pas passer ma chance.
Il est allongé confortablement, quand je viens me faire féline contre lui. Je ronronne, j'ondule. Jusqu'à sa bouche.
Ses mains posées sur mes hanches, mon intimité goûte sa langue douce et chaude. Délice.
Duelle, je la sens à la fois suave et aventurière sur mes lèvres. Assez pour me sentir autorisée à prendre mes aises, à libérer mon plaisir.
Mon ventre palpite sous ses caresses humides. Posée sur sa bouche, naturellement mon bassin entame une danse fiévreuse. Je sens sa langue pénétrante prendre ses marques et j'adore ça! Ses mains remontent sur mon corps jusqu'à mes seins. Emportée par la chaleur du plaisir, je bascule ma tête en arrière, le temps est comme suspendu. Je savoure. La force du plaisir, mes mains sont partout. Sur son corps, dans mes cheveux. Vibrant!
Possédée, je quitte sa bouche pour me caresser contre son sexe. Mouillée, glissante, je glisse sur sa longueur, comme affamée.
Et, dans un baiser ravageur, je le prend dans ma main pour le guider jusqu'à mon antre. Oh.... Quelle excitation! Son gland posé juste à l'entrée de ma grotte, je savoure l'instant, je me régale d'avance du moment où je m'enfoncerai sur lui. Dans ses yeux, l'étincelle qui m'y autorise. Un éclair de malice traverse les miens. Il pose ses mains sur mes fesses, je glisse doucement sur lui.
Sa queue m'ouvre doucement, je perd pied. La diablesse qui vit en moi se régale de lui. Puissamment. Soulevant mon bassin dans une danse torride et naturelle, j'ondule sur lui. Plaisir! Oh oui... Un plaisir sans entrave...
Ses mains fermement agrippées sur mes hanches, il accompagne chacun de mes mouvements. À cet instant, il est à ma merci et j'adore ça. Je le sens se raidir, se contracter. Nos corps s'affolent. Jouissance... Sourires complices.
Il a eu l'audace de laisser mon naturel directif prendre la main, et j'aime son effort. Autiste, je ne sais pas l'exprimer et me réfugie dans un baiser posé dans don cou...
Allongés côte à côte, nous reprenons pied dans la réalité. Doucement.
Je renfile mon caraco, ma culotte, et m'installe à la fenêtre rejoindre mon amie de toujours en savourant les flashs que ma tête et mon corps m'offrent.
Lui se glisse dans la douche. Et m'y invite.
Je le rejoins pour un moment d'une infinie sensualité. La chaleur de l'eau qui coule sur nos corps enlacés, la douceur de sa peau. Exquis...
Mes mains savonneuses glissent sur lui avec délicatesse et application.
Je le libère, laisse l'eau couler sur lui en régalant mes yeux, mes sens...
Il quitte la minuscule douche avec un sourire contenté, je savoure le plaisir qu'il laisse derrière lui...
Une serviette nouée autour de moi, je le rejoint sur le lit où il m'attend confortablement installé.
Nous discutons, complices.
Dans quelles circonstances, par quelle magie, je ne sais plus, mais me voilà entre ses cuisses, ma langue glissant sur son gland, ma bouche emprisonnant sa longueur dans un va et vient délicieux. Mes yeux plantés dans les siens, je profite de lui. Infiniment...
À travers mes baisers, les caresses de mes lèvres, je tiens son plaisir dans ma bouche et en tire une satisfaction sans borne. Je glisse sur lui, avalant son sexe goulûment et j'adore ça... Ses mains dans mes cheveux accompagnent mes mouvements, m'encouragent dans ma progression vers notre délivrance...
Je le sens se contracter, ses mains font semblant de me repousser. Il n'en fallait pas plus pour m'exciter plus encore... C'est dans un plaisir très invasif que je redouble mes assauts, et c'est dans une torride sensualité que je le libère, goûtant sa semence chaude qui glisse dans ma gorge... Et j'y prend un plaisir non dissimulé qui le fait sourire.
Instant complice...
Allongée sur le ventre, juste à côté de lui, je suis un peu sonnée.
Il descend au pied du lit, l'œil coquin.
Ses mains caressent mes fesses, descendent le long de mes lèvres. Une boule de chaleur envahit mon ventre. Je le veux.
Ses doigts caressant mon intimité, glissent entre mes lèvres, me pénètrent doucement, sans arrêter de tourner autour du bouton déclencheur. Je suis haletante, affamée de lui....
Ses caresses changent. Deviennent pressantes, presque autoritaires. Ma féminité absolutiste reste pourtant silencieuse. Mieux, elle m'ouvre le chemin du plaisir offert...
Je tairais la façon qu'il a eu de me posséder de ses mains. Dans un plaisir presque inconnu dont je me souviendrais longtemps...
Un après-midi intense...
J'avais envie de vous livrer ceci, sous formes de récit...
Des fois, certains mp peuvent donner très chaud...
Go!
Je m'en viens à la porte "qui c'eeest" "ouvre idiot j'attends depuis des plombes...", je profite encore un peu de ton image et ouvre enfin. "Je devais me rhabiller, me débarrasser des autres qui ne comprenaient pas bien que je veuilles te garder pour moi, moi non plus j'avoue, mais là..." je t'enlace et t'embrasse en te pressant contre le mur. Tu sent ce désir gonfler contre toi, ma main saisir une de tes fesses pour courber ton bassin vers mes hanches et au creux de ton oreille "si je pouvais te prendre là ici et de suite...". Tu lâches un petit gémissement, "ho et puis après tout... juste histoire de te sentir quelques secondes..." ma main passe sous ta jupe, remonte à ton ventre et glisse immédiatement entre tes cuisses. Y découvrant une chaleur déjà humide je ne peux résister, je repousse la soie, étouffe une légère désapprobation d'un baiser et glisse en toi, brûlant, palpitant la porte se referme et nous voilà dans le noir, je profite de cette perte de sens pour te dévorer et te bousculer. Comme tu glisses... mais après quelques coups en lutte la lumière nous ramène à la réalité et le grrrrr de la minuterie nous fait trembler du temps qui s'écoule comme un compte à rebours avant que nous ne soyons découverts. Je te donne une dernière fois tout mon désir et disparait pour emprisonner mon envie dans mon jean. Je te regarde te recouvrir aussi, affolée et souriante. Je t'embrasse et tu me le rend bien en glissant un "salaud !" qui n'a rien d'un reproche. Nous nous dirigeons vers l'escalier et croisons cet homme, assez jeune, svelte, beau façon italien mal rasé, et qui nous salue en ne regardant que toi. Tu lui répond en souriant, ma main glisse de ta taille au flanc de ta fesse et quand il nous a dépassé je glisse dans ton cou pour te chuchoter "allons calme un peu ta Gourmandise, je dois d'abord profiter de toi."
