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Belles sueurs
Untitled 3
FIN////
J'adore les bains
Rêves fugaces... mais sensations tenaces

L’amour du naturisme.

Voyeur malgré moi.
Perdu dans la nuit.
Le Miroir
Face à moi se trouve une paire de cuisses grandes ouvertes, sans honte, décidées, généreuses, mais qui, pourtant, ne débordent pas d'un fauteuil en osier sur laquelle elles sont posées. Les talons sont au sol et résistent à l’envie de se lever. Quelques longs soupirs, des gémissements, et des respirations pour l’instant encore maîtrisées les y aident. Deux doigts d’une main –est-ce la droite ou la gauche ? peu importe– sont insérés dans un antre déjà très humide qui, lui, contrairement à tout ce qui se trouve à l’extérieur, ne se laisse pas voir. Le plaisir que procurent ces doigts n’est pas pour autant invisible. Formant un petit crochet, ils appuient à un endroit agréable, aussi fort qu’ils le peuvent, mais pourtant pas aussi efficacement que ceux de l’homme dont le souvenir me vient à l’instant. Deux doigts de l’autre main décrivent des ovales réguliers sur une autre partie cachée, qu’ils recouvrent et excitent, et à laquelle ils offrent l’un des touchers les plus agréables au monde. Quiconque pénétrerait au sous-sol à cet instant comprendrait immédiatement ce qui s’y passe, tout en restant perplexe sur comment on peut en arriver là, à s’exciter et se donner du plaisir au milieu de ces objets provenant des ses multiples quêtes entre châteaux et brocantes.
En fait, on ne voit pas grand-chose car la seule lumière est celle d'un candélabre d'où quelques bougies laissent couler la cire comme des sexes masculins excités par tant d'érotisme de ma nouvelle propriétaire. Sa tête est coupée, hors du cadre de ce grand miroir qui reflète rien que pour moi ce spectacle improvisé. Je ne devine que sa bouche qui exhale un souffle qui embue un peu mon tain… Oui, j’ai la tête ailleurs. Il manque une tête pensante dans l’image si corporelle de cette femme qui se fait plaisir. Ma tête est ailleurs, ou alors je l’ai perdue et sûrement, avec elle, une partie de mon cœur dont la résistance m’étonne.
Sa robe en lin beige s’y reflète. Voilà qu’elle glisse à ses pieds, suivie par une culotte blanche en coton, sans dentelles. Les pieds, nus, se dégagent de ses chaussures aux talons vertigineux. Un soutien-gorge rejoint le reste des vêtements à même le tapis persan négligemment étendu sur le sol. Il n’y a qu’à déplacer le fauteuil d’un mètre pour qu’elle soit parfaitement centrée. J'aperçois en arrière plan, un sofa, un tas d’habits et des chaussures féminines , et, derrière, des peintures représentants toujours la même femme offerte et nue , et puis, au tout premier plan, un corps nu de femme déjà un peu bronzé par un été clément. Cette image-là, à elle seule, pourrait raconter tant d’histoires, tant d’épisodes. Le choix d’une pilosité présente mais maîtrisée, chaque cicatrice, chaque trace dirait son vécu et toute ceci pourrait être sujet à interprétation, sujet de longues conversations post-coïtales. La femme reflétée dans le miroir se dit soudain que ce décor de meubles entassés et ces multiples bibelots peuvent paraitre étrange. Elle se rappelle de tous les moments qu’elle y a passés avec ses amants, ses maîtresses.
Elle s'installe dans ce fauteuil, je le découvre sur affiche de cinéma , face au miroir. Cela fait longtemps qu’elle ne s’est plus fait plaisir en se regardant en entier. Elle n’en a plus ressenti l’envie. Sûrement est-ce dû au fait que son destin l’a porté vers un homme pour être son vis-à-vis, un homme avec lequel échanger des regards, des caresses, des baisers, des fluides et des énergies…
Un homme qui l’a faite se sentir entière : la tête était là, le sexe et tout son corps. Le cœur ? Qui pourrait le savoir ? Cela lui échappe aussi, mais désormais, elle comprend un peu mieux pourquoi il la trouve belle.
« Miroir, mon beau miroir, dis-moi qui est la plus belle ? » - « Belle comment ? Pourquoi une question si pleine de vanité ? N’as-tu pas d’autres qualités à mettre en avant pour combler ton estime de toi ? ». Il a eu raison de le lui dire. Cela faisait longtemps, aussi, que personne ne le lui avait dit avec une telle sincérité et qu’elle n’avait pas senti autant de désir –même pas le sien propre– posé sur son corps. Elle s’assied et voit ses jambes s’écarter et ses talons se poser au sol. Son corps est reflété jusqu’au cou. Un instant, elle hésite à ajuster son miroir pour se voir elle-même, se voir entière, pouvoir soutenir son propre regard au moment de jouir, puis elle y renonce car déjà ses doigts ont trouvé leur position, leur mouvement, leur rythme. Ses talons, libres pourtant, restent au sol pour maintenir cet écartement. Elle a décidé de l’ouverture dans plusieurs domaines de sa vie. Pourquoi se fermer ? Pourquoi craindre de laisser arriver ce plaisir ? Elle commence à avoir chaud. De temps en temps, l’une des mains quitte sa tâche et s’en va soupeser l’un ou l’autre des deux seins, puis elle reprend son mouvement de pression ou de tourbillon autour d’un clitoris très réceptif. Sait-il que c’est la dernière fois qu’il est sollicité dans ce lieu souterrain ? Ce corps sait-il tout ce qui va lui arriver ? Le temps n'est plus à la réflexion mais à l'action. Je réfléchis seul , malgré le manque de lumière, un corps qui, au bout de quelques minutes, se met à trembler et puis se cabre brièvement dans un soupir indiscret, suivi d’un éclat de rire grandiose. Oui, c’était la première fois ici avec elle, moi son nouvel objet … une réflexion excitante. J’ai encore le temps de savourer les effets de ce plaisir improvisé, et de la voir se rhabiller.
Soudain elle semble s'adresser à ma personne.
« A demain mon beau miroir »
Une soumission soft
Elle est là assise dans son fauteuil Emmanuelle, elle le regarde fixement ses jambes écartées. « AVANCE !!! me dit-elle d'un ton péremptoire « DESHABILLE TOI !!!!!!! Je m’exécute, ses ordres je l'avoue m’excite Elle le sait et fait rouler sa langue entre ses lèvres. Ma verge redouble de vigueur
APPROCHE !!!! J'avance précédé de mon désir. « A GENOU !!!!! Me voilà à sa merci « BOUFFE MOI !!!!!! Le vêtement et les jambes s’écartent pour me laisser le passage. Ma joue frôle l’intérieur de la cuisse, d’abord le bas soyeux mais froid, puis la chair tiède et douce. J’atteinds l’aine, l’endroit où la peau est la plus souple et soyeuse. Je laisse mes lèvres s’attarder à cette place délicieuse, je respire les parfums de cette peau si délicate. Derrière l’odeur des sels de bains (rose et bois de santal ?) je sens un musc peu entêtant, une senteur animale et boisée. Le sexe est là, devant mes yeux. Les grandes lèvres ouvertes et charnues laissent partiellement découvertes les petites lèvres roses et luisantes, à demi cachées dans la fente vulvaire. Mon objectif, le clitoris montre sa tête dans son capuchon. Il est comme une petite perle nacrée et brillante. Je l’embrasse, le lèche de haut en bas, de bas en haut, de droite à gauche, de gauche à droite, vite, lentement, j’aspire, je tète en prenant entre mes lèvres et mes dents une partie des petites lèvres que je mordille… je varie le rythme et les mouvements mais n’arrête jamais. Parfois je descends jusqu’ au vagin que je lape avec ardeur, je tends ma langue au maximum pour pénétrer le plus loin possible. Le goût n’est pas désagréable, salé mais ni âcre, ni amer. Peut-être est-ce cela, "l’ umami" des Japonais? Je pourrais entrer mes doigts dans le vagin et atteindre le point G, mais elle a dit «avec la langue» alors je m’abstiens. Je reprends mon travail, ou plutôt ma dégustation du clitoris. Vite, lentement, de bas en haut, de gauche à droite… Combien de temps cela dure-t-il? Cinq, dix minutes, un quart d’heure? Plus? Je ne saurais le dire, j’ai perdu la notion du temps tellement je suis concentré sur ma tâche. Bientôt j’entends le souffle de ma maîtresse qui s’accélère, je sens le ventre qui s’agite de spasmes de plus en plus forts, les hanches qui se mettent à chalouper… je dois m’agripper aux cuisses pour ne pas être désarçonné. Soudain, deux, trois râles de plus en plus forts, la respiration saccadée… c’est l’orgasme que je recherchais. Je dois continuer, plus vite, plus fort, plus profond… À nouveau la respiration haletante, les gémissements, les mouvements désordonnés… elle arque les reins, saisit ma tête qu’elle enfonce entre ses jambes… un nouveau cri, elle se relâche. Moi je continue de plus belle, en haut, en bas, à droite à gauche, la langue enfoncée dans le vagin. Aspirer, téter… elle se crispe, dévoile sa poitrine dont elle triture les mamelons, les tire, les fait rouler… Sa respiration est de plus en plus profonde, son ventre se contracte au-dessus de ma tête, ses cuisses s’écartent et se ferment convulsivement, sous ma langue son clitoris devient rigide et j’ai l’impression qu’il grossit, puis elle pousse un grand cri, se tend comme un arc, serre ma tête entre ses cuisses comme dans un étau; je ne peux plus, ni ne désire bouger. Elle se détend, me libère, repousse ma tête et reste alanguie, calmée; j’espère comblée. Moi aussi je reprends mon souffle et mes esprits avec la satisfaction du devoir accompli. J’attends accroupi à ses pieds ses instructions.
QUELLE LINGERIE SEXY POUR SÉDUIRE UN HOMME ?
Wide Open
Le gout du péché
Le corps de Linda se penche en arrière pour mieux plaquer son sexe contre ma bouche. Le jeu d’ombre et de lumière me permet d’avoir une vue somptueuse sur son corps, je devine ses seins encore prisonniers d’un tissu. Sa fine tonsure sur son pubis qui me caresse le nez. Linda pose une main sur mes cheveux, elle semble totalement perdre le contrôle. Pensait-elle avoir le contrôle dans cette position ? C’est moi qui décide ! À chaque coup de langue sur son clitoris, je l’entends gémir, pousser un soupir. À chaque fois que j’enfonce ma langue en elle, je sens son corps vibrer. Linda finit par se redresser, et a retiré son soutien-gorge, libérant de lourds seins qui tombent légèrement. Elle se les caresse alors en gémissant, ses deux mains empoignent sa chair, ses tetons perçant à travers ses doigts. Son bassin commence même à onduler sur mon visage, ma langue se fait plus pénétrante, plus précise sur son bouton. Et plus elle gémit, plus cela m’excite. Plus cela m’excite et plus je la lèche. Plus je la lèche et plus elle gémit… Mes mains montent le long de son corps et viennent sur ses mains qu’elle retire… Je découvre ses seins, pile à la bonne taille, parfaits pour mes mains. Ils tombent légèrement en forme de poire, ses tetons sont durs comme de l’acier. Elle replace sa main dans mes cheveux pour me les caresser. Ses gémissements sont devenus bruyants, elle ne cache plus le plaisir qu’elle éprouve. Je veux la faire, la voir et l’entendre jouir comme elle l’a fait pour moi. Le bas de mon visage est inondé et mon souffle est saccadé, puissant… Je souffle sur sa chatte brulante. Je malaxe ces seins en même temps que je lui aspire le clitoris entre mes dents. Je la sens sur le bon chemin, elle bascule sa tête d’un geste en arrière, tout son corps vibre de plaisir. Son bassin ondule à nouveau contre ma langue, je lâche un de ses seins pour lui bloquer une cuisse pour la maintenir contre ma bouche. Elle finit par me regarder droit dans les yeux, la mâchoire serrée, tous les muscles de son corps de raidissent, ses cuisses tremblent. Ses gémissements se sont transformés en petits cris mêlants aigus et graves. À travers ses cheveux, je devine son regard. Linda finit par jouir brutalement, comme si un tsunami ravageait son corps, ses gémissements s’arrêtent pour un rapide silence avant qu’elle ne laisse échapper un long râle de plaisir. Elle saisit la main sur son sein et me la serre tout le long de son orgasme. J’ai son clito sur le bout de la langue, tout le long de son orgasme.
Elle rompt le silence pour reprendre sa respiration, bruyante, elle est essoufflée comme si elle venait de courir. Elle s’écroule petit à petit, allongeant ses cuisses aux côtés des miennes, me chevauchant toujours. Alors qu’elle vient poser son bassin contre le mien, je remarque sur son visage faiblement éclairé, un large sourire malgré sa bouche grande ouverte. Mon sexe est à nouveau dressé… Prêt à passer à la suite. Le corps de Linda est appuyé contre le mien, ses seins écrasés contre mon buste, la tête de Linda posée sur mon épaule. Sa main se glisse entre nos bassins pour saisir ma verge. Je sens mon gland frotter contre sa peau, elle soulève son bassin pour guider mon sexe vers le sien. Mon gland se glisse au milieu de ses lèvres, puis se glisse tendrement en elle. Cette sensation de douceur, de chaleur est sans égale, indescriptible. Linda et moi lâchons un long gémissement en commun. Je sens mon sexe s’enfoncer centimètre par centimètre, Linda prend son temps pour se laisser glisser sur moi. Ses gémissements aigus dans le creux de mon oreille m’excitent même plus que de la pénétrer. Mon sexe finit par être entièrement avalé, je sens mon gland appuyer au plus profond de son intimité. Linda pose alors ses mains sur mon buste et se redresse sur moi, tout en gardant nos sexes entièrement liés. Son corps est toujours faiblement éclairé par l’éclairage de la nuit, mais je distingue ses seins dressés. Linda dégage de son visage, ses cheveux en bataille, son regard est totalement différents de la Linda que je connais. On ne se lâche pas des yeux alors qu’elle soulève doucement ses fesses de quelques centimètres pour redescendre dessus. Je tente de contrôle ma respiration pour ne pas jouir trop vite, Linda, elle ne se retient pas de gémir de plus en plus fort. Je la laisse complètement maitriser ses va-et-vient sur ma queue. Elle se penche légèrement sur moi pour amplifier les pénétrations. Je sens mon gland appuyer à chaque coup au fond, Linda ne cesse de couiner à chaque fois. Ses mouvements de bassin sont de plus en plus amples, je sens sa chatte se resserrer autour de moi. Ses fesses claquent contre mes cuisses, je ne tiens plus et mes mains se posent alors sur ses fesses. Ce mouvement oblige Linda à totalement s’allongée contre moi, elle enlace mon cou. Je tiens fermement ses fesses et commencent à soulever mon bassin pour la pénétrer. Mon gland est sur le point de sortir lorsque je repars prendre possession de Linda. J’accélère encore et encore. J’espère que les murs de Linda sont épais, car on ne se retient pas de gémir à la limite de crier. Les ongles de ma partenaire se plantent dans mes épaules alors que j’écarte ses fesses… Je vais jouir… Linda aussi… Je contracte tout mon corps… Je veux tenir le plus longtemps possible… Je m’enfonce entièrement en elle, soulevant mon bassin… Je sers les dents et jouis puissamment au plus profond d’elle. Je sens ma queue se raidir, se contracter, mais je sens Linda totalement transpercée par un second orgasme. Tout son corps se met à trembler, je sens ses mouvements de bassin sur mes mains, son sexe se contracter sur le mien. Notre orgasme est parfaitement synchronisé… C’est un délice ! Peu à peu, nos corps se relâchent, Linda se laisse glisser à côté de moi, une jambe toujours par-dessus mon bassin. Je sens mon sexe sortir du sien et tomber sur mon bassin. Je ne me souviens pas d’avoir dit quoi que ce soit avant de tomber dans les bras de Morphée. Ce n’est que bien des heures plus tard que je me réveille difficilement. L’abus de champagne est assez traitre. J’ai un mal de crâne carabiné et les yeux qui collent. La faible lumière d’un jour pluvieux de décembre termine de me faire ouvrir les yeux. Je me rappelle alors que je ne suis pas dans mon lit… Je me tourne lentement et constate que je suis seul dans ce lit… Et encore tout nu ! D’habitude quand je couche avec une fille pour un soir et qu’on n’en a préalablement pas discuté, j’évite de dormir sur place ou alors de me lever après elle. Je trouve que se voir au réveil et la discussion autour du bol de céréales, ce est-ce qu’il y a de pire pour envisager une suite… Mais là, je n’ai pas le choix ! Je sors donc du lit et pars à la recherche de mon caleçon… Et c’est en enfilant le fameux caleçon que mon regard se pose sur une photo de Linda, posé sur la table de chevet… Une très belle photo où Linda est habillée d’une longue robe blanche et qu’un homme en costard se tient à côté d’elle… Linda est mariée ! Je mets du temps à réaliser que non seulement Linda est plus âgée de 12 ans, elle est mariée… Je me sens encore plus mal dans ma peau. Je ne sais vraiment pas quoi faire… Je viens de passer la soirée à draguer une femme de trente-trois ans et pour finir, j’ai passé le reste de la nuit à coucher avec cette femme juste sous le nez de la photo de son mariage. Je reste totalement sonné, à tenter de réfléchir à ce que je dois faire. La tête encore profondément dans le fessier, je sors de la chambre en tendant l’oreille, légèrement stressée à l’idée qu’un autre homme puisse être dans l’appartement. Je m’avance lentement dans le couloir, à ma gauche, une porte qui donne sur la salle de bain, à ma droite une autre porte qui donne sur un bureau. J’entends devant moi le son de la télé, j’avance donc dans le salon. La télé est à ma droite et à l’opposé une cuisine américaine avec un bar sur lequel Linda prend son petit-déjeuner… Mon sang se glace en la voyant. J’ai du mal à croire toutes les images qui me viennent en la voyant, comme si tout ce qui s’est passé n’était qu’un simple rêve. Son visage est fermé, impénétrable. Je ne sais toujours pas comment réagir, quoi dire face à elle. Thé ou café ? Sa voix est toute discrète, à la limite du chuchotement, je m’attendais à ce qu’elle soit énervée ou en colère, mais non. Par contre, à ce moment, je me sens très con, car pour moi le petit-déjeuner rime avec bol de lait et tartine de Nutella… Tradition immuable depuis ma jeunesse. Je ne bois ni thé, ni café, mais je ne veux pas qu’elle se dise que je ne suis qu’un enfant alors je prends une voix grave et lui répond. Je veux bien un café, merci. Je m’avance vers la cuisine pour m’asseoir à côté de Linda. Je marque un temps d’arrêt lorsque je découvre qu’elle porte une nuisette noire en satin prêt du corps, avec une bande toute en dentelle le long de ses flancs, laissant apercevoir la naissance de ses seins, nuisette également très courte vu qu’elle arrive au-dessus de la moitié de ses cuisses. Comment vais-je faire pour me concentrer avec son corps ainsi moulé, surtout sa poitrine et ses petits tetons que j’aperçois ? Linda me tend la tasse de café et je m’assois en la remerciant.