Nous descendons et dès que nous entendons sa porte s'ouvrir et se refermer plus haut je t'enlace à nouveau, embrassant le creux de ton cou, remontant au lobe de ton oreille et susurrant "où veux tu que nous allions ?"
Dans la rue nous avons la chance de trouver rapidement un taxi, je donne l'adresse en te regardant d'un sourire qui en dit long. Tu viens contre moi d'une douceur fébrile et je te sent tendre et brûlante. Une fois de plus ma main s'aventure sur ta nuque pour t'attirer vers mes lèvres. J'en joue en les effleurant, les aspirant lentement et les mordillant tout doucement avant de les presser pour saisir ta langue que tu me tends. Je glisse ma main entre tes cuisses et tu recules un peu, "pas ici" dis tu tremblante. Je te chuchote "là où nous allons certains regards seront sans doute plus avides encore que celui que le taxi n'a pas déposé sur toi" tu me comprimes la main entre tes jambes, m'offre un regard éperdu entre doute et désir, et sans me lâcher des yeux tu viens complètement te frotter contre mes doigts. Nous nous embrassons à nouveau, encore plus goulûment, et au travers de ta soie je sent à quel point tu en as envie. Cet aveu que ton corps m'offre me fait l'effet d'une bombe. "Lève toi un tout petit peu", tu acceptes avec ce regard toujours à la limite entre la conscience et l'abandon. Tu fournis un effort chancelant et me permet de retirer ton dessous, tes yeux grandissent de réprobation mais sans doute n'oses tu rien dire pour éviter que le chauffeur ne devine ce qui se trame. Rassise je fait tomber la soie à tes chevilles, "ah tiens passe moi ton sac", te retournant pour l'attraper tu lèves un peu tes pieds et j'enlève définitivement cette étoffe de trop. "T'es grave" me dis tu d'un air réprobateur qui cache mal un amusement peu orthodoxe alors que je range la soie dans ton sac à main. Tu me tournes alors le dos pour t'appuyer contre moi, me signifiant clairement que tu veux ralentir le jeu mais continues de m’apprécier avec tendresse, j'en profite pour passer ma main dans te cheveux et embrasser le front que tu me tends. D'au dessus de toi je te vois regarder la route et lever les yeux vers le rétroviseur, les détourner presque immédiatement et rougir. Je vérifie à mon tour, en effet de temps à autre le taxi te jette un regard amusé de quelques secondes. Heureusement nous arrivons vite. Et le taxi nous lance un "bonne soirée les amoureux!" blasé mais souriant qui en dit long sur l'habitude qu'ont ces chauffeurs de la nuit des malotrus de notre sorte. Je prends ta main, "vient c'est un peu plus loin".
Alors que nous longeons le trottoir une porte cochère entrouverte laisse l'accès à une petite cour intérieure. Je t'y attire et de la plus indécente façon te serre par la taille pour t'embrasser et soulever ta jupe afin de sentir enfin toute ta nudité. Tu es excitée en diable, coulant littéralement sur mes doigts. Je n'y tiens plus et là au milieu de cette cour mon majeur et mon annulaire t'envahissent et tes gémissements ne m'aident pas à limiter cet affront à une simple caresse. Ma main te presse comme pour te soulever, tu trembles de tout ton corps alors que je commence à les faire vibrer et me voilà à nouveau traité de "salaud !" dans un gémissement de plus en plus jouissif. Je soulève ta jupe pour profiter de mon autre main de tes fesses qui m’enivrent. Ôtant mes autres doigts pour les faire glisser entre tes lèvres afin que tu sois partout inondée, puis les remet à leur place favorite alors que je recule à peine pour observer avec délectation l'état dans le quel tu te trouves. Maladroitement tu t'empresses de porter ta main sur mon entre jambe comme pour vérifier s'il en était besoin que je suis moi aussi dans un diabolique état. C'est le cas et tu te libères de mon étreinte pour tomber à genou et me libérer fébrilement, je sent ta bouche sur mon axe me témoigner l'irrépressible désir que j'ai fait naître. Bon sang que c'est bon, d'autant que je te regarde faire en ne pouvant que m'assurer que tu aimes incroyablement jouer de tes lèvres et de ta langue. Tu m'engloutis et le monde se met à tourner autour de nous alors que tu me suces comme je ne l'ai jamais aussi bien été, au milieu de cette cour, les fesses à l'air. J'en viendrais à aimer Paris !
Mais je suis déjà à deux doigts d'exploser et je recule. "Pas de suite, laisse moi un peu de force pour ce qui nous attend". Tu laisses un ange passer en me regardant les yeux vagues du désir le plus fou, bouche entrouverte, la langue à peine sortie, haletante. Seigneur ce que tu es bandante !
Dans ce couloir la musique devient discrète et les gémissements sourds que nous y trouvons nous font comprendre que nous sommes sur la bonne voie. La première porte est close, une diode rouge prés de la poignée indique clairement que nous ne pouvons en profiter et que les patrons ont pensé à tout. La seconde est verte et la porte invitante mais les bruits qui s'en échappent nous préviennent que l'action est en court. Quelques phrases crues nous indiquent que les protagonistes sont principalement masculins mais certains cris ne trompent pas sur l'objet de leurs plaisirs, nous écoutons encore un peu et tu me demandes "on peut regarder tu crois ?" "ce me semble tout à fait probable, à condition que je te caresse encore...", tu colles à nouveau ton dos contre mon torse, tes reins poussent tes hanches contre les miennes, j'ouvre lentement. Le spectacle est brûlant. Deux femmes, quatre hommes, lancés depuis un bon moment dirait on à leur nudité et leur état. Je t'effleure devant cette vision, tu sent bien mon plaisir gonfler et te frotte lentement pour en profiter. "Voilà qui me donne envie de soulever ta jupe pour que celle ou celui qui se retournera profite de ton indécence", un énième "salaud" concupiscent m'invite à réaliser cette plaisante idée. Ma main glisse lentement vers ta jupe et la remonte vers ton ventre alors qu'un des hommes en train de se faire engloutir par l'une des beautés lève la tête. Tu te cambres comme pour te protéger tout en profitant de mon axe qui n'en peut plus d'être enfermé. Je lève ta jupe toujours aussi lentement découvrant enfin ton antre. Il te sourit. Tu trembles et gémit. Je glisse mes doigts entre tes lèvres et commence à te caresser. Tu avoue un "oui!" limpide et définitivement approbateur. L'homme parle à son voisin lui aussi dans la même posture, il ajoute son regard d'un sourire carnassier. Tu trembles et mes caresses s'emballent de pressions. Je glisse enfin mes doigts en toi et tu gémis en te déhanchant. Le second coquin tire sur la coiffure de sa catin et la guide à deux doigts au dessus de sa queue, puis la presse pour qu'elle le saisisse à nouveau dans sa bouche, il recommence, toujours en te dévisageant comme pour bien te faire comprendre qu'il aimerait te prendre au rythme qu'il impose à sa partenaire. Tu gémis de plus belle et ne peut te détacher de cet échange de regards. Pourtant je te retourne vers moi. "Viens, il est temps qu'on se retrouve tous les deux".