De longues minutes s’écoulent sans que l’on se regarde, je crois qu’elle est aussi mal à l’aise que je le suis. Les infos de la mi-journée ne nous aident pas à rompre le silence de glace. En portant ma tasse de café à la bouche, je sens que j’ai encore l’odeur de la cyprine de Linda sur les doigts. Je me décide à rompre le silence. Je… Je t’avoue que je ne sois pas trop quoi dire par rapport à hier soir… et heu… Par rapport à la photo sur ta table de chevet. J’attends la réponse de Linda sans me tourner vers elle. Moi non plus, je ne sais pas quoi dire, mais par rapport à hier soir, cela ne m’a pas déplu, loin de là même. Après pour la photo, je n’ai rien à dire… Sache juste que ça fait plusieurs mois qu’il n’est pas là à cause de son boulot et qu’il ne revient que dans deux semaines. D’accord… À nouveau le silence s’installe sans que je sache quoi dire, je n’arrive pas à savoir si Linda regrette ce qu’il vient de se passer entre nous. Soudainement, elle se lève et se dirige vers le couloir qui mène aux chambres. Je ne peux m’empêcher de regarder ses fesses serrées dans sa nuisette. Maintenant à toi de voir, tu peux partir maintenant ou alors tu attends cinq minutes et tu me rejoins dans la salle de bain. À toi de savoir si le fait que je sois marié change quelque chose ou non… Et elle me laisse ainsi, seule dans sa cuisine, face à ma tasse de thé et à ma conscience… Chapitre 7 : La douche froide Je me retrouve donc seul dans son appartement, le bruit de l’eau qui coule en fond sonore par-dessus la voix du journaliste météo de BFM. Il annonce un week-end froid et pluvieux, et en regardant dehors, il n’a pas tort. Le mois de décembre peut vraiment être pénible, mais chez Linda, il fait suffisamment chaud pour rester en caleçon et ne pas avoir froid. En regardant par la fenêtre, je remarque qu’elle n’a aucun vis-à-vis, ce qui est rare à Paris. Les cinq minutes s’écoulent lentement, je ne sais toujours pas quoi faire. Je me dirige lentement vers le couloir qui mène à la salle de bain ou à la chambre. Les meubles et la déco sont plutôt sobres et modernes. Ça sent le jeune couple aisé de trentenaire, parfait en tout point… enfin parfait… plus maintenant… J’ai l’impression d’être un étranger, de ne pas être à ma place. Je me retrouve face à la porte de la chambre, à ma droite celle de la salle de bain qui est fermée. Soit j’entre dans la chambre, je ramasse mes affaires et je repars sans dire au revoir à Linda, soit j’entre dans la salle de bain sans savoir ce qu’il m’attend. Je ne sais pas si c’est cette relation qui a changé mon point de vue sur le mariage, mais avant, je me suis toujours dit : "Jamais les femmes mariées, le mariage c’est sacré". J’entre lentement dans la salle de bain. Comme le reste de l’appartement, elle est très moderne. En face de moi, un grand miroir au-dessus de la vasque et du meuble, heureusement que la buée voile mon reflet, je ne sais pas si j’aurais assumé mon choix. Mon cœur bat comme si j’avais couru, je ne suis plus sûr de rien. À ma gauche, une grande douche à l’italienne entourée de vitre. Le large pommeau crée un grand jet d’eau qui tombe sur le corps de Linda, entièrement nue. Pour le moment, elle me tourne le dos… Je découvre donc son corps visuellement. Linda doit prendre soin d’elle, car ses fesses sont bombées et fermes malgré un peu de cellulite, mais qui ne gâcher absolument pas sa beauté. Elle se cambre pour passer ses mains dans ses cheveux longs, plaqués en arrière. Un détail qui m’excite énormément chez une femme, c’est les deux petits muscles qui sont juste au-dessus de la chute de rein. Je n’ai plus aucun doute sur mon choix ! Elle se retourne doucement vers moi, je referme la porte, elle me sourit. Ses jambes sont fermées, comme si elle cachait quelque chose. Je n’ai plus rien à lui cacher alors je retire mon caleçon, libérant mon sexe déjà à l'horizontale. J’aime voir son regard sur mon corps, sur mon sexe. Je la rejoins dans la douche, je ne peux m’empêcher de la dévorer des yeux. Son visage totalement dégagé de ses cheveux plaqués en arrière, ses seins en forme de poires, tombant légèrement sous leur poids, son ventre plat, les marques de bronzage et je comprends ce qu’elle cachait. Linda a profité des cinq minutes pour faire disparaître tous les poils de son pubis. Je me retrouve sous la douche, l’eau est brulante, mais après une longue soirée alcoolisée, il n’y a pas meilleur remède. Mon corps est à quelques centimètres de celui du Linda qui reste sans bouger. Je relève la tête et lui rend son sourire, je remarque qu’elle est toute rouge… La chaleur ? La timidité ? La gêne ? "Ça te plait comme ça ?" - Me dit-elle d'une petite voix "Ca me déplaisait pas hier, tu n'étais pas obligé" - Lui dis je en souriant. "Comme toi, tu es entièrement rasé, je me suis dit que tu ne devais pas aimer les poils" "Je n'aime pas les longs poils, ce que tu avais rien ne me dérangeait absolument pas... " "C'est la première fois qu'un homme me voit sans aucun poil, je l'avais déjà fait, mais je n’avais pas aimé à l'époque..." "De toute façon, avec ou sans poils, ça n'aurait rien changé à ce qu'il s'est passé hier soir..." - Lui dis je en m'approchant au maximum sans la toucher. L'eau chaude continue de couler sur nos corps, un détail que j'ai adoré dans sa douche, ce que le pommeau diffuse une eau très douce à la verticale de nous, de fines gouttes qui nous tombent dessus. Même sous le jet, on peut avoir les yeux ouverts et ne pas se décrocher du regard. Linda finit par craquer et se colle contre moi, mon sexe déjà bien gonflé contre son ventre, ses seins contre mon buste, ses bras autour de mon cou, ses lèvres qui se posent sur les miennes. Nos langues qui se retrouvent, finissent de me faire bander. Mes mains prennent possession du corps de Linda, et maintenant que je suis sobre, j'inscris au fer blanc ses formes dans ma mémoire. Ses hanches qui s'élargissent, ses fesses rebondies. Je m'écarte légèrement pour venir caresser un de ses seins, nos regards sont fixés l'un à l'autre, un large sourire nous unit. Je sens les fins doigts de Linda s'enrouler autour de ma verge et la serrer. Hier soir nous étions dans la pénombre et chacun pouvait cacher ses émotions, mais là, face à face en pleine lumière, c'est bien plus perturbant. Mais je suis tellement excité que mes doigts se glissent sous son ventre, contre son sexe, mon majeur entre ses lèvres... Linda décroche son regard du mien pour poser sa tête contre mon torse. Je la sens resserrer ses doigts et accélérer. J'en fais de même, appuyant sur son intimité à la recherche de son clitoris. Je finis par le trouver, j'entends Linda soupirer à ce contact. Sa tête est penchée en avant, elle doit regarder sa main me branler ou ma main entre ses cuisses écartée. Je glisse mes doigts en elle, avec plus de difficulté que la veille, mais j'enfonce mes doigts et les fais bouger à l'intérieur. Sa respiration s'accélère alors que j'essaye de contrôler la mienne. Après quelques secondes, je n'en peux plus. J'ai déjà envie de jouir et je dois vraiment me contrôler. Je retire mes doigts et pose mes mains sur les fesses de Linda pour la tourner dos à moi. Elle comprend mon intention et me sourit, elle oriente le jet d'eau vers une des parois sur laquelle elle vient prendre appui en se penchant, les cuisses ouvertes, le cul cambré. J'ai une vue parfaite sur ses fesses galbées, plus rien de son intimité m'est caché... ses lèvres... sa fente... son anus... Que j'aime cette vue. Je m'en approche et pose délicatement une main sur ses fesses. L'autre main guide ma verge pour me glisser en elle.
J'ai fait glisser mon gland entre ses lèvres, puis m'enfonce doucement en elle. Linda laisse échapper un petit cri des plus excitant. Je pose mes, mais sur chacune de ses hanches et commence à glisser doucement en elle. Mon sexe disparait entre ses lèvres grandes ouvertes. Je ressors lentement savourant chaque sensation, l'eau qui coule sur mon corps, la douceur des fesses de Linda, la caresse de nos sexes. Je bouge mon bassin pour m'enfoncer plus profondément. Linda se contracte et me dit : - Doucement s'il te plait au début. Seul mon gland est en elle, je fais de lents et petits mouvements. Mais petit à petit, je m'enfonce en elle, je l'entends gémir, soupirer lorsque je m'enfonce un peu plus. Puis ses fesses touchent enfin le bas de mon ventre. Je suis entièrement en elle et Linda n'y est pas insensible... Elle se trémousse, bouge légèrement son bassin contre moi. Je donne un coup sec au plus profond d'elle. Linda lace un petit cri aigu qui me donne juste envie de recommencer... encore et encore... Mes mouvements de bassin deviennent de plus en plus amples, de plus en plus puissants. Je n'hésite plus à tirer sur ses hanches pour faire venir claquer ses fesses contre mon bassin. Je gémis à chaque fois avec elle, je n'arrive pas à quitter son dos allongé devant moi, son cul écartant par mes mains, mon sexe s'enfonçant en elle. Linda tourne la tête et nos regards se croisent. Un frisson parcourt mon corps, elle est tellement belle... Le visage déformé par le plaisir, ses yeux qui se ferment sensuellement, sa bouche grande ouverte, ses sourcils qui se froncent quand je tape au fond... Je regarde l'un après l'autre son sexe puis son visage...
Dans ma tête, tous se bousculent... , Ses gémissements de plus en plus rapides ; Ces longs mois passés à bosser à côté d'elle ; Le gout de son jus hier soir ; La photo de son mariage sur la table de chevet ; Mon sexe pilonnant le sien... Je donne de puissants coups de bassin, perdant totalement le contrôle. Les cris de Linda s'accélèrent... Je la baise ! Je pose ma main sur sa nuque pour bien la maintenir pendant que ma queue fait des allers et retours de plus en plus rapides. Je défonce une femme mariée. Linda se redresse, ma main droite vient saisir son sein gauche pour maintenir son dos contre mon buste. J'accompagne son orgasme de ma jouissance. Je sens sa main se poser entre ses cuisses, sur nos sexes toujours emboités. Nos respirations sont totalement saccades, perdues sans repère. Linda tourne sa tête de façon à m'embrasser, sauvagement, mais avec une grande délicatesse...
J'ai totalement perdu la notion du temps lors de ce baiser, car j'ai repris le fil de mes pensées alors que mon sexe était déjà sorti, reparti dans son état de repos. Linda se retourne, je l'enlace dans mes bras. L'eau tombant toujours comme une fine pluie sur nous. Son front posé contre le mien...
Et soudainement, sans prévenir, l'eau se glace, poignardant nos corps en ébullition... Plus d'eau chaude, Linda se jette alors sur le robinet et coupe l'eau en rigolant. Elle me regarde toute gênée avec un magnifique sourire... Chapitre 8 : Inversement des rôles L’eau froide a eu le temps de nous mordre la peau, Linda sort la première et me tend une serviette dans laquelle je m’enroule. Je ne peux m’empêcher de réaliser que le mari de Linda a déjà dû s’essuyer avec. La serviette de Linda est enroulée autour de son buste, arrivant juste en dessous de ces fesses. La mienne enroulée autour de mon bassin. Chacun s'est séché sans un mot, avec de petits regards. Le malaise revient dès que l'on n'est plus dans l'action. Je sors de la salle de bain et retourne dans la chambre. Je ne peux m'empêcher de regarder la photo du mariage sur la table de chevet du coin des yeux, j'ai l'impression que le mari me fusille du regard. Je commence à ramasser mes affaires éparpillées dans la chambre et le couloir. "Tu comptes rentrer chez toi ?" Je me retourne, Linda est appuyée contre la porte, ses cheveux mouillés tombent d’un côté de son visage. "Tu voudrais que je reste ?" "Oui, plutôt je ne veux pas rester seule ce week-end" J'ai vraiment du mal à anticiper ce que Linda va me dire. Qu'elle craque hier soir sous l'emprise de l'alcool, ça je peux le comprendre, mais le fais qu'on couche ensemble dans sa douche, et qu'elle me demande de rester dans la chambre conjugale... Là je me dis qu'elle n'aime plus du tout son mari. Linda voit que je suis en pleine réflexion. "Écoutes, hier soir pour la première fois, j'ai trompé mon homme. Pour la première fois, j'ai fait quelque chose qui ne fallait pas, mais dont j'avais envie. J'ai arrêté de réfléchir et je me suis totalement lâché et on a couché ensemble. Je me suis dit que j'aurais honte, que je me sentirais sale en me levant et en te voyant ce matin. Mais ce n’est pas le cas..." "Écoutes, hier soir pour la première fois, j'ai trompé mon homme. Pour la première fois, j'ai fait quelque chose qui ne fallait pas, mais dont j'avais envie. J'ai arrêté de réfléchir et je me suis totalement lâché et on a couché ensemble. Je me suis dit que j'aurais honte, que je me sentirais sale en me levant et en te voyant ce matin. Mais ce n’est pas le cas..." "Ça me rassure un peu. Déjà j'étais intimidé par la différence d'age alors le fait que tu sois mariée, j'avais peur que tu regrettes..." "Au contraire même. Je suis fiere de pouvoir penser à moi avant de penser à lui maintenant, ça fait deux mois qu'il est parti pour son travail. Je suis sûr qu'il me trompe aussi à vrai dire, je le connais... Donc si je l'ai trompé, c'était pour avoir du plaisir et j'en ai eu donc je ne regrette pas" "Et tu voudrais continuer donc ?" - lui dis je, content de ses révélations "Maintenant que c'est fait, autant prendre le plus de plaisir possible... Non ? "Je suis assez d'accord mais je dois au moins récupérer ma voiture qui est toujours près du bar d’hier soir. Du coup, j'en profite pour récupérer quelques affaires chez moi et je reviens ici, ça te va ?" "Parfait... Mais par contre, si tu ne viens pas, je me sentirais mal quand même..." "Ok, je fais vite" Une fois habillé, je pars chercher ma voiture à l'autre bout de Paris, puis repars chez moi chercher rapidement des vêtements. Je croise mes parents rapidement qui ne sont pas surpris de me voir repartir. Je n'ai pas vraiment le temps de réfléchir ou de penser que je vais penser une autre soirée avec Linda, chez elle, dans son lit, à lui donner du plaisir... Une fois arrivé devant son immeuble, il fait déjà nuit, je sonne à l'interphone. "Oui, c'est moi..." "Septieme étage, la porte est ouverte..." Je prends l'ascenseur, curieux de savoir pourquoi la porte est ouverte. Je m'approche donc de sa porte et en effet, elle est juste entre ouverte. Je la franchis lentement, la lumière de l'entrée est allumée alors que le reste de l'appartement est plongé dans le noir. Comme la nuit derniere, les baies vitrées laissent entrer la lumière de l'extérieur. Je devine la silhouette de Linda assise dans le canapé, en train de me regarder dans la pénombre. Je referme la porte et derrière celle-ci, un post-it avec un bandeau de soie attaché à la poignée. Sur le post-it, il y a écrit : "mets-le !" Je souris et après avoir claqué la porte, je lui dis : "Tu sais, normalement, c'est moi qui bande les yeux de ma partenaire" "Normalement, je suis fidèle... Rien n'est normal ce week-end alors fais le, s'il te plait" Sa voix est tremblante, je devine qu'elle a préparé quelque chose et que j'ai tout intérêt à lui obéir. Je retire le bandeau et le place sur mes yeux, je le noue derrière ma tête. J'entends alors des talons claquer sur le sol et se rapprocher de moi.
Une main se pose sur mon épaule, je sens Linda me contourner. Ses doigts se posent sur le noeud pour le vérifier, je sens qu'elle tire dessus. Elle me prend ensuite par la main et me guide doucement dans son appartement. Je ne vois absolument plus rien, tous mes autres sens sont en éveil. Elle me pousse légèrement contre une chaise sur laquelle je m'assois. J'ai du mal à cacher le sourire que j'ai en devinant ce qu'il va se passer. Je ne dis rien non plus, lorsque Linda me prend les mains et les menotte derrière la chaise. Mon coeur bat rapidement et je suis déjà terriblement excité. Même si je suis de nature dominant, j'aime qu'une femme me surprenne, qu'elle prenne les devants et là je suis servi.
Je sens Linda s'assoir sur mes genoux, face à moi. Elle pose ses doigts sur ma chemise qu'elle commence à ouvrir lentement, bouton par bouton. "J'avais peur que tu ne viennes pas..." "Pouquoi ?" Lui dis je doucement. "Je me suis dit que je ne devais pas faire les choses à moitié... Quite à tromper mon mari, autant prendre du plaisir à le faire" "J'aime beaucoup cette façon de penser, ça fait très... - J’hésite avant de dire mon mot, mais les doigts de Linda se sont arrêtés sur ma chemise à moitié ouverte - salope. Les ongles de Linda s'enfoncent dans mon torse et me griffe sur plusieurs centimètres, je me contracte. "J'aime pas ce genre de mots crus" - me dit-elle sèchement pour bien me faire comprendre que je ne dois pas recommencer - "même si ce soir, en effet, j'en serais une" - me murmure-t-elle à l'oreille avant de la mordiller. En guise de réponse, je lâche un gémissement de plaisir. Mon sexe est déjà bien gonflé et se sent à l'étroit dans mon pantalon. Linda semble l'avoir vu, elle me retire ma ceinture puis je soulève mon bassin pour qu'il tire mon pantalon jusqu'aux chevilles. "Tu bandes déjà ?! Je ne t'ai encore rien fait" Me dit elle. Je ne lui réponds pas comme pour ne pas lui avouer qu'elle m'excite énormément et que je meurs d'envie d'appuyer sur le loquet des menottes qui les ouvriraient pour retirer ce bandeau et me jeter sur elle, mais je ne peux pas. C'est le jeu ! Linda s'assoit à nouveau sur moi et mon sang ne fait qu'un tour... Je sens sur mes cuisses nues, le doux contact du nylon puis des fesses de Linda, elles aussi nues apparemment. Je sens sa respiration effleurer mon cou puis elle m'embrasse avec passion. Nos langues se retrouvent nerveusement. "Il me semble que je dois te montrer comment je danse, je crois..." Elle me retire alors le bandeau des yeux. Je les ouvre sans difficulté, la lumière est rouge, tamisée, créant une ambiance totalement sexuelle et érotique. Sous mes yeux, le visage de Linda. Elle s'est maquillée pour l'occasion, ses yeux ressortent énormément. J'ai énormément de mal à m'en décrocher lorsqu'elle se relève pour s'éloigner sensuellement de moi. Après la séductrice d'hier soir, la déterminée de la matinée, je découvre une nouvelle facette de sa personnalité, une Linda sa...
Même si elle refuse que je le dise, je le pense très fortement... Chapitre 9 : La bonne chanson.. Je suis donc assis au milieu de son salon, ce dernier tamisé dans une lumière rouge. Linda se recule face à moi de quelques mètres. Ses cheveux sont attachés en queue de cheval mais une large mèche lui couvre une partie du visage, je ne distingue plus ses yeux. Je m'aventure à découvrir ce qu'elle me réserve, j'aurais du mal à décrire la robe... Voilà à quoi elle ressemblait : À ce moment, je me souviens juste de ne plus penser à rien. Mon cerveau bouillonne face aux informations qu'il reçoit. La beauté de Linda, la rondeur de ses seins, la douceur de ses hanches, la longueur de cette microjupe et ces jambes ! Putain ces jambes qui n'en finissent pas, perchés sur ses talons, vêtus de nylons... J'aperçois la bretelle d'un porte-jarretelles qui se cache sous cette robe. "Oh, putain !" - dis je sans pouvoir me contrôler et me sentant à l'étroit dans mon caleçon. "Et tu n'as encore rien vu" - me répond-elle avec un air de fierté qui m'agace, car elle a déjà réussi son coup.
En effet, je n'ai pas vu que Linda tient dans sa main, une petite télécommande. Elle pointe la chaine Hi-fi. Les premières notes de musique commencent : Aux premières notes, je ne reconnais pas encore la musique. J'imagine tous les bonshommes du service "mémoire musicale" qui s'affolent dans tous les sens. Linda se cambre sur une de ses jambes, elle a un petit sourire malicieux. Je sens qu'elle prépare ça depuis que je suis parti.
La guitare sonne le début de la partie, Linda lève les yeux vers moi. J'ai rarement vu un regard aussi sensuel et sexuel, à en faire bander un pape. Réglée comme une horloge, dès que la rythmique commence Lynda commence à se déhancher en rythme, bougeant son bassin, faisant virevolter la jupette, en sortant sa poitrine. Elle fait des petits cercles sur elle, elle me montre que c'est elle qui dirige, qu'elle est sûre d'elle. Je suis sur que je bouge ma tête en suivant le mouvement de son bassin. Ça y est, je reconnais la musique.
Au premier, "Hey Sexy Lady", elle se retourne tout en me regardant par dessus son épaule. Elle plie lentement ses jambes et descend au plus bas, sa jupette ne couvre plus grand-chose. Quelques mouvements de bassin d'avant en arrière bien explicite, elle se mord la lèvre avant de me sourire. Finalement, je ne suis pas sûr d'être celui qui y prenne le plus de plaisir. Elle se relève d'un coup, donnant un coup de reins, me montrant ses fesses que je devine entièrement nues. Elle ne porte rien en dessous...
Elle se rapproche sensuellement de moi. Ses talons claquent en rythme sur la voix grave du chanteur. Elle écarte les cuisses et se tient face à moi. Mes yeux sont au niveau de sa poitrine, elle tient ma tête de ses mains et la rapproche de sa poitrine sans jamais me la faire toucher. Ma respiration est saccadée, je peux sentir le doux parfum de sa peau. Elle me fait pencher la tête en arrière et fait mine de m'embrasser, mais s'arrête juste avant pour jouer avec moi, finalement elle me donner un coup de langue sur mes lèvres.
Au deuxième "Hey Sexy Lady", elle se retourne et écarte mes jambes pour se place entre celle-ci. Elle se colle contre moi, s'appuyant sur mon torse, plaçant sa tête sur mon épaule. J'ai une vue plongeante sur son décolleté. Je tire sur mes menottes par réflexes. Je meurs d'envie de la toucher. Je sens son bassin se coller contre mon sexe déjà en érection. Je la sens se cambrer pour appuyer dessus. Elle doit jubiler de voir l'effet qu'elle me fait.
Elle se relève et s'éloigne sensuellement de moi pour se placer face à moi et recommencer à se trémousser sensuellement, son bassin m'envoute à chaque mouvement. Elle se baisse à nouveau, mais face à moi. Elle écarte ses jambes, mais sa jupette me cache son intimité puis elle remonte à nouveau quand les voix deviennent plus douces. Ses mouvements le deviennent aussi. Ce sont ses mains qui se baladent sur son corps. Je les suis du regard, admirant comment elle se caresse les seins, les hanches avant de plonger sa main entre ses cuisses.
Troisième "Hey Sexy Lady"... Putain cette chanson n'en finit pas ! Elle recommence encore et encore ses mouvements. Son corps m'appelle et je ne peux bouger. Je suis comme un enfant qui voit le marchand de glace, mais qui ne peut pas sortir. Sa jupette ne cesse de se soulever sans jamais rien me montrer. Maudite lumière rouge ! Je veux me décrocher, mais je ne veux pas mettre fin à ce moment de paradis. Je bande alors qu'elle ne me touche même pas.
Linda doit voir que je n'en peux plus, elle s'approche de moi lorsque le rythme change. Linda se penche sur moi pour m'embrasser. Notre baiser est passionnel, hors du temps, hors de cette chanson. Ses doigts se perdent dans mes cheveux, puis elle me mord la lèvre. Décidément, elle veut jouer.
Quand la voix du chanteur reprend, elle se retourne me fait à nouveau écarter les cuisses. Elle se déhanche dos à moi. Une vue imprenable sur son magnifique fessier. Sa jupette qui se soulève a chaque "Ho". Linda se penche de plus en plus, j'aperçois enfin ses fesses. Je meurs d'envie de les mordre, de les caresser, de leur donner une fessée. Ho oui, je vais me venger ! Je vais la torturer, je vais lui donner ce qu'elle veut.
Quatrième "Hey Sexy Lady", Linda commence à ouvrir cette robe qui finit par tomber très rapidement à ses pieds. Linda se retourne vers moi, seins nus. Son regard est comme hypnotisé. Plus rien n'existe à part nous. J'ai toujours les jambes écartes, elle se baisse à hauteur de mes cuisses. Alors qu'il n'y a plus que la rythmique, Linda passe ses doigts sous l'élastique de mon caleçon. Libérant enfin ma verge de sa prison... Chapitre 10 : À peine Linda passe ses doigts sous mon boxer pour libérer ma verge, que cette dernière se dresse sous ses yeux. Elle fait glisser le dernier bout de tissu jusqu’à mes chevilles. Je suis assis, entièrement nu, les mains toujours attachées dans le dos. Linda est à genou entre mes cuisses, me regardant droit dans les yeux avant de les baisser sur mon sexe. Ma respiration est déjà saccadée par mon excitation alors lorsque sa langue se pose sur mes bourses, je ne peux me retenir de me contracter, de tirer sur ses satanées menottes. Le bout de sa langue remonte lentement le long de ma verge. Je ne lâche pas des yeux la langue de Linda qui glisse sur ma verge. Elle finit par la faire tourner autour de mon gland. Je gémis et continue de tirer sur ses menottes. Je veux qu’elle avale mon gland, mais elle continue juste de le lécher. Son sourire trahit le plaisir qu’elle prend à me faire mariner, elle sait que je meurs d’envie qu’elle me suce, mais elle n’en fait rien. Linda continue de lécher ma verge dans tous les sens, sa langue tendue contre ma peau. Très rapidement, ma queue est recouverte de sa salive. Elle remonte très lentement le long de ma verge pour finir par laper mon gland. "Qu’est-ce que tu fais si je te libère ?" - Me dit-elle en me lançant un regard de défi. "Fais-le et tu verras par toi-même…" Elle me sourit pour me narguer afin de lécher à nouveau mon gland, tournant autour. Elle approche ses lèvres pour y déposer un doux baiser. Je me tends à nouveau en tirant sur les menottes, mon corps entier va exploser. J’imagine me transformer en Hulk pour briser ses chaines et me jeter sur ma partenaire qui profite de la situation. Elle continue de doucement embrasser mon gland, puis elle avance sa tête vers moi, glissant mon gland entre ses lèvres. Je laisse échapper un long soupire, je sens ses lèvres glisser sur ma verge. Ses va-et-vient vont de plus en plus loin, ma verge disparaissant dans sa bouche. Elle continue de me regarder droit dans les yeux, je peux y deviner son plaisir. Linda finit par avaler entièrement ma queue dans sa bouche, je peux sentir sa gorge se resserrer sur mon gland. Ma respiration est saccadée, ma mâchoire serrée. Je suis sur le point d’éjaculer, mais je n’ai pas envie de lui faire ce plaisir. Elle retire totalement sa tête, gardant le contact entre sa langue et mon sexe. Elle s’enfonce à nouveau de plus en plus vite, elle veut me faire jouir. Je quitte son regard pour tenter de me retenir un peu, elle sent que je suis sur le point de jouir… Elle ralentit, je peux me concentrer et me laisser reprendre le contrôle de mon corps. Je sens une de ses mains frôler la mienne, remonter sur mon poignet et me libérer de cette étreinte. Je suis enfin libre… Je retrouve enfin l’usage de mes mains, je peux enfin caresser son visage. Je pose délicatement ma main sur sa joue, effleurant sa peau brulante. Nos yeux n’arrivent pas à se décrocher l’un de l’autre, ses lèvres effleurent mon gland, son souffle à sa surface me fait frissonner. J’appuie sur l’arrière de la tête de ma partenaire tout en me relevant. On se retrouve debout l’un contre l’autre. Je l’embrasse passionnément, ma langue se mêlant à la sienne… un petit goût salé dont je me fous totalement. Mes mains se posent sur ses fesses et comme la veille, elle saute pour enrouler ses cuisses autour de mes hanches. Elle ne porte rien en dessous de sa microjupe hormis le porte-jarretelle et les bas. Je m’assois délicatement sur le bord du canapé, ses jambes restent enrouler autour de moi. Une des mains de Linda saisit ma verge pour la guider vers son antre… J’ai toujours aimé la position du lotus. Une position parfaite l’un en face de l’autre, un accès total au corps de la femme et les deux peuvent gérer le rythme. Mes mains sont fermement attachées au cul ferme de Linda, ses bras sont enroulés autour de mon cou, elle tire dessus tout en bougeant son bassin. Le bord de sa jupe m’empêche de voir nos sexes. Nos respirations sont saccadées, mais parfaitement synchronisées, nos gémissements s’intensifient. Je la laisse bouger sensuellement, doucement. J’écarte légèrement les cuisses, ainsi en appuyant sur ses fesses j’accompagne son mouvement de bassin, mais peu à peu j’accélère. Mon gland est sur le point de sortir, écarter l’entrée avant de plonger au plus profond de sa chatte. Ses gémissements se transforment en petits cris alors que je sers les dents et que mon corps se raidit. Une de ses mains passe dans mes cheveux et me les agrippe. La langue de Linda vient retrouver la mienne dans un baiser passionné. Je sens que Linda se relâche complètement, me laissant totalement libre. J’aurais du mal à dire qui de nous deux a joui en premier… Si mon explosion a déclenché la sienne ou l’inverse. Mais à ce moment, Linda s’est redressée, plaquant ma tête contre sa poitrine toujours enfermée dans sa tenue. Je sens son vagin se contracter, se resserrer par spasme alors que ma verge grossit. Ce moment est totalement hors du temps. Je m’écroule dans le fond du canapé, alors que ma partenaire déroule ses jambes une à une, et les replie derrière elle, toujours assise sur moi. Linda se penche pour m’embrasser sensuellement avant de me murmurer à l’oreille "Je vais prendre une douche avant d’en mettre partout… Attends-moi" Je la regarde partir en direction de la salle de bain, restant nu sur son canapé. J’entends le bruit de la douche alors que j’allume la télé pour lutter contre l’envie de dormir post-coïtal. Chapitre 11 : Je suis à bout de force et je lutte pour ne pas m’endormir, mais la fatigue a raison de moi, je me lève et pars finalement m’allonger sur le lit en attendant Linda. Mais je m’endors avant qu’elle ne me rejoigne. C’est le lendemain matin, lorsque j’ouvre doucement les yeux que je remarque que Linda est à mes côtés, blotti contre mon torse, la tête sur mon épaule. Ses cheveux recouvrant une partie de son visage. La couette recouvrant son corps. Ma main part à la rencontre de sa peau et confirme mon espoir… Elle est toute nue… J’arrive à me déplacer, à la retourner sur son dos en la réveillant légèrement. Je me glisse lentement sous la couette et commence à embrasser son corps. Donnant de doux coups de langues sur ses tetons encore endormis. Je la sens commencer à se réveiller. Je descends un peu plus et écarte ses cuisses tout en me glissant entre .