Nous trouvons vite une pièce libre trop pressés pour faire attention aux autres. J'ai à peine le temps de refermer la porte et d'appuyer sur "occupé" que tu me pousses en t'exclamant "bon toi tu vas payer maintenant". Mon sourire répond au tien et tu me projettes sur le matelas "tu peux pas t'en sortir comme ça, salaud. Triple salaud!". Tu m'ouvres le pantalon en claquant les boutons d'un coup sec je n'ai pas le temps de dire ouf que tu sorts mon axe de son étreinte et l'engloutis immédiatement. Ma main passe sur ta nuque et tu la repousses en la plaquant au lit. "Non, t'es à moi là, pas touche, t'es ma chose !" diantre que tu es vindicative, une vraie furie. J'en vient presque à regretter de t'avoir chauffé à blanc, presque, je m'abandonne à ton experte et plus que Gourmande absorption. Un délice total. Comme tu me plais, comme je te veux, et comme l'idée que tout ce que nous avons fait et vu jusque là t'a rendu à ce point lubrique me torture d'excitation. Tu me prends dans ta main et balade ta langue en me caressant "ralentis tu vas me faire partir..." je n'ai pas fini ma phrase que tu m'agites encore plus, reprenant au dessus de ta main ton incroyable baiser. "Tu vas payer de ta personne je te dis !" et tu m'engloutis presque entier en me dévorant du regard. "Tu vas m'avoir mais tu le paieras toi aussi..." tu retires ta bouche dans un "plop" et me lance un regard d'acier du fond de ton excitation volcanique "ta gueule". Bon comme ça c'est clair... je rit et coupe vite cette réaction d'un "ouchhhhh" alors que tu m'aspires d'une avidité terrible. Tu ne me lâches pas du regard, profitant de mon état hypnotisé comme un trou noir se régale d'une galaxie. Insondable et irrésistiblement envoûtante. Et puis ton autre main se glisse entre tes cuisses et je sent tes gémissements vibrer sur mon sexe, c'en est trop, je m'abandonne, j'explose, j'en crie. Tu gardes tout pour toi d'un hmmmm terrifiant de Gourmandise et tu reprends avec délice la danse de tes lèvres et de ta bouche, aspirant doucement les dernières gouttes de mon plaisir, je découvre un second orgasme derrière le premier. Satisfaite tu remontes sur moi en te frottant de tout ton corps, le passage de ta poitrine sur mon axe me donne envie de recommencer, puis ton buste qui roule, ton ventre qui me dépasse et redescend une fois mon sexe passé sous ta jupe. Comme c'est bon... tu m'embrasses, je craque, c'est un nouvel orgasme, totalement affectueux celui là. Tu te colles à moi comme pour déjà me prendre en toi. Une douleur me rappelle que non, je ne suis pas encore assez vaillant et je te retourne sous moi. "A ton tour !"
A moi de me frotter contre toi mais cette fois en descendant. Ma bouche rencontre ton cou, tes clavicules, le creux de ta poitrine, je repousse ta robe et profite de la faiblesse de résistance de ton dessous pour libérer un sein et l'embrasser. Tu te cambres alors que ton téton fini entre mes lèvres, légèrement torturé puis libéré et apaisé par ma langue et mes baisers tous doux. Je m'atèle à contenter ton autre sein, pas de jaloux. Tes mains s'emparent de mes cheveux et tu me pousses plus bas. Comme j'aime cette expression de ton désir ! Mes mains repoussent ta jupe jusque sous ta poitrine, me permettant de jouer un peu de ta sensibilité qui te tortille. Et puis enfin me voilà à la limite entre ton ventre et ta cuisse, là où la peau est si soyeuse. Glissant plus bas encore et te goûtant finalement comme j'en rêve si souvent. Je ne saurais décrire toutes mes caresses, mes sucions et investigations, j'espère que tu sauras trouver le temps de te les figurer. Et du temps il t'en faudra car je suis prêt à faire durer ce plaisir jusqu'à ce que tu rendes les armes toi aussi. C'est fou l'envie que j'ai de te dévorer, plongeant à nouveau mon regard dans ton désir et tes plaisirs. Je compte bien continuer jusqu'au bout moi aussi. Tu gémis, chuchotes des choses incompréhensibles, te cambres en poussant des "hooo" et des "aaah" et finis par te cramponner aux draps en livrant tes cris et tes vibrations. Mes doigts s'enfoncent à nouveau tout en toi et c'est un tremblement de terre qui secoue ce lit, sentant tes mains empoigner violemment mes cheveux et me poussant fort contre toi. Je m'en étoufferais presque mais tu me relèves pour faire glisser ma langue tout le long de ton antre. Une fois, deux, trois... ma force est revenue et me voilà vite de retour au niveau de ta bouche qui m'engloutis, je n'ai même pas besoin de m'aider qu'alléluia, je m'enfonce en toi. "Oh oui prends moi !!!" comme si j'avais besoin de l'entendre pour t'envahir de toute ma longueur. Nos mouvements sont enflammés, une lutte fascinante qui abouti nos plus pressants désirs. Tu me retournes et me serre entre tes bras et tes cuisses, te déhanchant et te frottant comme une damnée, ton plaisir est d'une animalité féroce et la tête enfouie dans mon torse tu me réclames "baise moi, baise moi, encore.... baise moi !". J'obéis avec la plus grande joie. Jusqu'à ce que, comble du bonheur nous jouissions ensemble en nous embrassant.
Tu retombes sur moi, me gardant au fond de toi, palpitant. Tes lèvres flirtent avec mon cou, mon visage, ma bouche. Ton front se frotte à mes joues comme un chat en plein love. Et justement, si ce n'était déplacé je t'avouerais bien mon affection. Nous restons là très longtemps à nous câliner sans mot dire. "Encore. Toute la nuit." me dis tu. "Je ne sais pas si j'en serai capable à moi tout seul, je suis déjà bien entamé et t'en donner encore nécessiterait un peu d'aide..." tu enfouis ta tête dans mon cou et comme un aveu de ton envie de cela tu répètes : "Encore... toute la nuit..." et te régales de cet axe qui gonfle à nouveau en toi t'avouant à mon tour ainsi que j'en ai une terrible envie.