Son sexe est bien fermé, ses lèvres recouvrent totalement l’accès à son clito. Mes doigts effleurent toute la zone de son pubis, de ses cuisses sur lesquels je dépose des baisers. Je l’entends doucement sortir de ses rêves, elle soulève son bassin pour mieux me l’offrir. Ses lèvres commencent à s’ouvrir, je glisse mon index sur cette fente de désir. Je sens son clito rouler sous mon doigt, puis j’y pose ma langue. Linda trahit son réveil par un petit gémissement.
Je m’y prends méthodiquement, je commence à connaître ce qu’elle aime et la lèche de plus en plus vite. Je bave pour m’assurer que son sexe soit parfaitement humide. Une de ses mains vient se poser sur ma tête. Je fais entrer deux de mes doigts en elle, juste les premières phalanges, je la sens se contracter dessus et se cambrer. Je donne de larges coups de langue sur son bouton, tout en faisant entrer et sortir mes doigts de plus en plus profondément. Elle relève les cuisses pour mieux m’offrir son intimité. Je peux la lécher en profondeur et enfoncer mes doigts. À chaque fois qu’il se glisse au fond, elle laisse échapper un petit gémissement et se contracte. Je continue ainsi jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus garder ses cuisses ouvertes, son corps parcouru de frissons. Elle tire mes cheveux pour me faire remonter, on s’embrasse passionnément, sa langue cherchant la mienne, une de ses mains trouvant mon sexe et commence à me branler nerveusement…
Elle veut être pénétrée, ses cuisses sont toujours grandes ouvertes de part et d'autre de mon corps. Linda me branle à pleine main, sa main frottant également contre sa chatte humide. Elle finit par placer mon gland contre son sexe et à me laisser prendre le relais. Je m’enfonce en elle doucement, savourant le contact de ses lèvres s’ouvrant sur mon gland puis se resserrant sur ma verge. Ses mains qui se posent sur mon dos, ses cuisses qui s’enroulent autour de mon bassin. Je commence à me glisser en elle, appuyant sur mon bassin, sur mes avant-bras pour ne pas l’écraser et mieux la pénétrer. Je continue d’embrasser Linda qui me dévore le visage alors que je la pénètre de plus en plus fort. Ma queue glisse totalement en elle, nos corps s’entrechoquent et nos bouches se sont séparées pour pouvoir respirer. Je m’assure à chaque mouvement de bien enfoncer mon gland au fond, je sais qu’elle aime ça, ses gémissements sous forme de couinement la trahisse.
Je tourne la tête et revois la photo du mariage de Linda et de son mari… Je les vois sourire alors qu’en tournant la tête, je vois la visage déformé de Linda, elle est encore plus belle comme ça que le jour de son mariage. J’accélère encore, perdant totalement le contrôle de mon corps de mes pensées. Et comme depuis le vendredi soir, je jouis en elle. Mon sexe se gonflant en elle, ce qui déclenche dans la foulée son orgasme. Je m’écroule à nouveau à côté d’elle, je déteste être un homme pour ça. Cette baisse d’énergie presque systématique qui me donne l’impression d’avoir fumé…
Je me tourne vers le réveil qui indique déjà la mi-journée. Je me lève et rejoins Linda sous la douche. "Décidément, tu aimes beaucoup te doucher". Lui dis-je "Oui, c’est mon péché mignon." J’entre à mon tour sous la douche et m’approche d’elle. La douceur de ces formes est parfaite, ses quelques rondeurs apportent un charme fou à son corps bronzé. Sous l’eau et la lumière, les marques de bronzage ressortent et c’est tellement excitant que je pourrais recommencer à bander, mais Linda me coupe dans mon élan. "Tu sais que c’est la dernière fois qu’on se voit" "Oui, je devine qu’une fois ton mari revint, cela sera trop risqué de se revoir" "À vrai dire, dès que tu vas partir." J’ai du mal à croire qu’elle ne veut plus qu’on se revoit du tout et tout de suite alors qu’on est nu l’un en face de l’autre, son corps à quelques centimètres du mien, ses seins pointant. "Très bien… tu commences à regretter ?" "J’ai passé le week-end à tromper mon mari. Je sens de plus en plus coupable d’avoir pris du plaisir avec toi et surtout d’avoir osé des choses que je n’avais jamais osé faire avec lui. " "Tu veux que je parte tout de suite en fait ?" "Je suis désolé de te mettre à la porte comme ça, mais oui…" "J’aurais aimé te faire jouir une dernière fois, mais si c’est ton choix. " "On aurait pas dû, tout ce week-end n’est qu’une profonde erreur." Je sors de la douche et saisit une serviette pour me sécher. Je me rhabille et claque la porte en partant alors qu’elle est toujours sous la douche… Si on considère ce week-end comme une erreur, il s’agit d’une magnifique erreur que je recommencerais mille fois !

"Strip-Trivial pursuit"
Accroc au téléphone !l ( On air # 03 )
Working girl ( On air # 02 )
Une nouvelle voisine
Le lendemain, en effet, ils font beaucoup de bruit et dès neuf heures du matin. De mauvaise humeur, je reste chez moi, ne proposant pas mon aide. En revenant chez moi en fin d'après-midi, après être sorti faire quelques courses, je croise ses amis s'apprêtant à monter le canapé. Je les devance et monte les cinq étages et tombe nez à nez avec ma voisine. À croire que ce n'est pas la même fille... Ses cheveux sont tirés en queue de cheval derrière sa tête, les contours de son visage sont bien dessinés, son maquillage bien plus léger que la veille. La chaleur et les efforts la rendent plus naturelle et je dirais même plus attirante. Quand j'arrive à notre étage, je remarque qu'elle porte un débardeur noir tout ce qu'il y a de plus basique, et un jogging noir également couvert de poussière, de peinture... Même comme ça, elle est attirante. Elle m'adresse un petit sourire en me voyant "Bonjour..." me dit elle légèrement essoufflé. "Bonjour, ça se passe bien ?" "Oui, plus que le canapé et on aura fini avec les meubles, demain je m'occuperais de mes cartons toute seule, sans faire de bruit... Promis !" "Je vous souhaite du courage alors" "Merci" Je retourne dans mon appartement et vaque à mes occupations. Il est 21 heures et au moment de mettre mes chaussures pour rejoindre des amis pour boire un verre. Je sursaute en entendant ma sonnette de palier. J'ouvre la porte et reste sans voix. Ma voisine est toute rouge, osant à peine me regarder, ses mains tenant la serviette de bain dans laquelle elle est entourée cachant son corps, ses cheveux sont partiellement mouillés et sont rabattus sur une de ses épaules. "Vous allez trouver ça con, mais j'ai voulu prendre une douche, mais j'ai oublié d'allumer le chauffe-eau ce matin... Et du coup..." "Vous n'avez que de l'eau froide..." "Oui... voilà et ça vous dérangerait si j'en prends une rapidement..." elle me regarde et voit que j'ai mis mes chaussures. "Oh, pardon... non bah c'est pas grave..." "Non non entrez allez y, ce n'est pas grave ! Mes amis attendront !" Je lui ouvre la porte et la fais entrer chez moi. Je referme la porte, elle regarde attentivement mon appartement. Je le range toujours parfaitement avant de sortir, on ne sait jamais si on va rentrer seul ou accompagné donc au cas où... tout est nickel ! Je lui montre la salle de bain en passant par ma chambre. "Promis, je me dépêche." Me dit-elle toute gêné. "Encore une fois, pas de problème... j'attends dans le salon !" Je sors de la salle de bain et m'installe sur le canapé en allumant la télé. J'entends le bruit de l'eau couler. "Au fait, c'est quoi votre prénom ?" "Evano et vous ?" "Camille... Ça fait longtemps que vous êtes là ?" "Deux années et vous ? vous étiez ou avant ?" "Chez mes parents en banlieue, j'en ai eu marre alors j'ai pris un appartement" Je suis dans le salon face à la porte qui donne sur ma chambre, la porte de la salle de bain est dans ma chambre à droite. J'ai fermé les volets de ma chambre qui est donc plongée dans le noir seulement je devine que la porte de la salle de bain s'ouvre lentement, surement à cause de la vapeur et de la chaleur de l'eau. "Vous travaillez dans quoi ?" "Ressources Humaines et vous ?" "Audiovisuelle... Je travaille sur des productions de cinéma" Elle commence à me poser des questions sur ce que je fais, je lui réponds mécaniquement, car mon esprit est occupé à autre chose. Mon esprit tente vainement d'ordonnée à mon corps d'arrêter de se rapprocher de la salle de bain. J'entre dans l'obscurité de ma chambre et me colle au mur à côté de la porte de la salle de bain. Soit elle a totalement tiré le rideau de la baignoire, soit je pourrais la voir dans le reflet du miroir. Je retiens ma respiration, et penche la tête dans la lumière de la salle de bain... Elle n'a pas totalement tiré le rideau. Je la vois de face, la tête penchée en arrière, les mains dans ses cheveux, m'offrant une vue imprenable sur sa peau dorée, les marques de bronzage bien visible. Une poitrine magnifique, des seins en forme de volcans, de larges aréoles d'un rose pâle et des tétons. Camille baisse ses bras, laissant retomber sa poitrine. Mes yeux descendent le long de son ventre plat sur lequel se dessinent quelques abdos, une fine bande noire indique le chemin à suivre pour accéder à la zone de tous les plaisirs. Camille se retourne et se penche pour fermer l'eau. Le signal est donné pour retourner dans le salon sans qu'elle ne se doute de rien.
Camille finit par ressortir de la salle de bain, le visage rayonnant de nouveau "Merci, vous ne pouvez pas imaginer comment ça fait du bien..." "Oui, enfin un peu et puis ça m'a fait plaisir de pouvoir vous aider" Camille reste quelques instants à me regarder avant de se diriger vers la sortie, je l'accompagne. "Passez une bonne soirée" me dit-elle sur le palier. "On pourrait peut-être se tutoyer... Généralement même, je le fais avant qu'une fille se douche chez moi" "Oui, c'est une bonne idée... Alors passe une bonne soirée Evano" Je descends les escaliers en la regardant, nos sourires se répondant l'un l'autre, je sais pourquoi moi je souris... La vision de son corps nu... Mais elle, pourquoi souriait-elle ? ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Je retrouve mes amis et passe une bonne soirée en leur compagnie dans un bar assez tranquille. Fini les sorties en boites ou dans des bars branchés de la capitale, maintenant c'est restaurant et un petit verre pour discuter entre adultes... Sacré coup de vieux quand même ! Je rentre chez moi seul et pars me coucher comme un tas dans mon lit impeccablement bien fait pour rien ! Le dimanche, on ne peut pas dire que je sois très productif, je reste à larver devant la télévision ou à jouer à des jeux vidéos en restant en pyjama ou plutôt torse nu avec un short assez large au vu de la chaleur. Au milieu de l'après-midi, j'entends frapper à la porte. Je vois à travers le judas qu'il s'agit de Camille, je décide de lui ouvrir torse nu alors qu'elle porte à nouveau un débardeur et un jogging recouvert de poussière. "Bonjour, chère voisine." Je vois son regard se poser sur mon torse dénudé brièvement avant de retourner sur mon visage. Elle passe la main dans ses cheveux, caressant la queue de cheval posée sur son épaule. "Heu... Salut, je ne te dérange pas ?" "Non, je glandais. Tu as besoin d'aide pour défaire tes cartons ?" "Non, ça ira. J'ai deux amies qui m'aident. Je voulais plutôt t'inviter à boire un verre chez moi ce soir pour te remercier pour hier soir" "Pourquoi pas..." J'ai du mal à ne pas sourire et surtout à ne pas me rappeler son corps nu sous la douche. Je me dis que je dois lui plaire pour qu'elle m'invite chez elle surtout pour boire un verre... On sait tous comment ça finit quand on prend un verre chez quelqu'un. Je me prépare donc m'habillant sans être trop habillé non plus. Je frappe à la porte, pour une fois fermé, de Camille. Je ne peux cacher ma surprise lorsqu'elle m'ouvre. Elle aussi s'est préparée pour ce soir. Elle s'est maquillée, faisant ressortir ses yeux noisettes et sa bouche avec un rouge à lèvres et elle a mis ses charmes en avant avec un haut décolleté, laissant voir la rondeur de ses seins et en bas une petite robe mi-cuisses.
On s'assoit sur son canapé, et on commence à faire connaissance en parlant de nos études, de nos métiers respectifs. On finit le premier verre de rosé en enchaînant sur un deuxième. C'est assez bizarre... On dirait un rencard, mais sans que cela en soit vraiment un, on se parle franchement sans hésiter à faire des blagues douteuses. Le feeling passe rapidement entre nous deux, on se lance dans des débats... Di Caprio mérite-t-il un oscar ou pas encore ? Y a-t-il plus de cintres ou d'arbres sur terre ? Qu'est-ce qui est le pire entre avoir un nez au niveau du trou du balle ou avoir une verge sur le front... Vous voyez le genre de conversation. Mais Camille finit par changer de conversation et ouvre les hostilités. Je finis par m’asseoir par terre en face d'elle, assisse sur le canapé, avec une vue sur ses cuisses croisées. "Je n’ai pas vu de photos dans ton appartement, tu es célibataire ?" "Et donc pour toi, ça veut dire que je le suis ? Non parce que je peux aussi avoir une copine moche et donc je n'aurais aucune photo" "Si tu trouves ta copine moche... pourquoi rester avec alors ?" Me sourit-elle "Elle peut être très douée pour... pour... la cuisine ! On dit qu'un homme avec le ventre plein et un homme heureux" "Bien sûr... la cuisine, moi je pense plutôt qu'un homme avec les couilles vides et un homme fidèle" Me dit elle avec un mélange d'aplomb et de gêne, ses joues déjà rouges par l'alcool le deviennent encore plus. "Intéréssant ce proverbe, mais de toute façon, je suis célibataire..." Je lance un coup d'oeil autour de moi et je ne vois pas de photos "... Toi aussi ?" "Pas vraiment, c'est compliqué" Camille boit une nouvelle gorgée de rosé "C'est compliqué genre tu vois un mec, mais c'est un con... ou c'est compliqué genre il est dans le coma ?" Elle sourit en levant les yeux au ciel, cherchant ses mots "Du genre, après cinq ans de couple, il m'annonce qu'il se prend une année sabbatique pour partir en Australie, seul..." "Ah oui..." "Et qu'il m'a promis de ne pas me tromper et qu'on continuera quand il rentrera" "Bah bien sûr, et la marmotte elle met le papier d'alu dans le chocolat... heu..." "Donc je suis persuadé qu'il me trompe avec une connasse blonde et bronzée alors que moi ça fait trois mois que je suis incapable de draguer ou d'accepter qu'un mec me drague." "Peut-être, mais tu es aussi bronzée quand même..." "Certes, mais ça reste une connasse..." Elle s'arrête quelques secondes puis sourit à pleines dents. "Comment tu sais que je suis bronzée... ?" Je m'arrête de boire, je me fige totalement avant de tenter de rester naturel "Heu... Bah ça se voit..." "Tu m'as donc bien vu sous la douche hier soir, je n'en étais pas sur..." "Ah parce que tu m'as vu ?" "Non... mais j'ai vu la porte s'ouvrir, j'ai hésité à aller la fermer, mais je n'ai rien fait... Ça m'a un peu excité de savoir que tu pouvais me voir et puis après vu le sourire que tu avais, je me suis douté de quelque chose." "Toi aussi, tu souriais après..." "Je reconnais que ça m'a excité d'imaginer que tu m'as vu toute nue" Je bois une nouvelle gorgée de vin également. Nos regards ne se quittent plus, j'ai l'impression de jouer une partie d'échecs ou chacun doit déplacer ses pions pour faire avancer la partie. "Si ça t'a plus de te montrer, on pourrait recommencer..." À ce moment, Camille décroise ses cuisses, les laissant légèrement ouverte, mais la lumière tamisée ne me permet pas de voir ce qu'il y a dessous. Je relève les yeux vers ceux de Camille qui me fixe en souriant. "Il y a une différence entre être surprise, ne pas savoir si cela va se passer et me déshabiller au milieu de mon salon... Il n'y aurait aucun plaisir" "Ça dépend, tu es très agréable à regarder" Elle sourit gênée de ce compliment direct sur son physique. "On a fini la bouteille... La soirée est terminée, cher voisin." On se lève et on se dirige en direction de la porte. J'ai très envie de la plaquer contre le mur, de l'embrasser, mais elle fuit mon regard, je sais que ça serait déplacé. Je rentre donc chez moi en lui faisant simplement la bise, une main placée sur le creux de ses reins.