Je te retourne sur le lit et reprend mes vas et viens lentement en t'embrassant.Puis je me cambre pour venir au fond de toi et caresse ta joue de ma main. Petit à petit mon pouce glisse vers te lèvres, tu tournes la têtes et le prend en bouche, je gonfle un peu plus en toi. "Oh oui je sent que je vais avoir besoin d'aide" à ces mots tu prends complètement mon pouce et me montre en gémissant un affolement qui ne fait que m'y inviter d'avantage. "Comme ça va être bon..." je ne peux résister à te donner quelques coups de hanches bien francs puis me retire. "Et si on allait danser ?" je me relève en te tendant la main pour t'aider, tu remontes et te colles contre moi. "Il y a de la musique ici" me dis tu "peut être pourrions nous rester dans notre bulle ?". J'hésite. D'abord j'aimerais visiter un peu plus ce lieu avec toi, sans doute aller au bar et te faire boire un petit peu pour t'aider à m'avouer tes plus terribles envies. Et puis te guider vers le plateau de danse, reculer pour te voir te balancer en me souriant, puis observer ta réaction quand un homme viendra se coller derrière toi... te voir fermer les yeux et te frotter à lui, puis les rouvrir et me jeter un regard éperdu de plaisir, bouche entrouverte, dont il profiterait pour te donner deux doigts à suçoter. Et toi de l'absorber sous vide en m'adressant un regard de défis. Puis un second qui viendrait face à toi, et toi te déhanchant de plus en plus serrée entre ces beaux mâles qui n'ont qu'une envie... les caresser de plus en plus incandescente jusque là où il ne faut pas, les embrasser de plus en plus Gourmande, jusqu'au moment où tu les voudra totalement. Et toujours tes regards provocateurs se délectant de mon plaisir le plus terrible. Tout cela file à une allure incroyable dans mon imaginaire, tout cela me brûle trop pour prendre le temps de le vivre, une autre fois sans doute. Alors je tremble en te répondant "ouvrons la porte et voyons qui passe par là... avec un peu de chance..."
J'ouvre un peu la porte et me penche dans le couloir, personne, juste ces plaintes de plaisir qui se mélangent et nous donnent un bien bel échange de regards souriants et terriblement troublés. Alors juste contre l'ouverture de la porte je te cale dos au mur de la pièce "si l'on veut pécher il faut appâter..." et je t'embrasse, remontant ta jupe sur tes hanches du côté offert au passage. Tu ondules et joue avec ma langue. "Combien en voudrais tu ?", tu gémis et prend le temps de répondre comme comptant dans ta tête... "Oh juste un déjà ce serait bien..." j'en profite pour te poser une autre question, mais sans vraiment attendre de réponse, juste pour te plonger dans ces images inavouables : "et qu'aimerais tu qu'il te fasse ?" l'effet est immédiat, tu ondules encore plus, un aveu qui me rend dingue de désir. Mieux encore tu te retournes, bras appuyés au dessus de toi contre le mur et tu te cambres comme jamais en donnant des tours de reins lubriques me faisant comprendre que s'il pouvait être bien animal cela te comblerait. "Et tu aimerais qu'on laisse la porte ouverte aux regards ?" les tours deviennent des coups. Délice absolu ! La lumière s'obscurcit, un homme est là à un mètre de nous, main sur le pantalon, souriant. Il a l'air pas mal du peu que la faiblesse des lumières laisse apercevoir, un peu plus jeune que nous, svelte. "Bonsoir" dit il d'une voix déjà excitée "je peux vous regarder ?". Je glisse dans ton cou "tu veux ?" tu prends ton temps en te déhanchant et finis par gémir un "oh oui..."
Alors je me recule à peine, juste pour glisser le bas de ta jupe sur tes reins. Ma main passe entre tes cuisses quelques instants et mes hanches reviennent. Je me presse fort contre tes fesses pour lui montrer combien tu aimes cela et ma main contourne ta taille pour redescendre sur ton antre. Tes gémissements deviennent plus forts. "Montrons lui un peu plus de ta beauté..." de mon autre main je fais descendre la bretelle de ta robe qui lui fait face. Tu passes ton bras au travers sans que je n'ai à te le proposer. Je prends dans ma paume ton sein encore protégé par la soie et toi tu oses un premier regard vraiment curieux sur cet homme. Vos observations se rencontrent, il te sourie, tu lui rends bien. Il ouvre alors lentement sa braguette alors que je joue à ouvrir les lèvres de ton antre. Je vois ta langue passer sur ta lèvre inférieure, lui aussi il apprécie en te gratifiant d'un "hmmm madame a l'air gourmande" s'il savait à quel point ! Il sort son sexe déjà bien en forme. Ton regard est hypnotisé par cette vision et alors que je te donne deux doigts à tes lèvres il apparaît que visiblement il a beaucoup à offrir. Ni trop ni pas assez, à peine plus que ce que tu convoites habituellement. De toute évidence cela te plaît car mes doigts sont irrémédiablement absorbés et je craque littéralement de sentir sur ma peau les envies qu'il te suggère. Il commence à se manipuler, je recule un peu et envahi ton ventre d'une caresse honteusement lente et obscène. Tournant, sondant, ouvrant... tu gémis de tout ton corps et te fends même un petit cri approbateur quand je pousse ma caresse au plus profond en te disant que "je crois bien que tu vas finir à genoux...
Tu viens te coller à moi de tout ton dos, j'en profite pour faire tomber ta seconde bretelle et descendre ta robe moulante jusque sur ta taille. Tu glisses alors le long de moi alors que mes mains tiennent ta poitrine pour lui faire profiter de ton superbe décolleté. Il grogne de satisfaction et le regards toujours plongé dans le sien tu passes à nouveau ta langue sur ta lèvre supérieure, mais cette fois comme un défis lent et plus qu'obsédant. Te voilà à la hauteur de nos hanches, il s'approche. Ta main se porte sur cette triomphante queue, je caresse tes cheveux pour mieux apprécier ton visage. Tu te retournes vers moi d'un sourire aimant et tu commence à jouer de ta langue sur mon extrémité, tu fermes les yeux pour me prendre tout en commençant des vas et viens de ta main sur son sexe qui gonfle encore un tout petit peu plus. Tu gémis autour de moi en sentant cela, et tu m'engloutis plus fort encore. Tu recules un peu, joue à nouveau du bout de ta langue et tournes ta tête vers lui, haletante. Cette fois ça y est, tu vas dépasser la limite de ton audace, tu prends le temps de savourer cet instant, le caressant de tes deux mains, le fixant dans les yeux, et enfin tu poses tes lèvres sur lui. Tu le gouttes, longe son axe de ta langue, revient, prend son bout entre tes lèvres et commence à le caresser plus rapidement en te délectant de l'avant poste de sa chair qui s'ouvre et se ferme sous tes pressions. Tu craques et le prend avec voracité, comme j'aime te voir dans cet état ! J'en tremble de tout mon corps, de toute mon âme. Je ne peux résister à me caresser devant un tel spectacle, j'en joui sans même aller au bout de mon plaisir, chaque caresse est un soupir torturant. Je te libère de ton dernier dessous et caresse ta poitrine avec délectation. Tu rouvres les yeux pour le regarder contempler cette poitrine que je lui présente en abusant d'elle. "Oh la vache !" s'exclame t'il enfin, "quelle incroyable experte ! J'espère que tu voudras que je te donne ce que tu mérites !" Tu recules ta tête et dans un essoufflement animal tu réponds "oui! Je veux..." et à mon plus grand plaisir tu reviens vers moi et me prends à nouveau, reproduisant les plus actives caresses que tu lui a prodigué. Comme j'aime que tu prennes soin de m'offrir ce que tu lui a donné. Je passe ma main derrière ta nuque, retire mon axe pour le laisser glisser un peu sur ta joue, tu réponds d'un "haha" lubrique et renfermes ma raideur entre tes lèvres en la plongeant au plus profond que tu le peux. Puis te retourne et exerce le même jeu. Puis reviens, repart, tu sembles décidément apprécier cette expérience qui t'offre côte à côte deux désirs masculins à porter de langue.