La semaine passe sans que je ne croise ma voisine. Le vendredi soir, alors que j'arrive sur le palier de notre étage. La porte de Camille s'ouvre ou plutôt se déverrouille, reste à peine ouverte. J'attends quelques secondes pour voir si Camille va en sortir, mais rien ne se passe. Je m'approche de la porte et l'ouvre en passant la tête dedans. Personne dans le salon ou la cuisine, mon coeur accélère en voyant de la lumière provenir de la chambre. J'entre dans son appartement sans faire de bruit et referme la porte derrière moi. Je me déplace comme un astronaute, lentement avec des gestes exagérés. Je m'approche de la porte de la chambre, elle aussi entre ouverte.
Même si je m'en doutais, je reste sans voix en voyant Camille allongée sur son lit, les yeux fermés, le visage tourné vers la porte, une main empoignant l'un de ses seins, l'autre bras bien plus loin sans que je puisse le voir. Mon champ de vision ne permet de voir jusqu'à sa poitrine... Je la regarde devinant le mouvement de ses doigts sur une zone précise de son corps. Elle a toujours les yeux fermés et commence à gémir avec douceur. ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Je reste sans voix derrière la porte de la chambre de Camille. La lumière du soleil couchant sur son corps nu, ses doigts se resserrant sur sa poitrine dont le téton pointe entre deux doigts. Ses yeux restent fermés, je peux deviner un sourire se dessiner sur sa bouche ouverte. De discrets gémissements me font deviner son état d'excitation. Le mien ne tarde pas non plus à s'élever, me sentant de plus en plus à l'étroit dans mon pantalon. La jeune femme finit par ouvrir doucement les yeux, elle s’arrête net en me voyant derrière l'embrasure de la porte. Mon sang se fige même si je sais que c'est elle qui a ouvert sa porte. Puis elle se remet doucement à caresser sa poitrine en la bombant légèrement, je pousse doucement la porte pour l'ouvrir un peu plus. A ce moment, elle referme ses yeux et recommence à gémir. Je découvre sa main posée sur son pubis, apercevant ses doigts entre ses cuisses sans en voir plus, son corps se trémoussant délicatement.
Je ne peux plus tenir, j'ouvre mon pantalon et glisse ma main sur ma verge déjà bien gonflée. Je la libère et commence à me branler, là entre son salon et sa chambre. Je la vois ouvrir à nouveau les yeux en ma direction, sur mon sexe. Elle referme les yeux en se mordant la lèvre, se doigtant de plus belle, passant sa main à plat sur chacun de ses seins. Mon membre s'est totalement endurci, ma main le parcourant avec vigueur. J'ai envie de toucher son corps, de le parcourir et de la sentir bouger ainsi sur mon sexe, mais je sais que pour l'instant, la limite est le toucher... Je me branle de plus en plus vite, mes muscles se raidissent, je tente de contrôler ma respiration, mais je sais que je vais jouir devant elle. Ses gémissements s'intensifient, son visage se tend, ses sourcils se froncent, elle est tellement belle ! Je range soudainement mon sexe dans mon caleçon, j'attrape le cadre de la porte sur le mur, je le serre et je ferme les yeux au moment de mon orgasme. Je pense qu'elle n'a pas loupé une seule miette des contractions de mon sexe moulé dans mon caleçon, car en ouvrant les yeux, je vois qu'elle me regarde en souriant, son regard pétillant.
Le temps me parait suspendu.
La sensation de mon sperme dans mon caleçon me fait revenir à la réalité. Camille se déplace au bord de son lit, toujours de profil à moi. Elle saisit un peignoir posé sur sa chaise de bureau. Je referme mon pantalon alors qu'elle se lève pour enfiler le peignoir, j'ai juste le temps d'apercevoir la fine bande de poil surmontant son sexe. Elle ne cache pas son sourire. "Bonsoir" - me dit-il la voix tremblante "Bonsoir" - dis je en étant totalement essoufflé Nous sommes à quelques centimètres l'un de l'autre. "Je suis contente que ça t'ait plu..." "Qui te dit que ça m'a plu ?" "Ce n'est pas le cas... ?" - me dit elle avec appréhension "Si, évidemment... Tu es magnifique ! Mais frustré de ne pas avoir été plus loin..." "Ça viendra, laisse-moi un peu de temps." Je meurs d'envie de l'embrasser, mais je me retiens. "Tu rentres souvent à cette heure-ci ?" "Oui... tous les jours, quasiment à cette heure-ci." "Très bien, pense à regarder ma porte quand tu rentres alors..." Son regard est un feu dans lequel on a envie de se bruler. Je finis par ressortir, traverser le palier et retourner chez moi. Direction la douche directement ! Les jours passent et je ne peux me retenir de lancer un regard sur la porte de ma voisine, mais elle reste fermée tout le week-end. Parfois je l'entends s'ouvrir, mais j'entends ses pas dans l'escalier. Ce n'est que le mercredi suivant que la porte de Camille s'ouvre au moment où j'arrive sur notre palier. J'attends quelques secondes voyant si c'est le bon signal... Personne ne sort, j'approche lentement, m'imaginant Camille se mettre sur son lit et commencer avant que j'arrive. Je n’entre dans son appartement, comme la semaine dernière, aucun bruit, aucun mouvement. Je referme la porte m'assurant qu'elle l'entende quand même. Puis m'approche de la porte de la chambre, plus ouverte que vendredi dernier. Camille est dans la même position, je ne perds pas une seconde pour ouvrir mon pantalon et faire glisser ma main sur mon membre, tout en l'observant. Elle ouvre plus régulièrement les yeux, son corps se libère plus, cambrant son bassin. Elle n'est pas allée jusqu'au bout la dernière fois, je devine qu'elle veut me montrer son orgasme cette fois. Je perds toute notion du temps et finit par sentir ma jouissance monter, je range à nouveau mon sexe et jouis une nouvelle fois dans mon caleçon. Je la vois me regarder en souriant. Deux jours plus tard, à nouveau la porte qui s'ouvre comme une invitation. Cette fois, Camille est positionnée différemment... Pour mon plus grand plaisir, ses cuisses sont écartées de part et d'autre d'un oreiller, ses petites fesses rondes bien ouvertes, son dos allongé vers un amas de coussin et d'oreiller dans lequel sa tête est plongée. Mon regard retourne sur ses fesses, je peux voir le détail de son sexe, ses grandes lèvres épaisses et charnues, des petites lèvres fines cachant l'ouverture de son antre. Je vois le bout de ses doigts se glisser sous son corps, venir caresser le bas de sa fente, à la recherche de son bouton. Bien à plat dessus, je la vois se caresser avec énergie, bougeant son cul de bas en haut, le frottant sur le coussin. Les muscles de ses cuisses et de ses fesses se contractent. Sans m'en rendre compte, je me branle déjà, gémissant en écho avec elle. Camille lance un coup d'oeil par-dessus son épaule, s'assurant que je la regarde avec envie avant de gémir et de replonger sa tête dans les oreillers. Elle m'hypnotise littéralement, les mouvements de son fessier, la vue de son sexe humide ouvert devant moi, ses doigts s'agitant frénétiquement. Je ne contrôle plus mon corps et c'est au moment de jouir que je me rends compte que je suis au pied du lit... Mais avant que je ne jouisse, j'admire l'orgasme de Camille. Son corps est parcouru de spasmes, de tremblements, sa respiration s'est bloquée... Je ne tarde pas à exploser, me lâchant sur son corps devant moi... ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Le matelas contre les tibias, je suis au plus près du lit. Ma main sur l'arme du délit, encore tremblante. Les fesses blanches de Camille tendues sous ma verge, recouvertes de quelques giclées de mon sperme. Ma voisine se redresse, sortant sa tête qu'elle avait enfouie dans ses oreillers au moment de son orgasme. Une de ses mains se pose sur ses fesses comme pour vérifier que j'ai bien fait ce qu'elle pense... "Je suis désolé, j'ai été pris dans le moment..." Camille se redresse face à moi, mes yeux ne résistent pas à l'envie de regarder sa magnifique poitrine, ses tetons pointent au milieu de ses cercles rose pâle, ses seins retombent magnifiquement, ni trop gros, ni trop petits, laissant un espace entre eux sans partir aux extrêmes... Je relève les yeux vers les siens, alors qu'elle aussi en profiter pour mieux me regarder. "Ce n’est pas désagréable et puis c'est mieux que de finir dans ton caleçon, non ?" Je réponds à son sourire. "Ça ne te gêne pas ?" "Non, j'vais juste aller prendre une douche avant de me rhabiller..." Mon sexe ayant perdu toute sa vigueur, rentre dans sa prison de soie. Je laisse échapper un petit sourire en voyant un tel corps juste sous mes yeux. "A très bientôt" Me dit elle en souriant, apparemment satisfaite de l'état dans lequel elle me met. Tout le lendemain, je ne pense qu'à une chose, qu'à cette porte qui s'ouvrira à son arrivée. Je l'imagine cachée derrière sa porte à regarder par le judas, entièrement nue et déjà excitée par son exhibition à venir. Et je ne suis pas décu en arrivant, le déclic du verrou qui s'ouvre et juste un petit mouvement qui me montre que la porte n'est plus qu'à pousser. Je la retrouve dans la même position que la veille. Dos à l'entrée, assise sur un coussin, les cuisses ouvertes et le cul bombé, bougeant son bassin d'avant en arrière sur ses doigts placés sur son clitoris et ses lèvres. J'ouvre sans perdre une seconde mon pantalon et commence à me branler. Mon sexe se raidit rapidement, je peux voir de temps en temps le regard de Camille se poser dessus par-dessus son épaule. Chacun augmente le volume de ses gémissements en réponse à l'autre. Le jeu a changé, elle ne cherche plus à se faire regarder, elle se montre et moi je ne cherche plus à me cacher...
Mes doigts serrent ma verge et vont de plus en plus vite. Voir Camille sous cet angle est une chose magnifique, les muscles de son dos se dessinant, ses hanches marquées, ses fesses bombées et ouvertes, cette fente du plaisir que ces doigts parcourent, ces deux doigts qui se glissent rapidement en elle, son anus sur lequel je vais jouir... J'ai envie de la pénétrer, de la faire crier , rien qu’y penser me fait jouir... Mes gémissements s'arrêtent, ma respiration se bloque, mes muscles se raidissent et je finis par exploser dans un râle de plaisir. Mon sperme giclant sur son cul. Elle se contorsionne pour bien voir ma jouissance. Je reprends calmement ma respiration, caressant mon sexe avec douceur. Camille n'a pas encore joui, elle a repris de plus belle ses caresses. Je me recule pour mieux voir, mais elle me devance en comprenant ma volonté. Elle se retourne, les jambes grandes ouvertes, les pieds posés au bord du lit, le buste relevé en appuie avec une main. Elle m'offre la vue la plus directe sur son intimité, sa fente humide, ses lèvres gonflées, je peux voir l'entrée de sa chatte en bas de sa fente... Très vite, ses doigts reprennent le contrôle de la zone, caressant son clito, passant sur ses lèvres, s'enfonçant en elle. Je me remets à me branler. Je peux deviner son sourire malgré sa bouche grande ouverte, elle se doigte de plus en plus vite. Je me rends compte que si je jouis maintenant... Cela tombera sur sa poitrine qui ne cesse de frétiller au rythme de ses mouvements. Ma queue est redevenue droite, je sens que je vais jouir rapidement. Nos regards se croisent, ses sourcils sont froncés, son visage déformé par le plaisir, sa bouche grande ouverte prenant de grandes respirations. Camille s'allonge entièrement, soulevant son bassin, les cuisses tremblantes, ses gémissements devenant un long cri étouffé. Je jouis dans la seconde qui suit, ne contrôlant pas la direction ni la puissance, mon sperme recouvert le ventre de ma partenaire qui est encore au septième ciel. ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Camille redescend doucement de son nuage, ses pieds tombent du bord du lit. Ses cuisses sont ouvertes de part et d'autre des miennes, nos peaux se touchent pour la première fois. J'admire son visage se décrispant, retrouvant sa douceur. Ses doigts relâcher leur emprise sur ses seins, on peut y voir la marque de ses ongles. Plus bas, la main qui s'occupait de son sexe remonte en étalant du bout des doigts le sperme que je viens de jouir. Nos regards se croisent, je ne sais pas quoi faire ou quoi dire... Je me sens ridicule en lâchant mon sexe, ma main est dégoulinante, je suis là face à elle, perdu dans son regard.
Je range mon sexe sous mon caleçon, je recule de quelques pas avant de fermer mon jean, Camille s'assoit sur le bord du lit avant de se lever face à moi. Étrange sensation d'être totalement habillé et d'avoir en face de soi, une femme entièrement nue. Ses joues sont rougies, peut-être par la gêne qui remplace peu à peu l'excitation. "Jamais je n'aurais pensé prendre autant de plaisir juste en me masturbant" - lui dis je avec un petit sourire en coin. "C'est vrai que c'est assez particulier, mais tu ne fais pas que te masturber quand même." - Elle chuchote alors que personne ne peut entendre notre conversation. "Je ne vois pas ce que je fais d'autre" - dis je avec ironie. "Ah oui ? C'est quoi qui t'excite le plus ? Te branler... T'exhiber... ou me regarder ?" "Je dirais que te voir nue m'excite, te voir te caresser m'excite énormément, du coup je ne peux résister à me branler et pour finir voir ton regard se poser sur mon sexe me fait jouir... Et toi ?" "Je ne saurais pas le dire... J'ai déjà fait des choses devant l'ordi avec mon copain, forcément quand tu es éloigné, tu acceptes de faire certaines choses, mais c'était beaucoup moins excitant..." "Tu n'en avais pas envie ?" "Il n'a pas cessé de me le demander en boucle, mais au bout d'un moment, j'avais envie de lui faire plaisir... Mais ce n’était vraiment pas excitant... Pas comme là..." Elle se dirige vers la salle de bain en me tournant le dos, ses fesses se déplacent sensuellement, elle doit le faire exprès. "Donc ça pourrait aller plus loin donc..." "Ça pourrait... Y a deux semaines, je n'aurais jamais pensé faire ce qu'on fait donc qui sait ce que je ferrais ou te laisserais faire dans les jours qui viennent" - me dit elle en me regardant par-dessus son épaule. "Je vais donc continuer à guetter ta porte" "Effectivement" On reste quelques instants à se regarder avant que je ne fasse un pas de plus en arrière et ne sorte de la chambre alors qu'elle referme doucement la porte de la salle de bain. Je rentre chez moi et me reconnecte à ma vie, mes obligations du quotidien, mais mon esprit reste tourner vers Camille. Le week-end se déroule sans que je voie la porte de Camille s'ouvrir, je sors avec des amis le samedi soir. Je fais beaucoup de bruits en remontant l'escalier, esperant que sa porte s'ouvre, mais rien ne se passe. Ce n'est que le dimanche que j'entends frapper à ma porte. Je me dirige avec cette envie que ça soit elle, je passe un rapide coup d'oeil dans le judas et la vois se réfugier chez elle sans refermer la porte. Je souris, et je prends mes clés et renferme la porte derrière moi. J'entre dans son appartement et la trouve sur son lit, allongé sur le dos comme la dernière fois. Elle me sourit en me voyant, je ne peux cacher le mien également. Je retire mon tee-shirt et continue à me déshabiller alors que ces doigts parcourent déjà son sexe. Son majeur se glissant entre ses lèvres, l'index et l'annulaire passant à l'extérieur de ses lèvres. Me voilà nu pour la première fois devant elle... Mon sexe entre mes doigts durcit. Nos respirations s'accélèrent... se transforme en gémissements... Ses tetons qui pointent entre les doigts de sa deuxième main. Comme les autres jours, nos orgasmes sont à l'unisson... Nous trouvons nos rythmes, nos marques. Je ralentis quand je me sens venir et qu'elle en a encore loin pour jouir sur son corps au moment où elle s'envole... Chaque soir de la semaine, sa porte s'ouvrit et à chaque fois, cela se déroula ainsi... Enfin jusqu'au jeudi...