Tu remontes sur tes pieds, nous te serrons entre nous de part et d'autre de tes flancs, tes mains sur chacun de nos sexes, cruelle tu l'embrasses en premier, puis vient vers moi et m'offre un baiser mille fois plus langoureux. Que j'aime que tu joues avec mes nerfs. Nous t’entraînons vers le lit, la porte reste entrouverte.
Bien sur, ce n'est pas ma plume
Juste mon sentiment....
Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Sur l’esprit gémissant en proie aux longs ennuis,
Et que de l’horizon embrassant tout le cercle
Il nous fait un jour noir plus triste que les nuits ;
Quand la terre est changée en un cachot humide,
Où l’Espérance, comme une chauve-souris,
S’en va battant les murs de son aile timide,
Et se cognant la tête à des plafonds pourris ;
Quand la pluie étalant ses immenses traînées
D’une vaste prison imite les barreaux,
Et qu’un peuple muet d’horribles araignées
Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux,
Des cloches tout-à-coup sautent avec furie
Et lancent vers le ciel un affreux hurlement,
Ainsi que des esprits errants et sans patrie
Qui se mettent à geindre opiniâtrément.
— Et d’anciens corbillards, sans tambours ni musique,
Défilent lentement dans mon âme ; et, l’Espoir
Pleurant comme un vaincu, l’Angoisse despotique
Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir.
Spleen baudelairien ...
On avait l'habitude de faire équipe lui et moi, une certaine complicité s'était installée entre nous.
Nous nous étions laisser surprendre par le travail ce soir là. Crevés, lessivés mais encore sous tension, nous passerons prendre un verre avant de rentrer.
La lumière tamisée, un bon groupe sur la scène, je commande un irish coffee, il prend un whisky sans glace. Tchintchin.
Je sens mes muscles se décontracter doucement... Nous échangeons nos impressions sur la soirée, sur les clients du soir. Enfin un peu de détente.
Je lui avoue qu'un client m'a laissé son numéro de Tél sur la table, 1 point pour moi! Pauvre récolte, mais ce soir, ça suffira pour gagner. C'est un peu notre jeu, notre challenge parallèle.
Nous buvons, rions et dansons même un peu, retrouvant nos collègues-concurrents qui peu à peu nous rejoignent. On échange nos chiffres, nos anecdotes. Nous voilà relax, entre gens de métier... Le boss, qui connait bien nos habitudes, nous ressert.
Un homme s'approche, me tend sa main pour m'emmener danser, je le suis. Encore 1 point! En m'éloignant de la table, j'entend les commentaires, je vois son sourire. Ce soir, je suis la gagnante...
Nous nous amusons tous gentiment, abandonnant le stress et la pression accumulés.
Il est temps de partir.
Échange de bises, petits tacles aux concurrents, nous nous séparons sur le trottoir
-J'ai oublié mes clefs derrière le bar, me dit-il, tu m'accompagnes?
Nous voilà rouvrant la grille, rentrant dans la salle calme et obscure.
Les ombres du mobilier se détachent au passage des phares devant la vitrine.
Il allume la lumière du comptoir. J'aime cette ambiance coulisse, comme une scène vide entre deux représentations.
-0n prend un dernier verre? Je voulais te faire goûter un nouveau cocktail auquel j'ai pensé...
Je le regarde. Il est de dos, je me surprend à le trouver craquant, concentré comme ça...
Il est arrivé d'Italie l'année dernière, il a le charme latin, l'accent qui chante et un sourire qui enchante, un sourire ravageur, des tatouages partout, un joli p´tit cul... Je m'égare....
Je tente de garder un air naturel - redescend, c'est ton acolyte!- j'allume une cigarette. Il rit de me voir fumer à l'intérieur.
-tu te venges, hein? Tiens, goutes...
Ce mec est un vrai barman, son cocktail est délicieux. Crémeux et fort, comme j'aime.
Je le félicite, me régale...
Il se sert et me rejoint sur les tabourets.
Il parle avec ses mains, m'explique la subtilité du mélange. Ah, ces italiens! Dans un élan de conversation, il pose sa main sur mon genou. Mais ne la retire pas.
Le contact prolongé est troublant...
Peut-être m'a-t-il vu? Peut-être a-t-il senti mon regard tout à l'heure?
Je n'ai d'autre réponse qu'un sourire, ma gêne est palpable, pourtant je ne la repousse pas. Nous reprenons notre conversation, envisagent déjà notre lendemain au travail. Je tente de garder un air dégagé, mais ce contact m'obsède, me trouble au plus haut point. Ma conscience me tiraille: non pas lui!
Je descend de mon tabouret pour regagner l'arrière du bar. L'espace d'un instant, je me retrouve debout entre ses genoux. Le temps de voir son œil pétiller et de sentir ses lèvres dans mon cou, je me suis déjà enfuie.
Je passe de l'autre côté du comptoir, à l'abri derrière, je retrouve une certaine contenance...
Je noie le poisson en parlant boulot.
Me détend. Pense que je suis sauvée.
Doucement, dans la gaieté nos verres se vident. Il m'aide à débarrasser...
Je suis devant l'évier lorsque je sens sa chaleur dans mon dos. J'ai d'abord ce sursaut de conscience, mais lorsqu'il glisse sa main sur mon bras, je frissonne de douceur.