Alors que nous étions dans la même position, moi debout contre le lit, Camille allongé sur le dos, les pieds posés sur le bord du matelas, les jambes pliées et ouvertes. N'en pouvant plus de ne pas toucher ma partenaire, je perds totalement le contrôle de mes gestes. Je me laisse tomber à genoux sur le lit, mes mains se posent sur ses genoux pour replier ses jambes en direction de ses épaules. Totalement surprise, Camille retire ses mains de son corps. Son sexe ainsi ouvert, ma verge se pose entre ses lèvres et je jouis puissamment contre sa chatte chaude et humide. Je ne contrôle plus mon corps et mon bassin bouge d'avant en arrière, si bien que mon gland effleure son clito. Je sens ma partenaire se crisper, comme si elle refusait d'accepter cet orgasme, mais elle finit par être submergé et fini par jouir également avec force. Elle se tord sur le lit et se détache de moi pour se rouler en boule sur le lit, la main se glissant sur son sexe que je viens de recouvrir de sperme. Elle finit par s'allonger sur le ventre, les cuisses fermées, ses cheveux recouvrent totalement son visage. "Tout va bien ? Je suis dé..." "Tais-toi... Ne sois pas désolé..." Elle dégage une partie de ses cheveux, elle affiche un large sourire en ma direction. "J'ai eu peur que tu me pénètres, mais je suis contente que tu ne l’ai pas fait..." "Je sais que tu n'es pas encore prête, ça sera à toi de venir sur moi pour passer ce cap" "En attendant... Demain, on franchira un autre cap" "Ah oui, lequel ?" "Tu verras demain..." ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Vous devinez ma concentration au boulot pendant la journée du vendredi. Normalement, on est pressé de finir cette journée pour être en week-end, pour lézarder sur son canapé, pour ne rien faire d'autre que se reposer... Moi, j'ai hâte pour retrouver ma voisine de palier. Camille, une jolie jeune femme brune, les cheveux ondulants et sauvages, une silhouette fine avec quand même des formes de femme, ses muscles se dessinent sous sa peau dorée qui conserve bien les marques de bronzage. Une poitrine divine, en forme de volcans donc bien ronds avec des tetons roses qui pointent vers le haut. Deux fesses bien rondes et bien charnues que je meurs d'agripper... Car oui depuis trois semaines, nous avons un jeu cruel... Nous nous montrons nus, en train de nous caresser sans que l'autre ne touche. Elle se doigte sans aucune gêne, écartant ses fesses pour me montrer la plus intime des vues, et je me branle devant ce spectacle. Mais le plaisir fut plus important que la raison et j'ai fini par jouir sur ses fesses... puis son ventre... Et lors de notre dernière session, j'ai éjaculé sur ses lèvres, sur son clito. Un jeu innocent... Pas tant que ça, vu que Camille est en couple, mais son mec est en Australie et elle est persuadé qu'il la trompe donc pourquoi ne pas en profiter également.
Alors que mon sperme coulait entre ses lèvres charnues, elle m'a lancé ce regard... Ce regard qui a envie d'aller plus loin, qui a envie de se laisser aller et de s'abandonner aux plaisirs du sexe sans retenue. Juste là, j'avais compris que Camille ne voulait pas aller trop loin, après tout, il n'y avait pas eu de contacts... mais là... J'ai hâte d'être ce soir ! Je monte dans l'ascenseur qui me mène jusqu'au dernier étage de mon immeuble. Je tourne la tête en direction de la porte de ma voisine. Ces secondes me paraissent longues avant que le clic du verrou résonne sur le palier. Je pousse la porte et me glisse dans son appartement, je la vois dans l'embrasure de la porte de sa chambre, elle me lance un regard par-dessus son épaule avant de disparaitre de mon champ de vision. Je referme la porte et ne perds pas une seconde en me déshabillant dans son salon, jetant une à une mes affaires. De la musique s'échappe de la chambre vers laquelle je me dirige. Je passe la porte et je fais face à Camille. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle soit debout, à quelques centimètres de la porte et à me faire face. Nos yeux ne se décrochent pas même si je meurs de dévorer son corps avec mes yeux. "C'est à ton tour d'être allongé" - Me dit elle d'une voix douce recouvrant à peine la musique. Elle pose ses mains sur mon torse et me pousse en douceur sur le lit, je m'assois sur le lit avant de m'allonger en travers du lit. Camille suit le mouvement et se place au-dessus de moi, m'enjambant au niveau de mon bassin, ses mains en appui, sa poitrine dans le vide au-dessus de mon torse. Elle finit par se redresser à genoux, toujours au dessus de mon bassin sans me toucher, mon sexe commence déjà à grossir contre ma peau. Je la regarde sous cet angle inédit. Elle me sourit et se mord la lèvre avant de descendre ses yeux sur ma verge, ses petits doigts la saisit et la place au milieu de mon pubis, bien aligné. Elle se positionne et vient s’asseoir dessus, je sens son sexe venir s'écraser sur mon frein.
Un large sourire se dessine sur son visage lorsque ses lèvres inférieures viennent embrasser mon sexe, je lui réponds aussi par un large sourire. Elle pose ses mains sur sa poitrine et commence à bouger son bassin, de petits cercles qui font bouger ma queue sur mon ventre. Je bande de plus en plus, je me sens de plus en plus serré contre elle. Les mouvements de Camille sont de plus en plus d'avant et arrière maintenant que je suis totalement dur. Je vois mon gland sortir de ses lèvres charnues avant d'y disparaître à nouveau. Je sens qu'elle mouille déjà. Mes gémissements sont de moins en moins discrets et je ne fais plus attention à la musique. Je suis concentré sur les mouvements de ma partenaire, sur son visage qui se déforme, ses sourcils qui se froncent, sa bouche qui ne se referme pas, ses gémissements aigus. Elle va de plus en plus vite. "Et si tu te tournais" - Lui dis j’entre deux gémissements. "Comment ça ?" "Tournée et penchée vers mes pieds..." "Tu aurais une vue imprenable si je me penche comme ça" "C'est justement ça qui me donne envie que tu le fasses" Elle se penche en avant, son visage à quelques centimètres du mien, ses seins effleurant mon torse. "Ah oui... tu aimes voir mes fesses ?" "Oui... J'adore les voir ouvertes et voir ta chatte humide" Elle se redresse et se lève du lit pour prendre un miroir et le placer légèrement décalé à mes pieds. Puis elle se tourne dos à moi, passant une jambe par-dessus mon bassin, me tendant son magnifique cul, ses grosses lèvres sont gonflées et ses petites sont bien ouvertes, que c'est beau... Elle vient poser son sexe contre le mien et je ne perds pas une miette des mouvements de son cul. Son petit trou plus foncé est bien serré, mais quand elle se cambre, il s'ouvre légèrement et cela m'excite comme jamais. Je détourne les yeux et je vois qu'avec le miroir, Camille peut me regarder admirer son cul. Ses mains se resserrent sur mes chevilles, je me laisse complètement faire, je la laisse se frotter à ma verge, je la laisse gémir de plus en plus. Elle se cambre comme jamais, faisant glisser toute sa fente sur ma queue, mon gland effleurant son anus avant de resurgir sous mes yeux.
Soudainement, Camille se retourne pour me chevaucher dans le bon sens de la marche, on dirait une tigresse. Elle se colle à mon corps, écrasant sa poitrine contre mon torse, passant ses bras sous mes épaules pour les enlacer. Elle reprend ses mouvements contre mon sexe, je suis plongé dans sa chevelure, ses gémissements sont un mélange d'une respiration saccadé, de couinements aigus et de râles de plaisir indescriptibles, mais c'est un chant sublime qu'elle me donne aux creux de mes oreilles. Elle approche de ce moment d'extase, je passe mes bras dans son dos les faisant glisser à ses épaules, je crispe mes doigts pour légèrement enfoncer mes ongles dans sa chair et je descends lentement le long de son dos... L'effet est immédiat, elle se fige, contractant involontairement l'ensemble des muscles de son corps, je les sens se dessiner sous sa peau. Sa respiration se bloque, ses dents viennent de se planter sur mon épaule. Sans même être en elle, je sens son sexe se contracter sur ma verge... Mes doigts redeviennent douceur en arrivant dans le bas de son dos, elle finit par reprendre une délicieuse respiration tremblante dans le creux de mon oreille. L'ensemble de son corps se relâche, elle ne semble même plus présente mentalement. Je n'entends que le son de sa respiration.
Mes doigts caressent enfin cette peau que je désire depuis tout ce temps. Privé de ma vue à cause de sa chevelure, mon touché est aux abois. Savourant la forme de ses fesses encore tendues par sa position, ses hanches, et ses cuisses de part et d'autre de mon corps. Je fais remonter une de mes mains le long de sa cuisse, jusqu'à se rapprocher d'une zone intensément chaude. Si ma partenaire a atteint le septième ciel, je n'y suis pas encore... Je suis encore perdu par l'excitation... Mes doigts remontent entre ses fesses, Camille étant cambrée, les fesses en arrière, nos sexes ne se touchent plus vraiment. Je saisis ma verge et je découvre qu'elle est littéralement recouverte de ce nectar unique. Je me cambre pour pouvoir la glisser entre les lèvres de ma partenaire qui semble émergée, qui semble comprendre que je n'en ai pas fini... Mon gland glisse le long de sa fente et se positionne presque instinctivement à l'entrée de la boite de Pandore, je dirais même qu'il est déjà dedans... Je tiens mon sexe à sa base, mon autre main tenant la fesse de Camille.
Je sens ses bras autour de mes épaules s'agripper à nouveau, elle est prête... Je relâche ma verge et positionne la deuxième main sur la deuxième fesse. Comment décrire cette sensation ? Comment décrire ce sentiment ? J'ai l'impression de plonger mon sexe dans un gant de velours brulé au fer blanc. Mon dard s'enfonce en elle sans aucune résistance, d'une seule traite, du gland jusqu'à sa base. Je sens son bassin à nouveau se mouvoir, de faibles mouvements, mais suffisant pour me faire glisser en elle. Sa respiration devient à nouveau rythmique. Peu à peu, je me sens partir... Ce frisson qui part de la nuque et qui descend... Moi qui contrôlais jusque-là, je ne peux rien faire ! Je ne peux pas arrêter cette décharge qui monte en moi et puis je ne veux pas l'arrêter ! Très rapidement, c'est à mon tour exploser ! De me perdre totalement dans les méandres de ce labyrinthe d'émotions. De ne plus sentir mon corps, de me sentir comme flottant sur un nuage. Je n'ai aucune idée des gestes que je viens d'avoir, mais ce que je sais c'est que je viens d'avoir un orgasme et que je viens de faire l'amour à ma voisine. ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Je pense m'être légèrement endormi après ce moment d'extase. Mes muscles, mes nerfs, mon cerveau s'étant totalement relâchés, je reprends conscience doucement. Entendant peu à peu, la musique qui est là depuis le début, le corps de Camille écrasé contre le mien, mes mains toujours attachées à ses fesses, les siennes toujours accrochés à mes épaules. Nos respirations se sont calmées, elles se sont accordées pour être en rythme. Je peux la sentir contracter son vagin alors que mon sexe se rétracte en elle, naturellement expulsé. Camille dessert son étreinte autour de mon cou et se redresse en soulevant son bassin pour nous désunir avant de s’asseoir sur mon bassin. "Je crois qu'on a franchi la ligne rouge aujourd'hui" Me dit-elle en ouvrant ses yeux en direction des miens, son maquillage a coulé au coin de ses yeux, ses joues sont rouges, elle est totalement décoiffée. "Je crois que c'était inévitable" "Je suis bête, je savais qu'on le ferrait, mais je pensais que ça se ferrait différemment" Je reste silencieux quelques secondes en la regardant de façon interrogative. "Je ne sais pas... Le faire normalement, aller boire un verre, discuter, puis aller chez toi pour une fois..." Je pose mes mains sur ses cuisses et les caresse. Je sens la chair de poule apparaître sous mes doigts. "Oui, mais ça c'est si on voulait se séduire, si on voulait faire ça on aurait pas eu notre petit jeu" - Je réponds à son sourire. "Ce n’est pas faux... Mais tu dois avoir une image de moi qui ne me plait pas. Normalement, je ne suis pas ce genre de fille qui couche avec le premier venu." "Je pense que tu es le genre de fille dont le mec se comporte comme un con, qui est à six mille kilomètres, que lui ne doit pas se gêner pour assouvir ses besoins. Alors pourquoi tu devrais ne pas également assouvir tes envies... J'ai une image d'une fille très coquine, qui avait envie de séduire avec son corps magnifique, qui avait envie de se faire plaisir sans que ça soit une prise de tête... Et puis je suis ton voisin, je ne suis pas le premier venu !" - Lui dis je en lui mettant une petite fessée "J'aime bien cette image, mais..." Je vois dans son visage que quelque chose ne va pas. "D'accord, je ne vais pas insister. Je vais rentrer chez moi..." Camille se lève, m'offrant la vue de ses lèvres refermées qui dégoulinent littéralement sur moi avant qu'elle ne ferme les jambes. Je me redresse et me lève également. Camille saisit son peignoir et l'enfile, cachant son corps que je viens pourtant de parcourir. Je retrouve mes vêtements et me rhabille. Elle me raccompagne à la porte, décidément... Je m'attendais à tous sauf ça. "Je vais chez mes parents ce week-end donc ne t'étonne pas si on ne se croise pas..." "D'accord, bonne soirée" Mes mots sortent presque par réflexe, dans ma tête je suis perdu. L'embrasser serait une erreur alors qu'elle pense à son mec, j'en suis sur. Lui faire la bise serait insultant après avoir été aussi intime. Je rentre chez moi, c'est tellement silencieux... Je déteste ça, le silence d'un appartement lorsque l'on vit seul... J'allume la télé et file sous la douche sous laquelle je reste très longtemps. Allongé dans la baignoire, avec le jet d'eau à la base du cou. L'eau brûlante parcourant mon corps.
Durant le week-end, je vais au cinéma avec des amis, une soirée où je bois plus que de raison, un retour chez moi difficile un dimanche matin... Je ne sais pas si vous avez connu ça... Croiser les familles catholiques aller à la messe avec leurs enfants bien coiffer, bien habiller alors que vous êtes totalement bourré, débraillé comme jamais, c'est très bizarre. Le dimanche, je comate sérieusement devant ma console pour récupérer. Je fais tout pour ne pas penser à ma voisine.
Et ça ne s'arrange pas le reste de la semaine... Je sais que je pars travailler avant elle et que je rentre après elle, j'entends parfois sa musique depuis le palier. Elle sait à quelle heure, je rentre... D'habitude, sa porte s'ouvre, m'invitant à ces plaisirs interdits, à jouir de son corps qu'elle m'offre, mais là... Rien... Ni lundi, ni mardi, ni mercredi et ni jeudi. J'ai perdu espoir qu'elle m'ouvre à nouveau la porte. Je sais que c'est elle qui décide, frapper à sa porte ne servirait à rien. Et alors que je rentre chez moi le vendredi, la porte se déverrouille. Au début, je me dis qu'elle va juste sortir, mais rien. Je m'en approche doucement et finit par l'ouvrir et entrer chez elle.
Camille fait les cent pas dans son appartement, elle n'est pas nue, mais habillée d'un jean et d'un chemiser. Je referme la porte et m'avance vers elle sans trop comprendre. "Mais... Ca fait cinq ans que je suis avec mon mec, je l'aime et je suis conne de l'aimer toujours. Je pensais pouvoir rester fidèle, ne pas être ce genre de meuf qui ne peut résister à des pulsions sexuelles, que les sentiments sont plus importants... Mais finalement, je n'ai pas résister et j'ai commencé à m'exhiber, à me caresser devant toi, mais je me disais que je ne faisais rien de mal... Que ce qui m'excitait, ce n'était pas toi, c'était le fait de montrer mon corps puis voir le tien a commencé à m'exciter. Et là, je me suis dit que ce n’était pas grave, que c'était normal d'être excité par un homme nu, voir sa queue dure pour moi... Puis y a eu ce contact, sentir ton sexe contre le mien, sentir ton sperme sur ce qui normalement est réservé à mon copain... J'ai tellement aimé que j'ai eu envie de plus. Vendredi dernier, je n'avais qu'une envie, c'était celle de te chevaucher, de sentir ton sexe contre le mien... Tu vois le problème ?" "Heu... pas vraiment..." "Ce qui m'excitait, ce n'était plus l'excitation ou le désir de me montrer, mais de te chevaucher... Toi... D'être assise sur toi... De sentir ton sexe contre moi et bien sûr, après j'ai eu envie que tu me pénètres et tu l'as fait sans que je puisse réfléchir ! Et tu vas être content, mais j'ai rarement autant de plaisir avec mon mec... Du coup, je suis passé du plaisir de me montrer à l'envie de le faire avec toi alors que normalement, je devrais seulement avoir envie avec mon mec..." - Elle me fixe du regard, le souffle coupé par cette longue tirade "Je vois... Tu penses que ton mec a aussi tout ce raisonnement avant de coucher avec une fille ?" "Non... et c'est bien pour ça, que je vais pas me priver d'assouvir mes désirs comme tu le dis si bien, mais..." "Je t'ai dit que je n'aimais pas les, mais..." "Mais... Promets une chose, si l'un de nous commence à avoir des sentiments, on arrête tous !" "Promis... Cela sera uniquement sexuel entre nous et à toi de me faire la promesse d'arrêter de te poser des questions, de te prendre la tête et de te lâcher totalement..." Ses doigts se posent sur son chemisier et commence à l'ouvrir. Un très joli soutien-gorge en dentelle noire lui maintient la poitrine, en y pensant, c'est la première fois que voient ses sous-vêtements. Je retire ma veste et commence aussi à ouvrir ma chemise. Je me rapproche d'elle. Elle retire son jean, un très joli string en dentelle noire aussi, mais qui permet de deviner le trait de ses poils pubiens. "Et que ça soit clair entre nous, je ne suis pas une salope." C'est fou comme le caractère d'une femme peut rapidement se lire sur son visage une fois qu'elle est en sous-vêtements, qu'elle ne peut plus se cacher. Je sais d'avance que Camille ne sera pas soumise, mais ce n'est vraiment pas important. Je retire mon jean, je bande déjà face à elle et elle le voit. "Je le sais... tu es juste une femme magnifique !' C'est fou comme les mots peuvent provoquer autant de plaisir que les actes.... ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Camille est face à moi, ses seins écrasés par un soutien-gorge en dentelle noire, son intimité à peine cachée par un string noir, le reste de son corps doré entièrement nu. Ses bras le long de son corps, tombant sur ses hanches marquées. Ses yeux noisette accrochés à mon regard, ses cheveux ondulants sur son épaule, sa bouche qui vient de s’ouvrir. Je lui souris, mon érection se dessine dans mon caleçon. Sans se rendre compte, on se rapproche l’un de l’autre jusqu’à ce que nos corps se touchent, sa poitrine s’écrasant sur mon torse. Étant légèrement plus grand, Camille penche sa tête en arrière. Mes mains se posent sur ses fesses fermes, mes doigts s’enfonçant dedans, plaquant son bassin contre mon érection. Elle se rapproche de ma bouche avant de mordre ma lèvre et de la tirer vers elle. Une de mes mains remonte le long de son dos et ouvre son soutien-gorge d’un claquement de doigts. Elle laisse le haut tomber au sol, ses seins libérés retombent sur les cotés et forment un demi-cercle parfait en bas, ses tétons roses sont parfaitement à l’horizontale. "C'est quand même fou... Quand une fille met de la jolie lingerie, un homme ne sait jamais en profiter" - me dit elle amusée. "Ce genre de lingerie, aussi jolie soit-elle, est fait pour cacher les choses... J'aime voir la poitrine de ma partenaire..." Ma main vient lui saisir un sein pour le remonter jusqu'à ma bouche, j'aspire son téton puis le mordille comme elle a mordu ma lèvre avant de remonter embrasser son cou. "Tu aimes quoi d'autre ?" Je me baisse sensuellement, embrassant à nouveau son sein, puis son ventre. Je fais glisser son string le long de ses cuisses, mes yeux ayant juste en face, son mont de vénus surplombé d'une fine bande de poils courts s'arrêtant juste à la naissance de ses lèvres imberbes. " J'aime également voir ça et même plus... " - lui dis je en embrassant son pubis - " J'aime jouer, prendre parfois mon temps, le sexe pour juste la baise n'a aucun interet " - Je me redresse - " J'aime dominer, j'aime contrôler, avoir le pouvoir... Et toi ? " Camille se baisse également et retire mon caleçon, elle se retrouve à genoux devant moi. Mon sexe dressé à mi-hauteur sous ses yeux. " J'aime aussi voir ça et surtout plus... " Ses doigts se resserrent sur ma verge puis elle tend sa langue dessus, mon corps se raidit à ce contact. Elle ne décroche pas de mon regard, sa langue remonte et elle finit par embrasser mon gland en le glissant entre ses lèvres. Puis elle se redresse faisant glisser ma queue entre ses seins. " J'aime le soixante-neuf en mode défi, celui qui tiendra le plus longtemps, j'aime aussi avoir le contrôle, mais également le perdre, mais ça tu l'as remarqué... Après je ne pensais pas aimé l'exhibition et pourtant... " Ma main vient effleurer son ventre, glisse sur son pubis, Camille m'ouvre ses cuisses et mes doigts plongent sur sa vulve. Ses lèvres s'écartent à mon passage, elle est aussi humide que moi en érection. Un de mes doigts sent son bouton glisser contre lui, je tourne dessus, appuyant dessus. Mon autre main sur ses fesses ressent les mouvements de son bassin qui commencent. Ses doigts viennent s'enrouler sur ma verge, ils semblent petits, mais elle commence à me branler efficacement. Sa respiration si douce se transforme, elle expire par saccades. Ses yeux se ferment enfin, sa bouche s'ouvre un peu plus. J'enfonce mes doigts plus profondément dans son intimité, frottant l'entrée de son antre. Ses sourcils se froncent et elle me branle de plus en plus vite. Je tente d'enfoncer deux doigts en elle, et ils entrent sans la moindre résistance, je sens les parois de son vagin se resserrer avant de s'ouvrir autour d'eux. Je la doigte quelques instants alors qu'elle me branle de plus belle. " Et si, aujourd'hui, on ne perdait pas de temps... " - Lui dis je, ma voix à bout de souffle. " Bonne idée... quelle est ta position préférée ? " - Ses doigts libèrent ma verge qui peut ainsi ne pas exploser. Je retire mes doigts trempés également. " Le lotus, pourquoi ? " " La semaine dernière, on a fait ma position préférée alors cette semaine c'est ton tour...Mais je ne connais pas celle-là " Je lui souris puis me dirige vers sa chambre. Je m'assois sur le bord du lit, écartant les cuisses, la queue bien dure dans le creux de ma main. " Assis toi en enroulant tes cuisses autour de mon bassin et accroches toi à mon cou " Camille ne cache pas son sourire en devinant la suite. Elle pose un genou sur le lit avant de glisser son autre jambe autour de mon bassin, la vision de sa chatte suintante de plaisir m’excite au plus haut point. Elle enroule sa deuxième jambe autour de moi. Ses cuisses posées sur les miens, je passe mon bras sur ses fesses, empoignant sa fesse droite avec ma main gauche pour qu’elle ne tombe pas. Ses bras viennent s’enrouler autour de mon cou. Ma deuxième main toujours accrochée à ma verge, la guide, frottant mon gland entre ses lèvres brulantes. La bouche ouverte de ma partenaire se tend pour esquisser un sourire lorsque mon gland frotte son clito. Mais cela ne dure que quelques secondes, je finis par m’enfoncer en elle, je la sens s’ouvrir autour de ma queue. Camille se laisse tomber entièrement dessus, avalant mon pieu en elle dans un petit gémissement. Nos corps sont liés, mes deux mains solidement ancrées dans la chair de ses fesses, son bassin collé au mien, ses seins écrasés contre moi. Dans ce moment suspendu, totalement coupé de toute réalité, je pourrais ressentir son cœur battre. Nos respirations puisent leur essence dans celle de l’autre. Je recule mon bassin, faisant sortir quelques centimètres de mon sexe, je le sens totalement recouvert de mouille, la différence de température est totalement flagrante que je glisse à nouveau en elle, aussi délicatement que j’en suis sorti, je viens appuyer au fond. Le visage de Camille se déforme, sa respiration se bloque une seconde avant de reprendre, je sens son étreinte se resserrer autour de mon coup et de mon bassin. Dominer son partenaire, ce n’est pas que par la force… Je bouge encore une fois mon bassin, encore plus lentement pour sortir. Camille bascule sa tête en arrière, m’offrant la vue de sa poitrine tendue. Je me penche en avant pour venir gober l’un de ses tetons. Un gémissement aigu sort de sa bouche. Je m’enfonce plus vite que la fois précédente, mon bassin claquant contre le sien, mais je recule aussi rapidement que je suis venu. Elle rebascule sa tête en avant, me faisant quitter sa délicieuse poitrine, son front se pose sur le mien, sa mâchoire est refermée. En me retirant, je sens sur mon gland les parois de son vagin frémir, prêt à exploser. Je me suis reculé au maximum pour mieux la pénétrer d’un coup. Elle laisse échapper un râle de plaisir en sentant ma verge prendre possession de son antre. Mon gland tape au fond, je sens l’ensemble de son corps vibrer contre le mien. Da chatte se resserre autour de ma verge, Camille tente de reprendre sa respiration qu’elle vient de bloquer, elle ouvre ses yeux et prends une grande inspiration avant de m’embrasser. À peine ses lèvres ont touché les miennes que je sens sa langue se glisser dans ma bouche, venir danser avec la mienne. Tous les muscles de son corps sont en alerte, elle commence à bouger son bassin d’avant en arrière, faisant glisser sa chatte sur ma queue. À chaque fois que nos sexes sont complètement liés, mon gland appuyant au fond comme jamais, elle gémit sans arrêter de m’embrasser. Ses seins bondissent au rythme de ses va-et-vient. Je recommence à bouger mon bassin sans réfléchir, mais en accord avec son rythme. Les pénétrations gagnent en amplitude, renforçant encore le plaisir. L’une de ses mains se glisse dans mes cheveux pour s’agripper à eux. Nos gémissements s’amplifient, coupant la danse de nos langues de plus en plus. Nos corps se sont lancés dans une chevauchée que seul l’orgasme mettra fin. En reculant son bassin, mon sexe appuie énormément sur la paroi de son sexe où se situe le point G, je sais que dans cette position, mon gland passe dessus à chaque sortie et entrée. Nos fronts se collent l’un à l’autre, nous nous soufflons notre plaisir, les gémissements de l’un amplifiant celui de l’autre. Je tente de respirer calmement, mais mes muscles se tendent, j’enfonce mes ongles dans sa chair, tirant ses fesses contre mon bassin. Mon sexe entièrement en elle, mon gland explosant, libérant mon sperme en elle. Mon orgasme provoque le sien, ses fesses contractées tremblent, son vagin est pris de spasme, je le sens se serrer sur ma queue. Elle s’est agrippée à mes épaules, son visage en appui sur mon épaule. J’entends sa voix dans le creux de mon oreille. " Retourne-moi et baise-moi… " " Mais je viens de... " Camille me mord l'oreille et me répètes " Retourne moi et baise-moi, ne t'arrête pas ! " Je me lève malgré mes jambes qui tremblent encore à cause de mon orgasme. Je la soulève, mon sexe toujours planté en elle. Je pose un genou sur le lit et bascule sur elle. Elle défait ses jambes de mon bassin, je me redresse. Mes yeux prennent du recul, son visage est rougi par le plaisir. Sa peau recouverte d'une fine couche de transpiration qui commence à perler. Je passe mes mains sous ses cuisses et les replis sur elle. Comment ne pas être excité par cette vision ? Ses lèvres gonflées bien ouvertes, sa chatte avalant ma queue. Je bouge mon bassin et m'enfonce en elle, mes muscles me brulent, mais je me suis comme avalé en elle. En ressortant, ma queue est recouverte de sperme. Camille tient ses jambes par l'intérieur de ses genoux, les miennes se posent juste entre ses cuisses et son sexe pour encore mieux l'ouvrir. Je sens ma queue s'allonger et redevenir de plus en plus dure alors que je la pénètre encore et encore. Mes va-et-vient sont de plus en plus puissants. A chaque coup, Camille grimace, ses yeux sont fermés, sa bouche grande ouverte, ses seins bondissants... Je me penche sur elle, ses cuisses en appuie sur mes épaules. Ma queue appuie en elle, je sens que je ne vais pas tarder à l'inonder à nouveau. Camille garde ses yeux fermés malgré mon grand coup de reins, elle sert la mâchoire, se retenant une nouvelle fois de jouir.
Soudainement, son visage se tord, sa bouche s'ouvre en grand. Son corps est parcouru de spasme. Son sexe se contracte si fort que cela me donne l'impression de me broyer la verge. Son orgasme dure de longues secondes, j'ai le temps de me redresser de voir sa chatte se contracter de mes propres yeux en retirant mon sexe. Je m'écroule à ses côtés, après quelques secondes Camille se tourne, passant une jambe par dessus la mienne et pose sa tête sur mon torse. Aucun de nous n'ose parler, n'ose briser ce moment si délicieux. ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Je sors doucement de mes rêves, les doigts de Camille effleurent mon buste en le caressant. Son visage est tourné vers le mien, je ne sais pas depuis combien de temps elle me regarde. Ce regard est pétillant et elle a du mal à cacher son sourire. Son corps est collé contre le mien, sa poitrine écrasée contre ma peau, l'une de ses jambes par-dessus les miennes. Je peux voir son cul bombé par-dessus sa tête. Mon sexe est étalé de tout son long sur mon pubis, reposant dans un mélange de cyprine et de sperme et pourtant cela n'empêche pas Camille de la caresser du bout des doigts. Sur ce point, la nature est quand mémé mal faite... Les femmes peuvent autant qu'elles veulent alors que nous, hommes, sommes limités. "Tu veux... encore que je te... baise ?" Ma voix est enrouée, j'hésite à dire ce dernier mot. Mais Camille sourit et cache sa tête sous sa chevelure brune. "C'était pas très classe de dire ça... " Me dit-elle en relevant sa tête. "Mais au moins, j'ai compris le message" Ses doigts se resserrent sur ma verge, mais lorsqu'elle tente de me branle, je sens une petite douleur au niveau de mon frein. Elle me voit grimacer et relâche mon sexe. "Tu en veux encore ?" "Oui, mais c'est pas grave, on a tout le week-end... enfin... si tu as envie ?" Je la vois rougir, hésitant comme prise d'un doute. "Ais-je envie de continuer à jouer avec toi, à sentir ton corps nu contre le mien, à te sentir jouir sur ma queue ?... Tu as des sextoys que je te fasse jouir en attendant de retrouver la forme ?" Son visage s'illumine. "Non, j'ai jamais eu envie d'essayer... Le plastique m'a jamais excité, mais..." "Bizarrement je sens que je vais aimer ce, mais" "Mais... je pourrais essayer, et puis ça fera plaisir à mon mec si je lui montre à la cam" "Vous le faites souvent ?" "Pas vraiment, ça fait des semaines qu'on ne l’a pas fait... Je trouve ça, vraiment pas excitant devant une webcam, mais il insiste énormément." On continue de parler de son mec, de cette relation assez complexe au vue de la distance. Elle en est très amoureuse, ça se sent. Je pense qu'elle arrive parfaitement à faire la différence avec l'attirance sexuelle qu'elle peut avoir pour moi et ses sentiments. On parle allongé nu sur son lit durant de longues minutes avant que nos ventres ne crient famine. On finit par se relever, se rhabiller. "Tu fais quelque chose demain ?" lui dis je avant de sortir de son appartement. "Pas vraiment, tu as une idée derrière la tête ?" Me dit-elle avec son regard coquin ? "Oui... J'ai bien envie de te montrer que dans un sextoy, il n'y a pas que des godes en plastique dégueulasse, puis on reviendrait chez toi et on pourrait essayer tout ça" "La nuit porte conseil" me répond-elle en souriant et en refermant la porte Le lendemain, Camille est venu frapper à ma porte pour me donner sa réponse. Nous voilà donc devant l'enseigne rouge du sexodrome, place Pigalle. Ce n'est pas la première fois que j'amène une partenaire dans ce lieu, j'aime ce sex-shop, car il est pensé pour les novices. La présentation des sextoys est progressif, les plus softs à l'entrée et plus on s'enfonce et plus on trouve des choses réalistes et énormes. À l'étage, la section SM avec tous les accessoires possibles et inimaginables pour ceux qui osent assouvir ces désirs, et au sous-sol tous les costumes aussi bien pour femmes que pour hommes et la lingerie très sexy. Camille reste bloquée devant des sextoys démesurés, se demandant comment cela peut rentrer, et également un plug tail, ne comprenant pas l'intérêt de cacher l'accès à un certain plaisir. Au début, elle cachait un peu son visage, ayant peur de croiser quelqu'un qui la reconnaîtrait puis peu à peu elle se détend. Elle sourit et je reconnais son regard, ce regard où elle s'imagine s'assoir sur le gode qu'elle regarde, qu'elle prend pour mieux le toucher malgré l'emballage. On finit par descendre et faire un tour dans les costumes et autres lingeries, et après discussion, on a préféré ne rien prendre. Et alors qu'on se dirige vers la sortie sans rien, je la sens hésiter puis retourner dans les rayons. Elle passe en caisse en ne pouvant s'empêcher de devenir toute rouge devant le regard du vendeur. "Tu as pris quoi ?" lui dis je, amusé de la situation "Tu verras... Par contre, va falloir rentrer très vite, car j'ai très envie..." Je m'approche d'elle pour lui murmurer à l'oreille et poser ma main sur son cul. "Ça tombe bien, j'ai envie de te baiser également !" Je me recule, elle place sa langue entre ses dents et resserre sa mâchoire. Le retour se fait dans un silence particulier, il n'y a plus rien à dire... On va rentrer chez elle et on va baiser. Elle sera nue sous mes yeux, nue contre mon corps, mon sexe plongeant en elle et elle va aimer ça, autant que moi, alors cela ne sert à rien de parler pour le moment. Chacun est plongé dans ses pensées, dans son imagination de ce qui va suivre. On finit par monter les escaliers jusqu'à notre étage, je la suis chez elle. Elle commence à se déshabiller. "Je prends une douche et je reviens, mets-toi à l'aise" "tu ne veux pas que je te suive" "Surtout pas, je vais me laver de fond en comble..." - Elle a toujours du mal à cacher son léger sourire espiègle J'attends donc sans pouvoir m'empêcher de m'imaginer en train de la sodomiser, d'essayer de deviner son visage lorsqu'elle me sentira en elle par ce trou. Je trépignes d'excitation, je finis par me déshabiller et à me branler sur son canapé en attendant qu'elle sorte. ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Mon attente ne dure pas longtemps, j'entends l'eau s'arrête et Camille sort de la salle de bain, son corps nue, encore brillant et humide de sa douche. Des gouttes perlent sur son corps, certaines tombent du bout de ses seins. Je suis affalé dans le fond du canapé, mon sexe au creux de ma main, bandant déjà comme un fou. Je la vois se rapprocher en marchant sensuellement sur la pointe des pieds, ses cheveux cachant en partie son visage. J'arrête de me branler, plus besoin de ce contact pour être en érection, la vision de Camille me suffit. J'ai passé de nombreux étés dans un village naturiste, des journées entières à voir des femmes de tout age enterrement nues sans que cela ne me provoque la moindre érection. J'ai appris à voir un corps nu pour ce qu'il est... Un simple corps après tous, toutes les femmes ont une poitrine, des fessées et un sexe différent des autres... Ce qui est excitant, c'est l'attitude de la personne... Et je peux vous assurer que Camille est très excitante, son regard me donne chaud et sa façon de se déhancher en marchant vers moi également.