Sa caresse parcourt ma peau, frôle l'étoffe de mon chemisier jusqu'à sentir sa douceur dans mon cou, ses doigts dénouer mes cheveux.
Les sens s'éveillent, ma tête me hurle d'arrêter à l'instant. Mon corps lui affirme exactement le contraire...
Il ne bouge pas, il m'observe, certainement en de posant les mêmes questions que moi: -oui, mais demain?
Il est maintenant collé à moi qui ne peux plus reculer, je sens son souffle sur ma peau.
D'une main, il enserre ma taille, l'autre se pose sur mienne accrochée au bord en inox de l'évier.
Son accent roucoule à mon oreille:
-ne pensons qu'à maintenant...
me dit-il en ponctuant sa phrase de baisers mouillés dans mon cou.
Nos doigts se mêlent, mes idées s'emmêlent.
Je m'arrime à lui, ma main part à la recherche de son cou.
Me voilà complètement étirée contre lui. Mon corps prend le pouvoir sur ma tête.
Sa bouche ne quitte plus mon cou, sa main remonte mes cheveux. Je renverse ma tête sur son épaule. Il sent bon.
Je me cambre contre lui, mes fesses rencontrent son désir. Sa main remonte le long de mon ventre, contourne les rondeurs de mon sein.
Mon ventre de serre.
Ses doigts partent à la conquête des boutons de mon chemisier. Un par un. Il en écarte les pans, exposant ma peau chaude à la fraîcheur de l'endroit. Il glisse sa main dans la ceinture de mon pantalon, la dégrafe,
caressant du bout des doigts la dentelle de mes dessous. La sensualité de ce moment m'inspire,
pourtant je n'ose me retourner, impressionnée par son regard.
Sa main chaude, à plat sur mon ventre, attirant mon dos sur lui, fait voler en éclat ma lucidité. Il m'emmène avec lui dans l'instant présent...enfin je lui fait face. Il me sourit. Ses yeux m'envoient envie et tendresse, ils attendent mon approbation.
Pour toute réponse, j'approche mon visage du sien. Comme il sent bon...
Mes lèvres effleurent les siennes. Elles sont douces et charnues. Elles appèlent aux baisers. J'y en pose un délicatement. Mes mains sur ses épaules, maintenant nos langues s'emmêlent. C'est doux, chaud, envoûtant.
Je goûte sa peau. Je me délecte à chaque caresse. J'enlève sa chemise, il fait tomber la mienne. Il a des tatouages partout, mes doigts, ma langue les parcourent. Nous voilà peau à peau, debout derrière le comptoir. Nos baisers se font fougueux. Il met ses mains sur ma taille, me soulève pour m'asseoir sur le plan de travail. Elles glissent jusqu'à mon pantalon, me l'ôtent. Ouvres mes cuisses, s'y fait sa place glissant sa langue dans mon cou, dégrafant mon soutien-gorge.
Je défais son pantalon, glisse ma main dans son boxer.
Je sens son désir fort et ferme, naturellement j'entame de chaudes caresses...
Il prend ma main, la repose sur le comptoir. Se baisse.
Délicatement, il écarte le tissus de mes dessous pour glisser sa langue sur mon intimité. C'est doux et chaud...
Il appuie ses baisers sur mon clito. Puis prends le temps d'embrasser, d'envahir l'orée de mon antre...
J'adore, je me laisse emporter par le plaisir. La tête basculée, cambrée à outrance, je me délecte quand je sens ses doigts se mêler à la danse.
Ils s'insinuent, se faufilent, m'explorent.
Mon souffle s'accélère, se saccade.
Mes mains cherchent sa peau, le réclament.
Il se relève. Fouille dans son porte-feuilles. Ouvre l'emballage d'un préservatif. Je lui prend des mains et prend mon temps pour lui enfiler...
Je l'imagine en moi, fantasme complètement sur ce qui nous attend.
J'aimerais me lever, il m'en empêche. Me rassoit. Reprend sa place entre mes cuisses. Tiens fermement mes mains sur le marbre froid du bar. Il dégage comme une autorité naturelle, sa virilité me grise...
Je sens son vît contre moi, je brûle.
Délicatement, résolument, il me pénètre. Il observe ma réaction, souriant. Sa langue vient chercher la mienne, il commence un va et vient doux et profond, maintenant mes mains hors jeu.
Je brûle, je craque.
Mon corps entier l'appelle... Mon bassin ondule, vient le chercher au rythme de ses assauts...
Offerte, il me prend fermement.
Je suis troublée d'être empêchée de le toucher. Il le sait, il me tient.
Ses coups de reins deviennent profonds, ils me bouleversent, m'emportent.
Sa langue sur mes seins, son dos creusé par par ses à-coups, le plaisir au bout du soupir... Je m'abandonne.
Le rythme s'accélère. Il plonge ses yeux dans les miens. Jouissance.
Il s'écarte de moi, me sourit:
-tu veux un autre cocktail?
La femme du Boulanger (Marcel Pagnol - 1938)
- Ah, te voilà, toi ! Regarde la voilà, la pomponnette. Garce, salope, ordure, c'est maintenant que tu reviens ? Et le pauvre pompon, dis, qui s'est fait un mauvais sang d'encre pendant ces trois jours ! Il tournait, il virait, il cherchait dans tous les coins. Plus malheureux qu'une pierre, il était ! Et elle pendant ce temps là avec son chat de gouttière... un inconnu, un bon à rien, un passant du clair de lune... Qu'est ce qu'il avait de plus que lui ? RIEN !
Tout est là. Dans ces mots.
Et toi, éteindrais-tu ton four comme le boulanger cocu?
Le rallumerais-tu à mon retour?
Tu es mon port d'attache, mes pieds sur Terre.
Et pourtant.
Comme attirée par la lumière, mon esprit t'échappe. Mon corps sûrement un jour, emporté par des envies que je ne peux combattre, empruntera ce même chemin parallèle.
Schizophrène de l'amour, je n'arrive plus à t'appartenir entièrement.
Et dans cette lettre que tu ne liras jamais, je t'avoues mes péchés.
Sans vraiment lâcher la cordée, tu ne pas tjs compter sur mes forces.
Souvent, je m'envole sans toi. En prenant de la hauteur, tu es à présent un point dans champ de vision, et l'univers est à portée d'aile. Et je n'arrive plus à ignorer son appel.
Tant de choses qui t'empêchent de vivre.
Tant de choses qui te clouent sur place.
Tant de choses que tu n'oses pas vivre avec moi.
Tant de prétextes pour te glisser entre les doigts.
Et pourtant.
Tu es mon port d'attache. Mes pieds sur Terre. Je t'aime.
Les lettres lumineuses se détachent de la façade. Nous entrons dans leur halo, la porte vitrée s'ouvre devant nous. Je reprend mon souffle.
Faussement calme, nous prenons la clé. L'ascenseur s'arrache du sol.
Face à face, nous nous observons l'œil coquin. Un pas nous sépare. Tu tends les mains vers moi, détaches mon imper. Souriant.
La cabine s'ouvre sur un couloir.
Nos pas silencieux sur la moquette épaisse. Je frémis, je ne devrais pas être ici, avec toi. Je suis pourtant incapable d'y renoncer.
Tu me prends par la taille, et me souris.
-Tu veux repartir?
Pour toute réponse, je m'approche de toi, rentre dans ton espace vital. Je joint mes bras derrière ta nuque et dépose un langoureux baiser sur tes lèvres. Le contact de ta bouche, de ta langue me ramène sous le porche qui nous avait abrité qq minutes plus tôt. Ma tête ne raisonne plus. Mon corps a pris le pouvoir.
Tu glisses tes mains dans mon dos, me tiens contre toi. Mon ventre se serre. Tu m'embrasses à pleine bouche. Déjà, dans ce couloir, je bascule.
Je glisse la clé sur la serrure. Tu glisses sur ma peau, dans mon cou. La porte me résiste, la chaleur de ton corps derrière moi m'empêche de m'appliquer. Tu poses ta main sur la mienne. La chambre est coquette, confortable.Je jette mon imper.
Tes bras autour de ma taille, ton visage blotti dans mon cou, tes baisers m'emportent, me chavirent.
Je me retourne dans tes bras et nos bouches se mêlent d'un plaisir qui nous submerge.
Ta main dans mes cheveux bascule ma tête, offre mon cou à tes baisers.
-Tu as moins froid ici....et je te préfère sans ton manteau. Tu es ravissante dans cette robe.
Le pouvoir de la petite robe noire. Irremplaçable, imparable.
J'aime sentir ton regard sur moi. J'aime voir tes yeux gourmands.
Tu t'installes dans le fauteuil près de la fenêtre en m'observant.
Je te rejoint. Debout, à portée de caresses.
Ma main glisse sur ta joue, ta nuque, tes cheveux. Mes yeux plantés dans les tiens.
Assis confortablement, tu remontes le long de mes cuisses. J'aime tes mains. Leur chaleur m'emporte. Tu prends mes fesses dans leur paume. Je frissonne.
Tu me souris et dis:
- Ça, ce n'est pas à cause du froid...
Tu continues ta progression. Le bas de mes reins à présent. Le désir. Brûlant. Ma robe relevée jusqu'en haut de mes jambes, tes lèvres effleurent ma peau sous mon bas.
Tu te lèves. Passes dans mon dos.
Ta chaleur virile dans ma nuque. Tu descends doucement la fermeture éclair, dégages mes épaules.
Me voilà sans mon armure, sans ma petite robe noire, offerte, en lingerie dans cette chambre. Toi. Ma peau nue. Tes bras. Ton corps.
Ta langue remonte sur mon épaule. Ma bouche te cherche, te dévore.
Mes mains s'agitent à la recherche de ta peau, je me retourne dans tes bras. Te déshabillent.
Comme affamée, je glisse mes doigts dans la boucle de ta ceinture, tire la sangle. Je m'agite à te libérer de ta prison de tissu. À me libérer de ta prison de tissu. Nos regards enchainés, débordants, je défaits les boutons de ta braguette. Un par un. Mon cœur s'emballe. Mon addiction à ta peau aussi. Mes mains se faufilent.
Je te sens fort et ferme. Ma féminité prend le dessus.
Tu recules jusqu'au lit, enlèves ton pantalon, cales un oreiller derrière ta tête.
Je me sens fébrile. Je veux te rejoindre et t'envahir.
Je m'approche du lit d'où tu m'observes.
À quatre pattes, déjà féline, j'arrive par le pied du lit.
Je pose 1000 baisers sur ta peau, remontant le long de tes cuisses. Je te caresse, je veux découvrir ta peau.
C'est le feu en moi. Je me sens timide, impressionnée, déstabilisée, mais surtout affamée de toi.
J'arrive doucement près de ton intimité, ma langue en éclaireuse, mes mains te débarrasse du boxer que tu avais gardé.
Emportée par mes envies, je te saisis délicatement, fermement. Ma langue t'appréhende avec de délicieuses caresses. Elle t'entoure. Je me sens encouragée par tes mains sur mes épaules, dans mes cheveux, et te prend langoureusement dans ma bouche, dans un délicieux va-et-viens. Mes mains te découvrant, t'emprisonnant même, calées sur le rythme de mes baisers.
La température monte d'un coup, j'ai chaud, je vibre.
Je me délecte de toi, je sens ton désir gonflé dans ma main, dans ma bouche. Je m'applique. Je te dévore. Je te glisse dans mon cou, sur mon visage, dans mon décolleté mais déjà, tu me manques je veux te sentir au chaud, dans ma bouche.
Je reprend ma danse. J'ondule au-dessus de toi, enjambe ta cuisse. Je sens ta chaleur envahir mon intimité... Je me caresse sur ta peau, à ton contact je perd pied. C'est si bon, je me laisse emporter par mon plaisir et te le fais partager.
Tu te relèves, m'embrasses. Je me sens libre.
Tes mains courent sur moi. Nos langues se mêlent.
Tu emprisonnes mon sein dans ta main, ta langue le caressant, bousculant le téton.
J'imagine ce baiser sur mon intimité, je m'envole.
Je repasse au dessus de toi, me cambre exagérément Je te sens dressé si près de moi, que je brûle de te sentir plus. Dans un déhanchement torride, je glisse sur son vît, imaginant le moment où je le sentirais me pénétrer. Cette idée me torture, je ne sais plus attendre. Je m'enfonce sur toi. Doucement. Déhanchement. Mon corps t'appelle, je me redresse. Reprend mon calme.
Me délecte de ta vigueur, en goute à chaque instant
Tu poses tes mains sur mes fesses, me guides ou me maintiens contre toi, dans un instant irréel. Crescendo, tu m'entraînes dans un rythme effréné... Je perd la tête.
Je ne suis plus que plaisir. Je vis, j'exulte, je jouis.
Tour à tour, nous échangerons désir et plaisir jusqu'au matin, jusqu'à ce que le sommeil nous gagne.
Au matin, je reprendrai ma vie.
Difficile pour moi de faire une mise en page correcte. Voici la version corrigée.
Merci pour vos encouragements alors que mon texte était en vrac....
La rencontre: 2ème prise!
Je suis tendue.
Ce restaurant, c'est toi qui l'a choisi.
En terrain neutre, à mi-chemin.