Elle approche vers moi et enjambe mon bassin pour s'assoir sur mes cuisses, ma verge est dressée entre nos ventres. Elle se penche pour m'embrasser sensuellement, nos langues se retrouvant immédiatement et dans la même seconde mes mains se posent sur ses fesses. Je devine la chaleur de la douche qu'elle a dû prendre au vu de la chaleur de son corps. Elle finit par se relever, ses jambes entre les miennes et finalement elle se laisse glisser le long de mon corps. Embrassant mon cou, mon buste, mordant l'un de mes tetons, puis glissant sa langue sur mon ventre. L'un de ses seins finit par entrer en contact avec mon gland et je ne peux m'empêcher de laisser échapper un gémissement à ce moment. Camille redresse le visage, toujours son sourire espiègle au coin de ses lèvres. Sans dire un mot, elle glisse ma verge entre ses seins. Ma queue est collée à mon pubis, ses seins s'écrasant dessus pour envelopper mon membre. Elle se frotte contre moi avant de se redresser, plaçant ses mains à l'extérieur de ses seins pour les resserrer et tenir ma queue au milieu. Le problème d'avoir un sexe de dix-huit centimètres, mais surtout assez épais, c'est qu'il faut avoir une vraiment grosse poitrine pour la prendre entièrement entre ses seins. Camille frotte ma queue entre ses seins de plus en plus vite et soudainement alors que je savoure les yeux fermés, je sens quelque chose de chaud couler sur mon gland. Camille vient de laisser couler un filet de bave sur mon gland qui dépasse de ses seins, je la vois tendre le bout de sa langue . Je pousse un long gémissement en sentant sa langue chaude sur ma queue, je tente de soulever mon bassin pour glisser mon gland dans sa bouche. Elle comprend que je préfère une fellation à une branlette espagnole, elle relâche sa poitrine et ses doigts viennent se poser à la base de ma queue pour la garder bien droite. Son regard vient trouver le mien, alors que sa langue parcourt ma verge de tout son long, allant de mon gland à mes bourses. Sa langue parcourt ma queue dans tous les sens, elle n'hésite pas à donner des coups de langue sur le frein. Mon corps est parcouru de frisson, une de mes mains se glisse dans sa chevelure, mes doigts apprigant sensuellement ses cheveux. Ses lèvres se referment sur mon gland, je la sens m'aspirer en elle, creusant ses joues. Elle commence à aller de plus en plus loin sur mon sexe, tout n'est que chaleur et douceur dans sa bouche. Sa langue appuie sur ma queue, mon gland appuie de plus en plus. Sa main à la base de mon sexe s'est refermée dessus et commence à me branler en rythme. Ma tête bascule en arrière, mes respirations sont saccadées par mes gémissements. Elle bouge sur sa tête pour mieux me lécher, sa langue se pose sur mes couilles, je frémis à ce contact si particulier. Sa langue les soulève tendrement, ses doigts glissent frénétiquement sur ma queue. Je commence à perdre doucement pieds. "Continue comme ça et je vais jouir..." "Je compte bien essayer quelque chose que je n’ai jamais fait encore..." Va comprendre comment j'ai pu réfléchir aussi vite. Je me lève du canapé, Camille ne lâche pas une seconde son accroche et reprends à me branler. Ma queue bien droite devant son visage, mon gland gonflé prêt à exploser. Elle joue encore quelques instants avec sa langue. Sa poigne se resserre, mon corps entier se contracte lorsqu'elle accélère encore son mouvement sur ma queue. Au moment de pencher la tête pour la regarder, nos regards se croisent, sa langue tendue prête à recevoir mon sperme sur son visage. Je ferme les yeux tout en agrippant sa chevelure. Je jouis dans un râle de plaisir, elle continue de me branler alors que mon sperme gicle. Sa bouche est à peine ouverte, mais tellement près de mon gland que l'ensemble de mon jus se desserve dessus ou dedans. Elle continue de me branler jusqu'à ce que j'ai fini. Mon corps se détend, j'ai envie de m'écrouler sur le lit, mais elle ne me lâche pas. Sa langue se pose à nouveau sur mon gland, ma verge sur laquelle coule ma semence. "Et si c'était à mon tour de jouer avec ma langue pour te faire jouir ?" "Tu t'en crois capable ?" me dit-elle en souriant en essuyant son menton d'un doigt avant de le lécher sensuellement. "Écarte tes cuisses sur le lit et tu vas voir par toi-même..." ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- C'est tout... Pour le moment !
Le fruit de la frustration
Au bord du bassin ( Bel âge # 08)
Pimenter sa vie de Couple
Un défi pour les filles !
Une flamme dévorante ! ( Bel âge # 07 )
Le père de Sofia étant parti pour un mois au Maroc, nous avions le loisir de son appartement pour nous seuls. Les semaines suivantes, j’ai passé tout mon temps libre chez elle. On faisait l’amour tous les jours. Je pense que Sofia appréciait ma fugue de « jeune loup » avec laquelle je me donnais à fond à chacun de nos ébats !
J’avais l’impression d’avoir grandi d’un coup ! Je me sentais fébrile et convaincu de pouvoir dévorer le monde entier !
Ce week-end là, j’ai monté un grand bobard à ma mère en lui disant qu’on avait organisé avec mes copains une énorme partie de jeu de rôles qui nous prendrait les deux jours. Ce n’étais pas la première fois que je participais à ce type d’événement, alors elle ne s’est pas vraiment méfiée. Elle préférait me voir faire ça, que traîner dehors…
J’ai rempli mon sac des boîtes de conserve, des gâteaux et des canettes de soda, et je suis parti rejoindre Sofia chez elle. On était vraiment contents de passer ces deux jours ensemble. Nous avions un peu l’impression de braver un interdit, de jouer un peu les loubards…On se prenait pour une version moderne de Roméo et Juliette…pour des amants clandestins obligés de cacher leur liaison…Un vrai délire d’adolescent…
Après avoir déballé mon sac sur la table de la cuisine, Sofia m’a proposé qu’on prenne un bain ensemble. Nous étions assez primaires à cette époque, nous cherchions à se faire plaisir avant tout. Elle fit couler un bain moussant bien chaud. Elle se déshabilla la première pour rentrer dans l’eau. Je la suivis aussi tôt.
Se retrouver dans ce bain chaud était très agréable. Sofia se plaça face à moi en allongeant ses jambes d’une part et d’autre de mon corps. On s’embrassa goulûment. Moi je massais ses petit seins pointus pendant qu’elle venais caresser ma verge pour la faire grossir davantage.
Nous avons joué ainsi un bon moment, avant de nous détendre dans le bain, collés, l’un contre l’autre. Puis, l’air de rien, Sofia se leva, encore couverte de mousse. Elle attrapa un petit rasoir rose qui traînait à côté de l’évier et elle le passa sous ses aisselles pour mettre un coup de propre. Ensuite, elle fit de même sur son pubis…
-« Ça te plaît ? » - me demanda t-elle. Bien sûr que ça me plaisait ! Voir son minou tout lisse m’excitait énormément ! Et, en plus, elle le savait très bien…
-« À ton tour maintenant ! » - me lança d’un air coquin en agitant le rasoir.
Elle tira sur mon bras pour me mettre débout. Elle attrapa mon pénis pour avoir accès à mes couilles et commença à les épiler. Je me suis laissé faire, curieux de voir le résultat, d’une part, et très excité par son geste, d’une autre part. D’ailleurs, à la fin de son « nettoyage », j’ai bandais ostensiblement !
-« Viens » - me dit-elle en sortant du bain et en m’entraînant dans sa chambre. Nous n’avons même pas pris la peine de nous sécher alors, dans notre déplacement jusqu’à sa chambre, nous avons laissé une traîné d’eau sur notre passage.
Nos lèvres virent goutter notre peau encore tiède et humide. Le parfum du gel douche à la fleur d’oranger enivrait mes sens. J’avais à nouveau très envie d’elle. J’ai essayé de m’en approcher mais elle me repoussa en me faisant allonger sur le lit. J’ai compris que ce jour-là nous n’allions pas le faire comme d’habitude…la précipitation habituelle laissa place à la douceur.
Elle commença par me caresser les testicules fraîchement rasés. Ils étaient devenu une sorte de boule toute gonflée. La sensation de ses doigts sur ma peau de bébé était délicieuse… Pris dans une vague de plaisir, j’ai fermé mes yeux en me laissant aller. J’ai senti ensuite sa langue venir les lécher avec envie…les sucer..les mordiller même ! À chaque fois, je frissonnais de bonheur…Puis elle s’attaqua à ma verge brûlante. Elle la lécha copieusement, montant tout doucement jusqu’à en haut de mon sexe bien décalotté…
C’était bien la première fois que je me faisais faire une pipe alors j’étais encore plus excité que d’habitude ! J’avais souvent essayé d’imaginer à quoi cela pourrait ressembler, mais la réalité dépassait amplement mes rêves les plus fous !
Sofia venait d’engloutir la totalité de mon gland dans sa bouche et le massait avec sa langue à me faire perdre la raison ! Mes doigts s’agrippaient aux draps avec crispation à chaque changement de direction…Puis, elle s’est mis à pomper le haut de ma verge avec sa bouche…sa salive, très abondante, dégoulinait le long de ma queue jusqu’à tremper mes couilles glabres.
J’ai ouvert les yeux pour la regarder faire. Elle avait l’air de prendre son pied autant que moi ! En s’apercevant que je la dévisageais, elle s’arrêta pour grimper sur moi afin de venir me donner un baiser particulièrement baveux…
En se redressant, elle plaça son sexe à la porté de ma bouche en me disant, une nouvelle fois, d’un air moqueur :
-« À ton tour. » Son joli abricot brillait de désir…ses petites lèvres se dessinaient discrètement à l’entrée de son sexe gonflé. Doucement, j’ai porté la pointe de ma langue pour effleurer sa fente chaleureuse et impatiente…Elle frissonna de plaisir à son tour !
Le goût de sa cyprine me sembla délicieux. Je lapais sa figue comme un petit chien assoiffé.
Très excitée, elle plaqua son sexe contre ma bouche. Ce fut mon tour de la lécher, la sucer et la mordiller. Elle gémissait de plaisir, ce qui me rendait fier…et, surtout, excité ! Je sentais ma queue plus dure que jamais.
Pendant que j’essayais de plonger ma langue à l’intérieur de son vagin en feu, elle se branlait légèrement sur mon visage en faisant des petits allez et venues qui ont fini par me tremper la face…
Puis, elle se retourna pour reprendre mon joujou en bouche ! Maintenant, on se suçait mutuellement dans un 69 endiablé ! Nos corps tremblaient par moments sous l’intensité de ce plaisir partagé…
Quand Sofia atteignit son premier orgasme, j’ai eu l’impression qu’elle laissait couler sur moi quelques goûtes de pipi. Dans l’excitation, je n’ai pas prêté attention, trop concentré à dévorer sa chatte délicieuse…et, surtout, trop secoué par l’orgasme que sa langue libidineuse avait fini par provoquer en moi !
Tout à coup, j’ai été pris de panique ! Je ne savais pas s’il fallait que j’éjacule dans sa bouche ou si je devais me retirer. Je n’ai pas eu vraiment le temps de me décider…j’ai explosé d’un coup, dans sa bouche…
Sofia ne sembla même pas surprise. Elle se contenta d’ouvrir la bouche pour laisser le sperme s’échapper le long de ma verge. Je pouvais sentir le liquide visqueux et encore chaud inonder le bas de mon ventre.
En agitant son sexe devant mon visage, elle me cria : - « Continue ! Ne t’arrêtes pas ! ».
J’ai donc repris son sexe juteux en bouche en l’explorant davantage. En prenant le temps d’apprendre à mieux faire… De son côté, Sofia engloutie ma queue encore raide dans sa bouche. Je me suis dit que ça ne servirait pas à grande chose. Une fois que j’avais joui, j’avais normalement besoin de récupérer un certain temps avant de bander à nouveau. Mais, cette fois-ci, sous l’insistance de ses coups de langue particulièrement libidineux, je me suis mis à bander aussitôt ! J’étais vraiment le premier surpris !
Sans attendre, elle enfila une capote sur mon membre en érection puis elle prit la position d’Andromaque, pour venir me chevaucher…Il était évident, que ce jour-là, elle avait décidé de mener le jeu, ce qui n’était pas du tout désagréable, bien au contraire…
J’ai senti ma verge s’enfoncer dans sa chatte comme dans du beurre. Elle s’est assise complètement sur moi en restant quelques secondes immobile…Elle me regardait, amusée, en me caressant le torse avec ses doigts fins. Je pouvais ressentir les contractions de ses muscles vaginaux autour de ma verge…Ce fut un instant assez magique.
Puis, tout doucement, elle commença à bouger son bassin…À partir de ce moment-là, je ne l’ai plus quitté des yeux. Je profitais de la vue de son corps nu qui me chevauchait de plus en plus vite…du plaisir qui je lisait sur son visage…de ses gémissements de bonheur qui envahissaient la pièce…
J’avais l’impression de flotter dans les airs, hors du temps et de l’espace, dans un nuage de plaisir interminable qui me remplissait de bonheur…
Puis nous avons atteint l’orgasme presque sans nous rendre compte, comme une sorte de prolongation évidente de ce moment si unique que nous étions en train de vivre…Nous jouissions ensemble en se regardant dans les yeux, le sourire aux lèvres, l’air un peu bête…
Je me rappelle qu’elle s’allongea auprès de moi, puis, nous nous sommes endormis, collés l’un contre l’autre…jusqu’au couché du soleil.