J'ai retourné mon placard 100 fois, avant de choisir ma petite robe noire. Irremplaçable, imparable. Après de longues délibérations intérieures (cheveux relevés? sur les épaules? avec ou sans mon bracelet...?), j'enfile mes chaussures, j'attrape mon sac et ma veste et claque la porte de la maison.
Le chemin est juste assez long pour me laisser le temps de m'inquiéter.
Et si , et si... Les idées fusent dans ma tête. Plus j'avance, plus je suis fébrile, plus le cendrier de l'auto se remplit.
Je me gare à qq pas, souffle un grand coup et sors de la voiture.
Je remonte l'avenue à pied, m'empêche d'allumer une cigarette.
Je vois un groupe de passants au loin.
L'idée me traverse: si tu étais parmi eux?
-hey..Salut!
Je me retourne, tu es là. Souriant, charmant.
-Salut!
Le temps de te rendre ton sourire et tu poses ta main sur ma nuque pour m'attirer vers toi.
J'aime que tu m'ais surprise comme ça. J'aime ce rapprochement, rapide et naturel. J'aime ta chaleur rassurante. Tu sens bon.
-Je n'étais pas certain que tu viendrais.
Oh!! Il doute! C'est trop craquant!
À cet aveu, je pose mes lèvres sur ta joue, chastement. Sourires complices.
- Tu as faim?
Sans attendre ma réponse, tu me guides vers l'entrée, ta main résolument posée sur ma nuque.
La chaleur de tes doigts, leur douce pression sur ma peau, mon cœur s'emballe.
Tu ouvres la porte...
Ambiance feutrée. Lumieres tamisées. Cuivres et moquette épaisse. Joliment désuet.
Le serveur nous guide vers une petite table ronde. Les hauts-parleurs nous distille un jazz enrobant.
J'enlève mon trench, m'assure des effets sur toi de ma fameuse petite robe noire (irremplaçable, imparable) et me faufile sur la banquette.
Avant de laisser repartir le serveur, tu commandes une bouteille de Bourgogne. Conciliabule.
Nous nous installons côte à côte, dans l'arrondi de la banquette. Grenat, confortable.
Première gorgée. Le vin est corsé et sensuel. Comme toi. Il est gouleyant. Dans ma bouche, ma gorge, je laisse glisser ce nectar qui réchauffe nos âmes et nos corps. Je me prend à imaginer ton goût, ta saveur.
La conversation s'engage naturellement. De tout, de rien, nous discutons comme deux vieux amis. Le dîner avance dans la bonne humeur.
Nos mains se cherchent, se frôlent.
Je sens la chaleur de ta cuisse contre la mienne. Délicieux.
Tu portes ta main vers mon visage, rajustes une mèche de mes cheveux. Dans le prolongement de ton geste, tu caresses ma joues, glisses un doigt sur mes lèvres. Je fond sous ce geste tendre.
Voici le dessert. Tu as choisi un éclair au chocolat, j'ai pris une glace.
Nous rions, complices. L'éclair au , chocolat, un malicieux complice. Tu poses ta main sur ma cuisse, plonges dans mes yeux.
Je sens tes doigts chauds à travers l'étoffe de ma robe. Tu les fais glisser, le tissu se froisse. Tu sens la naissance de mon bas sous tes caresses.
Sous la nappe, tu joues avec nos sensations. Tes doigts s'aventurent sous mon jupon. Tu caresses à pleine main la douceur de mon bas. C'est chaud, doux, excitant. Doucement, tu remontes sur ma cuisse, à la lisière de ma peau. Je goute mon plaisir.
Gardant une allure décontractée, nous fixant, nous dévorant des yeux, tu poses ta main à plat, sur l'intérieur nu de ma cuisse. Tes doigts sont si près de moi que déjà, je sens déjà mes reins se creuser. Tu les écarte pour frôler mon intimité, te glisser presque sous ma lingerie. Sourires.
Ma main te gardes prisonnier contre ma peau, l'autre goute au grain de ta peau, sur ta nuque
Le serveur nous débarrasse. Spontanément, je me redresse, repose ma main sur la table. Toi, tu ne bouges pas. Ta main fermement sur ma cuisse. Je frissonne de me savoir humide, alors qu'il s'affaire à notre table.
Café. Nous sortons.
À peine la porte franchie, tu passes ta main dans mon dos, m'attire contre toi. Ta main sur ma joue glisse vers ma nuque. Notre premier baiser.
Instantanément , je suis emportée.
Nos langues se mêlant, se caressant, s'apprivoisant. Je m'abandonne déjà, tu le sais. J'aime ta confiance déterminée.
-Qq pas?
Incapable de te quitter maintenant. Nous traversons l'avenue, la porte du jardin public est ouverte. Étonnant à cette heure.
La lumière étouffée par la nuit des lampadaires donne aux allées une atmosphère hors du temps. Nous avançons cote à cote, enlacés. Riant, nous arrêtant pour embrasser un coin de peau, dévorer un sourire.
Là-bas, dans l'ombre, un banc devient le but de notre promenade.
À l'écart du chemin, près d'un sortie, il échappe à la lumière de l'allée principale.
Nos yeux s'habituent vite à la pénombre. Tu t'assois à cheval, à côté de moi. Je regrette l'aisance que m'aurait offert un jean. Nous restons là, discutant, riant, nous embrassant.
Il fait froid, je frissonne.
Je m'installe à goûter ton cou, mes mains se glissent sous ta veste, nous embrassant dans ta chaleur. Perdant pieds dans de fougueux baisers. Le désir de toucher ta peau m'enflamme, mon ventre se serre. Tes mains fermes entourant les contours de mon corps. Glissant sous mon imper, ma robe, à la recherche du grain de ma peau.
Seule la lueur des enseignes de la rue toute proche éclaire nos visages emmêlés.
-Tu as froid, viens...
Nous rejoignons la rue aux lueurs colorées. Sans cesse interrompus dans notre marche par la tyrannie de notre désir, par l'impérieuse nécessité d'un baiser.
Un porche tout proche du carrefour. Je t'y entraîne en riant.
Dans la fraîcheur du soir, ton corps chaud m'emprisonnes. Sous tes baisers, je deviens féline. Je me sens t'envahir. Ma jambe remonte le long de ton corps, à la rencontre de ta main. Sa douceur toute masculine, sa chaleur. Nos langues emmêlées, ton bassin collé si près de moi, ma cuisse relevée sur toi offrant ma peau au contact de ton corps. Tu m'attires, me plaques contre toi. Tout mon corps t'appelle. Le désir me brûle.
Tu t'écartes de moi, souriant. Tu caresses mon visage. J'ai vu l'éclair dans tes yeux.
Tu prends ma main, m'entraîne dans la rue. Je rechigne, mais suis déjà sous ton emprise.
Au coin de la rue, les néons de l'enseigne bleue se reflètent sur le trottoir humide.